ACCUEIL > Exhibition > Récit : Hélène et les voyeurs

Hélène et les voyeurs

+26

Lue : 1237 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 30/12/2021

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Un soleil rougeoyant glisse à l'horizon à demi caché par une brume de mer. La plage s'est vidée. Seuls quelques couples épars profitent des derniers rayons de soleil et de la chaleur de cette fin d'après-midi qui irradient ce coin de plage où la totale nudité est admise.
A la marée montante nous nous sommes réfugiés, Hélène et moi, en bordure de dune où nous avons passé là un agréable après-midi entre baignade et lecture.
L'arrière de la dune est couverte d'une végétation rase et parsemée de pins maritimes qui embaument l'air de milles senteurs méditerranéennes.
La partie haute de la dune est très fréquentée par de nombreux voyeurs qui l'arpentent dans tous les sens afin de trouver le meilleur angle de vue pour mater les formes des dames et des messieurs dont la nudité est lascivement exposée au soleil.
Ce ballet incessant au dessus de nous agace ma compagne qui considère ces hommes comme des malades pervers. J'acquiesce à son jugement en reconnaissant qu'il soit dommage que je sois le seul à apprécier les atours de ma nouvelle compagne dans sa totale nudité.

Je trouve Hélène si désirable avec son doux visage encadré de sa longue chevelure châtain doré, ses yeux bleus profonds en amande, sa bouche aux lèvres pulpeuses qu'il me plaît d'embrasser.
C'est une femme mince et svelte, de taille moyenne, sportive et toujours préoccupée par ses formes possédant un large bassin au hanches gracieusement arrondies.
Que dire de sa poitrine aux seins lourds en forme de poires appétissantes auréolées d'une adorable tache brunâtre qui entoure deux gros tétons. Que dire de ses fesses aux rondeurs provocatrices qui attirent l’œil des passants dans la rue et en font saliver certains. Que dire de ce pubis dont la fine toison dorée laisse transparaître la naissance de sa jolie vente puis de sa vulve ourlée de fines lèvres roses qui donnent une envie empressée de les couvrir de baisers enflammés. Que dire de ce petit capuchon dont transparaît ce bouton violacé qui ne demande qu'à grossir et durcir sous les caresses appuyées de mes doigts. Que dire encore de cette rosette anale que pénètrent mes doigts inquisiteurs. Que dire enfin de l'entrée de cette grotte vaginale où ma langue aime s'aventurer et goûter son suc intime avant que son antre chaude et humide n'avale en entier mon sexe tendu par le désir.

Hélène est si désirable que j'ai envie de l'exposer aux regards des autres, de l’exhiber en des positions originales, dans des situations inédites.

Mais cela n'est pas forcement compréhensible pour une femme quelque peu pudique même si elle pratique le naturisme depuis de nombreuses années. Certes, elle aime être désirée et faire l'amour dans certains lieux inhabituels, dans la nature au bord d'un lac ou sur une plage déserte, au fond d'une grange abandonnée ou dans un ascenseur, dans une voiture sur un parking ou encore dans un cabanon au fond d'un bois au risque d'être surpris et découvert.

La lumière du jour décline, il se fait tard, il est temps de quitter à regret notre coin de paradis.
A peine levés de notre serviette, Hélène m'apostrophe en me disant qu'elle a une envie présente d'uriner qui ne peut attendre. Il n'est plus question d'aller se tremper dans la mer pour se soulager, alors je lui soumets l'idée d'aller dans le bois derrière la dune. L'idée ne la séduit pas vraiment mais l'urgence de l'envie l'emporte sur ses réticences.
Nous escaladons rapidement le monticule de sable pour arriver dans une petite clairière entourée de pins. Elle me demande de me retourner, ce que je ne fait pas et l'observe à la dérobée.
Ne pouvant résister à ce besoin urgent elle s’accroupit légèrement et tout en écartant largement les jambes libère un puissant jet d'urine qui vient s’écraser sur le sol dans un bruit découlement. Je la regarde amusé par la situation. Elle me sourit et un peu gênée m'indique qu'elle ne pouvait plus se retenir au risque de se pisser dessus. Maintenant, faute de pouvoir s'essuyer le minou, elle se secoue vivement pour évacuer les dernières gouttes qui glissent le long de ses cuisses.

