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Gourmande 4

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Lue : 1653 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/09/2012

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Partageons ma femme, vous la faites si bien jouir.

J’ai mal partout, je suis aux anges, tout s’embrouille, je me laisse aller, inerte sur Abel, coincée sous Joseph, sandwich de chair, incapable de penser, et dans mon ventre deux lances projettent des tonnes de lave en fusion. Repos, entre deux gaillards assouvis dont la complicité me ravit autant qu’elle est inattendue. Ah! Les hommes! Ils sont si différents, ils ont failli se battre mais mon vagin et mes boyaux forment un terrain d’entente parfait. Grâce à moi, ils collaborent.

Joseph rompt le lourd silence d’après l’amour:

-Robert, tu es là?



Joseph a dit et d’un bond il veut s’arracher, le brutal inconscient, de mes arrières et il risque de retourner une partie de mon anus. Je n’ai pas saisi ce qu’il a dit, mais je l’ai senti reculer. C’est la voix de Robert qui me ramène sur terre.
-Toi, reprends ta place en vitesse, sinon…allez pompe dans ce cul bienheureux.
Joseph me quittait. Une énorme claque sur son postérieur le renvoie dans mon trou. La peau de mon cul reprend sa place dans la souffrance. Je tourne la tête et à mon tour je vois mon mari. La catastrophe est en route. Robert me parle:

-Ma chérie tu as trouvé le bon remède. Je l’avais prévu et je t‘avais mise en garde, demeurer fidèle à une petite queue n’est pas possible pour une femme normale. Tu en fais l’expérience, sans rechigner sur les moyens à ce que je constate: tu es là coincée entre deux hommes et tes cris de jouissance m‘ont arraché des larmes de joie et réjoui le cœur. Enfin tu trouves la volupté que tu mérites. C’est ton bon choix. Use de tes deux amants selon ton bon vouloir. A l’avenir le lundi et le jeudi je ne reviendrai pas à la maison avant 21 heures. Tu disposeras donc deux fois par semaine de quatre heures pour folâtrer avec tes amants, pour te faire bourriner par ton étalon Abel ou pour te faire sabrer par la dague acérée de Joseph. Et vous deux, mes gaillards, rendez-la heureuse, dépensez vos forces et vos moyens sans compter pour la faire jouir. Enfilez, tringlez, bourrez, foutez et farcissez-là. Gare à vous si vous ne comblez pas ses désirs, si vous n’êtes pas à la hauteur de ses besoins sexuels. Vous avez voulu vous faire ma femme, faites preuves de dévouement et de persévérance. Si j’apprends que ma femme doit recourir à d’autres baiseurs pour assouvir ses envies, vous en pâtirez. Enfin, ou vous cessez tout autre commerce avec des femmes ou vous utiliserez dorénavant des préservatifs. Abel, tu m’as compris?

J’étouffe de honte dans la position inconfortable où Robert m’a maintenue avec ses mains en appui sur le postérieur de Joseph. Les deux sexes palpitent en moi, baignent dans le foutre dont-ils m’ont remplie. Robert était-il là depuis longtemps? Robert disparaît aussitôt, avant que notre trio ne se défasse. Nous nous regardons penauds, pris tous trois en flagrant délit. Mes deux comparses tirent une mine déconfite.
Je réalise que je ne pouvais pas offrir pire image de moi, dans cette position extravagante. Il va me prendre pour une grosse salope. Comment lui en vouloir, j’ai honte, mais c’était … bon. A trois dans la salle de bain nous procédons à des ablutions. De mon bidet j’interroge:
-Comment mon mari connaît-il vos prénoms?
-C’est notre patron, répondent-ils en chœur.
-Est-ce lui qui vous a envoyés pour me troncher. Vous a-t-il chargé de me faire jouir?
-Avant ce soir, non; mais aujourd’hui il vient de nous en donner l’ordre, dit Joseph.

Les réponses sont laconiques. Abel a perdu sa faconde et se lave la queue sans lever les yeux.
-Pourquoi veut-il que tu portes une capote Abel?
-Sais pas, mais Joseph aussi; le patron a dit « vous »
-Bon, si je vous donne congé, que ferez-vous?
-On est obligé de revenir, le patron l’exige. Je tiens à ma place, dit Joseph.
-Moi aussi, bredouille Abel.

Je prends une décision.
-Chacun son jour. J’ai bien aimé la partie à trois. Nous verrons plus tard si nous recommençons; j‘imagine des variantes à explorer. Joseph, je t’attends jeudi et toi Abel, lundi, puisque votre patron l’exige. Pour aujourd’hui, j’ai besoin de réfléchir. Laissez-moi seule.

Ils partent en silence. Comment Robert a-t-il su? Est-il tombé par hasard au pire moment? Ou est-il au courant depuis longtemps? J’ai pris des précautions pour ne pas le vexer ou le perdre. Il a joué au grand seigneur devant ses employés, mais à quoi dois-je m’attendre ce soir? Cette façon de vouloir me livrer à eux est humiliante à la limite. J’ai failli ; il faudra lui expliquer que c’est par pitié pour des victimes de l’amour, des laissés pour compte. J’ai volé à leur secours. Deux en même temps, j’aurai du mal à lui faire comprendre que le sandwich devait les rassasier ces deux malheureux. Robert n’est pas idiot. Il a compris que je peux avoir une fringale amoureuse qui dépasse ses moyens de l’assouvir. J’aurais dû lui en parler au lieu de le mettre devant le fait accompli. J’avais juré fidélité. Même s’il ne suffit plus à combler mon appétit sexuel, je n’aurais pas dû agir seule. Si je n’avais pas commencé avec Abel, je serais demeurée une épouse respectable. C’est une trahison, involontaire au départ, mais assumée depuis un certain temps. Ma double liaison de temporaire est devenue habituelle.
Robert a été alerté par la baisse de qualité de nos relations sexuelles ou par la diminution progressive de nos actes. Je ne vois pas d’autre explication. Voilà le signal qui m’a dénoncée. Nous faisions de moins en moins souvent l’amour en raison des exigences amoureuses de mes deux protégés. Mes sens saturés par les excès des ébats extraconjugaux, mon vagin endolori par la massue de l‘un ou les charges hallucinantes de l‘autre, mon corps brisé par la voracité des malheureux en amour devenus maîtres de mes passions oubliaient de recourir à mon mari. Faut-il qu’il soit déçu et désespéré pour admettre que je continue à fréquenter Abel et Joseph. Admettre est faible; il s’agit d’une injonction, presque d’une condamnation à jouir par eux. Il n’est pas jaloux, il me donne, comme on accorde une prime; il a des exigences de rendement. Est-ce par dépit qu’il me livre aux amants installés par moi dans notre lit et à deux dans mes trous? S’il m’estimait encore, livrerait-il aussi facilement mon corps à d‘autres hommes? Va-t-il me chasser? M’abandonner à deux hommes, avec l’embarras de faire un choix entre Joseph et Abel? C’est la catastrophe. A 21 heures je vais tout remettre en ordre. Je renonce à ces deux bites, finie la pitié, retour à une vie normale; je me consacrerai uniquement à Robert.

Pourquoi n’est-il pas revenu à la maison ce soir. Où est-il? Je baigne dans l’incertitude. Enfin il revient le mardi soir. Je me suis faite belle, j’ai revêtu des vêtements vaporeux. Je vais le séduire et je vais l’aimer, je vais expliquer, reconquérir, jurer; je serai humble et douce, je demanderai pardon à genoux. Il me relève, ne croit pas possible le retour à notre vie antérieure. Surtout je ne dois pas lui raconter que mes rencontres amoureuses et mon attitude relèvent de sentiments de pitié car, si je prétends le croire, c’est pour nier la réalité, pour me cacher à moi-même mon indéniable envie de faire l’amour avec des hommes mieux membrés que mon mari. Il a suivi l’évolution du processus qui a abouti hier à cette première double pénétration réussie dont mes cris d’extase l’ont impressionné. Et puisque je suis heureuse de cette manière, Robert s’effacera. Il ne souhaite pas me quitter. Il a une exigence après réflexion: que j’aille me faire prendre hors de notre domicile. Il ne supportera plus la vue ou les bruits de nos accouplements. Je peux disposer librement de mon corps, sans le provoquer, le faire souffrir ou l’humilier devant ses employés. Il fera semblant d’ignorer mes escapades amoureuses.
Depuis des semaines il a souffert de son infériorité, il a regretté d’avoir une verge aussi peu développée, d’être supplanté par Abel d’abord puis par Joseph et enfin par leur association. J’aurai quartier libre le lundi et le jeudi, mais l’accès de l’appartement sera interdit à mes amants.

Je pleure, je renonce à l’abandonner seul à la maison ou à utiliser ses heures de sport pour le tromper. Je le jure: Cela n’arrivera plus. Rien n’y fait. Je l’ai jugé insuffisant, à juste titre, il le souligne, allant dans les derniers jours jusqu‘à oublier qu‘il avait aussi des besoins sexuels malgré sa petite taille, oublieuse des instants de plaisirs vécus avec lui. D’ailleurs mes pratiques avec Abel et Joseph l’avaient rendu prudent depuis des semaines. Robert reprendra les relations avec moi à la condition de vérifier, certificat médical à l’appui, ma bonne santé et l’absence de maladies sexuelles transmissibles. Il me faut des compensations sexuelles, j’ai sous la main deux étalons pour répondre à mes appétits normaux et même à ma boulimie hors normes si ma voracité réclame l’intervention simultanée de deux mâles au moins et pourquoi pas l’organisation de parties avec des partenaires plus nombreux. Donc le jeudi et le lundi je devrai transporter ailleurs mes transports amoureux.
-Tu exagères, je n’ai pas l’intention de te refiler le sida ou une chaude pisse. Et ou veux-tu que j’aille avec tes remplaçants?
-Tu les as « embauchés » ou débauchés selon le point de vue, ce sont mes employés mais non les amants de notre couple. Si tu souhaites continuer à partager ce toit avec moi, tu les emmèneras à l’hôtel en face de la piscine. Tu l’as fréquenté régulièrement avec Abel, donc tu le connais et tu y es connue.
-Comment le sais-tu?
-Un lundi au lieu d’aller au stade j’avais amené du travail à la maison et je m’étais enfermé dans mon bureau. J’ai été étonné de ton retour rapide. Tu étais en compagnie d’Abel. Tu as commencé à lui montrer le chemin de sortie pour le cas où je reviendrais pendant vos jeux.
-Quoi? Tu sais depuis le début. Tu aurais pu m’empêcher
-J’ai respecté ton choix. Tu venais à la maison, tu entraînais un amant dans notre lit. J’ai écouté et regardé. Au début j’ai espéré que tu ne supporterais pas la torture de sa pine aux dimensions exceptionnelles. Tes cris de douleur me rassuraient. Mais tu as fini par te poser sur sa tour et je t’ai vue, tu descendais en geignant mais tu l’avalais et tu finis vulve collée à son ventre. J’ai assisté à ton combat courageux contre les souffrances de cette pénétration cruelle. Tu voulais lui démontrer que toute femme pourrait l’accueillir en son sein. Ta démonstration a été concluante. Tu as même joui de façon formidable. C’était une passade, je t’ai entendue lui dire qu’il n’y aurait pas de suite, ça m’a soulagé. Un faux pas peut être pardonné.
Du coup j’ai décidé de remplacer mes séances de sport par des travaux pour mon entreprise dans mon bureau le lundi et le jeudi. Je n’ai rien constaté le jeudi. Mais le lundi suivant, de façon étrange, pour aller te baigner à la piscine dans de l’eau chlorée tu t’es couverte de ton parfum le plus cher. C’était un gaspillage surprenant de ta part ou bien tu n’avais pas l’intention de nager. Votre retour presque immédiat m’a confirmé que tu avais pris goût à la baguette magique de celui qui devenait ton amant. Curieusement dans les nuits suivantes tu as voulu me comparer à lui, tu m’as assiégé, tu as connu une sorte de renouveau, un appétit plus fort. En raison de ma déception j’ai répondu moyennement à tes espoirs. Tu t’acharnais à me soutirer du plaisir, tu voulais vraisemblablement te prouver que tu m’aimais encore, que la fréquentation d’une massue ne nuisait pas à nos rapports et que deux sexes de dimensions si opposées pouvaient cohabiter dans ton vagin et te conduire également à l’orgasme. D’une part j’étais heureux d’avoir un suppléant capable de t’éclater, mais je ressentais un poil de jalousie.
-Il fallait le dire. J’aurais mis fin à cette relation.
-M’avais-tu dit que tu prenais un amant, que tu le recevais en cachette? Tu serais devenue plus discrète, tu ne l’aurais pas renvoyé à sa « misère sexuelle » qui camouflait ton désir de nouveauté. Je l’avais reconnu, j’ai donc mené une enquête. Joseph me l’avait déjà signalé comme paresseux et endormi au travail. J’avais été sur le point de le licencier pour rendement insuffisant. A partir du moment où il était ton amant, la place qu’il devait à sa femme Denise, une amie de faculté que tu as connue jadis, je ne pouvais plus rien, j’aurais été poursuivi pour licenciement abusif, justifié par mon statut de mari et patron cocu. En le choisissant pour tes galipettes, tu l’as rendu intouchable, tu as protégé l’emploi d’un type qui saute allègrement outre sa femme deux ou trois femmes mal baisées par semaine; ce qui explique son état de sommeil permanent dans l’entreprise.
-Il a prétendu être célibataire et s’est plaint d’être repoussé par toutes les femmes effrayées par sa grosse queue. Là tu essaies de le salir, ce que tu me racontes est le fruit de ton imagination. Tu n’as pas de preuve.
-Tu avais tellement envie de te faire défoncer par une matraque monstre que tu n’as pas été regardante sur ses affirmations. J’ai voulu te protéger et j’ai mené l’enquête à la suite de laquelle j’ai fait une tentative pour vous séparer. La multiplicité des partenaires d’Abel t’expose à la transmission d’une M.S.T. et je souhaitais te mettre à l’abri d’un tel problème. Incertain sur le résultat d’une conversation avec toi, en raison de ta duplicité, j’ai inventé une entorse à la cheville. Si tu m’avais aimé, tu aurais appliqué ma pommade, tu aurais voulu me masser et tu aurais découvert la supercherie. Mais tu pensais à autre chose, tu rêvais de bourrage majuscule, d’orgasmes hyper, extra, …Blessé, je restais à la maison et je me disais: « Plus d’abri, plus de liaison ». Qu’avez-vous fait? Vous êtes allés à l’hôtel, c’est dire à quel point tu étais devenue dépendante. J’ai remarqué ce lundi là que tu te couvrais de parfum, j’ai su que tu n’allais pas à la piscine, je vous ai suivis et je vous ai vus entrer dans votre refuge. D’ailleurs, au retour, au lieu de sentir le chlore, tu dégageais des effluves de parfum et de transpiration: vous n’étiez pas entrés dans l’établissement pour boire un coup mais pour « tirer un coup », mon nez me le disait. De moins en moins tu te montrais attentive au mari marri. J’étais contrarié, il t’était impossible de le voir, tu avais l’esprit ailleurs. Mon plan ayant échoué, je me suis déclaré guéri. Au travail je surveillais ton amant avantagé par la nature. Le hasard a voulu que je capte une conversation entre Joseph qui le secouait et Abel la couleuvre qui devait désormais son salaire au besoin que tu avais des exploits de sa queue. Celui-ci rabattait le caquet de son chef en lui disant qu’il était l’amant de la femme du patron, donc il ne craignait pas l’adjoint. Et enhardi par l’effet de son annonce, il alla jusqu’à proposer à son chef de partager l’enviable situation.
-La nana est naïve. Je lui ai fait pitié, elle a voulu me consoler, je me la suis envoyée, je la grimpe tous les lundis. Si tu ne me crois pas, viens à l’hôtel Nautilus lundi après le boulot. Tu verras la chouette poupée que je saute. J’en ai d’autres, mais elle vaut le coup. Fais lui pitié, invente-toi un malheur et tu pourras utiliser sa baignade du jeudi à la piscine pour l’emballer. J’adorerais que toute l’entreprise lui passe dessus. Son con se transforme, les gros calibres ne lui feront plus peur. Je n’ai qu’un regret, je suis trop gros pour la sodomiser.
Un jeudi, à l’heure de la piscine, j’étais dans mon bureau en observation, j’ai vu et entendu à quel point tu te dévouais pour réveiller la libido de Joseph qui te racontais que Brigitte était frigide. Par la suite je l’ai vu à l’œuvre pour préparer ton anus à recevoir le manche de son nouveau complice. Et je t’ai vue prendre plaisir à offrir tes fesses à ses incursions. Hier la double en con et en cul aurait pu déboucher sur un échange de trou, Joseph par devant et Abel par derrière. J’ai eu peur pour toi. Abel risquait de te déchirer le sphincter. Abel le lundi, Joseph le jeudi, il ne restait plus de miettes d’amour pour moi. As-tu vérifié que Brigitte est réellement frigide? Vous avez été amies autrefois, tu aurais su connaître la vérité si tu n’avais pas tant espéré d’une deuxième liaison avec un gars mieux monté que ton mari rangé au rayon des accessoires inutiles. Chez toi ça part d’une bonne intention, tu es généreuse, quoique tu n’oublies pas tes intérêts en dispensant tes consolations avec ton vagin devenu trop large pour ma petite quéquette délaissée.
-Ca va changer, si ce que tu m’as dit est vrai. Toute l’entreprise ne me passera pas sur le corps et tes deux employés ont fini de se moquer de moi. Je ne veux plus les voir.
-J’insiste pour que tu rencontres Joseph à son tour après demain et pour que tu l’accompagnes chez lui, afin que Brigitte te dise en sa présence si elle est réellement aussi nulle en amour. Tu sauras s’il a abusé ou non de ta crédulité ou si je mens et tu agiras en conséquence. Lundi nous règlerons le sort de l’autre tricheur.
-Si je peux regagner ton amour de cette façon, je ferai tout ce que tu me demanderas.

J’ai dû insister longuement pour décider Joseph à me conduire chez lui. Par bonheur, sa femme lui avait annoncé qu’elle serait absente assez tard. Main dans la main nous entrons au rez-de-chaussée. Nous entendons immédiatement des bruits significatifs. Il n’y a pas de doute, à l’étage une femme est en train de jouir. Le matelas fait grincer le sommier, les plaintes amoureuses montent en intensité.
-Tu es certain que ta femme est frigide, Joseph?
-Mais elle n’est pas là. Elle aura laissé la clé à une voisine qui en profite pour cocufier son mari ici.. Allons nous en assurer.

De la porte de la chambre nous observons un fessier qui s’agite entre deux jambes tendues vers le plafond. Un gaillard pénètre et pourfend hardiment une femme ardente qui exprime bruyamment son plaisir. L’homme est un bon amant, il se donne à fond, à allure vive et il obtient de façon quasi continue un chant d’amour qui me secoue de frissons. Sa queue rate une marche, sort du fourreau, mais la main de la femme rattrape aussitôt la verge et la replante entre ses lèvres rougies par les frottements.
-Oh! Robert, comme c’est bon! Ca fait si longtemps que je n’avais pas autant joui. Va, baise-moi encore. J’adore ta queue, j’adore ton corps, je suis folle de toi. Encore…

-Brigitte, salope. crie Joseph.

La démonstration est doublement édifiante, Brigitte n’est pas frigide, Joseph est cocu et confondu.
Le couple se défait, l’homme nu roule sur le dos. Ce Robert si apprécié par ma rivale d‘autrefois, c’est mon mari.
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Histoire de Veilleur

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