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Hélène la cougar

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Lue : 3704 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/11/2013

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Elle baise comme une bête. Hélène l’a dit dès le début de notre relation, mariée, à 38 ans elle cherche son plaisir avant tout. Elle a de suite avoué être une cougar à la recherche de bite ou d’autre chose que son mari ne lui donne pas. Ou plus.

Notre rencontre chez de amis s’est terminée dans mon lit. Elle ne s’y est pas imposée. Elle avait envie de voir comment je baisais. Je lui ai montré ce que je connaissais. Ça avait l’air de lui plaire, surtout des nouveautés pour elle quand ma langue est venue sur son anus : jamais personne n’avait pensé à mettre une langue à cet endroit, encore moins une bite. J’ai eu l’avantage et le privilège de la dépuceler de l’arrière train : elle en jouissait. J’avais ouvert et son cul et ses fantasmes.

Je travaille de nuit, j’ai donc les après-midi libres. Elle vient chez moi régulièrement vers 15 heures pour me « faire un café ». Son café est excellent surtout bu entre ses seins ou ses jambes. Au début elle était réservée, presque timide. Surtout la première fois. Une première communiante est plus extravagante qu’elle : elle faisait des manières pour montrer ses magnifiques jambes. Je l’embrassais comme si je l’aimais d’un éternel amour. Elle savait bien que je me fichais de son avenir, que seul son cul m’intéressait. Hélène embrassait fort bien, sa langue savait caresse la mienne de longues minutes. Plus tard elle montrait d’autres avantages plus sensuels.

Pour notre première fois je voulais qu’elle prenne le max de plaisir, même si moi……

Elle venait me voir à la suite de mon invitation masquée. Je lui avais demandé de ne pas porter de sous-vêtements : elle venait me montrer qu’elle était presque nue sous sa robe serrée à la taille. Quand elle s’est assise sur une chaise dans mon petit séjour, je pouvais voir outre ses genoux, une bonne partie des cuisses. Son encolure montrait aussi un début prometteur des seins. Bref, elle était parfaitement baisable.

Notre baiser devait être encore plus érotique : elle s’est levée pour se coller à moi. Je sentais son corps contre le mien : je commençais à bander. Elle le sentait bien, elle faisait semblant de ne pas le sentir. Je me mettais à caresser les fesses en montant sa robe. Elles étaient bien nues. Nues, douces, musclées. Exactement comme j’aime. Pour voir ses réactions je passais juste un doigt en haut dans la raie. Elle se tordait un peu, sans réaction négative. Je murmurais de mots tels que « elle me plait, j’ai envie d’elle, de son corps, de son sexe, de son cul, de sa bouche, de ses mains ». Sa réaction était la même, elle m’embrassait. Il me semblait même que la langue allait plus profond dans ma bouche.

Finalement son désir devenait plus fort. Elle se saisit de ma queue à travers le pantalon. Si je cherchais également sous sa robe, l’entrée de son secret, elle arrivait à sortir ma queue facilement. Même si je n’avais pas voulu d’elle sur le champ, j’étais son otage. Hélène voulait faire l’amour, elle me voulait moi et ma queue, mes mains sans doute. Je ne l’ai pas déçue : j’ai pu la mettre nue en un temps record, ce qu’elle désirait. Eloigné d’elle rien que pour voir son corps, je restais bête : magnifique poitrine, ventre, pubis velu, des fesses indescriptibles.

Elle prenait ma bite, commençait à me branler, pas comme une débutante. Elle arrêtait d’elle-même sachant qu’elle aller me faire gicler. Elle faisait tomber et mon falzar et mon slip, plus tard la chemise. Nous étions les nouveaux Adam et Eve. Mais une Eve très vicieuse, très chaude. Je voulais rester contre elle, debout pour mieux la sentir. Elle me poussait sur le petit divan. Hélène venait reprendre ma queue par sa bouche, une main venait caresser entre les cuisses, vers le cul, sans jamais y aller. Elle venait sur moi, me tournant le dos, Je voyais sa main me chercher, mais pour aller où ? Elle s’arrangeait contre moi, remuait pour fignoler sa tenue, ma bite dirigé vers son gentil petit con. Elle était mouillée largement, presque trop. Je glissais en elle pendant qu’elle gémissait de bonheur. Je ne bougeais guère, c’est elle qui assurait le service, et quel service. Elle baisait tout simplement, elle prenait son plaisir plusieurs fois je crois. J’étais en panne devant son orgasme. Elle forçait pourtant. Je n’ai joui que plus tard quand elle jouissait une deuxième fois plus longtemps.

Hélène, gourmande voulais encore une fois. J’étais en déconfiture. Elle prenait ma pine dans la bouche : ce fut la seule, la première à me donner tant de bien-être en une fellation. Elle semblait apprécier ma bite dans la bouche, elle suçait, suçait toujours, ses joues se creusaient pour mieux me pomper. Je crois qu’elle se servait de la langue, de ses joues, de son palais. Ma bite faisait le tour de la cavité buccale. Le résultat arrivait par une avalanche de sperme.

Elle levait la tête en souriant, elle avait encore de la semence autour des lèvres. Elle sortait la langue pour se lécher. Je n’ai pu m’empêcher de l’embrasse profondément sur la bouche en récupérant moi aussi un reste de sperme.

C’était notre première baise. Elle prenait l’habitude de venir me baiser, pas l’inverse tous les jours. Je ne l’ai jamais refusée.
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Histoire de baiserjouir

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