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Fantasme no2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 28/07/2023

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C’était un ancien collègue de mon ex, je ne l’avais vu qu’une seule fois au cours d’un repas de fin d’année organisé par leur entreprise. Son visage innocent et ses yeux m’ont attirés, sans compter son corps qui avait l’air si doux et confortable. J’avais eu des flashs érotiques de nous deux pendant quasiment toute la soirée. Je faisais de mon mieux pour garder une contenance étant donné que j’étais en couple à ce moment là je ne me serais jamais permise quoi que ce soit à part fantasmer sur ce beau jeune homme que je venais à peine de rencontrer.

Ce qui m’attirais encore plus chez lui c’était une sorte de sensibilité qu’il dégageait, il était différent de ses autres collègues plus bourrus et aigris, lui avait gardé ce je ne sais quoi qui me faisait craquer. Je ressentais aussi une grande force de caractère, mais une force cachée. Je n’avais qu’une idée en tête, goûter ses lèvres, avoir ses mains sur moi, le sentir contre moi, et je faisais de mon mieux pour que personne ne remarque le feu qu’il avait allumé en moi.

Aujourd’hui, on était 4ans après ce fameux repas et je ne l’avais jamais revu même s’il n’avait jamais quitté mes fantasmes, d’autant moins que mon ex m’en parlait régulièrement quand on était encore ensemble vu que ce jeune homme avait quitté leur entreprise pour travailler dans une autre plus prestigieuse et que mon ex travaillait justement avec cette autre entreprise là et donc le voyait de temps en temps et m’en parlait, ce qui ravivait encore et encore le désir que j’avais pour lui. J’étais célibataire maintenant, et seule depuis un peu plus d’un an et j’étais en train de panser les blessures de la pire rupture de ma vie quand son nom a été prononcé et que tout est revenu. Ça a réveillé quelque chose en moi qui dormait : le désir, le feu, l’envie de le goûter… mais aucun contact n’était possible à part par mon ex, mais il ne fallait pas y compter. Il avait ce problème qu’ils ont tous : la possessivité ! comme si je leur appartenais... et donc jamais il ne m’aiderait à trouver quelqu’un d’autre, encore moins quelqu’un qui pourrait être mieux que lui.

Alors j’ai dû faire des recherches et j’ai fini par le retrouver, merci les réseaux sociaux de me faciliter la tache ! J’ai pris le temps de regarder sa photo, j’ai eu l’impression qu’il n’avait pas changé d’un iota, ou peut-être que sa photo n’était pas à jour, après tout c’était un réseau social un peu particulier, pas très personnel. Je pris mon courage à deux mains et lui envoya un message. J’avais décidé d’être directe et honnête, j’avais assez attendu, je me lançais :

« Salut, j’espère que tu vas bien. Z m’a parlé de toi récemment et je me suis rappelé de ce repas où on s’était rencontrés et où je te dévorais des yeux en essayant de cacher l’effet que tu me faisais. Je suis son ex depuis plus d’un an maintenant, ce qui me permets d’enfin pouvoir te parler, et j’espère vraiment que tu me répondras. »

Et j’ai attendu sa réponse qui arriva en fin de journée.

« Je me souviens de toi oui, mais pas de ce que tu dis. Tu voulais me parler ? »

« Pour être totalement honnête, j’espère ne pas faire que parler avec toi... »

En effet, j’avais été directe, ça passe ou ça casse ! Sur les réseaux il est écrit qu’il est célibataire mais bon, ça ne veut rien dire, et peut-être aussi que je ne lui plaît pas…
*DING*

« Intéressant. »

« Je suis ravie de cette réponse ! Dis moi quand tu es disponible pour qu’on discute de ça face à face. »

« Ce soir ? 20H ? »

« Ouh ! J’aime cette impatience ! Donnes moi une adresse et j’y serai. »

Il me donna l’adresse et me dit de ne pas manger avant de venir, qu’il nous préparerai quelque chose. Décidément, il me plaît de plus en plus celui-là. Je ressentais quelque chose de différent chez lui, et ça m’attirait encore plus, même si je ne comprenais pas ce que c’était.

