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Feu d'artifices pour la Saint Michel

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Lue : 12102 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/11/2010

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Cela fait plus de 6 mois qu’avec Michèle, ma belle-mère, nous avons passé cette soirée de folie et depuis, rien. A chaque rencontre familiale, j’essaie de me retrouver seul avec elle pour relancer la discussion, pour savoir s’il y aura une suite ou si vraiment il s’agissait d’un moment de relâchement de sa part, si ses remords l’empêchent d’aller plus loin. (Histoire précédente : Cambriolage chez ma belle-mère)
Mais au fond de moi je ne perds pas espoir, et dès que je pense à elle j’ai comme des picotements dans le bas-ventre, dès fois même un début d’érection.

Ce matin, tranquillement assis à mon bureau à étudier le courrier du jour, mes yeux se posent sur mon éphéméride ; le 29 Septembre, la Saint Michel !
Voilà une occasion à ne pas manquer. J’attends 9 heures et je l’appelle.
«- Bonne fête Michèle
-Oh Pierre c’est sympa d’avoir pensé à ma fête
- Comment allez-vous chère belle, très belle-mère.
- Arrête !…je vais bien merci et toi
- Je suis tranquille au bureau
- Et à la maison, tout va bien ?
- C’est tranquille aussi, je suis tout seul pendant deux jours. Vous vous souvenez ? Votre fille est en séminaire à Paris. J’en ai profité pour confier les enfants à mes parents qui les réclamaient depuis longtemps.
- Ah oui, j’avais oublié. En tout cas, ton appel m’a fait très plaisir, je te souhaite une bonne journée, bisous et à bientôt
- Moi aussi je vous embrasse ! »

Je raccroche le téléphone un peu déçu de n’avoir pas pu aller plus loin, mais en me disant que tout n’était pas perdu car elle avait abrégé la conversation, visiblement gênée !

Je reprends non sans mal mes activités professionnelles, la tête ailleurs.

Vers 16 heures, le téléphone sonne, j’envoie une main nonchalante pour décrocher, mais mes yeux se posent sur l’afficheur numérique…01 86 62…..Michèle.
Mon sang ne fait qu’un tour

« - Pierre B.Bonjour,
- Rebonjour Pierre, c’est Michèle
- Que vous arrive-t’il ?
- Rien de grave. Après ton appel, j’ai pensé que nous pourrions peut-être dîner ensemble ce soir, si tu étais toujours libre
- Je comptais rester tranquille à la maison, mais puisque vous insistez, j’accepte…
- Je ne veux surtout pas te déranger
- Pour vous je vais faire un petit effort !
- Ok merci à ce soir donc
- Merci à vous et à ce soir. »

Je ne pense pas me tromper. Il y a du sexe au menu. Il ne peut en être autrement. Si elle ne voulait plus, elle éviterait de se retrouver seule avec moi. Au contraire, elle provoque cette rencontre de cul, donc c’est qu’elle a envie de passer une soirée chaude, voire très chaude.
Et là, je m’envole. Je commence à imaginer le déroulement de la soirée. Le repas, les plaisanteries, les allusions, les premières caresses, les bisous, les contacts intimes. J’imagine sa chatte offerte à ma bouche pendant qu’elle me taille la pipe du siècle, puis la pénétration vaginale, et enfin une explosion anale divine.
Je suis subitement tiré de mes rêveries par mon chef qui entre dans le bureau et s’adresse à moi. Après quelques mots, il tourne les talons et ferme la porte.

Je replonge immédiatement dans ma soirée. Que vais-je lui offrir ? Je vais éviter le classique parfum, peut-être des fleurs. C’est alors que je me souviens d’une conversation amicale lors d’un repas familial. Michèle m’avait dit qu’elle adorait le champagne, mais que cela déclenchait chez elle des comportements excessifs, qu’elle perdait toute retenue, qu’elle était capable, elle si réservée en société, de danser le charleston debout sur une table.
A cette époque, j’ai trouvé cette remarque comique tout au plus, mais aujourd’hui je trouvais cela particulièrement intéressant. Peut-être était-elle capable de plus de fantaisie dans cet état, encore plus, car je l’avais découvert déjà assez coquine la première fois.

