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Femmes de médecins partie 1

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Lue : 3473 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/07/2019

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Ce qui m’a réveillée, ça a été son mouvement sur le matelas. Il a commencé à amorcer la reptation qui allait le projeter hors du lit. Il devait être autour de cinq heures du matin. Je ne disposais pas de dons divinatoires pour trouver ça, simplement il se levait toujours autour de cinq heures du matin pour partir vers six à son cabinet. D’ailleurs quand j’ai ouvert les yeux quelques instants plus tard, et que j’ai pu lire les chiffres phosphorescents sur le cadran, j’ai vu écrit 5 03.
Dans un réflexe, avant qu’il ne soit hors du lit, j’ai eu le temps de tendre la main vers lui et de sentir la longueur et l’épaisseur de sa queue, en pleine érection. Phénomène naturel tout ce qu’il y a de plus normal le matin pour un homme.
Mon mari avait été bien pourvu par la nature, il avait une belle queue, et les années qui passaient n’avaient rien changé à la chose. Elle n’avait pas rétréci.
Cette queue bien dure, j’aurais aimé en profiter dès le matin. Mais il n’y avait pas moyen. Il ne trainait pas, partant tout de suite vers la salle de bains.
Mille scénarii s’écrivaient dans ma tête, dont aucun ne deviendrait réalité. En commençant sans doute par le plus simple, ma main masturbant le sexe congestionné, et faisant jaillir le sperme, qui aurait atterri en grande partie sur ma main, une main que j’aurais ensuite soigneusement léchée. J’avais toujours adoré le goût du sperme. Je l’avais souvent masturbé de par le passé. Les hommes adorent toujours ça, même s’ils ne l’avouent jamais.
On avait un peu procédé par vague lui et moi. Il y avait eu un moment où il adorait jouir dans ma main, un autre où il ne voyait plus que par les fellations que je pouvais lui faire. Mais ça n’avait pas été un sacrifice pour moi que de lui faire ainsi plaisir. Si j’aimais le masturber, j’aimais aussi faire tourner ma bouche autour de sa queue. D’autant que les possibilités étaient infinies. J’arrivais toujours à le surprendre. Une fois, j’avais uniquement travaillé ses couilles de ma bouche, ignorant son membre dressé, les léchant, les gobant…Sa queue était roide et il avait craché son sperme sans que je n’aie effleuré une seule fois la tige de chair.
Mais tout cela, c’était du passé.
Je connaissais chaque moment de sa routine matinale. Douche, rasage. Ensuite un petit déjeuner solide pour tenir la plupart du temps jusqu’au soir, parce qu’il n’avait pas le temps de se restaurer à midi, trop de clients à voir, il était un pédiatre réputé, bien au delà de la ville. Son agenda était impressionnant. Il démarrait à sept heures trente le matin, finissait à vingt heures officiellement, en fait plus à vingt-deux heures. Les gens n’avaient aucune hésitation à venir pour une urgence qui n’en était pas une. Et c’était comme ça six jours sur sept. Sept jours sur sept en fait, parce que ses clients n’avaient aucune hésitation à appeler son cabinet, ça basculait chez nous, pour un conseil. Soit il le donnait par téléphone, soit il se déplaçait.
Dans les premiers temps, quand on avait cessé de faire l’amour de manière fréquente, j’avais pensé que c’était normal, il y avait un moment où les choses se stabilisaient. Qu’on passe de deux ou trois par jour à deux ou trois fois par semaine, ça ne m’avait pas choqué. Ca avait été quand on avait glissé à deux ou trois fois par mois.
J’avais d’abord imaginé qu’il avait une maitresse. Je voulais en avoir le cœur net, et je m’étais calée devant son cabinet, avec une voiture que m’avait prêtée une copine, et une perruque brune pour cacher ma chevelure blonde. Je l’avais suivi toute la journée. J’avais été très déçue. Les seules femmes qu’il voyait étaient accompagnées d’enfants. Non, sans aucun doute il ne me trompait pas. Il avait simplement basculé sur ce moment où la vie professionnelle devient plus intéressante que la vie privée.