20 heures, j’étais devant sa porte et je toquais, un peu nerveuse. La porte s’ouvrit au bout de 10 secondes (en effet, impatient…), il m’invita à entrer et je passa tout près de lui. Son odeur et le simple fait de l’avoir regardé dans les yeux avait réveillé l’énergie de mon bas ventre et m’envoyait des décharges de désirs supplémentaires qui me firent frissonner.

- Tu as froid ? Demanda-t-il surpris.

En effet, on était en été, la température baissait rarement en dessous de 25 degrés, même la nuit, alors avoir froid était quasiment impossible.

- Non, au contraire. Je choisis de répondre d’une manière ambiguë pour lui faire un petit rappel de pourquoi j’étais là.

Il me répondit avec un sourire d’un air de dire qu’il avait compris le message. Cependant je devais me calmer, on était sensé manger et discuter, rien de plus. Je pris une profonde respiration et il m’invita à m’asseoir à table où le couvert était déjà mis (impatient…). Je me mis à rougir, je n’avais jamais eu autant d’attentions, pour une fois j’allais en profiter et me laisser servir.

Il avait préparé une salade composée, simple et efficace, et surtout la seule chose que je sois capable de manger pendant l’été. Il me servit et se servit ensuite, posa une bouteille d’eau fraîche sur la table et je le regardais avec un sourire bête. Il allait s’asseoir quand il s’arrêta et me sortit de mes pensées.

- Tu veux peut-être boire quelque chose d’autre ?

- Non, merci, tout est parfait, tu peux te détendre et t’asseoir. Dis-je en souriant de plus belle.

En fait j’étais plutôt soulagée qu’il n’ai sorti aucun alcool. Son envie de faire tout bien était très touchante mais je voulais vraiment qu’il se sente à l’aise avec moi et surtout pas obligé d’en faire trop. J’en profitais pour le remercier de faire tout ça pour moi et lui dire que appréciais vraiment ses attentions.

Je sentis une tension s’installer à mesure qu’on mangeais et je rompis le silence.

- J’espère que mon message ne t’as pas trop choqué ?
( j’espère bien que si!!)

- Le premier m’a plutôt perturbé, je me suis demandé pourquoi tu me parlais, avec le deuxième j’ai compris et oui j’étais un peu choqué car tu es très cash, m’a ça m’a intrigué aussi.

Je devais rougir tellement ses paroles vibraient en moi, comme s’il me caressait avec ses mots.

- Je devais être franche et directe, je ne savais pas si tu étais avec quelqu’un, ni si je te plaisais ou pas, surtout que j’ai changé depuis la fois où tu m’as vu. Et, histoire d’être encore plus cash, je n’ai pas de temps à perdre et j’ai assez attendu. Dis-je en rougissant encore un peu plus.

Je n’avais pas l’habitude d’être aussi directe, mais je sentais qu’avec lui je pouvais l’être.

- Je comprends mieux, répondit-il, et pour te répondre, non je n’ai personne et oui tu me plais. Je t’avais remarqué aussi à ce repas, tu me regardais bizarrement.

Et il sourit.

- Parce que je t’imaginais d’une manière différente et que j’étais en train d’avoir des pensées que je ne devais pas avoir pour celui qui était le collègue de mon homme. Sauf que maintenant, ce n’est plus mon homme et toi tu n’es plus son collègue alors…

- Et c’était quoi ces pensées ?

Son sourire en coin me faisait craquer, comme s’il n’avait pas déjà deviné à quel genre de chose je pouvais penser…

- Je pensais à goûter tes lèvres et à sentir tes mains sur moi.

Cette simple phrase déclencha un nouveau frisson de chaleur dans mon corps.

- Et maintenant ? Tu y penses encore ? Je veux dire, j’ai vieilli, j’ai changé aussi et je suis loin d’être un Apollon…

- Je me fiche des Apollons, j’aime les hommes comme toi, les corps comme le tien, c’est ça qui m’attire le plus ! Ça me fait tellement envie que là tout de suite j’ai toutes les peines du monde à me contenir et à ne pas te sauter dessus.

- Tu as de la chance que ta salade est super bonne et que j’ai faim, mais sache que j’ai faim de toi aussi. Et en ce qui concerne ton âge, laisse moi rire, j’ai facile 10ans de plus que toi…

- Pourquoi tu te retiens ?

