Une étudiante trop sérieuse

J'avais 20 ans et j'habitais en banlieue. La famille qui habitait à côté était une famille africaine. J'étais copain avec un des fils et sa mère me voyant vivre seul m'invitait souvent à dîner. La mère était vraiment sympa et malgré ses 40 ans avait gardé un jolie physique. Elle donnait des cours de danse. Mais surtout c'est leur fille de 18 ans qui me faisait craqué. Elle avait hérité du physique de sa mère. Des petits seins en poire que j'avais pu maté à la piscine, une peau d’ébène qui avait l'air douce, des bras finement musclés, et surtout un galbe et un cul comme seul les blacks peuvent en avoir. Elle gardait ses distances avec moi, un peu à cause du frère, et surtout parce que habitant en banlieue et étant sérieuse dans ses études, elle avait pris l'habitude d'être froide avec les gars de la cité. J'avais quand même remarqué qu'à la piscine elle me matait. Je suis plutôt le genre beau gosse, grand et athlétique.

Un matin, je lui propose de la déposer à sa fac. Elle était en retard alors elle accepte. Malheureusement pour elle mais pas pour moi, on se retrouve dans un embouteillage. Elle regardait ses cours. Je croyais qu'elle n'avait pas remarqué que je la matais. Tout d'un coup elle se retourne
Elle: je te fais de l'effet!
Moi: non, enfin un peu?
Elle: Menteur! Si j'en crois la bosse qui se forme sous ton pantalon?

La nature aillant été plutôt généreuse avec moi, je pouvais pas la contredire.
Elle: tu me la montres?
Moi: Quoi?
Elle: ben quoi on a rien à faire. Juste par curiosité?

Je sors ma queue. Elle garde son air studieuse.
Elle: Intéressant. Je n'ai pas beaucoup d'expérience mais elle a l'air plus grande que la moyenne.
Moi: la largeur est pas mal aussi. Regarde, met ta main.
Elle: Ah oui effectivement elle a un bon diamètre, je n'arrive presque pas à faire le tour.
Moi: tu voudrais pas la goûter?
Elle: non, merci. Tu crois que parce que tu as une énorme queue toute les filles doivent se prosterner devant ton chibre. La taille ne compte pas de toute façon.
Moi: Ah oui, alors pourquoi tu as encore ta main sur ma queue.
Elle (elle l'enlève): c'est scientifique, la taille n'a aucune importance.

A ce moment là une moto se place à côté de ma voiture. Le mec dessus regarde dans notre direction et me voit le pantalon baissé.
Le motard: c'est trop injuste!

Elle sort de ma voiture.
Elle: je vais prendre le métro, ce sera plus rapide.

Le lendemain soir je trouve en rentrant un mot: retrouve moi à minuit au dernier étage de l'immeuble, je sais que toi aussi tu en a envie, ta voisine!

Je me suis pas fait prié. Je me rend au dernier étage où n'habite personne, la lumière du couloir ne fonctionne même pas. Mais je vois la silhouette de ma gazelle arriver vers moi. Je la sers dans mes bras. C'est vrai que sa peau est douce. Dès que j'ai pris dans mes mains son petit boule, j'ai bandé comme un taureau. Elle n'hésite pas sortir ma queue.
Elle: Ah ça c'est un homme!

Elle commence à me sucer. Elle n'a pas si peu d'expérience qu'elle le prétend, je m'y connais en suceuse, et ça c'est une experte. Elle s'attarde bien sur le gland tout en caressant de la main mes boules. Elle se relève, je lui lèche les seins. Ils m'ont paru plus gros que je ne le pensais. Heureuse surprise. Elle était drôlement excitée. J'ai même pas eu à lui faire un cunni. Elle présente son cul à ma bite: enchanté mademoiselle, je vais devoir vous défoncer. Je lui enfonce ma queue. C'est elle qui bouge. J'ai rien à faire. Elle bouge son cul comme personne. Mon gros pillonne lui donne de quoi faire de grande manoeuvre. Elle se met à geindre. A ce moment-là le voisin du dessous allume la lumière de son couloir qui nous éclaire légèrement. Et là je comprend mieux pourquoi ma partenaire semblait si experte. Ce n'était pas la fille que j'étais entrain de tringler mais la mère. Vous m'en voudrez peut-être mais cela ne m'a pas empêché de continuer à la satisfaire. Nous nous sommes quitté avant le lever du jour. Parfois le passage de la théorie à la pratique révèle quelques surprise.