17h30 enfin. J’éteins mon ordi et hop, en vitesse à la maison.
Je prends une bonne douche et enfile des vêtements un peu plus décontractés, non sans oublier un caleçon hyper sympa, extrêmement sexy.
19h00, je m’arrête dans une cave à vin du quartier, et demande un champagne frais.
Au moment de régler l’addition, j’en demande une deuxième bouteille. Ce serait dommage de manquer de munitions ce soir et de ne pas profiter du feu d’artifices.
Je m’arrête également chez la fleuriste, et je choisis un joli bouquet d’automne.

19h30, je sonne à sa porte.
« - Pierre, où vas-tu les bras si chargés ?
- C’est bien votre fête aujourd’hui, nos allons donc faire la fête
- Cela me fait plaisir, mais deux bouteilles de champagne, n’est-ce pas trop ?
- Cela dépend de la durée de la fête, ces occasions sont si rares !
- Rentre et installe toi sur le canapé, l’apéro n’est pas tout à fait prêt ».

Contrairement à moi qui suis habillé décontracté, Michèle a revêtu un très élégant tailleur bleu marine avec une jupe au-dessus du genou qui la moule juste comme il faut.
Le chemisier entrouvert laissant apparaître une poitrine généreuse, volumineuse à souhait

Elle prend le temps de mettre le bouquet dans un grand vase puis disparaît quelques minutes dans la cuisine et revient avec un plateau de petits toasts forts appétissants

« - Que veux-tu prendre à l’apéro ?
- On pourrait commencer au champagne, cela éviterait les mélanges
- Bien volontiers, tu peux aller la prendre au frigo, merci »

Je saisis la bouteille, fais sauter le bouchon et rempli les deux flûtes

« Bonne fête lui dis-je en trinquant et que notre soirée soit excellente

- Pierre, il n’y a aucune raison pour qu’elle se passe mal ! »

Tout en disant cela elle boit une bonne gorgée avec visiblement beaucoup de plaisir

« - Il est excellent, mais il faut que je me méfie car les bulles me font rapidement tourner la tête.
- Vous êtes chez vous, aucun risque, vous n’avez pas à conduire
- Effectivement, et elle s’enfile à nouveau une grosse gorgée. »

En deux minutes sa flûte est vide et je m’empresse de la remplir. Quant à moi, je préfère me limiter car il faut que je conserve tous mes esprits, sachant que l’alcool a plutôt tendance à me couper mon énergie.
Elle trempe à nouveau ses lèvres charnues dans le champagne, elle ne s’est pas aperçue que je la préparais à une chaude soirée. Je la connais très chaude, mais ce soir je la veux sans tabou, je veux qu’elle soit totalement désinhibée, je veux qu’elle me mène au bout du plaisir, je veux qu’elle me transmette tout son savoir sexuel.

En un rien de temps, après quelques toasts, elle a de nouveau fini son breuvage
Elle se lève pour aller à la cuisine, pour surveiller la cuisson de son repas.
Pendant ce temps je profite pour la resservir.
Elle revient de la cuisine, en me disant qu’elle était un peu en retard, que le repas ne serait prêt que dans 20 à 25 minutes et s’assied à côté de moi sur le canapé
Je me lève pour lui tendre son verre et me colle contre elle.

Elle porte de nouveau le verre à ses lèvres.
« - C’est fou ce que le champagne me fait de l’effet, à peine une petite coupette et déjà j’ai la tête qui tourne !
- Ce n’est rien, cela va passer avec le repas « lui dis-je en posant une main sur sa cuisse

La réaction est immédiate, elle se penche vers moi et me tend ses lèvres pulpeuses
Je colle ma bouche contre la sienne, nos langues se rencontrent, s’entourent, se roulent avidement. Immédiatement je plonge une main sur sa poitrine voluptueuse. Elle se cambre sous ma caresse, dégrafe violemment son chemisier pour m’ouvrir tout grand sa gorge encore soutenue par un magnifique soutien gorge pourpre. Apparemment elle a soigné son look jusque aux sous-vêtements, ce qui me laisse à penser qu’elle souhaitait les montrer !...la coquine.. !

