ACCUEIL > Exhibition > Récit : Sexe et clôtures partie 1

Sexe et clôtures partie 1

+26

Lue : 941 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 24/02/2022

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

J'étais absorbé par mon travail et tout ce qui en découlait, et parfois surpris, parce que je partais très tôt le matin, et je rentrais soit tard dans l'après-midi, soir encore plus tard dans la soirée, de l'évolution du quartier dans lequel je vivais. Je me trouvais souvent devant le fait accompli, sans avoir vu l'évolution d'un lieu.
Ca avait été vrai pour la grande grange qui était pile en dessous de chez moi. Deux grands battants, en bas étaient parfois entrouverts et servaient de portail, en haut, deux fenêtres donnaient sur quelque chose de vétuste. Il y avait eu des travaux pendant quelques semaines, je m'en étais rendu compte un jour, et le haut avait été transformé en une série d'appartements. Ca avait été bien plus tard, qu'en bas, un des garages était devenu un local commercial. Un espace vide qui, un jour s'était orné, sur une fenêtre crée tout récemment d'un vaste enduit plastique collé et sans aucun doute transparent, un fond vert pistache et un logo GILLET CLOTURES.
Ca m'a fait sourire que vienne s'installer juste sous mon appartement le bureau d'une entreprise centrée sur les clôtures. En effet, je me partageais entre cet appartement de location, proche de mon lieu de travail et ma maison, héritée de mes parents, qui se trouvait à 100 kilomètres d'ici, J'avais un problème de clôture justement. La mienne, faite vingt ans plus tôt était vieillissante, mise en place par un artisan qui avait utilisé des piquets en bois auxquels il avait accroché du grillage. Elle tenait encore debout, mais elle était vieillissante. Et j'envisageais de la remplacer.
Mon problème, c'était que j'étais installé sur un terrain en pente, et elle suivait un tracé irrégulier, descendant, étant rectiligne, puis remontant à nouveau.
Je voulais me renseigner.
Un samedi après-midi, je me suis approché de la vitrine. Les horaires d'ouverture avaient été imprimés et ils étaient collés sur la porte. Tous les après-midis du lundi au vendredi. Je me suis dit que si j'avais l'occasion je passerais.
Et puis l'occasion s'est présentée. Un jeudi, j'ai eu la chance de finir au travail un peu plus tôt que prévu. C'était rare.
Je suis arrivé sur le coup de seize heures. Le magasin était logiquement ouvert. Il y avait en tout cas un néon allumé.
J'ai ouvert la porte et je l'ai poussée.
Je n'oublierai pas ce premier moment. Parce qu'il était inoubliable.
L'espace était plus vaste et plus profond que je ne l'aurais cru de l'extérieur.
J'ai largement eu le temps d'embrasser l'ensemble de la scène, et de me rincer l’œil, comme on disait autrefois,
La jeune femme qui était présente, puisque c'était une jeune femme, ce que j'ignorais totalement, j'aurais pensé d'instinct qu'un homme aurait été préposé à la tâche, prisonnier sans aucun doute de clichés sexistes, était occupée à déplier des kakémonos. Je ne sais pas si vous savez comment c'est un kakémono. Il y a un gros bloc métallique, fourré dans un sac. On sort ce bloc métallique, on va récupérer d'un côté une tige métallique que l'on déplie, elle est en trois morceaux, de l'autre, on accroche la partie plastique au bout de la tige en haut de la toile que l'on remonte. Le moment délicat, c'est quand il faut poser le haut de la tige, il y a une encoche, dans la partie plastique, et enfoncer le bas dans un trou qui aboutit sur une autre encoche. Normalement, un clic dit que tout est fait.
Elle venait d'ajuster deux kakémonos. De belles photos, le nom de l'entreprise, ses coordonnées, et les différents types de clôture, selon les matériaux, mais aussi les formes...Il y en avait encore quatre.
Elle s'offrait à mon regard, dans l'intégrale de sa beauté de MILF, ou quasi MILF, elle abordait sans doute la quarantaine. Le terme pouvait coller ou pas. Il est vrai qu'il est sujet à bien des interprétations.
Et quand je dis intégralité, je pense, intimité.