- Parce que je suis bien élevée, que tu as préparé un repas exprès pour moi et que je veux y faire honneur, et puis ça ne se fait pas de prendre le dessert en premier. Dis-je en rigolant.

- On pourrait manger après, et il n’est écrit nul part qu’il est interdit de manger le dessert en premier.

- Tu es sûr ? Demandais-je pour confirmer que j’avais bien compris.

- Je ne peux pas être plus sûr.

Je me suis levée et avança vers lui et il allait en faire autant quand je lui dis doucement de ne pas bouger. Je m’assis sur lui, face à lui, mes yeux braqués dans les siens qui pétillaient alors qu’il rougissait.

- Tu es toujours sûr ?

- Oh que oui !!

Une de ses mains glissa dans mon dos, j’eus à nouveau un frisson de désir ardent qui fit pulser tout mon corps et le rapprocha encore plus du sien. Je décidais donc de déposer ma bouche tout doucement sur la sienne dans le baiser le plus doux dont j’étais capable. Je me suis relevée en me léchant les lèvres et dit :

- Je le savais, tu es doux et sucré.

- Tu en veux encore ? Demanda-t-il avec un sourire.

Je lui répondit en prenant sa bouche d’assaut pour lui faire comprendre à quel point j’avais faim de lui. Et pendant que je l’embrassais, ses mains se promenaient partout sur moi, déclenchant des décharges à chaque endroit où elles passaient. À un moment ses caresses se firent plus intenses et il me serrait contre lui. Je le sentais gonfler contre moi quand il agrippa mon bassin comme s’il voulait l’emboîter dans le sien.

- On peut aller autre part ? Demandais un peu essoufflée en desserrant notre étreinte.

Il m’emmena dans sa chambre et me demanda :

- Tu es vraiment sûre de vouloir faire ça avec moi ?

Je ressentais cette peur en lui que je connaissais très bien, parce que je l’avais ressentie moi aussi.

- Je ne te l’ai pas assez prouvé encore ? Je peux continuer ça pendant des heures si ça peut te rassurer. J’adore t’embrasser, et tes mains sur moi sont autant de rehausses de désir, au point que j’ai du mal à tenir en place. Je ne veux pas te brusquer, je veux prendre le temps de profiter de tout de toi, mais crois-moi, je n’ai aucun doute sur le fait que je te veux !

Il se détendit et nous reprenions notre baiser passionné, je doutais de pouvoir m’arrêter tellement c’était bon, tellement ça me manquait, cette sensation incroyable et ses pulsions qui m’envahissaient et me rendaient folle. Mes mains partirent découvrir son corps. J’enlevai son tee-shirt, je le caressais le long de son torse, son ventre, jusqu’à la ceinture de son pantalon. Il m’arrêta, pris mes mains, croisa ses doigts dans les miens, mains vers le bas. Il me poussa doucement vers le lit en m’embrassant. Puis il s’arrêta, lâcha mes mains et retira mon tee-shirt pour toucher mes seins du bout des doigts le long de mon soutien gorge, puis ses lèvres suivirent le même chemin ce qui me fit soupirer, cette sensation était parmi les plus délicieuses qui soient. Ma poitrine se gonfla de désir et des vagues de chaleur traversaient mon corps en partant de mon bas ventre.

J’interrompis cette merveilleuse torture pour faire tomber mon pantalon au sol, m’asseoir sur son lit et détacher le sien. Il ne bougeait plus. Je le regarda en faisant passer mes doigts le long de son membre en érection à travers son boxer. Sa tête bascula en arrière et il lâcha un soupir lui aussi. Je recommençais donc encore et encore, je le sentais pulser sous mes doigts, devenir de plus en plus dur, et je l’entendis gémir discrètement. Tout ça m’excitais énormément. Il attrapa ma main et m’allongea sur le lit, en travers, et vint se mettre entre mes jambes. Il caressa mon sexe avec son érection et malgré ces petits bouts de tissus le plaisir que cela me procurait était inouï.

Il fit descendre ses baisers dans mon cou et mon désir devint si intense que je cru qu’une force que je ne reconnaissais pas allait exploser. Je lui murmura à l’oreille « j’ai tellement envie de toi. » ce qui eu pour effet immédiat de faire pulser son sexe contre le mien et réenclencher une autre vague de désir qui me brûlait.

Il continuait de m’embrasser, me mordiller et passer sa langue dans mon cou en poursuivant ses frottement sur mon sexe mouillé et bouillant qui n’attendait que lui et le cherchait. Le désir que je ressentais devenait incontrôlable et ça devint pire encore quand sa bouche parti titiller mes seins et mes tétons. Ça m’envoyait comme des éclairs dans tout le corps à chaque coup de langue. Je me cambrais de plus en plus, mon sexe cherchait le sien pour le combler et la distance entre eux me rendait folle. Il détacha et retira mon soutien gorge et poursuivi ses assauts langoureux et ça me faisait perdre la tête et gémir de plus belle. Quand je n’y tint plus, je glissa mes mains jusqu’à son boxer, le fit descendre et pris sa queue en main. Il étouffa un cri en prenant mon sein en bouche et en suçant mon téton. Je commença de faire des va et vient et sentis sa main aller le long de ma cuisse jusqu’à mon entre jambe. J’étais complètement trempée, mon antre chaude réclamait ses doigts.

Je ralentis mes mouvements, lui se mis à effleurer mes grandes lèvres à travers la culotte, passer sur les cotés, c’était sûr, il avait prévu de me rendre dingue ! Mon bassin suivait ses mouvements pour en réclamer plus, c’était instinctif, quand je décida de lui dire
« S’il te plaît, touche moi. » d’une petite voix, à bout de souffle.

Il remonta pour m’embrasser plus fort et goulûment, et je ne pouvais plus le branler dans cette position. Je passa donc mes doigts doucement le long de son dos jusqu’à sa nuque ce qui le fit frissonner et sans prévenir il poussa ma culotte et mis deux doigts en moi tout doucement. Chaque millimètre qui me pénétrait était un délice de plaisir infini et d’un coup il le mis complètement en moi ce qui me fit pousser un cri. Après ça je mouillais encore plus, je n’avais que rarement connu ça et je lui dis « arrête de me torturer, prends moi ! » et je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’il me réponde mais…

- Je croyais que tu voulais prendre ton temps ? Dit-il en plongeant ses doigts tout doucement en moi en me regardant dans les yeux. Et je ne vois pas de quelle torture tu parles ? Tu parles de ça ? Et il mis encore ses doigts d’un coup en moi ce qui m’arracha de nouveau un cri de plaisir et me fit me cambrer d’avantage.

- J’aime ça, reprit-il, j’aime t’entendre, te voir prendre du plaisir, te sentir mouiller un peu plus à chaque coup que je donne.

Et il reprit ses va et vient doux puis d’un coup, un plus violent. Je n’en pouvais plus, je sentais une force grandir en moi que j’avais de plus en plus de mal à contenir. Une force animale, bestiale, sauvage, qui pouvait me transformer à tout moment. Mais je voulais être la femme douce avec lui, celle qui est docile et qui profite des choses au lieu de vouloir tout contrôler. Mais lutter contre cette force devenait de plus en plus difficile à mesure qu’il me donnait ses coups de plaisir que j’aimais plus que tout et qui m’envoyait des décharges jusqu’à faire apparaître des sortes de flashs de lumière dans mes yeux.

J’étais perdue sous ses lèvres qui me dévoraient, le plaisir immense qu’il me procurait et ma bataille contre moi-même quand soudain il s’arrêta. Je revint à moi dans un sursaut.

- Qu’est-ce qui se passe ?

- J’ai eu l’impression que tu n’étais plus vraiment là et que ton corps ne réagissait plus comme tout à l’heure.

Je n’avais pas idée qu’en contrôlant la partie sauvage de moi j’avais un peu oublié le reste.

- C’est que j’ai peur qu’une autre partie de moi prenne le dessus et j’essaie de me contrôler car je ne suis pas sûre que tu aimes ça, c’est une partie plus sauvage et égoïste.

- Laisse-toi aller, j’ai pas peur et je me fiche d’être utilisé pour ton plaisir, au contraire ! Plus tu prends de plaisir, plus moi aussi j’en prends.

- Tu es vraiment, vraiment sûr de toi ?

- Oui !! arrête de vouloir te contrôler… ça sert à rien.

J’attrapai sa tête avec mes deux mains sur ses joues et l’embrassa à pleine bouche, puis fit descendre ma culotte comme je pouvais, mis mes jambes autour de sa taille et sentis enfin son sexe contre le mien, totalement nus. Je me caressais avec lui toujours avec nos bouches liées. Je le fit rouler sur le dos, me mise sur lui, joua de mon bassin pour que nos sexes s’échauffent l’un l’autre et le fit entrer en moi ce qui provoqua une vague de chaleur et de plaisir mais aussi de soulagement si intense que mon corps bascula en arrière et réveilla cette partie de moi que je voulais cacher.

J’attrapai ses mains et les mis sur mes seins sans les lâcher et le fit les malaxer pendant que j’accentuais mes mouvement de bassin pour sentir cette force se réveiller encore plus et m’envahir toute entière au point de me perdre en lui.

Je pu voir qu’en effet, ça provoquait le même plaisir chez lui, je pouvais sentir son érection pulser en moi et l’entendre gémir de plaisir autant que moi décuplait l’effet de ce que je ressentais déjà, comme si on était en osmose. Nos bassins dansaient au même rythme et nos respirations se synchronisaient, ses mains descendirent le long de mon ventre jusqu’à mon clitoris pour le titiller en même temps que les coups de reins que je provoquais. Son autre main était sur mes hanches et me maintenait fermement contre lui. Je me cambrais en arrière pour profiter encore plus de ce qu’il me faisait.

Puis il la retira, me tira contre lui et la mis dans mes cheveux pour attirer mon front contre le sien, je ne bougeais plus et lui m’envoya de gros coups de reins très forts en me regardant dans les yeux, je n’étais plus la seule qui avait laisser son animalité se révéler. Il savourait mes gémissements et mes tremblements au rythme de ses coups.

Il m’embrassa passionnément et je sentais l’orgasme arriver et je le retint. Il avait senti les contractions de mon vagin et me regarda d’un air interrogateur, je lui dit alors que je voulais jouir avec lui, à moitié à bout de souffle et complètement chamboulée par tout ce que je ressentais.

- Je me retiens depuis un moment, répondit-il.

- Alors fais nous jouir, s’il te plaît…

Il m’embrassa, une main dans ma nuque, puis descendit ses deux mains sur mes hanches pour me tenir plus fort et reprit ses coups de reins brutaux. J’étais dans un état second, je tremblais de plaisir, j’avais l’impression que mon corps allait lâcher, ou alors que j’allais exploser. Ma tête se posa dans son cou que j’embrassai délicatement puis caressa du bout de ma langue quand je sentis cette douce chaleur arriver et je le prévins que j’allais jouir. Il accéléra et mis des coups encore plus fort et nous emporta tous les deux dans un orgasme partagé tellement intense que je cru perdre connaissance.

Tout mon corps se relâcha contre le sien, il en fit autant et mit ses bras autour de moi pour me serrer contre lui. J’adorais ce moment où il me laissait profiter de mon orgasme en douceur, alors que la plupart des autres partaient directement. Visiblement lui il savait que l’orgasme féminin est plus long et incroyablement intense et mérite d’être savouré jusqu’au bout.

Quand je revint un peu à moi je remarqua qu’il me caressait doucement le dos et frissonna ce qui le fit rigoler. Je me relevais en disant :

- Désolée, je devrais te laisser respirer…

- Tu peux rester autant que tu veux, je suis bien là.

Il me repris contre lui en caressant mes cheveux et déposant un baiser sur mon front.

- On peut recommencer quand tu veux, dit-il encore essoufflé.

Je me relevai un peu pour pouvoir voir son visage et répondis avec un large sourire :

- Dans 5 minutes ?


Il y eut un blanc, je vis son visage changer et j’éclatai de rire. Il en fit autant. Je reposais alors ma tête contre son corps et tentais de reprendre mon calme.

- C’est sûr qu’après ça je ne risque pas de te laisser tranquille !

Il me serra plus fort contre lui et déposa encore un baiser sur ma tête. Je finis par m’endormir sous ses caresses, contre son corps.
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Histoire de Sephy

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Commentaires du récit : Fantasme no2

Le 30/07/2023 - 16:28 par lounabelle
j'adore
Le 29/07/2023 - 18:48 par OlgaT
Très beau texte!

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