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Gourmande 5

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Lue : 2035 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/09/2012

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Du foutre à gogo.

Brigitte referme ses jambes grasses sur sa moule fripée débordante de sperme, du sperme volé à mon mari. Elle nous regarde, à peine étonnée, comme si la situation était banale.
-Alors Joseph tu ne sais pas respecter un horaire. Vous arrivez plus tôt que prévu. Enfin tu t’es trouvé une fille, c’est l’essentiel. Qui est-ce? Mais c’est Simone! Comment l’as-tu décidée? Elle vient pour la partouze, j’espère. Raison de plus pour que tu restes mon cher Robert.

Robert reprend son souffle après la charge, sa queue retourne à un état normal. Le salaud me faisait la morale, me réclamait un certificat médical, m’imposait le préservatif et refusait d’admettre mon retour à une vie normale d’épouse. Il ne baisse pas les yeux, n’a pas honte de m’avoir invitée à venir près du lit de son adultère. Joseph n’est pas fier, il ne peut plus invoquer la frigidité de Brigitte pour me faire pitié. Il voit monter ma colère.
-Menteur, ta femme est frigide? Belle démonstration, je comprends pourquoi tu ne voulais pas me conduire chez toi. Et elle couche avec mon mari. Elle n’avait pas réussi à me le prendre mais elle se rattrape la garce.

Brigitte assise dans son lit prend en main le sexe recroquevillé de son voisin et entreprend de lui redonner vie en le masturbant. Elle me toise en souriant. Garce? Le mot la fait rire, elle tient mon homme par les couilles. Mon vocabulaire, c’est du vent, elle préfère le concret et elle l’a en main, là, sous mes yeux furieux.
-Simone, je suis garce, mais moi au moins je suis capable de faire bander ton homme. Je suis heureuse de consoler ce mari bafoué, trompé et délaissé. Qui en premier a couché avec le mari de l’autre? Qui néglige ce pénis délicieux en bouche, agréable au toucher et si efficace dans une cramouille. Reste avec nous et tu constateras combien de plaisir il va me redonner. Vois le grandir entre mes doigts. Ne reste pas si loin, grimpe sur le lit tu verras mieux. Joseph pousse-la, elle fait la timide. Notre lit est bien assez grand pour quatre. Amusons-nous en famille.
-Pas question! Tu as enfin réalisé ton rêve de frustrée. Rends-moi mon homme.
-Tu n’as pas su le garder. Vois comment il faut faire, le masturber, le sucer. (Elle joint le geste à la parole.) Il était en manque, il me l’a dit, je le réconforte.
- Il y a un malentendu, nous n’avons plus rien à chercher dans cette maison. Partons dit Joseph honteux.
-Mais moi, foi de Simone, malentendu ou pas, je tiens à savoir quel est le rôle de Robert. Suis-je une monnaie d’échange, quel accord a-t-il conclu et où veut-il en venir. Tu ne réponds pas, Joseph, tu as perdu ta langue?

Je m’adresse à mon mari pris en flagrant délit d’adultère à son tour:
-Robert as-tu dis à Joseph
« Joseph je te refile ma femme et je saute la tienne, on échange »
Est-ce un marché, viande contre viande entre deux maquignons? Brigitte tu es comme moi un objet d’échange entre ces deux lascars, ne crois pas avoir reconquis Robert: ces deux là ont un sexe à la place du cœur.
Enfin Robert se lève, soustrait sa bite tumescente à la main masturbatrice et fait front.
-Calme-toi, Simone. Suis-je plus coupable que toi? Tu refusais d’entendre que Joseph t’avait abusée, je me suis mis en situation de te prouver que Brigitte avait du tempérament. Je viens de le constater avec bonheur, car notre rencontre a été fort agréable et pleine d’enseignement. Jusqu’à ce jour jamais je n’avais fait l’amour avec une autre que toi. Comme d’autres l’ont fait avec toi, j’ai joué au misérable mari pour apitoyer Brigitte. Comme toi elle a le cœur tendre et elle a eu pitié. Je n’ai conclu aucun marché avec Joseph. Brigitte tu voudras bien me pardonner de m’être servi de toi pour montrer à ma femme que ton mari te ridiculisait pour la séduire.
-Tout le plaisir a été pour moi. Tu pourras revenir quand tu le voudras, je t’accueillerai les bras ouverts, tu seras toujours le bienvenu chez moi et je ne connais rien de meilleur que de faire l’amour avec toi. D’ailleurs je suis prête à recommencer.
-Puis-je prendre une douche?
-Suis-moi.
Elle sort en poussant son amant devant elle, tortille du cul derrière lui. Elle est aussi large qu’une jument et trimbale une imposante paire de fesses au-dessus de cuisses solides et qui frottent ensemble. Elle a changé, s’est épaissie. Ses seins flétris s’affaissent déjà comme des outres vides. Comment mon mari a-t-il pu se rabattre sur une femme aussi quelconque? Baiser ce tas est un exploit athlétique, mais il faut en avoir envie ou être désespéré ou aveugle. Hélas, j’ai désespéré Robert.
-On n’aurait pas dû venir tente Joseph.
-Oh! Si, mais ferme-la, salopard. Tu vas payer tes coups tordus. Ne m’adresse plus jamais la parole, tu me dégoûtes.
Il ne sait plus où se cacher. La situation lui échappe complètement. Sa femme et mon mari, sous notre nez s’isolent nus dans la salle de bain. J’enrage, l’autre idiot laisse faire comme si la chose était normale dans cette maison. La porte de la salle de bain est restée ouverte, Brigitte rit à gorge déployée,
-Tu as vu sa tête. Ca lui apprendra. C’est bien réussi mon chou. Tu restes pour la suite?

De qui rit-elle? De son mari apparemment consterné ou de moi, sa rivale au tapis. Je n’entends pas la réponse de mon homme, Joseph veut quitter les lieux. Pourquoi cette hâte? Que sont-ils partis faire, j’ai reçu la démonstration cinq sur cinq, je n’ai pas besoin d’une deuxième séance. C’est juré, je suis guérie de ma crédulité et de ma propension à voler au secours des victimes du sexe.

Cette saleté de Brigitte est prête à recommencer. Robert a insisté pour que je vienne accompagnée de Joseph. Il a fait d’une pierre deux coups. Joseph a appris qu’il est cocu à son tour du fait du mari de sa maîtresse et moi j’ai enregistré que Brigitte jouissait même avec la courte tige de mon mari. Joseph est bien un tricheur, sa femme une salope…Pour être sûr du résultat, Robert n’a pas eu peur de déballer sa petite queue devant son ancienne prétendante, malgré le risque de moqueries et il s’en est tiré comme un chef. Exploit unique ou suite d’une longue série de rencontres? Brigitte est-elle sa maîtresse, depuis quand? Ont-ils commencé avant moi? Est-ce sa vengeance après la découverte de mes aventures avec Abel et Joseph ou me cocufie-t-il dans le but de montrer sa capacité à faire reluire une autre femme. Qui le premier? Quelle sera la suite? Dès que j‘aurai trouvé la réponse à ces questions, je quitterai cette maison. Il peut bien affirmer que c’est la première et dernière fois, leur familiarité me laisse un doute, comme leur parfaite entente au lit. Et s’il prenait goût à cette fréquentation. Je sais, la jalousie d’une femme adultère est ridicule. Mais…
Que va faire Robert? Joseph insiste pour m’emmener. Je reste pour savoir. De plus la retraite est coupée, un groupe joyeux pénètre dans le vestibule mêlant voix graves et voix de femmes. Les arrivants montent. En tête le meneur, Abel, marque un temps d’arrêt, me regarde avec un plaisir non dissimulé et interpelle Joseph:
-Eh! Bien, Joseph, tu as réfléchi, tu es là. Ta femme avait un doute quand elle m’a invité à sa petite sauterie. C’est parfait, plus on est de fous, plus on rit. Et qui est avec toi? La divine Simone! Amis, je vous présente Simone, la femme de notre patron, grande rôtisseuse de pines, qui va prendre part aux festivités. Son four a bénéficié de mes travaux et offre confort et volupté aux bites de toutes dimensions. C’est désormais une experte, à prendre par devant et/ou par derrière. Deux verges ne lui font pas peur. Elle cocufie avec bonheur son mari, notre pitoyable patron. Avancez. Simone, voici Gino, mitrailleuse lourde que nous pensions te présenter prochainement, un lundi ou un jeudi: tu seras heureuse de tomber sous son charme et de mourir de plaisir sous ses coups à répétition dès cette nuit.

Si, de la salle de bain, Robert entend ces propos, il va être humilié très malheureux, par ma faute. Abel reprend:
-Ta présence ici ce soir ma chérie est un bonheur et un grand honneur. Tu connais Denise?
-Ta femme?
-Ah! Le cocu a parlé! Je l’en croyais incapable. Un mec qui accorde des jours de libertinage à sa femme n’a pas de couilles, c’est un con ou il participe! Sans un petit mensonge, tu n’aurais jamais goûté à mon pénis et aux joies des gros volumes. Oui, je suis marié, mais j’aime révéler les mal baisées. Reconnais que ça t’a plu. Denise n’est pas jalouse, vous vous entendrez bien. Tout à l’heure elle se fera une joie de présenter mon sceptre à la couronne de ton cul, car tu vas y passer, je veux te péter la rondelle! Derrière, c’est Angèle, quadragénaire qui ne fait pas son âge, elle aussi possède une sérieuse réputation de croqueuse d’hommes, elle est presque aussi bonne que toi. Enfin ses deux mignonnes filles viennent pour s’encanailler. Ce sont Malou et Gigi. Ca manque d’hommes. Où est donc la maîtresse de maison? Vous attendez d’autres invités?

Une sauterie, ici, ce soir réunit Brigitte, Denise, Angèle, Malou et Gigi d’une part et Joseph, Abel, Gino, d’autre part; cinq femmes pour trois hommes, il en manque deux ou un, serait-ce mon Robert? Aurait-il prévu de me faire d’autres démonstrations avec ces femmes? M’offrira-t-il aux autres hommes pour payer ses galipettes avec tout ce poulailler caquetant? Il est dans la place, et pourrait être le quatrième larron, malgré un capital sexuel déjà entamé…Brigitte la frigide organise des orgies, c’est un comble. Robert fait-il partie de la bande. M’a-t-il fait venir pour … je n’ose l’imaginer
Je m’incruste, il n’est pas question de m’en aller comme le souhaitait visiblement Joseph. Il ne parle plus de fuite. Une sauterie, quand on voit la composition de l’assemblée, on imagine facilement ce que ça peut être. Joseph aurait aimé que je ne sache rien des activités réelles de sa femme. Il ne peut pas les ignorer et il va y prendre part. Je veux savoir quel rôle mon mari va tenir dans cette assemblée. Une orgie est annoncée par Abel. Abel m’éclaire d’un geste sans équivoque. Il m’envoie une main sous la robe et tâte mes fesses, écarte mon string et envoie son majeur vers mon petit trou.
-Ton cul sera à moi ce soir, ma poule, il y a trop longtemps que j’en ai envie.
Il donne le ton! Je n’ai plus de doute sur la suite. Les mains baladeuses vont exciter les sens, fouiller les culottes, ouvrir les sexes, introduire les bites et cela finira en coulées de sperme. Deux menteurs m’ont roulée, prise et reprise, j’ai même aimé leurs jeux, leurs bites, leurs combinaisons, j’ai joui, j’ai trahi pour me les garder. Maintenant j’ai honte, on considère que je suis une dévergondée à utiliser comme jouet, un trou à bites, une éponge à sperme. Dans ce cercle ma réputation est faite, les mâles croient pouvoir me soumettre à leurs envies; mon passé les autorise à user de moi. Reste à savoir si mon mari est arrivé aux mêmes conclusions que Joseph, Abel et les autres. Ma présence en ces lieux est un aveu de mœurs dissolues, je suis une pute à leur disposition. Le geste d’Abel n’a pas d’autre signification. Il agit en maître de mes orifices. Les autres l’imiteront, sauf refus de ma part ou de mon mari. Et encore, serai-je capable de refuser et tiendront-ils compte de mon refus. Le piège m’angoisse, j’ai juré de ne plus tromper Robert.
-Patiente, attends l’apéritif. La nuit sera longue.
Je veux retarder ses attaques. Des généralités passe-partout le calment, mais il ne peut pas retenir l’index qui fouille ma chatte. Il sort sa main, hume ses doigts et les prend en bouche.
- Hum… j’adore l’odeur de ton jus. Alors, Joseph, tu sors ton champagne? Ho! Brigitte nous sommes arrivés.

Brigitte accourt en peignoir de bain, fait la bise aux présents, moi y comprise, c’est incroyable, que cherche-t-elle?
-Une minute, je suis à vous. Je suis en train de convaincre un ami de rester pour s‘amuser avec nous… Comme sa femme est là, (elle me désigne de l’index), et semble se plaire en notre compagnie, il est sur le point de céder. On n’est jamais trop nombreux pour baiser.

Elle empoigne un paquet de vêtements sur une chaise et sort. Cette fois je la suis et derrière elle j’entre dans la salle de bain. Robert toujours nu, pavillon en berne, ne peut pas m’ignorer et attaque
-Que fais-tu ici? As-tu été invitée par Brigitte ou Joseph?
-Non, mais toi, fais-tu partie de cette troupe, es-tu l’invité d’honneur sur le point de céder aux prières de Brigitte? Monsieur Levertueux, donneur de leçons, voudra-t-il me préciser ses intentions? Si tu restes, je reste, comme tu te conduiras, je me conduirai.
-Dans ce cas, rentrons.
Brigitte s’en mêle
-Allons, jugez sur pièce. Je vous propose d’assister en spectateurs aujourd’hui. Vous êtes deux innocents, voyez et vous déciderez, aujourd’hui ou un autre jour. Mais restez ensemble pour un round d’observation. Robert, fais-moi plaisir, tu me dois bien ça. Tu vas découvrir une vie formidable. Toutes les possibilités vous seront ouvertes. J’ai appris que Simone raffolait des tailles XXXXXL: elle va être servie ici, ce soir, si elle le souhaite. Je reçois les plus beaux spécimens. Je me réserverai la plus discrète et la plus efficace des bites, la tienne mon très cher Robert. As-tu vu, Simone comme il m’a faite jouir? Il faut remettre ça, ma chatte est gourmande. Bon, j’entends les derniers arrivants. Rejoignons-les.

Elle se met le doigt dans l’œil si elle croit m’emprunter aussi facilement mon mari en échange de grands calibres. A moins que Robert…. Pour l’instant il n’est pas glorieux, mais me glisse dans l’oreille
-Ce sont des détraqués et Brigitte est loin d’être frigide, tu l’auras remarqué à ton arrivée.
-J’ai surtout vu que j’étais cocue. Il y a longtemps que ça dure?
-Première et dernière fois aujourd’hui, pour te fournir les preuves que tu réclamais, je le répète.

C’est vrai, j’avais douté de sa parole, je reçois la leçon. Au salon les coupes sont remplies. Dans un coin s’entassent pêle-mêle blouses, jupes, robes, pulls, pantalons. Deux hommes sont arrivés, un beau blond déjà en slip et chaussettes et un grand noir sans complexe, nu à côté d’Abel nu. Tous deux paradent bite en main et se masturbent tranquillement pour comparer leurs morceaux d’anthologie sous les yeux émerveillés des femmes en culotte et soutien-gorge. Ca n’a pas traîné, sous l’impulsion d‘Abel. Les festivités peuvent débuter. Le noir prend le chemin du grand lit avec Denise, fait tomber les derniers tissus, je refuse gentiment à Abel de les imiter avec lui et je m’accroche à Robert. Abel invite la quadragénaire. Robert dit
-Oh, non, vois comme Abel a abîmé Denise.!

Denise offre le spectacle de ce que je deviendrai si je continue à user de verges inadaptées, trop longues et trop épaisses et parfois peu délicates dans leur chasse à l’orgasme. Avoir une grosse queue raide ne donne pas l’obligation de démolir un vagin, mais hélas le détenteur gonflé d‘orgueil perd le contrôle et abîme ce qu‘il devrait chérir. Je l’ai appris sous Abel. Entre les cuisses de Denise ses petites lèvres pendent lamentables, à travers et sous sa vulve, teintées de violet-noir aux extrémités. C’est affreux, mais ces excroissances disgracieuses ne rebutent pas l’homme noir, lui aussi surdimensionné, dont les mains noires courent sur la peau blanche en direction du sexe déformé. Il n’hésite pas, son index trouve la faille, écarte les escalopes tombantes et y fraie un passage pour plusieurs doigts. Denise est en main. Moussa la pousse contre le lit, amortit sa chute sur le matelas, la dispose sur le dos. Il a de bonnes habitudes, il ne saute pas sur sa proie comme un sauvage, mais la couvre à l’envers: elle peut s’amuser avec la longue queue noire, la bichonner, lécher et sucer pendant qu’entre ses cuisses la tête du monsieur disparaît. Nous assistons au 69.
Abel s’est placé derrière Angèle, il lui a glissé son bâton entre les jambes et par petits bonds la conduit vers le côté resté libre du matelas. Il courbe la femme, lui fait poser bras et tête sur le lit. Ainsi, debout jambes ouvertes elle attend le bon vouloir de l’homme. Il se déplace, se met de côté et expédie sans ménagement sa main sur le sexe de la quadragénaire croqueuse d’hommes. Nous le voyons introduire plusieurs doigts dans le conduit de la dame. Il la baratte violemment, longuement, avec la ferme intention d’obtenir rapidement un lubrifiant naturel favorable à une pénétration aisée. Je reconnais ses manières. Sous l’impact des doigts du colosse, Angèle glapit, comme je l’ai fait en croyant être la seule capable de le subir. Ce que j’ai été stupide et prétentieuse!
-Allez, dit Abel, Simone vient me la tenir et me guider dans ce joli con.
Brigitte vole à mon secours après avoir vu mon immobilité. Elle tient à me convertir à ses pratiques et épargne momentanément ma pudeur et ma susceptibilité. Elle me sait en colère, ma mine l’éclaire sur mes sentiments. Donc elle se charge de prendre en main le gourdin, elle l’affermit de quelques mouvements de poignet avant d’aider Angèle à présenter au mieux le losange rosâtre de sa chatière. La queue avance, touche et s’enfonce au cri de
-Vas-y, baise-moi. Fais-moi jouir. Ahhh!
Ses deux filles accourent en faisant sautiller leurs seins dénudés pour voir leur mère à l’œuvre, l’une a un poing dans la bouche, l’autre secoue sa main: elles admirent mais plaignent leur mère exemplaire, joignent leurs voix à la complainte bien naturelle de la défoncée. Baiser et devant un public admiratif donne de l’énergie à l’assaillant. Abel joue au costaud, au grand défricheur, au mâle dominateur, au vainqueur des femelles soumises.
-Regardez bien, voyez ma lance percer son con, voyez la ressortir couverte du jus de votre mère. Inspirez-vous de son exemple, générosité, courage, endurance. Apprenez, donzelles, votre tour viendra.

Mais le beau blond et Gino approchent. Gino désigne sa quéquette tendue et veut me proposer de l’accompagner. Robert observe le jeu de séduction et mes réactions en silence. Je remercie le tentateur. Il ne perd pas de temps avec moi et attrape la poitrine de la jeune Malou immédiatement consentante. Le blond saisit Gigi par un bras, lui insinue un doigt dans la raie des fesses et ils suivent Gino en direction du salon. Brigitte est passée sous Angèle et s’emploie à titiller le clitoris d’Angèle et à presser les couilles d’Abel. Ainsi sollicité l’important s’active en longues pénétrations et m’adresse un clin d’œil pour attirer mon attention sur les gémissements en ah ou euh de sa suppliciée volontaire et il m’interpelle
-Simone, veux-tu la remplacer? Viens. Robert, c’est jeudi, jour de liberté, amène-la ici et écoute la jouir.
La main de Robert se crispe sur mon bras, me fait mal, mais me réjouit. Il me garde.
Passe Joseph désœuvré, sans femme. Il n’ose plus me regarder, encore moins m’inviter. Il attend une proie. Seule est disponible sa propre épouse trop occupée à replacer Abel en vagin lorsqu’il sort trop de la moule éclatée d’Angèle. Brigitte sait lui rendre sa raideur en quelques coups de main ou en recevant son gland dans sa bouche distendue avant de le replacer devant l’ouverture en feu.
Il y a du nouveau sur le lit. Moussa appelle Denise, lui fait signe de venir s’embrocher sur son pieu dressé droit. Avec une facilité déconcertante Denise s’accroupit et se laisse descendre le long de l’énorme tringle noire enrobée de salive. Elle ne crie pas, souffle à peine, s’installe et commence un lent mouvement à deux temps de remontée puis de retour sur l’abdomen. Moussa rit de toutes ses dents, réclame un baiser. Denise se penche sans cesser son va-et-vient, mais nous apercevons l’écartement de ses lèvres autour de la trique qui dilate son vagin, c’est une exposition incroyable de chairs à vif.

Joseph se frotte les mains, attend que l’accouplement émousse les énergies. Je connais sa spécialité et l’anus épanoui de Denise est un appel à la sodomie: il monte, pointe et envahit ce trou béant. C’est dans cette position que Robert m’a trouvée. Je n’ose plus bouger, glacée de honte à ce souvenir. En parallèle Abel s’est couché le long du trio, Brigitte a aidé Angèle à s’asseoir sur le pieu et à l’engloutir. Et Angèle imite Denise. Joseph change de monture et encule la mère de famille. Il va passer régulièrement d’un fondement à l’autre et s’amuse à les tourmenter alors qu’elles endurent les étirements de leur vagin défoncé par les manches monumentaux.
-Alors, n’est-ce pas formidable? Si on allait à trois dans une autre chambre? nous propose Brigitte, toujours décidée à me piquer mon homme..

Je ne réponds pas. Robert prétexte qu’il veut encore observer. Brigitte passe dans le salon. J’y jette un œil. Les deux gaillards sont courbés sur les gazelles agenouillées et leur tripotent les seins ou les fesses pendant qu’elles taillent des pipes avec habileté. Jeunes mais pas vraiment débutantes. Les attouchements insistants des deux hommes sur leurs parties génitales leur plaisent et augmentent la voracité de leur bouche remplie d’un vit en pleine expansion. Et tout à coup de tous côtés j’entends des cris,
-Oui, remplissez-moi, crie Denise soumise au double assaut de Moussa et de Joseph.
Elle ne bouge plus et annonce chaque jet contre son utérus en émettant un chant de satisfaction syncopé
-Vas-y Abel, crache, je te sens. Reste au fond.
Angèle braille son plaisir, c‘est impressionnant et son baiseur bombe le torse, fier de déclencher pareille clameur.
Dans l’autre pièce, les deux hommes inondent les visages des gamines d’Angèle. Le foutre coule à flot sur les visages, colle dans les cheveux, dégouline au menton et atterrit sur les nichons tout roses d‘avoir été chahutés. .Brigitte ordonne un changement de partenaire.
-Simone, tu peux choisir qui tu veux...
-Mon choix est fait, viens Robert, allons nous aimer à la maison.
Il prend ma main. Enfin!
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Histoire de Veilleur

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