Pendant que nos langues s’entrelacent voluptueusement, elle entreprend de défaire un à un tous les boutons de ma chemise, qu’elle retire ensuite du pantalon, laissant ma poitrine velue entièrement à sa disposition. Ses lèvres abandonnent les miennes et elle commence une longue série de bisous dans le cou, me mordille l’oreille puis sa bouche descend sur le poitrine. Elle gobe un de mes tétons, le mordille, passe à l’autre, le suce jusqu’à ce qu’il soit tout dur puis l’abandonne. Elle arrête toute caresse, me laissant sur ma faim, et se précipite à la cuisine pour arrêter le four.
« Le repas a failli être calciné dit-elle en se rasseyant à côté de moi »

Et là au lieu de reprendre ses baisers et autres caresses, elle prend sa flûte de champagne, me fait boire une gorgée et siffle le reste d’un trait.
Elle se penche sur moi et entreprend de dégrafer mon pantalon. Elle ouvre la braguette, plonge sa main dans mon boxer et en ressort mon sexe.
D’une main douce elle entreprend une série de va et vient, en descendant elle me décalotte au maximum, en remontant elle recouvre mon gland de sa protection naturelle.

A chaque montée, elle maintient une certaine pression qui me font cracher des gouttes de mouille qui lui glissent sur les doigts. Ce spectacle a l’air de plaire à Michèle car ses yeux ne quittent pas mon gland turgescent.
Elle continue cette masturbation lente, j’attends la suite, mais elle semble attendre, mais quoi.
Elle ne va quand même pas me faire jouir comme çà , quel gaspillage.
Sa tête est à 30 centimètres au dessus de mon sexe. Je me cambre pour lui indiquer que le moment est venu d’aller plus loin, d’enfourner mon sexe, de gober ma queue. Mais elle ne bouge pas et continue ses douces caresses.

Je lui appui un peu sur la tête, pas trop fort, je ne suis pas un mufle, elle résiste. Elle veut autre chose, mais quoi. Tout à l’heure, après le repas, on passera aux choses sérieuses, mais là, à l’apéritif, il ne s’agit que d’une mise en bouche. D’autant plus que vu sa position, je ne peux pratiquement pas la caresser, à part le dos…
« - Parle moi, j’aime qu’on me parle quand je fais l’amour me dit-elle »
Enfin je viens de comprendre, les mots l’excitent…elle ne va pas être déçue !
- « Vous savez que vos caresses sont divines, caressez moi le gland avec l’autre main
- Cela te plait ? Qu’aimerais-tu aussi ?
- Je fais confiance à votre imagination, mais j’aimerais sentir la chaleur de votre bouche »

Elle se relève, pose à nouveau ses lèvres sur les miennes et me roule une pelle de folie
- « J’aime quand vous m’embrassez mais ce n’est pas de cela dont j’ai envie maintenant
- Ah bon et de quoi alors ?
- J’ai envie que vous réchauffiez mon sexe dans votre bouche
- Comme cela ? » et la elle replonge subitement et englouti instantanément toute ma verge
- « Hummm c’est bon de sentir cette douce chaleur »

Elle commence alors une série d’aller retour rapide, puis s’arrête pour déglutir tous les sucs que je viens de lâcher à nouveau et reprends sa fellation profonde

- « Doucement Michèle, sinon je vais jouir trop vite
Vous sucez vraiment divinement bien
Continue, suce moi les couilles, remonte et lèche moi le gland »

Elle obéit comme une chienne dressée, mais je me rends compte que je viens de la tutoyer, tant pis je m’excuserai plus tard

« Oh oui continue, astique moi bien, aspire bien en remontant, c’est génial
C’est trop bon, masse moi les burnes, j’en peux plus ! »

Visiblement ces paroles l’excitent. Je décide d’aller encore plus loin

« Enlève moi le jean, je serai plus à l’aise ». Elle interromp son travail pour me retirer mon jean mais également mon boxer et ma chemise, elle bascule le canapé et me force à m’allonger.