La scène est pittoresque d'autant que je remarque que près de nous, cachés parmi des bosquets un, puis deux indiscrets ont assistés aux premières loges à la scène du pipi.

Ne voulant pas inquiéter Hélène je ne l'informe pas de la présence de ces voyeurs et l’invite à m'aider à vidanger ma vessie en lui tendant ma verge. Étonnée par ma demande elle commence par refuser puis sur mon insistance saisit mon membre et l'oriente vers un arbrisseau. Elle me tient la queue entre ses doigts délicatement comme une maman le fait avec son petit garçon. Elle me presse de m’exécuter, ce que je fais en libérant un jet dru qui arrose copieusement l'arbuste, puis elle me secoue la verge avec toujours autant de délicatesse. Ce qui provoque un début d'érection qu'elle fait mine d'ignorer.
Conscient et excité par la présence des inconnus qui nous observent je prends ma compagne dans mes bras et tout en l’enserrant lui dépose un doux baiser sur les lèvres. Elle me repousse gentiment en me disant qu'il est temps de récupérer nos affaires et de rentrer dans notre location de vacances. Je lui rétorque que nous avons le temps et que j'ai envie d'elle maintenant et ici dans cette clairière. Elle me répond que je suis fou et se dégage de mon étreinte. Je la rattrape par la taille et à nouveau la prends dans mes bras, l'embrassant avec force et tendresse. Je sens que la résistance ce fait moins prégnante, nos langues se mêlent en un ballet subtil. Et tout en maintenant mon étreinte je commence à caresser d'une main sa poitrine opulente passant d'un sein à l'autre, tout en titillant la pointe durcie de ses tétons et de l'autre main j'empoigne les lobes de ses volumineuses fesses. Son souffle s’accélère au rythme de mes sollicitations, ses yeux sont mis clos, toute résistance semble abandonnée.

Je profite de ce moment suspendu pour vérifier la présence de nos observateurs. Ils sont bien là, à trois maintenant, à quelques mètres de nous, à peine cachés par la végétation. Ils sont nus et se caressent ostensiblement leurs sexes en érection. Il y a un petit bonhomme ventru possédant un petit zizi qu'il frotte désespéramment afin d'obtenir une taille respectable, un garçon plus jeune grand et mince qui montre une verge plus normalement constituée, puis un homme d'âge mur à l'allure athlétique qui stimule une belle bite bien longue et bien ronde se terminant par un gland en forme de champignon volumineux.
Je commence un peu à stresser en me demandant qu'elle sera la réaction d'Hélène si elle aperçoit ces trois gaillards.
Pour le moment, je lui masque la présence de ces opportuns mais j'ai aussi le désir urgent de l'exhiber et de la prendre devant eux. Je poursuis mes caresses avec empressement en changeant de position. Maintenant placé derrière elle je peux à mon aise faire glisser mes deux mains sur son corps, de ses seins à son pubis soyeux tout en l'embrassant dans le cou et derrière les oreilles ce qu'elle affectionne particulièrement.
Je sens littéralement fondre ma compagne qui soupire sous la douceur de mes baisers. Littéralement basculée contre moi, sa poitrine dressée vers le ciel obscurci , les cuisses largement ouvertes, elle tente une nouvelle fois de me faire entendre raison en susurrant à mon oreille la tête renversée sur mon épaule qu'il est maintenant temps de rentrer. Mais il est trop tard car mes doigts inquisiteurs ont déjà glissés sur son clitoris et s'activent à l'exciter. C'est le point sensible de ma compagne : elle est maintenant totalement désarmée et soumise.
Son souffle court s'est transformé en râle profond signifiant chez elle le début de la jouissance.

J'imagine ce que peuvent voir et entendre nos voyeurs positionnés à quelques mètres. Pour le moment Hélène ne se doute de rien. Je poursuis mes investigations et glisse ma main dans son entre cuisse encore tout mouillé par l'urine, son minou est détrempé et je peux donc aisément y glisser deux doigts provoquant un petit cri de contentement de ma partenaire. J'entreprends alors de palper avec délicatesse l'orifice de son vagin autre point d'une intense sensibilité. Arrachant de la bouche d'Hélène de nouveaux gargarismes sonores, je poursuis ma besogne entre caresses vaginales et caresses clitoridiennes.
Tout cela me bouleverse aussi et provoque une belle montée d'érection augmentée par la présence de nos inconnus. D'ailleurs, Hélène ne s' est pas trompée, elle s'est saisie de ma verge et la branle avec vigueur palpant mes bourses durcies par la même occasion.
Notre position debout devenant inconfortable je l’entraîne vers un pin couché au sol et je m'assois dessus, la queue bien tendue. Prenant ma compagne par les hanches je l'invite à s'empaler dessus.

Elle semble rechigner à prendre la position, préférant me faire face. Alors sans attendre je l'attire à moi en la penchant vers le sol, la forçant à me montrer son beau cul et là dans un mouvement de rein je la pénètre d'un seul coup. Elle pousse un cri de plaisir et se met à onduler de la croupe au rythme de mes vas et viens. Je vais et je viens, enfonçant mes 15 cm de bite en érection au plus profond de son minou. Elle jouit et je suis heureux, je peux dans cette position lui claquer les fesses, lui pincer la pointe de ses seins, lui torturer le clitoris. Je ne m'en prive pas provoquant à chaque claque sur ces grosses fesses un cri supplémentaire de plaisir mêlé de douleur et une bordée d'injures à mon encontre. Mais je sais qu'elle aime ça, mais modérément. Je peux ainsi varier la position en la poussant légèrement vers l'avant puis en la ramenant vers moi accentuant la pression de mon sexe dans son vagin en suivant ce mouvement

Tout en glissant lentement dans la chatte détrempée de ma compagne j'observe le manège de nos mateurs qui se sont rapprochés au point que l'on pourrait presque se toucher. Ils sont devant nous la queue à la main, les yeux rivés sur nous mais surtout sur Hélène qui jouit maintenant sans discontinuer.. Dans cette position, la tête en bas, elle ne peut les voir.

Cependant, le plus jeune des voyeurs prit par l'intensité du spectacle s'approche si près de nous qu'Hélène en apercevant ses pieds se redresse brusquement et se retrouve avec le sexe de notre gamin au niveau du visage. Elle pousse un cri strident, le jeune recule dépité sans doute de ne pas avoir eut la chance de se faire sucer par ma compagne. Conséquence de ce brusque mouvement mon sexe est sorti de son vagin.
Hélène veut se relever, je la saisi à nouveau par les hanches et la pénètre aussitôt. Elle hurle contre nos mateurs qui font semblant de s'éclisser, elle les traite de salauds et autres noms d'oiseaux mais continue à onduler de la croupe.

J’accélère le mouvement et reprends mes caresses et mes délicates fessées. Elle jouit de plus belle poussant de petits cris de plaisir tout en éructant très fort des propos que je comprends pas. Sans doute à destination de nos voyeurs. Leur présence semble augmenter le plaisir de ma compagne qui sans retenu leur offre le spectacle de sa jouissance avec forces démonstrations. Elle s'est redressée et semble les chercher du regard, un regard perdu vers l'horizon et la mer.

Parfois je perçois des brides de phrase «  il est beau mon cul n'est ce pas et mes gros seins vous font envie, il me baisse le salaud, que c'est bon, continu, défonce moi, encore, encore, plus vite, plus fort, plus au fond« .qui indiquent clairement que je suis pas le seul destinataire des messages.

L’excitation semble aussi à son comble chez nos voisins qui se branlent à l'unissons les yeux rivés sur le corps en transe de ma compagne. J'ai un peu peur d'un soudain débordement et qu'ils finissent par se jeter sur nous , forçant sous la contrainte ma compagne à pratiquer la fellation des trois personnages puis de subir les assauts répétés de leurs queues dans sa chatte martyrisée.

Je m'applique à limer comme un apprenti besogneux mais je suis au bord de l'éjaculation que je ne peux plus contrôlé tant la tension est forte. J'informe ma compagne que je vais venir en elle, que je ne peux plus me retenir. Je sens son vagin se contracter sur ma verge. Le tsunami arrive, me submerge et secoue violemment ma bite qui dans un formidable spasme libère un trait de sperme au fond de la cavité vaginale de ma compagne lui arrachant un long cri sonore venu du fond de son ventre. Puis un deuxième spasme enfin un troisième entraînant chez elle à nouveau la même démonstration sonore.
.Je suis épuisé mais ravi car il y avait bien longtemps que nous n'avions baisé ainsi et joui avec une telle intensité.La présence de nos observateurs en est sans doute un peu responsable.
Je suis vidé, exténué par tant de jouissance.
Enfin je prends Hélène par les épaules et la redresse, maintenant complètement assise sur moi mon sexe encore emboîté dans sa chatte, je peux la rassurer. Nos mateurs s'éloignent, nous nous relevons, mon sexe débandant sort de l'orifice vaginal de ma compagne dans un léger bruit aquatique.
Hélène est défaite, elle aussi vidée. Elle ne dit rien si ce n'est que c'était très bon et que je lui ai fait atteindre le nirvana orgasmique.
Mes fesses sont marbrées par l'écorce du pin sur lequel j'étais assis, nous quittons la clairière et passons devant nos voyeurs alignés, la queue à la main et toujours aussi peu discrets.
Hélène tout en dandinent des fesses leur offre un large sourire comme un remerciement chargé d'excuses de les avoir troublés de cette façon.

Nous retrouvons nos affaires et nos serviettes. Hélène s'empare d' un rouleau d’essuie tout .placé dans le panier à pique nique, en tire quelques feuilles pour s’essuyer les longues coulures de sperme, de siprine et d'urine qui glissent le long de ses cuisses. Puis penchée, les cuisses bien écartées, les fesses en l'air elle applique les feuilles d’essuie tout sur sa vulve pour en essuyer les écoulements sans imaginer que nos curieux au dessus de nous sur la dune ont une vue plongeante sur le cul de ma compagne ainsi offert à leur lubricité. Je lui fait remarquer la chose. Elle me répond sans s'offusquer qu'elle a un beau cul et qu'après ce qui vient de se passer elle est heureuse de leur dévoiler son intimité sans retenu.
Puis elle continua à s'essuyer la raie des fesses devant nos spectateurs conquis.

Nos sexes essuyés nous nous habillons et quittons, la nuit tombée, la plage et sa dune où Hélène a perdu sa pudibonderie et découvert le plaisir de l'exhibitionnisme, selon moi.
Au cours de notre trajet en voiture, Hélène toujours sous le coup de l'émotion me fait le reproche de l'avoir exhibée en faisant l'amour ainsi à la vue de ces gaillards. Elle me demande si je les avais remarqué avant et ce qu'ils avaient pu voir.
Tout en lui prenant la main, en la rassurant, je lui rétorque qu'ils ont vu ce que tu leur as montré, c'est à dire ton beau cul et ta belle fente. Aussitôt nous partons dans une franche et commune rigolade.
Quelques jours plus tard nous sommes de retour sur cette plage. Malheureusement, notre place au pied de la petite dune est prise par un jeune couple. Nous décidons d'aller plus loin et de nous éloigner de la dune. Mais à sa mine renfrognée je sens Hélène contrariée. Aussi, je lui demande de me livrer son malaise. Elle me dit franchement tout en se déshabillant que cela va lui manquer de ne pouvoir se faire mater par des voyeurs. Surtout par le beau mec bien monté qu'elle a eu le temps de remarquer et sur lequel elle m'avoue avoir f lâché lors de son orgasme. Je suis bouleversé par un tel aveu que je présume aussi fantasmé que provocateur. Malgré mon tourment je lui propose sur le ton de la plaisanterie d’aller, dans la soirée, libertiner dans le bois de pins sur la dune.

Ce qui ne se fera pas. Mais nous aurons d'autres occasions de libertinage à vous raconter.

DOLBACH
Août 2021.
26 vote(s)


Histoire de DOLBACH

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Hélène et les voyeurs

Le 14/12/2022 - 18:53 par DOLBACH
Merci à trial pour son commentaire. Depuis cette aventure ma compagne et moi avons pris un plaisir grandissant à nous exhiber. Aussi nous fréquentons quand l'envie nous prend d'autres lieux pour nous montrer, mais surtout exposer ma compagne aux yeux des voyeurs excités, ce qui la ravit. L'été nous pratiquons les arrières plages et sous-bois, l'hiver les clubs libertins. Nous y avons rencontré d'autres couples avec lesquels nous pratiquons cet agréable exercice mais pour le moment ma compagne est encore réticente à l’expérience échangiste. Dolbach
Le 05/12/2022 - 22:26 par Trial
Il y a les naturistes pur et chastes en publics Puis il y a ceux, les plus nombreux, qui rêveraient d'assister à une telle scène Il y a enfin ceux qui font le spectacle, merci à eux

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :