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Femmes interchangeables

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Lue : 4914 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 15/09/2012

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On disait: Louis et Laurent les inséparables. A vingt ans nous étions des amis de seize ans!

-Chouffe, devant!

De dos, deux silhouettes splendides balancent harmonieusement des fesses à la Pippa, montées sur talons hauts. Un truc à faire dire à un financier très célèbre, montant en avion, à New-York, derrière l’hôtesse de l’air «Quel beau cul ». Des jumelles splendides, aux longs cheveux bruns tombant en cascades ondulantes jusqu’à une taille de rêve, avancent devant nous d’un pas sautillant et souple. Quel port de princesses. Nous accélérons l’allure et les abordons avec ce culot particulier des timides. Louis les fait rire. C’est gagné, elles acceptent de prendre un rafraîchissement sur une terrasse à l’ombre d’un parasol. L’une s’appelle Julienne, l’autre Juliette, mais elles ne sont ni jumelles ni sœurs: ce sont deux bonnes copines depuis la maternelle.

Louis a épousé Juliette, j’ai épousé Julienne. De prime abord Louis était indécis. J’avais un fort penchant pour Juliette: j’étais fils unique, Juliette n’avait ni frère ni sœur, Louis au contraire venait d’une famille nombreuse comme Julienne. Louis décida qu’il serait bon de croiser nos expériences plutôt que d’assembler des profils familiaux identiques, au nom du principe que les contraires s’attirent. J’aurais protesté, mais il sortit une pièce et décréta:
-Pile je prends Juliette, face tu prends Julienne.

L’astuce me faisait toujours rire; de toute façon, je savais depuis toujours que sa pièce truquée garantissait son succès. Or la veille j’avais eu une longue conversation avec Juliette, je lui avais déclaré ma flamme, elle s’était un peu défendue avant de beaucoup accepter mon premier baiser. C’était fabuleux. Mais trop beau. Louis m’imposa son choix, je lui laissai la voie libre, il consola Juliette et Julienne sut me faire oublier mon chagrin en sirotant avec ferveur mon deuxième baiser…. Nous nous mariâmes le même jour Nous vécûmes heureux et n’eûmes pas d’enfant.

Depuis quelques années Louis et moi travaillons comme caristes dans un grand entrepôt en deux postes. Une semaine de six heures à treize heures. La semaine suivante de treize heures à vingt heures. Mon contremaître m’a proposé de remplacer un chef d’équipe qui part à la retraite, mais j’ai dû accepter de changer d’équipe.
-Vas-y m’a encouragé Louis, saisis ta chance. De toute façon on se retrouvera au foot et nous continuerons nos nuits de tarots.

Effectivement nous avons pris l’habitude de passer à quatre, toutes les deux ou trois semaines une nuit entière à jouer au tarot. Nous nous retrouvons tantôt chez moi, tantôt chez Louis. Vers minuit nous prenons un médianoche et dansons un peu avant de reprendre le jeu. Il y a quinze jours, quand nous nous sommes retrouvés seuls, j’ai fait remarquer à Julienne que Louis la serrait d’un peu trop près en dansant. Et je trouvais qu'elle semblait plutôt consentante.
-Allons, Laurent, Louis est ton meilleur copain, tu ne vas quand même pas imaginer des choses!
-Je sais, mais sa façon de te caresser les seins en douce, quand il croit ne pas être vu m’a surpris, comme cette jambe qu’il envoie entre les tiennes. Si vous recommencez je me permettrai les mêmes privautés avec Juliette.
-Essaie et tu verras si j’applaudis. Tu inventes une histoire pour excuser tes abus. Fais attention, si tu me trompes tu auras des cornes hautes comme le clocher. Allez, cesse de te faire des idées. Tu as juste réussi à déchaîner ma migraine.

Ha! Cette migraine. Ça fait presque deux mois qu’elle va et vient, habituellement le soir à l’heure du coucher et exceptionnellement au petit matin du dimanche après une nuit de jeu de cartes.
-Tu as oublié tes médicaments?
-Tu as raison, il faudra que tu me fasses penser à les prendre. Je ne sais pas si le toubib m’a prescrit ce qui me convient. Et quand tu me contraries avec des histoires absurdes, tu le vois, j’ai une crise quasi instantanée. Bon je me soigne et je vais rattraper ma nuit. Tu viens au lit maintenant?

Et au lit, en cas de migraine, madame ne supporte pas les caresses, encore moins de faire l’amour. Ca a commencé une semaine après mon changement d’horaire de travail. Pourtant Julienne travaille dans un cabinet médical de huit heures à treize heures, elle y prend les rendez-vous de trois médecins et fait des papiers. Son médecin trouvera fatalement pourquoi une semaine sur deux elle présente ces crises. S’ennuie-t-elle quand je suis d’après-midi? Nos relations sexuelles se font rares. Enlevez les migraines et les jours de règles, nous faisons l’amour cinq ou six fois par mois au maximum. Au début je n’y avais pas prêté attention. Est-ce la conséquence de ses migraines: Julienne subit nos rapports plus qu’elle ne participe. Elle se couche sur le dos, écarte les cuisses, me regarde et me demande ce que j’attends. Il y a comme un malaise.
-Nous devrions consulter un sexologue, ai-je suggéré lundi.
-Mais, non. C’est juste un mauvais moment à passer. Mon médecin m’a recommandé la patience.

Subitement ce soir là elle s’est montrée entreprenante. Non qu’elle m’ait sauté dessus, mais elle m’a pris en main, longuement masturbé avant de m’accorder une fellation du bout des lèvres. Et quand je l’ai enfin pénétrée, je n’ai pas eu à la besogner bien fort ni bien longtemps. En un temps record elle a joui avec de gros soupirs, un essoufflement inversement proportionnel à ses efforts, des gémissements à fendre le cœur. J’ai eu le sentiment d’assister à un orgasme simulé. Je n’ai pas insisté, j’ai vu poindre la migraine. Pleine de compassion, Julienne m’a repris en bouche « pour me soulager les couilles ». Quand, sans prévenir, j’ai lâché la première salve, elle a brusquement détourné la tête pour me déloger et de la main a dirigé les jets suivants dans une serviette! Elle qui aimait tant avaler jusqu’à l’arrivée des maudites migraines. Et si elle n’avalait pas, elle s’amusait à s’en barbouiller le visage. Mon jeu à moi consistait à lui arroser les yeux pour entendre ses protestations de principe.
-Tu aurais dû me boire, ce serait peut-être un anti migraine plus efficace que tes pilules.
-Justement, puisque tu parles de pilule, j’ai cessé de prendre la pilule anticonceptionnelle, le docteur pense qu’elle est peut-être à l’origine de mon mal. Alors si tu ne tiens pas à avoir un bébé, il va falloir faire très attention pendant quelques semaines.
-Tu n’aimes plus mon sperme? Je ne comprends vraiment pas tous ces changements. Que nous arrive-t-il? Aurais-tu du dégoût? Est-ce que tu ne m’aimes plus?
-Je te répète que c’est passager, qu’il faut patienter, ne dramatise pas tout de suite. Mais comment peux-tu douter de mon amour?

Ma protestation eut un effet positif: le mardi soir, avec un enthousiasme modéré Julienne entreprit de se racheter. Elle fut gentille, utilisa ses mains sur mon vit, sa langue un peu partout, suçota ma chose, essaya de me conduire à reddition mais dut admettre que son vagin serait le plus sûr instrument du plaisir concédé au mari contestataire de la veille
-Mais si tu pars, n’oublie pas de te retirer, tu sais pourquoi!

Elle daigna même me gratifier de quelques coups de reins, ventre tendu vers mon membre en bout de course. Elle tenta d’abréger la rencontre en se mettant à gémir
-Ne simule pas.

En trois mots bien sentis je lui fis comprendre que je n’étais pas dupe. Elle se remit au labeur, agita son bassin, se chatouilla le clitoris pendant que je limais, se prit au jeu et m’entraîna dans une danse bien plus convaincante. Cette fois je sentis les premiers spasmes, me retirai prestement pour plonger ma raideur entre les lèvres ouvertes par l’essoufflement: et là je déversai la liqueur abondante et observai. Julienne ne cracha pas, n’utilisa pas la serviette toujours à portée de main, attendit un moment, bouche fermée et comme je continuai à la fixer, elle avala enfin mon offrande. Ce n’était pas par plaisir si j’en croyais mes yeux, sa grimace signifiait qu’elle faisait un effort pour éviter des reproches. Il n’y avait plus de spontanéité, ça sentait le calcul, le désir d’échapper à une protestation. Avais-je démérité, cette attitude de soumission plus que d’amour allait-elle durer?
-Ta migraine revient? A l’avenir si tu as des haut-le-cœur, ne te force pas à avaler! Ta répulsion est visible. Je m’en voudrais de te donner la nausée en te faisant l’amour, ce serait un comble!
-Chéri, je fais tout ce que je peux pour t’être agréable. Je reconnais un certain sentiment de déplaisir à recevoir ta semence en bouche; j’avais un grand appétit auparavant, j’ai l’impression de faire une indigestion. Ca ne se commande pas.
-Tu as failli dire dégoût. Eh! Bien, désormais j’utiliserai une capote et tu n’auras plus à craindre une grossesse ou l’envie de vomir. Peut-être demain m’embrasseras-tu sur la bouche: aujourd’hui je n’ai pas eu droit à un seul baiser.
-Oh! Pardon. C’est vrai? A mon retour de la salle de bain, je vais me faire pardonner. Mais, dis-moi, ton nouveau travail te rend grincheux. Deux jours de suite tu m’adresses des reproches!
-Je relève juste que tu me donnes l’impression de te forcer à être une épouse attentive, mais tu es distraite, comme absente parfois. Vivement que tes migraines disparaissent, sinon je vais craquer.
-Je ne suis pas bien et c’est toi qui menaces de craquer. Cela devient compliqué, zut alors!
Ce soir le baiser n’est pas venu. Le lendemain soir j’ai eu droit à la soupe à la grimace, au lit j’ai vu un dos.

Aujourd’hui, au boulot nous avons été victimes d’un train égaré dans des aiguillages. Les wagons arriveront avec un gros retard. Inutile de les attendre, nous les déchargerons lundi matin. A quinze heures nous quittons l’entrepôt. Au passage devant sa maison, je salue Juliette. Elle me fait signe, je descends de bicyclette.
-Que fais-tu là? Louis est parti il y a quelques minutes pour te donner un coup de main. Vous aurez bientôt fini de tapisser les chambres?
-Mais Louis ne t’a pas dit que nous ne sommes plus sur la même tournée?
Je lui expose brièvement la situation. Elle tombe des nues.
-Mais lundi, mercredi aussi il a prétendu t’aider à encoller les lés de tapisserie. Il trouve magnifiques le papier avec les roses de ta chambre à coucher et veut mette le même chez nous.
-Ce papier a trois ans. Veux-tu savoir s’il est chez moi ou s’il est parti jouer à la pétanque? Saute sur ton vélo et accompagne-moi.

Un vélo d’homme est appuyé contre la façade. C’est celui de Louis. Nous nous regardons, étonnés.
-Viens sur le côté, j’ai la clé du cellier.

Du cellier, nous entrons dans la cuisine, de la cuisine dans le salon séjour. Il n’y a personne.
-Oh! Euh! Han!

Julienne, c’est sa voix, geint. Ca vient de la chambre à coucher. Juliette fronce les sourcils. Je lui fais signe de faire silence. Arrivés près de la porte, nous nous rendons à l’évidence: sur mon lit, de dos, Louis, pieds et jambes en équerre fait monter et descendre son cul. A ses cuisses s’accrochent de part et d’autres les talons de petits pieds. Ca se passe dans ma maison, j’ai reconnu la voix de ma femme, c’est donc sa vulve et ses fesses que nous voyons chaque fois que le fessier monte en extrayant une verge nue, sans trace de préservatif. Le tunnel rose lance un bref éclair avant d’être envahi à fond. Louis s’en donne à cœur joie et Julienne l’exhorte à bien la baiser, à y aller plus fort
-Oui, oui, baise, baise-moi fort, encore, plus fort, oui.

Elle fait des sauts de carpe, s’appuie sur les talons calés aux jambes poilues pour accentuer la jonction. Pour le moment elle ne se plaint pas de migraine. Le martèlement continu infligé par l’homme qui nous cache son visage ne la fatigue pas. Elle ne feint pas l’orgasme, elle en réclame toujours plus. C’est une femme toute différente de celle que j’ai connue lundi et mardi. Pas étonnant, si avant moi, lundi et mercredi comme aujourd’hui Louis est venu lui encoller le vagin au sperme. Une écume blanche cerne déjà la base de la vulve. Si le mâle faiblit elle le relance. Deux mains viennent se croiser sur les reins et le collent sur son ventre affamé de femelle en chaleur. Louis dit
-Tu es merveilleuse. Si j’avais su, tu serais ma femme.

Je retiens Juliette furieuse, lui impose silence: nous avons une certitude, nous sommes cocus. Il y a des choses à apprendre peut-être. Ce qui est certain aussi, c’est que Louis n’aura pas à se plaindre de baiser une planche inerte, ni d’un oubli de baisers, elle ne cesse d’attirer sa tête vers elle. Il lime consciencieusement, la travaille en profondeur, fouille coins et recoins, tasse les grandes lèvres, sort, collée à son pieu une portion rose de vagin. Le ton monte, Julienne est de plus en plus bruyante, perd sa respiration et part dans des gémissements que je croyais oubliés depuis ses maux de tête.
-Oh! Non, Louis, je t’avais dit de faire attention. Ce n’est pas le moment, je ne veux pas tomber enceinte. Ce serait une catastrophe. Laurent n’a rien planifié, il n’a pas craché une fois dans mon ventre depuis quinze jours. Mardi j’ai poussé le sacrifice jusqu’à avaler sa fumée. Il a remarqué mon air dégoûté.
-Si tu crains d’être enceinte de ce coup, c’est facile, ce soir ou demain ou dimanche tu te laisses baiser par lui, tu fais un deuxième sacrifice en recueillant sa crème à l’entrée de ton utérus. Toutefois évite de reprendre l’habitude de jouir avec lui.
-Toi, tu ne jouis plus avec Juliette et tu ne la fais plus jouir?
-Si elle ne baisait pas comme un sac de patates, je ne serais pas venu au secours de la femme de mon meilleur copain.
-Merci pour le copain et merci pour ta générosité, tu l’aimes ton copain, tu te sacrifies. Bon, laisse-moi aller faire ma toilette pour éviter le pire. Mon râleur a déclaré que pour ne plus m’incommoder ou prendre des risques de grossesse, il enfilerait des préservatifs. Alors tu dois apprendre à te retenir. Quand tu sens monter la sauce, viens me remplir la bouche.

J’entraîne Juliette derrière le canapé, au fond du salon. Julienne sort de la chambre et entre dans la salle de bain, Louis sort, se rend aux WC, ne ferme pas la porte, pisse bruyamment, sort en sifflant, absorbé par la contemplation de son zizi, se rend à la cuisine choque un verre et une bouteille, rejoint Julienne sous la douche.
-Mais si, debout! Penche-toi, appuie tes mains au carrelage, baisse, écarte et tends ton cul.
-Non, Louis pas là, ça fait mal
-Oui, mais là tu ne risques rien, ma belle. …Alors, c’est pas bon?… Baisse encore un peu tes mains. Hon!

Elle geint, râle parce que c’est douloureux, puis semble s’habituer. De toute façon il y est. Nous ne voyons rien, nous entendons les grognements des exécutants.
-Attention. Tu es serrée, ça frotte dur, j’explose, reste comme ça. Ah!… C’était pas sensationnel, hein? Tu as mieux supporté que mercredi, ça ira de mieux en mieux. Ton petit cul va s’élargir. Tu n’es pas obligée de faire des bruits de gargouille!

Donc mercredi, s’il a joué avec ses boules, ce n’était pas à la pétanque! A voix basse je fais remarquer à Juliette que nous apprenons plus en nous taisant qu’en intervenant: ce qui ne servirait à rien vu l’état d’avancement du double adultère.
-Ah! Ce que tu es drôle avec tes fesses barbouillées du sperme que ton cul recrache. Lave cette coulée de foutre et reviens au pieu. On a encore le temps, Laurent ne rentrera pas avant vingt heures.
-Je veux bien, mon amour, mais cette fois vise la bouche. Espèce de fou. Ouhouhou.
Elle court devant les doigts qui pincent ses fesses si jolies dans mon souvenir et là encore. Elle lui a dit « mon amour ».

Juliette déjà abattue par la découverte de la scène de baise, en entendant les mots doux devient blême. Je lui tiens la main en signe de compassion. Nous avons entendu grincer le sommier, ils sont retournés au lit. Nous revenons à la porte. Ils sont couchés sur le dos. Louis en appui sur un coude promène une main des cuisses à la poitrine, flatte un sein, embrasse l’autre, remonte à la bouche et lie ses lèvres à celles de Julienne. Avec lui, elle n’est pas avare de baisers! Je n’y tiens plus, je me tourne vers Juliette et lui vole un rapide baiser. Elle écarquille les yeux de surprise, hésite et me rend mon baiser. Nous restons suspendus l’un à l’autre quelques secondes et voulons quitter la place.
-Dis, c’est Laurent et toi qui organisez le tarot samedi soir, tu es toujours partante? Il faut cultiver l’amitié si on veut pouvoir continuer.
-C’est vrai, j’ai toujours aimé Juliette. Exactement comme tu aimes mon homme.
-A ta façon, ça ne t’empêche pas de lui piquer son cher époux! Donc nous venons demain soir.
-Bien sûr. Mais tu devras te surveiller. La dernière fois Lolo m’a reproché de trop coller quand nous dansions ensemble. Si tu abuses, votre longue amitié risque de voler en éclat.
-J’ai remarqué, il a changé depuis qu’il est passé chef. Ne te laisse pas intimider. Et si on le mettait dans l’embarras. Toi et moi ferons équipe. On va faire un strip-tarot. Au début on énonce la règle: A chaque partie les perdants quittent une pièce de vêtements. Ecoute bien, si je dis un mot qui commence par la lettre p, tu joueras pic, si je prononce un mot commençant par t que joueras-tu?
-Trèfle bien sûr. Ca va j’ai compris. Tu veux les mettre à poil! Et après?
-Les perdants devront s’embrasser, puis s’ils perdent encore, ils devront danser une valse ou après un tango ou un slow, des danses où on se touche. Ma prude Juliette va rougir et ton brave petit chef va bander comme un âne sous nos yeux et tu pourras lui demander de bien se tenir. La vengeance…
-Oui, je sais! Tu as raison, on va bien rigoler! Mais nous, nada, rien?
-On se rattrapera lundi matin quand ton malheureux mari commandera son équipe. Demain couvre-toi le plus possible pour le cas où les cartes nous joueraient des tours.
-On pourrait aussi bien perdre.
-Ne commence pas comme ça, je n’aime pas perdre et quand ça commence, ça n’en finit plus. Donc on va gagner. Alors on baise? Je te ferais bien une levrette.
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Histoire de Veilleur

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Commentaires du récit : Femmes interchangeables

Le 17/09/2012 - 09:38 par jeanmimel
bon début, on attend la suite, chez toi Veilleur, nous avons toujours de belles histoires d'adultère ! celle ci sent plus l'échange d'épouses effectivement ;)

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