Son regard est lubrique, effectivement l’alcool lui fait un drôle d’effet

Elle s’allonge entre mes cuisses et pose sa tête sur mon ventre
« Ou en étais tu ?
- Je sais plus rappelle le moi !
- Tu étais en train de ma tailler une pipe comme toi seule sait en faire
- Et alors, demande ce que tu veux !
- Je veux que tu me reprennes dans ta bouche, après on verra, suce moi goulûment »

Sur ces paroles, elle s’exécute et enfile de nouveau mon sexe jusqu’à la garde et reprend ses va et vient.
- « Caresse moi les burnes ; masse moi les testicules »

A chaque vœu elle s’exécute, c’est génial

- « Descend un peu tes mains et caresse moi un peu plus loin
Oui comme çà, mouille ton doigt »

De sa main libre elle entreprend des caresses sur ma rosette, le doigt mouillé essayant de forcer le passage vierge de toute pénétration.

- « Continue à m’astiquer le poireau, c’est ce qu’il y a de meilleur
- Suce moi comme une pute »…….oh je me suis laché

Mais cela lui a fait un effet du diable, elle aime ces mots vulgaires

Elle accélère le rythme

- « Oh oui c’est bon tu suces comme une reine
Je vais tout cracher dans ta bouche si tu continues
Je vais te faire déguster mon foutre
Je vais exploser dans ta gorge tu veux ???

Çà vient, j’ai le jus qui monte »

Elle est comme folle, elle me pompe à une vitesse folle

J’ai le gland qui brûle, je vais jouir…c’est bon
J’en peux plus, je lui prends la tête pour arrêter ses mouvements pendant qu’un première giclée est expulsé, suivie de plusieurs autres moins violentes

Michèle est très appliquée, elle avale mon sperme au fur et à mesure, puis quelques secondes après mon dernier spasme elle effectue un nettoyage complet avec sa langue, elle aspire un dernier coup pour ne rien perdre puis se relève et se rhabille

- « On passe à table ? me dit-elle, j’ai faim maintenant que j’ai pris l’apéro ! »

Elle saute du coq à l’âne si je peux m’exprimer ainsi…Elle vient de me vider les couilles goulûment et sans le moindre bisou on passe à table
En fait, je pense qu’elle est pressée d’expédier ce repas qui n’est plus essentiel pour elle.
Mais moi j’ai faim, après ce petit interlude, et de plus un bon repas va me permettre de récupérer avant la suite.

Je ne vais pas vous raconter tout le repas, ce qui n’intéresserait personne. Un repas chinois, curieusement très arrosé au champagne, la deuxième bouteille étant bien entamée.

Au moment du café, je propose à Michèle de le servir, elle accepte et je prépare deux senseo que je pose sur la table. En passant derrière elle, je pose mes mains sur ses épaules, un baiser dans le cou qu’elle semble apprécier, puis mes mains s’insinuent dans l’ouverture du chemisier. Je descends pour atteindre ces deux globes majestueux qui m’ont fait bander quelques fois quand j’y repense. Je les enveloppe tout juste de mes mains et commence à les masser, à les malaxer, à les pétrir. Michèle a le souffle court, elle pousse de petits gémissements. Je continue à lui masser ses nichons à travers son soutien gorge puis je remonte pour plonger dessous, au contact direct de la chair. Je sens ses deux tétons énormes et tétanisés…on dirait deux petits cornichons. Je commence à les titiller , à les faire rouler entre mes doigts puis je reprends le massage de ces globes. L’alcool aidant, j’imagine les meilleures situations, la meilleure utilisation de cette poitrine hors norme : une bonne cravate espagnole, ça devrait être le pied.

Michèle est passive, elle accuse le coup je pense. J’ai du dépasser la dose optimale. Tant pis, on attendra un peu.
Nous buvons le café puis Michèle me dit : « Je vais me reposer un peu, j’ai la tête qui tourne, viens avec moi si tu veux dans la chambre »
Je ne me le fais pas dire deux fois et je la rejoins dans la chambre où elle vient de tomber sur le lit, à plat ventre.
Je m’assieds au bord du lit, et lui dis : » Si vous voulez, je vous laisse, je rentre à la maison »
C’est d’autant plus facile pour moi, qu’il y a une demi heure, elle m’a fait baisser la pression de façon magistrale.
« Non reste, caresse moi le dos…tu me dois bien çà « ! dit elle avec un petit sourire
Mes mains se posent sur son chemisier, à la base du cou, et commencent à lui masser les cervicales puis les trapèzes. Au milieu du dos, elle m’arrête et me demande de lui enlever le chemisier car elle a trop chaud. C’est avec un grand plaisir que je peux maintenant masser sa chair si sensuelle, légèrement enrobée, juste assez pour le confort tactile. Au passage je lui dégrafe son soutif et continue mon massage sensuel. Sous les aisselles je glisse un peu dessous pour sentir sa poitrine. Elle se soulève pour laisser le passage libre à mes mains, puis je descends jusqu’à la taille et j’essaie de m’insérer sous sa jupe. Impossible, mais c’est Michèle qui lâche le bouton de la ceinture libérant ainsi son dernier vêtement.
Je me baisse pour tirer sur le bas le la jupe qui se retrouve à ses pieds en quelques contorsions de sa part. Et voilà ce qu’elle m’avait caché jusqu’alors ; un string rouge pourpre coordonné.
« - Tu portes de très beaux sous-vêtements
- Ils sont neufs….
- C’est pour moi ?
- Tu penses ce que tu veux »

Je peux enfin reprendre mes caresses du dos, puis je descends jusqu’aux fesses que je commence à malaxer. J’accroche volontairement le string au passage, elle comprend et me permet par sa position de lui retirer délicatement

Je reprends mon massage des fessiers. Michèle semble reprendre un peu d’énergie, elle gémit et soulève son train arrière. J’insiste encore un peu plus, un massage de plus en plus coquin, mes doigts s’insinuent dans sa raie tout en écartant les fesses avec mes paumes.
Cela me permet de me délecter de cette vision. Une petit rosette bien nette, et un peu plus bas quelques pilosités qui cachent l’entrée de la grotte, de la boîte à plaisir.
Elle sait que je la détaille et cela à l’air de l’exciter, à tel point qu’elle se soulève sur ses genoux pour encore mieux présenter ses atouts. L’alcool y est pour beaucoup, car peu de femmes aiment se mettre dans cette position, pour permettre à leur amant de mieux découvrir leur intimité.
Mais c’est une position très excitante pour l’homme. Je continue à lui masser les fesses en laissant traîner un doigt de plus en plus près de son anus.
«- De quoi as-tu envie ? A mon tour de te le demander
- Je ne sais pas, j’ai envie de tout…fais moi ce qui te plait…je suis toute à toi,
Regarde dans le tiroir, tu trouveras peut-être des choses intéressantes »

Dans le tiroir, je trouve un tube de gel intime, pas trop utile ce soir, je pense mais aussi un godemiché, un doigt à picots et divers accessoires à usage inconnu, ce qui me rappelle que je suis un bleu en matière de sexe.
Un bon ouvrier ne devant utiliser que des outils connus je mets de côté le gel, le gode et le doigt.
Et je me replace derrière le cul de ma belle-mère, qui a depuis bien écarté les jambes, me laissant apprécier tout le programme de la soirée. Sa position ne peut être due qu’à l’excès d’alcool.
Je reprends mes caresses sur ses fesses et cette fois, mon majeur s’attarde au centre de son petit orifice. Cela déclenche chez elle quelques gémissements.
« Mouille ton doigt »

Plutôt que de mouiller mon doigt je ne résiste pas à l’envie d’approcher ma langue et à lui cracher un peu de salive aussitôt étalée avec mon doigt.
Mais ce contact m’excite trop et je décide de m’attarder un peu et de farfouiller par là avec ma bouche.
Du bout de ma langue je lui titille la rosette, tourne autour, reviens au centre, fais mine de pénétrer, puis encore autour, cette fois j’essaie d’enfoncer ma langue un peu, Michèle gémit…. » Jaime qu’on me prenne par là »
Ignorant ses paroles, je poursuis ma descente entre ses lèvres qui s’entrouvrent au contact de ma langue. Je glisse jusqu’à l’entrée de son vagin ruisselant de cyprine. A grands coups de langue, je me délecte de toute cette mouille, ce qui fait gémir Michèle, puis en faisant tourner ma langue, je l’enfonce le plus possible dans son vagin.
« Humm, c’est bon quand tu me fouilles avec ta langue….encore »

Faisant ma langue toute pointue, j’essaie d’aller encore plus loin, puis commence quelques va et vient masturbateurs, ce qui déclenche une véritable éjaculation féminine.
Je bois encore et encore, puis ma langue abandonne l’orifice vaginal pour descendre vers le clitoris. Je commence à le titiller du bout de ma langue, puis le masse à grand coup. Je l’entoure de mes lèvres, le fait rouler entre elles, je pense que Michèle va jouir.

Sa respiration est forte, et m’encourage dans mes caresses. Elle me dit : »Aspire moi le clitoris comme tu m’as déjà fait, c’est génial ». Je m’exécute, lui aspire le clitoris que je retiens entre mes lèvres, d’une main j’exerce une pression à sa base pour littéralement le décalotter et du bout de ma langue je titille le clito mis à nu, d’abord très doucement, puis de plus en plus vite avec la montée de l’orgasme de Michèle. Elle se met à pousser un râle : « Hummm…..c’est bon….j’ai le feu dans le ventre…continue…mets moi un doigt derrière….pénètre ma rosette avec ton pouce…défonce moi le cul.

J’introduis mon pouce dans son vagin, en retire un maximum de liquide que j’étale sur son anus et lui enfonce le doigt entier dans le cul. Sur le coup, elle crie puis se met à haleter. Je la masturbe de toute la longueur de mon pouce, ce qui déchaîne Michèle : « Vas y défonce moi, encore, encore, ramone moi…je vais jouir » et après quelques va et vient de plus elle rentre littéralement en transe et retombe sur le lit.
Je ne pensais pas qu’une femme puisse prendre un tel pied.

Quelques minutes après, elle revient à elle
« Jamais personne de m’a fait jouir de cette façon, mais c’est une jouissance qui en appelle une autre, j’ai encore envie de toi »
« Qu’a cela ne tienne je suis là pour çà »

Elle se tourne et se remet sur le dos.
Cette fois je compte bien profiter aussi de la situation, je m’allonge à côté d’elle, et recommence à m’intéresser avec ma bouche à sa poitrine qui m’excite toujours autant.
Mais Michèle semble impatiente et me pousse ma tête vers le bas.
« Que veux-tu parle ? Moi aussi cela me plaît »

Je veux que tu me caresses encore avec ta bouche, mais je ne peux plus rester passive
Ma bouche descend entre les seins, puis sur le ventre, le pubis et alors que je commence à entrouvrir ses lèvres pour lui titiller à nouveau le clitoris, elle me soulève le bassin pour glisser par-dessous. Une fois bien installée entre mes cuisses, sans aucun prélude, elle me décalotte d’une main et enfourne mon pieu qu’elle commence à pomper divinement.

Pendant ce temps, ma langue lui farfouille tout son entrejambe. Ma langue part du clito puis glisse tout doucement vers le vagin pour continuer jusqu’à l’anus et remonte par le même chemin. Cela lui plait, mais elle est nettement moins excitée que tout à l’heure et cela se comprend. Je continue néanmoins à lui bouffer la chatte, pendant qu’elle continue à me brouter le jonc avidement. Je commence à sentir mon plaisir qui monte. Je le lui fais comprendre en accompagnant son rythme de coups de reins de plus en plus marqués. C’est vraiment trop bon de se faire sucer par une pro. Très égoïstement, cela me suffirait comme relation sexuelle, mais que faire ?
Michèle a compris que j’allais jouir, elle interromp sa fellation, se retire et me demande : « Comment souhaites tu finir ? tu veux cracher dans ma bouche ? ou tu veux autre chose ?
- Je ne sais plus et toi qu’aimerais tu ?
- Je commence à être fatiguée mais j’ai encore envie de toi, et j’ai surtout envie d’un orgasme vaginal, tu ne m’en as jamais donné et j’aime beaucoup çà ?
- Explique-moi, tu veux que je te prenne avec ma queue, tu veux sentir ma bite au fond de toi, ou tu veux encore des caresses ?
- J’ai envie que tu me gode
- Ah d’accord, mais avec plaisir.

Je remonte et me colle contre sa poitrine, et l’embrasse goulûment, lui fouillant toute sa bouche avec ma langue. J’en profite pour attraper le gode et redescend vers son entrejambe.
Elle écarte ses jambes au maximum pour mieux s’offrir à moi. En fait elle aime que je découvre son intimité.

Cette vision m’excite à nouveau et je ne peux m’empêcher de recommencer à lui sucer la vulve, le clitoris puis son anus. Je glisse délicatement un doigt dans son vagin et commence à lui caresser la face antérieure de celui-ci, la partie légèrement granuleuse et très érogène.

A la réaction de Michèle, je sais que je ne me suis pas trompé, elle se cambre aussi j’accélère le frottement de mon majeur sur sa muqueuse vaginale. Elle respire fort, de plus en plus fort, j’introduis un deuxième doigt puis un troisième. Sans être large, elle a une entrée très élastique. « Oui j’aime qu’on me force le passage…enfonce…encore plus fort ». Je mets un quatrième doigt et j’exerce une pression de plus en plus forte, elle crie »oui…oui pousse » Encore un petit effort et la main vient de faire le passage, je viens de lui enfoncer toute ma main, jusqu’au pouce qui limite ma progression. J’entame une série de rotations lentes dans son orifice dilaté… »au fond, je veux te sentir au fond… » Je ne peux aller plus loin, je retire ma main et la remplace par le gode que je lui enfonce tout doucement… » oui vas-y pousse..à fond » Je m’exécute et lui enfile ce pilon jusqu’à la garde. Je le retire doucement puis commence une série de mouvements masturbatoires de plus en plus en rapides. Michèle réagit très vite…elle glousse.. elle râle… elle crie « oui, oui je vais jouir..fais moi jouir fort »

J’accélère encore la cadence et très excité par ce corps de femme en chaleur, je pose mes lèvres sur son clitoris que je commence à titiller rapidement . la réaction est immédiate…. »ahhhhhh…c’est bon….c’est bon…. » Michèle se contorsionne littéralement sur le lit à plusieurs reprises puis retombe sur le dos comme inanimée. Je fais encore quelques mouvements avec le gode détrempé, puis le retire doucement.
Je me glisse tout contre Michèle et lui caresse les lèvres avec le gode, elle entrouvre ses lèvres pour lécher sa mouille, puis le gobe tout entier et fait mine de lui tailler une pipe. La coquine, elle fait tout pour m’exciter.
Je lui retire l’outil de la bouche et lui laisse le temps de récupérer.
Michèle est très longue à émerger. Quand enfin elle ouvre les yeux, elle me dit » Je suis épuisée, à mon âge tu as abusé…mais il va falloir que je réunisse mes derniers efforts pour terminer ta soirée…tu as envie de quoi ?
- Moi aussi je commence à être fatigué, mais j’ai encore envie de toi. Je n’ai jamais fais l’amour comme cela, et j’ai encore envie de continuer.
- Mais que veux-tu alors ?
- Tout ce que tu m’as fait découvrir est sublime, je ne sais pas par quoi terminer.
- Alors mets toi sur le dos, ferme les yeux et je vais essayer de te faire jouir aussi fort que moi tout à l’heure. »

Aussitôt dit, je m’allonge sur le dos et ferme les yeux
Michèle pose un baiser sur mes lèvres puis plusieurs dans le cou, elle se soulève au-dessus de moi et me caresse le buste avec sa poitrine, qui dans cette position paraît énorme. Elle remonte ses seins jusqu’à mon visage et me caresse avec ses bouts tout durs j’en attrape un au passage que je commence à sucer avidement. Elle se laisse faire quelques secondes puis s’échappe. Je sens ses seins qui courent sur mon ventre puis sur mon pénis braqué. Elle les fait monter et descendre le long de mon pénis, puis de ses deux mains, elle enserre mon sexe avec ses deux nichons et commence à me branler doucement… »humm….je rêvais de cette caresse divine… » Elle continue un certain moment puis reprends la descente de sa bouche vers mon sexe. Elle pose deux baisers sur mon gland, le caresse de deux coups de langue puis descend et m’aspire une testicule qu’elle fait rouler délicatement dans sa bouche. Elle continue sa progression et ma titille du bout de sa langue tout en se dirigeant vers ma rosette

Elle tourne autour, me donne de grands coups de langue, me mouille l’entrée puis force mon anus avec la pointe de sa langue. « Hummm… c’est bon
- Tu veux que j’aille plus loin ?
- Je ne sais pas, je ne connais pas…oui…peut-être
- On peut essayer, si cela ne te convient pas on arrête tout »

Et elle reprend ses caresses linguales prononcées. Elle force de plus en plus mon intimité avec sa langue, puis tout d’un coup, je ressens un contact plus dur. Elle essaie de me glisser un doigt…. » oui cela me plaît.. pousse doucement, cela doit rentrer »…Elle force un peu plus et pour la première fois, j’éprouve les premières sensations d’une sodomie. Elle effectue quelques mouvements dans mon rectum…. » ton doigt est un peu sec… » Elle se retire doucement et m’abandonne quelques instants pour je pense lubrifier son doigt.
Quelques secondes après, elle se représente à mon anus. Je sens quelque chose de plus froid qui essaie de me pénétrer. Je n’ose imaginer qu’elle puisse essayer. Mais trop excité par ce jeu, je résiste à sa poussée et je sens la tête du gode qui m’écarte les sphincters pour se frayer un passage, puis d’un coup un soulagement, le gland est passé… » je ne t’ai pas fait mal
- non pas du tout, c’est même agréable »

J’aperçois Michèle qui rajoute du gel sur le gode et qui recommence sa poussée, l’engin prend tranquillement sa place en me donnant des frissons dans le dos. Je suis en train de me faire sodomiser par une femme et cela me plaît. « c’est bon….continue »
Michèle commence à me ramoner doucement le rectum, j’en éprouve un réel plaisir et elle s’en rend compte. Elle accélère le mouvement, je commence à respirer fort…. » humm…c’est bon…je m’étais jamais fait défoncer ainsi…je vais jouir comme çà…ahhhh c’est trop bon….c’est une jouissance différente….éclate moi le cul….hummmm…..suces moi…je veux jouir dans ta bouche….suces moi…oui pompes…pompes…je veux tout cracher dans ta bouche….je vais jouir……ouiiiiiiiiiiiiiiiii………avale….avale…..aspire tout mon jus….continue. Je délire complètement, je crache tout mon sperme par saccade, et Michèle avale tout au fur et à mesure puis comme à l’habitude elle me nettoie le gland très consciencieusement du bout de sa langue, elle retire doucement le gode et me demande si j’ai aimé…. »c’était divin, j’ai découvert de nouvelles sensations….merci »

Elle s’allonge à côté de moi, pose ses lèvres sur les miennes, puis pose sa tête sur ma poitrine.
Je ne me souviens plus de rien. Je me suis réveillé à 5h15 le lendemain matin. Michèle dormait encore profondément. Une nouvelle journée commençait.

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Histoire de humoriste11

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Commentaires du récit : Feu d'artifices pour la Saint Michel


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