Concentrée sur sa tâche, elle ne m'a pas vu tout de suite, et, j'ai pu prendre la pleine mesure de sa beauté épanouie. Une épaisse chevelure rousse, épaisse et bouclée, une longue silhouette, fine, mais cette finesse ne signifiait pas qu'elle n'avait pas de formes...Elle portait une robe en lainage grise, simple, mais efficace dans sa manière de souligner ses charmes, son corps de femme...
Elle était accroupie, jambes ouvertes, stabilisée pendant qu'elle montait les kakémonos. Des bottes couleur fauve lui arrivaient en dessous du genou. Le reste de sa jambe était pris par du nylon sombre, mais cependant transparent. Pas des bas, mais un collant.
Il y a des phénomènes naturels, et il était logique que la robe ait remonté quand elle s'était accroupie. Elle était venue se tire-bouchonner autour de sa taille, dégageant donc, dans cette position, clairement le bas de son ventre.
Certaines filles mettaient un slip sous leurs collants. D'autres, non. Il était vrai qu'il y avait mille types de collants, et certains incluaient une partie slip, en coton, opaque, d'autres un rond supposé masquer le sexe, qui, je l'avais remarqué avec des partenaires, s'ajustait toujours mal, ne masquant qu'une partie de l'intimité féminine.
Son collant à elle n'était qu'une longue pièce de nylon sans aucun parement pour dissimuler, juste une ligne de couture qui passait au milieu du ventre, et elle n'avait pas estimé nécessaire de mettre une culotte en dessous.
Il est des spectacles qui ne laissent aucun homme différent. Je n'étais en rien blasé, et j'ai été troublé au possible de voir ainsi ses parties intimes offertes. J'ai d'ailleurs pu en profiter un bon moment parce qu'elle était hyper concentrée sur sa tâche, sur sa volonté d'assembler le kakémono efficacement, et elle n'avait absolument pas perçu ma présence.
Elle me donnait tout à voir, ainsi positionnée. Une toison rousse, en harmonie avec ses cheveux, fournie mais taillée de manière rectangulaire, son sexe, que sa position ouvrait, laissant voir un peu de son intérieur, mais aussi un bout de lèvre de chaque côté, de dessin et de longueur différents, la rondeur de ses fesses, et un peu plus bas les plissements de son anus. J'étais venu pour avoir des renseignements sur des clôtures, j'avais bien plus. Elle était vraiment très belle, et aussi réellement sensuelle.
Elle a calé le troisième kakémono, attrapé le quatrième, l'a sorti de son sac, a commencé à l'ajuster, avant de se rendre compte, enfin, d'une présence.
Elle s'est redressée, dépliant sa grande silhouette, la robe redescendant, jusqu'à mi-cuisses, suffisamment pour masquer ses parties intimes, qui devaient rester gravées sur ma rétine et dans ma mémoire après, comme un délicieux souvenir.
Elle m'a souri.
--Vous voulez des conseils pour une clôture ? Vous voyez, je suis entrain de déployer des kakémonos qui montrent quelques unes de nos solutions clôture...On travaille essentiellement le PCV et le métal, mais tout est possible. Vous avez une idée précise de ce que vous voulez ?
--J'ai une clôture vieillissante, et assez rudimentaire que je voudrais remplacer, pour quelque chose qui tienne plus longtemps et qui soit plus solide...
Elle s'est approchée de moi. Une odeur, forte, de vanille, m'est montée aux narines. Parfum de bain, gel douche, huile, parfum, ca l'enveloppait en tout cas et c'était extrêmement agréable. Ca allait bien avec sa peau, avec elle.
Elle a attrapé un ordinateur portable qui était posé sur la table, le capot tourné vers nous. Il était allumé...Elle a cliqué sur une banque de données, et elle a fait apparaître quelques images. Dans le même temps, elle s'est posée près de moi, sur le siège près de moi. J'ai perçu son corps, son épaisseur, mais aussi sa chaleur... Elle s'est penchée sur moi pour commenter les images en même temps qu'elle les faisait défiler, et et son corps a appuyé, légèrement, sur le mien... Ca m'a troublé...Mais ça ne m'a quand même pas empêché de suivre attentivement ce qu'elle me disait.
--Ca, ça me plait bien, j'ai dit. Simple, mais classique.
Une clôture entièrement en métal, piquets et grillage.
--C'est très solide.
--Je pense qu'il faut que j'aborde le point le moins agréable...La configuration de mon terrain. En fait, il est en pente, et ce n'est pas évident.
--Vous n'avez pas une photos des lieux ?
Je n'avais même pas pensé à en prendre une.
--Je n'ai pas non plus les dimensions du terrain.
--Ce n'est pas un problème. Je vais vous accompagner sur les lieux et on va voir tout ça.
Je me suis tourné vers elle.
--Le problème majeur, il est là. Je suis installé dans un département voisin. Une bonne centaine de kilomètres d'ici. Je me contente de louer ici. Je suppose que vous allez me dire non.
--Pas du tout. Vous savez nous sommes une jeune compagnie, nous voulons nous développer et nous ne rechignons pas à travailler sur un rayon large.
J'ai été un peu surpris. Je m'attendais à un refus.
--Voilà ce que je vous propose. Vous avez un véhicule ?
--J'ai tout ce qu'il faut.
--Demain matin, on se retrouve ici, devant le magasin, sur le coup de huit heures, vous m'emmenez chez vous et vous me ramenez ensuite. Je prends des photos, des mesures, et ça devrait aller...Quelle que soit la forme de votre terrain.
C'étaient des options qui me convenaient. Qu'elle accepte de se déplacer. Ca disait quand même un certain sérieux de l'entreprise. Et aussi, ce qui me convenait bien, la possibilité de passer quelques heures avec elle. Elle me plaisait bien. Je n'envisageais d'ailleurs aucun scénario de séduction d'une part ou d'autre. On se connaissait à peine. Simplement le plaisir d'être avec une jolie fille.
On s'est séparés sur cet engagement.
Elle a été dans mes pensées, en arrière-plan, toute la journée. Sa silhouette fine, sa chevelure rousse, son intimité qu'elle m'avait révélée sans le vouloir, son poids de corps contre moi... Elle me plaisait énormément...Après...On ne se connaissait pas...Je l'imaginais sagement mariée, vivant une vie équilibrée...Moi, je m'étais calé dans le célibat il y avait plusieurs années de cela, et j'allais d'aventure en aventure...
J'ai été récupérer ma voiture sur le coup de sept heures cinquante sur le parking et j'ai rejoint la placette en bas de chez moi. Je suis descendu vers celle-ci. Elle venait d'arriver, se garant à côté de son magasin. J'ai ralenti.
Elle a ouvert sa portière, et elle s'est tournée pour sortir. Ralentissant, je me suis dit que décidément, le hasard faisait qu'elle m'offrait, à chaque fois que nous nous rencontrions, ses jambes, mais aussi ses parties intimes.
Ca n'a duré que quelques secondes, mais c'est un moment que je n'oublierai pas. La vue de ses jambes fines, prises par une autre paire de bottes, gris souris, en daim, qui arrivaient jusqu'à ses genoux, et gainées par du nylon, mais cette fois le nylon de bas qui montaient à l'assaut de ses jambes, jusqu'aux deux-tiers de ses cuisses, leur charnu entouré par une attache élastiquée en dentelle, et ensuite au-delà sa chair. Elle n'était décidément pas fan de slips, car son ventre était nu. J'ai eu le temps d'apercevoir sa toison flamboyante de rousse, la fente de son sexe, dont sortait un bout de lèvre.
Elle a attrapé son sac, et a fermé son véhicule avant de contourner le mien, et de venir se glisser près de moi, à ce qu'on appelle la place du mort. Son corps était lui bien vivant, et, quand elle s'est installée, il y a eu un moment où j'ai eu droit à une vision nettement plus rapprochée de son sexe. Le temps qu'elle pose une jambe dans le véhicule, introduise la deuxième, puis se laisse descendre sur le fauteuil, avant de tirer pudiquement la robe sur elle. Une autre robe en lainage, bleu pétrole, qui ne descendait pas bien bas, mais suffisamment quand même pour masquer son sexe. Je m'étais demandé si elle voulait le cacher au final. J'avais eu, il y avait quelques temps de cela, une copine qui m'avait confié qu'elle prenait un plaisir infini à s'exhiber, mine de rien, que c'était pour elle quelque chose d'intense, et je commençais à penser qu'elle était du même acabit.
26 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Sexe et clôtures partie 1


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :