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Fatima (4ème partie)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 08/09/2023

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Je suis rentré chez moi avec le sentiment de la tâche bien accomplie. Ma belle-mère est satisfaite et en redemande encore. Je ne sais pas ce qu’elle va raconter à Charline, mais j’attends de voir.
Voilà deux jours que j’ai honoré ma belle-mère et je n’ai eu aucun écho de ma femme. Alors que nous sommes au petit-déj’, je teste ma moitié.
-Au fait, ta mère t’a parlé un peu ?
-Non, je l’ai eu au téléphone hier, mais on a parlé de choses et d’autres, rien de particulier. C’est vrai au fait, tu ne m’as pas raconté !
-Oh, tu sais, rien d’extraordinaire !
-Vous avez baisé ou pas !
-Oui, mais pour être franc, je ne sais pas si elle a apprécié. En tout cas, on s’est quitté sans effusion particulière. J’espère que nos relations ne vont pas en pâtir.
-Tu veux que je la questionne ?
-Comme tu veux ! Mais je pense qu’elle doit être gênée, surtout si elle n’a pas pris son pied !
-Oh, te connaissant, ça m’étonnerait !
-Ben, elle n’a rien laissé paraître en tout cas !
-Je verrai ! En tout cas, je te dirai si elle me raconte quoi que ce soit !
-D’accord !
Nous partons ensuite au travail chacun de notre côté. Au cours de la matinée, j’appelle Fatima.
-Bonjour belle-maman !
-Bonjour Luke ! Tu vas bien ?
-Oui, merci, ça va ! Vous avez parlé avec Charline ?
-Oui, mais pas de notre petite aventure ! J’ai pas osé ! Et toi ?
-Oui, je lui ai dit qu’on avait fait l’amour, mais, pour être honnête, je n’ai pas parlé du petit pacte qu’on a scellé, tous les deux ! Et je t’interdis de lui en faire part !
-Oh, tu n’as pas besoin de me l’interdire, je n’oserais jamais lui en parler !
-D’accord ! Tu es où, là ?
-Je suis au travail, bien sûr ! Je prends ma pause, mais elle est bientôt finie. On se voit quand ?
-Je ne sais pas et même si j’avais pris une décision, je ne te le dirais pas !
-Pourquoi ?
-Parce que je veux te surprendre ! et je raccroche, la laissant sur sa faim !
Fatima travaille dans une grande surface. Elle est comptable et bénéficie d’une bonne appréciation de sa direction. Je le sais, car je connais bien son patron, mais elle ne le sait pas. Je sais aussi que son boss, qui est veuf, la trouve craquante, mais il n’ose pas la brancher. Il faut que j’arrive à savoir ce qu’elle pense de lui. Je trouverai bien une occasion pour lui poser la question.
La journée défile à la vitesse grand-V. Pas le temps de faire un petit tour chez ma belle-mère. J’ai plus envie de rentrer auprès de ma tendre épouse. D’ailleurs, quand je la retrouve, je décide de lui parler du patron de sa mère.
-Au fait, tu te souviens de Fabrice, mon pote qui fait de la moto avec moi, certains week-ends ?
-Oui !
-Eh ben, c’est le patron de ta mère !
-Non ? Tu le savais ?
-En fait, je l’ai appris la semaine dernière, quand je suis allé faire un tour dans le magasin. Je l’ai croisé dans une allée, alors je lui ai demandé s’il faisait lui aussi une course. Il a rigolé et m’a dit qu’il était le patron du magasin !
-Tu lui as parlé de maman ?
-Oui, on a fini par aborder le sujet le week-end dernier, au cours de la balade.
-Il a dit quoi ?
-Il la trouve très efficace. Il dit qu’elle bosse super bien et il la trouve craquante !
-Ah oui ?
-Tu sais qu’il est veuf ? Il a perdu sa femme ça fait deux ans bientôt. Un cancer je crois.
-Tu la connaissais ?
-Non, pas du tout ! Mais je me suis dit que ce serait peut-être bien qu’on le fasse rencontrer ta mère en dehors du travail ? Tu en penses quoi ?
-Oui, carrément ! Tu comptes t’y prendre comment ?
-Je ne sais pas encore, mais j’y travaille !
C’est seulement trois jours plus tard que l’occasion de rendre visite à ma belle-mère se présente. L’activité étant calme au travail, je décide de rentrer chez moi vers midi. Avant de partir, je passe un coup de fil à Fabrice.
-Salut Luke, comment vas-tu ?
-Dis-donc, je t’appelle pour savoir ce que tu fais ce week-end ?
-J’ai rien prévu, mais la météo ne devrait pas être géniale pour rouler, il paraît qu’il va pleuvoir !
-Oui, j’ai entendu la même chose. On se fait un barbecue, samedi ?
-Ah oui, super idée ? Chez moi ou chez toi ?
-Si ça ne t’embête pas, on fera ça chez toi car il y a plus de place et ta piscine est mieux que la nôtre !
-Ca marche ! Comment on s’organise ?
-On verra bien d’ici là !
-Ok !
-Dis, je peux te demander un service ?
-Oui, quoi ?
-J’ai besoin d’aller bricoler chez ma belle-mère, mais elle travaille, là !
-Euh, oui ! Et qu’est-ce que je peux faire pour toi ?
-Tu peux lui dire de rentrer chez elle ?
-Hein ?
-Ben oui, elle travaille chez toi ! C’est Fatima ! La femme qui travaille aux RH !
-Non ! C’est ta belle-mère ?
-Eh oui !
-Alors oui, pas de problème !
-Si ça t’embête, tu me le dis !
-Non, t’inquiète ! Enfin si, tu me prives de mon employée préférée, mais bon !!!
-C’est vrai ? Tu l’apprécies vraiment ?
-Oui, je t’assure que c’est une bonne personne ! Et physiquement, elle n’est pas désagréable du tout !
-Oh, elle est un peu ronde quand même !
-Justement ! J’aime bien ses rondeurs ! Mais, elle est trop distante, c’est le seul reproche que je peux lui faire ! Niveau boulot, c’est une perle ! Mais pas de soucis ! Je lui dis que tu as besoin d’elle !
-Non, non, surtout pas ! Je voudrais lui faire la surprise !
-Ok, alors !
-Merci Fabrice !
Sur le chemin que je choisis exprès pour la rencontrer, je remarque Fatima sur le bord de la route. Je m’arrête à sa hauteur et lui demande ce qu’elle fait là.
-Mon patron m’a accordé mon après-midi ! Et toi ?
-Moi, j’ai pris mon après-midi ! Tu veux que je te dépose chez toi ?
-Volontiers ! dit-elle en montant dans ma voiture.
Fatima est vêtue d’une longue robe turquoise fendue sur le côté et cintrée juste sous la poitrine, ce qui met en valeur ses magnifiques gros seins bien tenus par son soutien-gorge. Elle porte des escarpins dont les talons doivent mesurer environ 8 ou 9 centimètres.
Nous roulons lentement, tant le flux de circulation est dense, ce qui me laisse le loisir d’observer ma passagère. Je remarque alors la fente de sa robe qui laisse voir le côté de sa cuisse gauche pratiquement jusqu’à hauteur de sa hanche.
-Dis-donc, tu es sexy avec cette robe !
-Tu trouves que c’est trop ?
-Oh non !
Je pose alors ma main droite sur cette cuisse en repoussant le tissu. Fatima me laisse faire et pose sa main sur la mienne.
-Tu restes un peu chez moi ? me demande-t-elle.
-Pourquoi pas ! J’ai rien prévu ! Mais alors, tu vas faire tout ce que je te demande !

Elle ne répond pas.
-Je veux que tu retires ta culotte et que tu me la donnes.

Fatima ne répond toujours pas, mais je vois aussitôt qu’elle se soulève légèrement et qu’elle attrape les côtés de son sous-vêtement, qu’elle fait descendre le long de ses cuisses tant bien que mal, entre sa ceinture et la position. Elle arrive finalement à la faire passer sous ses pieds et finit par me la tendre. Je la prends alors et la porte à mon nez. Aussitôt, son odeur intime me saute au nez, toute mielleuse et sucrée. Aucune odeur d’urine et au contraire, un parfum de vanille très agréable.
Je la glisse alors dans la poche de mon pantalon et repose ma main sur sa cuisse.
Fatima n’a toujours pas dit un mot, mais elle se laisse faire. Je fais remonter ma main le long de sa cuisse et passe à l’intérieur, jusqu’à venir toucher son intimité. Une fois contre ses lèvres, je ne bouge plus.
Au bout de quelques instants, c’est Fatima qui vient au-devant de moi. Elle pose sa main sur la mienne et appuie dessus pour que je vienne au plus près de sa chatte. Je retire alors ma main.
-Dis-donc, petite salope ! Tu ne voudrais quand même pas baiser avec ton gendre ?
-Si ! Justement, tu me fais trop d’effet !
-Attends d’être rentrée chez toi ! Calme-toi ! Retire plutôt ton soutien-gorge !
-Non, mes seins vont tomber !
-Tu oses me désobéir ?
-Non ! D’accord ! Et elle retire son sous-vêtement avec toute la grâce des femmes dans cette position, et avec toutes les contorsions que nécessite de retirer le soutien-gorge sans retirer au préalable le vêtement.
-Mets-le dans ton sac à main.
Elle se penche alors en avant pour ramasser son sac à main qui se trouve à ses pieds. Je constate alors ses lourds seins tendre sa robe. Je porte ma main sur l’obus qui est à ma portée et le malaxe fortement. Fatima se fige dans cette position pour me permettre de tripoter son sein le plus longtemps possible.
-Tu aimes me caresser les seins ?
-Oui, sinon, je ne le ferais pas !
-Mais ils tombent !
-Non, ils sont lourds et pleins et j’adore ça ! Regarde, tu me fais bander !
En effet, ma queue avait pris un peu d’ampleur dans mon jeans. Ma belle-mère tend la main avec un regard affamé, mais je l’en empêche en lâchant son sein et en donnant une tape sur son bras qui venait vers moi.
-Dis-donc ! Arrête-ça !
Surprise, belle-maman se redresse et repose son dos contre le siège.
Nous arrivons chez elle. Je me gare comme à mon habitude, dans sa cour, et referme le portail, ce qui nous dissimule complètement de la rue. Je sais que personne dans le voisinage ne peut voir ce qui se passe dans sa cour, tant le mur et le portail sont hauts.
-Retire ta robe !
-Pas dehors ?
-Tu oses me désobéir ?
-Non, ok, je le fais ! Mon dieu ! Ce que tu me fais faire !
-Oh, n’exagère pas ! Tu sais très bien que personne ne peut te voir !
Fatima s’exécute et la voilà nue devant moi, dehors, juste devant sa maison.
-Suce-moi !
Ma belle-mère s’approche de moi et se met accroupie devant moi. Elle détache le bouton de mon jeans et baisse la fermeture éclair, extirpe ma queue qui commence à grossir et la porte aussitôt à sa bouche. Elle commence alors une pipe majestueuse, engloutissant entièrement ma bite qui grossit à vue d’œil. J’attrape alors ses seins en me penchant en avant et pince fortement ses tétons qui se mettent aussitôt à se tendre comme des balles de pistolet.
-Relève-toi !
Fatima se relève, l’air un peu inquiète. Je l’oblige à se retourner et à s’appuyer contre la voiture. Je me baisse un peu et pose ma queue à l’entrée de sa chatte et sans aucune difficulté, tant elle est mouillée, je la pénètre entièrement. Une fois ma queue au fond de son antre, je commence mes aller-retours, d’abord doucement, puis de plus en plus fort. Au fond de moi, je veux la faire jouir suffisamment pour qu’elle se lâche et qu’elle gémisse assez fort pour qu’elle se mette à paniquer de peur d’être entendue par le voisinage. Je la baise comme ça un bon moment, mais elle reste silencieuse, à part quelques gémissements discrets qui ne peuvent pas être entendus, ne serait-ce en collant l’oreille au portail. Je passe alors à la vitesse supérieure et porte ma main droite au niveau de son clitoris que je me mets à triturer. Au bout de quelques instants, je sens sa respiration augmenter fortement, puis ses gémissements se font plus sonores et se transforment en petits cris à chaque coup de butoir. J’augmente alors l’amplitude de mes mouvements pour lui donner des grands coups dans le cul pendant que je tire son clitoris.
-Hum ! Oh ! Oui ! Hum ! Ah !
C’est finalement un râle puissant qui sort de sa bouche au moment où l’orgasme explose dans son corps. Et juste après, elle porte ses mains à sa bouche, comme pour se bâillonner, mais ses gémissements sont encore puissants et doivent s’entendre de la rue ! Alors que je continue à la pilonner, je vois qu’elle se met à pleurer, la bouche grande ouverte, les yeux clos et le cul bien tendu vers ma queue. J’explose finalement à mon tour et déverse de grands flots de sperme au fond de son vagin, avant de ressortir de sa chatte et de l’obliger à se mettre à genoux.
-Lèche et avale !
Elle s’exécute alors et nettoie avec attention ma queue. Une fois qu’elle estime que c’est terminé, elle se relève et reste immobile devant moi.
-Merci, belle-maman, j’ai aimé te baiser ainsi !
-C’est vrai ? Tu as aimé ?
-Oui !
-J’ai un peu honte, car je crois que les voisins ont du m’entendre !
-J’avoue que tu as tellement joui fort que tout le voisinage doit maintenant savoir que tu es une sacrée salope !
-Non, oh mon dieu, j’ai honte ! J’espère que Charline ne saura jamais ça !
-Bien sûr que si, je vais lui dire ! Tu crois quoi ?
-On peut rentrer maintenant, Luke ?
J’ai alors poussé un peu Fatima vers la porte d’entrée et lui ai mis une grosse claque sur les fesses. Nous sommes ensuite entrés dans la maison et je me suis installé dans le canapé pendant qu’elle allait prendre une douche. Alors qu’elle était dans la salle de bain, je suis allé dans la chambre. J’ai disposé une grande sortie de bain sur son lit et j’ai attrapé le flacon d’huile de coco qui se trouve toujours dans sa commode. Je me suis ensuite déshabillé et me suis installé sur le bord du lit.
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