Un inconnu sur un parking

Un rendez-vous vous pris via un site libertin avec un homme doux respectueux désireux de jouir de mon corps sensuel dont les photos appellent aux caresses suaves et à la jouissance, précisant au préalable une rencontre furtive où nous nous embrasserions, en nous caressant avant de lécher nos sexes raides et mouillés jusqu’à me faire prendre pour jouir ensemble sous le regard excité de mon mari.
Arrivés à destination sur ce parking d’une plage naturistes, désert en fin d’après-midi, nous attendons notre invité, un peu stressés de le découvrir en chaire et en os. Mon mari prend les choses en mains et en bouche pour commencer à m’exciter et me préparer à cette rencontre. Nous nous embrassons sensuellement et profondément en nous racontant ce que nous aimerions partager avec cet homme. Dans l’excitation de ces baisers échangés, j’imagine à haute voix la manière dont j’envisage le contact de cet homme contre moi, ses caresses, ses doigts fins et frais caresser mes mamelons qui durcissent sous ses caresses appuyées, et que mon mari me laisse imaginer concrètement en prenant mes seins dans sa bouche et titillant la pointe de mes tétons tendus qui me font gémir, me cambrer, et faisant mouiller ma vulve gonflée. Je me sens en extase détendue par le plaisir et prête à accueillir cet inconnu, dont nous apercevons la voiture se garer à côté de nous. D’abord un sourire très enjoué sur le visage d’un homme d’une trentaine d’années à la peau mate. Il me séduit, les photos n’ont pas menti. Il descend de sa voiture et me regarde enjoué mon corps nu, sous une robe en jean complètement déboutonnée. Magnifique, c’est l’adjectif qu’il emploie pour dire ce qu’il ressent en me découvrant pour de vrai.
La satisfaction est réciproque et nous excite tous les trois, nos sourires en attestent et ma main sur son pantalon me confirme son excitation, d’un sexe dur que j’ai déjà très envie de sentir en moi. Il m’embrasse et caresse mes seins comme prévu alors que je suis sortie de la voiture et me tiens debout face à lui, ne perdant pas mon mari du regard, dont le sourire me dit qu’il est heureux de me sentir vivante, excitée, détendue offerte et souriante. Nous communiquons ainsi, s’excitant mutuellement crescendo. Je penche ma tête en arrière sous l’effet du plaisir de sentir ses caresses passer sur mes seins, descendre doucement sur mon torse, mon ventre et bientôt atteindre mon pubis ouvert, une cuisse relevée pour lui faciliter l’accès à mon intimité la plus profonde et l’encourager à vite venir sur cette zone de mon corps qui n’en peut plus d’attendre. Enfin je sens son doigt entrer en moi tout en tournant autour de mon clitoris et de mes lèvres. Ses doigts explorant délicatement tout l’extérieur de ma vulve qui se gonfle au point d’exploser. Mon ventre boue, mes seins se gonflent dans sa bouche, mon visage est rouge de plaisir, ma bouche ouverte prononce des sons qui évoquent le plaisir que je ressens partout dans mon corps, je lui demande de continuer car c’est bon, les veines de mes tempes et de mon cou sont prêtes à exploser.
Au bout de mon plaisir je ne tiens plus j’ai envie de sa queue. Je me penche vers son sexe que je sens dur sous ma main, j’ouvre sa braguette et en sors une verge comme je l’imaginais qui surgit enfin libérée de ce vêtement trop serré. Je le saisi à pleine bouche au fond de ma gorge, le serrant fort dans mon poing serré. Je le fais entrer et sortir de ma bouche léchant son gland rouge et turgescent avec lequel je caresse mon visage. Il grossit à vue d’œil. Je me retourne en levrette l’avant de mon corps dans le véhicule, les bras posés sur le siège avant, le regard perdu dans celui de mon mari qui me demande si c’est bon, et à qui je confirme que c’est excellent et que sa queue est bonne quand je la sens me prendre par derrière, cambrée et hurlant de plaisir. Je lui dis de me baiser plus fort, que sa queue est bonne, je la sens bien, et à peine le temps pour le dire je crie un orgasme, sentant un liquide épais couler entre mes cuisses.
Je regarde Alain et retombe, remplie en extase et comme à chaque fois je le ressens et le dis, « je t’aime mon amour ».