Ce soir-là, je m’étais sentie libérée. Libre de vivre ma sexualité comme je l’entendais. J’avais des besoins, des envies, et je n’avais pas envie de flétrir sur pied, comme une fleur non arrosée.
Ca avait été le premier pivot dans mon existence. Le deuxième, ça avait été quand j’avais rencontré Marie-Caroline.
Les médecins se sentent à part. Ils aiment organiser des repas, des réceptions, des après-midis, des soirées, dans lesquels ils restent entre eux, avec leur famille.
Je crois bien que j’avais eu un coup de foudre pour Marie-Caroline à la première seconde où j’avais posé mon regard sur elle. Un coup de foudre qui devait partir dans tous les sens, amical, amoureux. Je n’avais sans doute jamais avant été aussi proche d’une femme. On se comprenait d’un regard, sans parler.
C’était un samedi après-midi. Une réception justement chez son mari gynécologue. Plus de cent personnes. Elle avait un verre à la main, elle était précisément en haut des trois marches qui conduisaient de sa cuisine à l’immense living, le dos appuyé contre le mur, rêveuse, pensant à autre chose, sirotant son cocktail. Elle portait une robe toute simple, avec une ceinture qui serrait sa taille, silhouette longue et fine, même si des seins lourds et des fesses pleines en modifiaient le contour. Une longue chevelure d’un noir de corbeau, avec une frange sur le devant, et des bottes hautes couleur fauve.
Elle avait senti mon regard sur elle, s’était tourné pour me regarder. On s’était fixées longuement avant qu’elle ne me fasse un signe de tête imperceptible. Je l’ai suivie à travers la pièce jusqu’au long couloir qui donnait sur, je l’imaginais, des chambres. Elle a poussé une porte. On s’est retrouvées dans une grande chambre à coucher.
Il n’y a pas eu un mot d’échangé. C’était… Une sorte de rêve éveillé… On s’est retrouvées dans les bras l’une de l’autre, à s’embrasser avec frénésie en même temps qu’on baladait nos mains sur le corps de l’autre, à travers nos vêtements, je portais une robe comme elle, puis en essayant de toucher la chair. On a accroché nos langues, en venant empoigner les fesses de l’autre à travers le tissu de sa robe… C’était assez incroyable, mais en même temps, pas tant que ça, dans la mesure où il y avait eu cette identification immédiate de l’autre comme quelqu’un dont on était proche, plus proche que de la plupart.
C’est moi qui ai commencé, débouclant la ceinture et faisant passer sa robe par-dessus ses épaules. Dessous, à ma grande surprise, elle portait juste un soutien-gorge qui maintenait des seins généreux, mais elle n’avait pas le moindre soupçon de culotte, son ventre glabre nu. J’ai défait le soutien-gorge, pour libérer ses seins, hauts, ronds et fermes. C’était une évidence, elle devait passer pas mal de temps en salle à faire de la gym, de la musculation ou quoi que ce soit qui s’en rapprochait. Son corps était ferme et musclé. Elle avait la peau douce, et elle sentait bon, la vanille, une essence de bain sans doute. Elle n’a pas été surprise qu’en même temps que je caressais sa chair, je vienne poser ma bouche sur ses tétons et que j’appuie la pointe de ma langue dessus. J’avais envie d’elle, d’une manière irrésistible. Mais c’était aussi réciproque. J’avais un jean, et un top, elle a fait passer mon top par-dessus mes épaules, sauter l’agrafe de mon soutien-gorge, et elle est venu sur ma poitrine, beaucoup plus menue et nettement moins galbée que la sienne. Mais ça ne m’a pas empêché d’avoir du plaisir quand elle m’a travaillé de la bouche et de la langue.
Elle a fini par baisser mon jean et la culotte que je portais dessous. Des doigts et de la langue, elle a commencé à explorer mon sexe, se stabilisant sur une caresse qui ma plu, elle a ouvert mon sexe du majeur et de l’index et elle est venue en lécher la face intérieure, aussi loin qu’elle le pouvait. C’était vraiment très bon, surtout quand elle remontait sur mon clitoris. Elle s’est détachée de moi, me laissant me pencher sur elle. Elle souriait, un sourire radieux et éclatant. Je l’ai guidée parce que je voulais qu’elle se bascule à quatre pattes sur le lit. Ce qu’elle a fait. Je l’ai attrapée par les hanches, et j’ai d’abord amené ma langue sur son sexe gonflé et ouvert, avant de prendre ses lèvres entre les miennes pour les laper. Elle a gémi. Elle se frottait le clitoris en même temps. Je crois qu’elle n’a pas été surprise quand je suis venue sur sa muqueuse anale, et que j’ai appuyé la pointe de ma langue dessus, pesant dessus jusqu’à ce qu’elle s’ouvre et que je puisse pénétrer dedans. Elle avait du chier deux ou trois heures plus tôt sans se laver parce que ses chairs avaient un goût amer, mais qui me plaisait. J’avais la main entre les cuisses et je me masturbais frénétiquement.
Elle s’est retournée et m’a faite basculer. Elle est venue s’équilibrer contre moi, m’attrapant par une main, de telle sorte que nos sexes soient exactement collés l’un à l’autre. Une jambe en travers de moi. Ca m’a ramené en arrière, une dizaine d’années plus tôt, à une époque où je jouais avec ma bisexualité, et où j’avais une amie qui ne vivait que pour ce moment, que nous collions nos vulves à l’autre. C’était simple, mais toujours très fort.
On a pris le temps de sentir le sexe de l’autre contre le notre, son épaisseur, son dessin, son humidité, avant de se mettre à se frotter l’une contre l’autre. J’ai fermé les yeux, en plein nirvana. On s’est épuisées à force d’orgasmes, nos clitoris à vif, tout gonflés, crachant nos liquides intimes sur le corps de l’autre, l’arrosant, l’inondant, jusqu’à ce que nous soyions incapables de bouger.
Nous nous sommes glissées sous la douche attenante à la chambre ensemble, mais nous nous sommes contentées de nous savonner mutuellement. On aurait été incapables d’aller plus loin, tellement on était fatiguées. On a fini par se rhabiller et enregistrer nos numéros sur le téléphone portable de l’autre.
On se revoyait dès le lendemain. Je l’ai invitée au restaurant. Nous étions des femmes de médecins, nos maris gagnaient énormément d’argent dont nous profitions, et nous avions tout notre temps pour nous. On a parlé longuement de nos vies, de ce qu’on ressentait. Nous étions dans le même cas, abandonnées par des hommes qui nous donnaient certes tout le confort dont nous pouvions rêver, qui nous aimaient sincèrement, mais c’était un amour platonique, qui ne nous trahissaient pas, alors que nous avions l’une comme l’autre une aspiration au sexe. Nous étions jeunes, belles, nous le savions pertinemment, et nous avions envie de profiter de la vie avant d’être de vieilles choses toutes fripées.
On avait fini l’après-midi chez moi. Nous étions éprises de ce double, qui était à la fois une image dans le miroir et quelqu’un d’autre. Nous avions fait l’amour avec des godes. Au-delà de la ressemblance, elle m’inspirait un désir infini, ange de beauté.
Dans un premier temps, nous nous sommes contentées l’une de l’autre, insatiables du corps de l’autre. Nous passions tous nos après-midis ensemble. Mais très vite, nous avons compris que nous pouvions basculer sur autre chose.
Ce qui nous a faites basculer, ça a été une de ces après-midi où nous flanions dans la ville. Nous nous étions arrêtées au café. On pouvait passer des heures à discuter, on avait toujours quelque chose à se dire. On s’était finalement posées dans l’immense parc qui faisait face à l’avenue, le long de laquelle cafés et magasins s’alignaient.
Les bancs étaient disposés en quinconce. On s’était posées sur l’un d’entre eux. Avant le café, on avait été acheter quelques vêtements. On était aussi passées au sex-shop qu’il y avait un peu plus loin pour acheter des boules de geisha. On avait pour projet de se les caler dans le ventre, le soir, et de les garder jusqu’au lendemain matin pour ensuite comparer, quand on se reverrait, ce que ça nous avait fait.
Le type est arrivé. La trentaine, avec un costume bien coupé, et des journaux à la main. Il sortait sans doute du travail. Un beau visage, un corps qu’on devinait modelé par la musculation. Il n’avait, cela se voyait, aucune personnalité, se contentant d’être beau. C’était déjà beaucoup.
Il ne nous a remarquées qu’après s’être installé sur le banc. Son regard a glissé sur nous, est revenu au journal, puis à nous, dans un va et vient qu’il croyait sans doute discret, mais qui ne l’était pas vraiment. C’était normal qu’il nous regarde, parce qu’on était belles .Et sans doute aussi parce qu’on avait des jupes très courtes, et en dessous des collants qu’on portait à même la peau, et qui laissaient voir nos parties les plus intimes. Il en a bien profité.
On s’est regardées, Marie-Caroline et moi. Ce moment a été un tournant, Une sorte de pacte scellé entre nous, qui nous disait clairement qu’à partir de maintenant, nous ne nous contenterions plus de profiter l’une de l’autre, mais de ce qui nous entourait. De corps d’hommes, de femmes, et de toutes les situations…
Ce qu’on a fait était d’ailleurs une folie. On s’est levées et on a été s’asseoir sur le banc, en l’encadrant. On était là, sur l’une des allées du parc, vide pour le moment, n’importe qui pouvait passer, mais on s’en fichait bien. On était disposées, comme ça a été le cas par la suite, à aller jusqu’au bout.
On s’est levées et on a traversé l’allée. Quand il s’est rendu compte qu’on s’approchait de lui, il a vraiment été stupéfait. Il s’attendait à tout sauf à ça. Je me suis posée à sa gauche, Marie-Caroline à sa droite.
—Tu vois, dans la vie, les rêves peuvent se réaliser. Le tien, c’était que les deux jolies filles installées face à toi viennent te retrouver. Hé bien, tu vois, c’est fait. C’est plutôt positif.
—Mais dis donc, il me semble que tu bandes, a fait remarquer Marie-Caroline.
Difficile de ne pas le remarquer, ça faisait une grosse bosse qui déformait son pantalon. Sans la moindre hésitation, mon amie et double a posé la main sur lui et l’a massé à travers le tissu. Le type a paniqué.
—Mais vous êtes folles… Pas devant tout le monde.
—Tout le monde ? Mais je ne vois personne autour de nous. Tu vois quelqu’un, Marie-Caroline ?
—Non, je ne vois personne. Alors on peut en profiter.
Sans la moindre hésitation, ça n’était pas son style, la jeune femme est venue débraguetter l’homme, qui, stupéfait, l’a laissée faire, et mettre sa queue à nu. Il était aux trois-quarts érigé, une belle queue. Je crois qu’on a eu la même pensée, au même moment, elle et moi. Nous n’avions plus les queues de nos maris, mais nous pouvions en trouver d’autres. En fait, c’était très facile. Mais nous ne nous en étions pas vraiment rendu compte avant ce moment.
Nous nous sommes penchées de concert sur le membre viril, et nous nous sommes mises, front se touchant, à le caresser de la bouche et de la langue. Même s’il était déjà dur, il s’est encore plus durci. Si on l’excitait, nous aussi on était très excitées. On se rendait compte qu’un champ de possibles infinis s’ouvrait devant nous. J’ai plongé la main sous ma jupe, dans mon collant, pour caresser mon sexe, dilaté d’excitation, et j’ai bien vu que Marie-Caroline faisait comme moi.
Ca n’a pas duré très longtemps, mais l’intensité du moment valait quelque chose qui se serait étendu sur la durée. On l’a fait dilater jusqu’à ce qu’il explose de jouissance, arrosant nos visages et nos cheveux. Il ne devait pas avoir joui depuis longtemps, parce qu’il a craché des jets de sperme copieux.
On a fait les sales, Marie-Caroline et moi, en récupérant les traits de sperme sur le visage de l’autre, les lapant, mais aussi les étirant avec chacune un bout d’un filament de sperme. Il nous a regardées, émerveillé qu’on soit aussi sales. Mieux que dans les films pornos dont il devait, comme une majeure partie de la population masculine, s’abreuver, et que nous regardions aussi, tellement nous étions obsédées par le sexe, et le manque de sexe.
Il est parti le premier, groggy de ce qu’il avait vécu, après avoir remballé sa queue. Nous nous étions débarbouillées, la bouche amère de sperme, et nous nous sentions bien l’une comme l’autre. On avait trouvé ce modèle qui devait perdurer jusqu’à aujourd’hui.
Je me suis levée au moment où il prenait son petit déjeuner. Il m’a souri.
—Ca va ma chérie ?
J’ai eu envie de lui répondre :
—Ca irait mieux si tu me baisais !
Mais je n’ai rien dit. J’avais juste un peignoir, ouvert, je l’avais fait exprès, sur ma nudité. Même quand je me tenais toute proche de lui, je ne lui inspirais plus rien. Il y avait eu un autre temps, j’avais même du mal à croire qu’il ait pu exister, où il m’aurait attrapée, aurait pris les pointes de mes seins dans sa bouche en me pelotant furieusement, ses mains sur ma croupe, avant de glisser ses doigts sur mes lèvres, et m’aurait sans doute installée sur sa queue, qui aurait été raide de désir pour un coup rapide, un quickie qui n’aurait duré que quelques minutes, et qui ne nous aurait empêché ni l’un ni l’autre de suivre nos chemins. Mais sa queue, pour autant que je pouvais voir, était désespérément molle.
Je me suis calée face à lui, et commençai à prendre mon petit déjeuner.
—J’ai une très bonne nouvelle.
Je l’ai fixé. Qu’allait-il m’annoncer ?
—On vient de me demander de participer à un colloque sur la pédiatrie…. Une occasion exceptionnelle… Ca me permettra de rencontrer des spécialistes mondiaux. Je pars dans quinze jours….Une semaine entière à Saint-Etienne… Génial, non ?
—Je suis ravie pour toi, je lui ai répondu.
Bah, ça ne serait pas forcément négatif. Marie-Caroline pourrait venir à la maison, on dormirait ensemble, après avoir fait l’amour jusqu’à plus soif. J’avais, l’espace d’un instant cru que… J’avais été stupide… Ce n’était plus aujourd’hui qu’il allait me dire ‘J’ai réservé en Martinique, on va prendre des vacances à deux, ça sera un rêve…’
Il s’est habillé et est parti. J’avais la journée pour moi. Je savais que Marie-Caroline allait arriver d’ici une heure. On déciderait de ce qu’on ferait ensemble.
On avait décidé qu’elle passait le matin, sauf s’il y avait contrordre, auquel cas je lui envoyais un SMS.
Elle a bien été là sur le coup de neuf heures. Fidèle à son style, elle était sexy en diable. Elle portait un legging noir qu’elle avait du choisir six tailles en dessous, qui la moulait en donnant plus de détails sur son anatomie que si elle avait été nue, dessinant avec une extrême précision ses jambes parfaites à mon goût, son pubis et son sexe, la double bosse qui le constituait ainsi que la fente au milieu, ses hanches, et moulait ses fesses, soulignant leur rondeur mais aussi leur cambrure. Elle portait comme à l’accoutumée une paire de bottes… Celles-ci étaient fuschia, en cuir, froissées en leur milieu, avec des talons de dix centimètres. Elle m’avait montré, quand j’étais allée chez elle, sa collection de bottes, elle devait en avoir près de 150 et elle en achetait très fréquemment. Elle avait de superbes pièces, qui avaient en commun d’être sexy, et de la mettre en valeur.
Je l’ai regardée arriver, me faisant la réflexion que si j’avais été un homme, en la voyant ainsi, je me serais éjaculé dessus.
Elle s’est approchée de moi, se collant contre moi et venant fouiller ma bouche de sa langue, à la rencontre de la mienne. On les a bien frottées l’une contre l’autre, histoire de se mettre en forme. J’ai glissé mes mains sous son legging. Je me demandais si elle portait des sous-vêtements chaque fois que je la voyais. Vu comme le legging était serré , c’était sans aucun doute improbable. J’ai été surprise de trouver dans son sillon, le cordon d’un string.
—J’ai un tampon, j’étais obligé de mettre quelque chose, sinon, tu t’en doutes…
Je suis tombée à genoux. Je trouvais toujours excitant de la voir avec le fil d’un tampon sortant de sa chatte. Ca voulait dire que l’accès était interdit, mais ça n’était pas vraiment un problème. Elle était malgré tout excitée, parce que ses lèvres étaient dilatées et elle mouillait. J’ai décalotté son clitoris, et je l’ai frotté de la pulpe de l’index. Je connaissais parfaitement son corps, je le savais par cœur, je savais quels étaient ses points de faiblesse, ce qui pouvait la faire jouir. Elle a eu très vite un orgasme.
Quand je me suis redressée, elle m’a donnée une claque sur les fesses :
—Tourne-toi… Et penche-toi en avant…
Notre relation reposait sur pas mal de rituels. L’un d’entre eux c’était qu’on se donnait systématiquement du plaisir le matin, quand on se retrouvait, avant de partir se balader, une manière de conjurer le sort et d’avoir du plaisir au moins une fois si on n’avait pas à ramasser quoi que ce soit. Ce qui n’était jamais arrivé. ..
Je me suis pliée en deux, amenant ma tête quasiment au sol. Je savais très bien où elle voulait en arriver. J’avais un point faible. J’adorais qu’on caresse mon anus. Bien plus que ma chatte, c’était vraiment ma partie la plus sensible.
—Tu es belle comme ça, ton cul tendu vers moi, et bien ouvert. C’est comme ça que je veux penser à toi quand je suis frustrée et que je me branle…
Elle a pris mes fesses à pleines mains, et elle a plongé sa langue sur ma muqueuse anale. Je pouvais me le permettre, alors, j’ai crié. Ca c’était certain, jamais je n’éprouvais autant de plaisir que quand elle mettait sa langue ou ses doigts sur mon anus. C’était le nirvana le plus absolu. Je montais très vite les échelons du plaisir.
—Tu es sale… Je parie que tu as chié et que tu as fait exprès de ne pas te laver après parce que tu étais convaincue que je mettrais ma langue là… Tu crois que ça va m’empêcher de te donner du plaisir ?
Elle a appuyé sa langue avec toute la force qu’elle pouvait y mettre, redessinant mes plissements anaux… J’ai amené ma main contre mon sexe, le trouvant dilaté et ruisselant…
—Je vais te l’enfoncer très loin dans le cul tu vas voir…
Mon anus avait été suffisamment ouvert de par le passé pour que ce soit qu’une simple formalité de rentrer dedans. Elle a fait darder sa langue, et l’a poussée à l’intérieur. Ce moment de pénétration, à chaque fois, quelle que soit la manière dont je pouvais me positionner, c’était vraiment très bon…C’était le seuil à partir duquel je perdais totalement le contrôle. Je me suis mise à crier pendant qu’elle fouillait mon rectum, tournant et s’enfonçant de plus en plus profondément… Je sentais mes sécrétions couler le long de mes jambes. J’ai fini par éjaculer, au moment où j’ai joui, mes sécrétions coulant le long de mes jambes.
J’ai été me nettoyer et je suis revenue auprès d’elle.
Le moment était venu pour nous de partir.
—Je t’emmène à L’I… Il y a une nouvelle attraction qui va te plaire…
Si on partait à pied en ville, pour aller jusqu’à L’I… , une ravissante bourgade distante d’une vingtaine de kilomètres, il fallait prendre la voiture.
—J’ai une bonne nouvelle… Mon mari sera absent dans deux semaines pour aller à un colloque. Tu pourras venir à la maison.
Son mari, dans le cadre d’un échange, était parti six mois à Los Angeles, ce qui lui laissait pas mal de latitude.
—Une semaine de totale liberté…
La dernière fois qu’elle était venue à la maison, elle il y avait une étrange excroissance sous sa jupe. Elle m’avait révélé un gode ceinture dont elle s’était ceint avant de venir qu’elle avait abondamment utilisé sur moi avant qu’on n’inverse les rôles.
—Une quéquette m’est poussée, autant en profiter, tu ne crois pas ?
On en avait bien profité.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Femmes de médecins partie 1

Le 07/11/2022 - 16:34 par lasemelle
Cracking. Mille mercis.

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