L'anniversaire de Marine 3

Marine ne répond pas, elle reste étendue mollement, jambes ouvertes sur la petite table. Edgar et Roger regardent comme des affamés, le corps fébrile, qui est école de temps en temps par quelques spasmes violents. Charlène prend place entre les cuisses de son amie et plaque sa bouche sur la perle hyper gonflée, elle l'aspire. Le gémissement que pousse Marine est celui d'une agonisante. Elle se cambre et subit en haletant, les aspirations dévastatrices sur son clito. Charlène suce et tète comme une déesse, la vulve de Marine et devenue une fontaine intarissable. Charlène se gave du liquide suave qui s'en échappe. Marine sursaute, la langue de son amie vient de s'enfoncer dans son vagin et le fouille rageusement. Un bruit étrange se fait entendre, pendant que L'affamée, Charlène, fouille l'antre débordant de cyprine.


Marine souffle, s'agite, gémit en s'accrochant à Charlène. C'en est trop pour elle, elle se raidit, pousse un long râle et jouit. Charlène cède rapidement la place aux hommes en ruts. Edgar est le premier entre ses cuisses, il regarde Marine en souriant, il place son mandrin contre les grandes lèvres et pousse. Marine se cabre, elle recoit sa deuxième pénétration vaginale. Lentement, Edgar enfonce sa verge dans l'étroit conduit. Marine serre les dents, elle ressent encore une petite brulure qui lui dévore le ventre. Elle s'accroche à son amant, en soufflant. Edgar lui saisit les hanches, et commence un pilonnage qui prend au fur et à mesure de la vitesse. Roger bande comme un poney, il se masture, mais il est vite arrêté dans son action, par Charlotte qui s'empare de sa queue et commence à lui faire une fellation magistrale. La coquine maintient opérationnelle la verge de Roger, sans lui faire décharger sa sève. Elle sait lorsqu'elle doit cesser de sucer, puis de reprendre la fellation pour maintenir la pression dans la verge tendue.

Marine subit les assauts répétés de son amant, elle agite sa croupe en grognant. La queue vigoureuse la fait défaillir, elle s'accroche à Edgar en donnant des coups de reins violents, la coquine veut être empalée à fond, cela fait sourire Charlène qui l'encourage en lui caressant les seins :

-Oui ma chérie, défoule-toi, prends ton pied, vas-y, jouis, jouis !

Marine sue, son corps humide sursaute à chaque coup de pilon, s'Edgar. La tension est telle qu'elle grommelle des mots inaudibles. Elle se décolle de la table en prenant appuie sur ses coudes, elle pousse un cri féroce et jouit pour la énième fois. Edgar est fier de posséder et de faire jouir cette femme, qui, pour la première fois de sa vie, se donne à d'autres. Il donne tout ce qu'il a dans les tripes, pour qu'il reste gravé dans la mémoire de la jouisseuse Marine. Il se bloque et envoie un flot de sperme au tréfonds des entrailles de Marine, qui se cabre sous la giclée importante.

Enfin, le tour de Roger est proche, Charlotte délaisse sa queue raide, mais avant de lui céder la place, elle se rue entre les cuisses de son amie, pour lui dévorer le clito comme une sauvage. Elle avale le bouton, le mâchonne, puis le suce comme un gros bonbon. Marine hurle de plaisir. Rapidement, elle jouit en appuyant fortement sur la tête de son amie. En répétant sans cesse :

-Oh comme c'est bon, je vais mourir de plaisir !

Charlène lui dit :

-Rattrape le temps perdu ma chérie, fais-toi éclater jusqu'à ce que tu demandes grâce !



Enfin, Roger peut intervenir. Il faut dire qu'il est monté puissamment, sa queue et bien plus grosse et plus longue que les deux que Marine a eu dans son ventre. Il avance sa verge qu'il à prit soin de décalotter vers la chatte dégoulinante de Marine qui l'attend avec une certaine angoisse.
Lentement, Roger pousse, sa queue s'enfonce dans l'étroit conduit débordant de sperme, en le dilatant. Marine serre les dents, elle croit mourir tellement elle est distendue. Elle s'agrippe au Roger en serrant les dents. Roger dit en souriant :

-Oh la vache ce qu'elle est serrée, c'est un régal !

Doucement, la queue remplit le vagin et vient buter contre le col de l'utérus. Roger commence un très long va-et-vient, sa queue laboure les parois étroites du vagin. Il la fait coulisser lentement dans le ventre de Marine qui geint comme une bête tombée dans un piège. Sa chatte lui brule, tant elle est sensible. Roger lâche les chevaux, Marie se cambre sous les assauts monstrueux que lui fait subir son amant. La queue entre est ressort à vive allure, Marine souffle comme un bœuf.

Roger ressort entièrement sa queue de la chatte, attend quelques secondes avant de la replonger profondément dans le ventre de Marine qui pousse un hurlement en s'accrochant à lui. Le ramonage est violent, Marine crie en agitant son bassin comme une dératée :

-Charlotte, Charlotte, je vais mourir, mon Dieu comme c'est bon !

Sa chatte laisse échapper un flot de cyprine mêlé à du sperme, la table est trempée de jus visqueux. Roger se déchaîne, Marine subit en rugissant comme un fauve le ramonage monstrueux. Elle pousse un long râle, se tend comme un pont en pleine tempête, et jouit une ultime fois. Roger accélère, il souffle comme un sprinteur en fin de course, se bloque, et envoie tout se qu'il a dans les couilles. Roger se retire du corps moulu par les défonces féroces qu'il a subi. Marine se laisse tomber sur la table sans force. Charlotte et Charlène la félicitent pour son dépucelage et la défonce mémorable, qu'elle a subi sans rechigner.