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Liposuccion 13

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Lue : 1100 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 16/11/2013

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Cris d’amour dans la nuit.

Au coucher, Julie se montre tendre, amoureuse. Une lame du parquet du couloir des chambres le trahit : Derrière la porte de notre chambre, rôde un indiscret, attiré par les doux gémissements de plaisir de mon épouse. André a promis de se montrer discret, mais il écoute l’oreille collée à notre porte. Je le suppose, mais j’ai l’intention de le vérifier. Apparemment Julie concentrée sur l’acte n’a rien remarqué. Nous allons devoir surveiller l’expression de notre plaisir pendant nos vacances. Je lui murmure à l’oreille :

-Ma chérie, est-ce tout l’effet de mon travail ? Je fourgonne à tout va et tu étouffes tes soupirs.

-Je ne voudrais pas ameuter André. Comprends, le malheureux couche seul. Alors s’il venait à m’entendre, il souffrirait.

-Voilà ce que je vais gagner à sa présence ; nous devrons jouer à papa-maman en silence pendant nos vacances. Nos nuits seront dédiées à sainte Retenue. Tu veux m’imposer cette attitude pendant deux semaines ?

-Mais non. Tiens, je me lâche, mais tant pis si demain notre hôte fait des remarques grivoises. Tu l’auras voulu. Oh ! Oui. La présence d’un autre homme sous notre toit te procure un regain de vigueur. Jean ! Je t’aime. Ah ! Ah !...

-De quel droit se permettrait-il des commentaires? Montre-moi si tu sais apprécier mes efforts. Laisse-toi aller ou cessons d’avoir des relations sexuelles. Que dis-tu de ça ?

Julie s’amuse autant qu’elle jouit. Elle geint, roucoule et rit en même temps. Je fournis des arguments à sa démonstration, je lime, fonce et défonce. Le ton de sa voix monte. Je m’arrache à ses bras, elle pousse un cri de surprise qu’un autre interprétera comme il voudra. J’ouvre brusquement la porte et j’appuie sur l’interrupteur. André ne m’a pas entendu arriver. Il reste figé dans son attitude d’écoute, l’épaule immobilisée, l’oreille tournée vers l’emplacement de la surface de la porte. A peine sa main a-t-elle le temps de libérer sa verge congestionnée par la masturbation. Je suis en face du curieux statufié par mon apparition inattendue d’époux à la verge raide arrachée au doux vagin de sa légitime. Je banalise avec ironie :

-Que cherches-tu dans le noir, cher ami ? Souffrirais-tu de somnambulisme ? Ou voudrais-tu ma place ?
-Excusez-moi, je n’ai pas trouvé l’interrupteur, je cherche le WC pour uriner.

-Dans cet état, tu crois pouvoir uriner avec une telle érection ? Si j’étais curieux je t’accompagnerais pour assister à l’exploit. Mais j’ai mieux à faire, tu l’auras remarqué, malgré la pudeur de Julie qui a tiré sur elle notre drap. C’est là-bas. Bonne nuit.

Julie ose enfin me regarder, bien ennuyée par l’intermède.

-Jean, que cherchait-il vraiment ? Il me ferait regretter d’avoir accepté de l’héberger.

-C’est insupportable et tu devrais comprendre que je refuse cet espionnage pendant les vacances. Mais ce soir il va en prendre encore plein les oreilles.

Je redouble d’ardeur, Julie un peu tiédie par l’incident, essaie de me détromper. Elle veut me prouver que son amour ne souffrira pas d’écoutes éventuelles. La coquine se remet à chanter de plus belle sous mes coups de boutoir. Dans la chambre contiguë André doit s’astiquer à pleines mains. Tout a une fin, nous reposons côte à côte.

-Dis, tu sais mon chéri, la leçon aura porté ses fruits, il ne recommencera plus. Victoire serait tellement déçue si nous les rejetions en dernière minute.

-Qui serait surtout déçue de Victoire ou de toi ? Toi, Julie ! Après ce que tu viens de constater tu plaides encore en faveur de la présence de ton loup dans notre bergerie. Ne peux-tu pas te passer de lui ? Que me prépares-tu encore comme surprise ? Je ne réussis pas à imaginer des vacances dans ces conditions. Chaque fois que tu seras absente au même moment que ton si cher voyeur, je serai à la torture. Ne me parle plus de manque de confiance, comment avoir confiance dans ce type capable de tout et si fortement influent sur toi. Il sifflera et tu courras à ses pieds, tu lui lècheras les bottes, les mollets, les genoux et la suite. C’est au-dessus de mes forces. Encore une fois, renonce à notre remariage et vole avec lui, convolez en justes noces.

-Nous venons de faire l’amour divinement et tu oses me renvoyer à André. Attends, je vais te donner une preuve écrite de mon honnêteté.

Assise au secrétaire elle écrit puis se lève et me tend sa carte de visite imprimée sur du papier Bristol .Au dos elle a écrit

« Si par inadvertance je me trouve seule en compagnie d’André, montre-moi ce carton. Si je m’isole volontairement avec lui, tu pourras me quitter »

-C’est précisément ce que je ne veux pas voir. Pourquoi aller aussi loin afin de constater votre complicité. Désormais je considérerai un tête-à-tête avec ce revenant comme une trahison.

-Cela ne se produira pas, je le jure sur ce que j’ai de plus cher. Je suis mère, je ne l’oublierai pas. Je t’aime et je ne trahirai pas.


Le vendredi soir André s’est emparé de Victoire. Ils ont grignoté rapidement le souper et se sont précipités dans leur chambre. J’éprouve de la gêne à voir ce couple adultère réuni par ma femme. Julie livre sa cousine aux envies d’André et trouve son astuce naturelle. C’est montrer très peu de considération pour le mariage de Victoire et de Richard en particulier et pour le mariage en général. Pourquoi donc insiste-t-elle pour notre remariage alors qu’elle pousse Victoire dans les bras d’un amant ? Me mettra-t-elle dans une situation analogue, se donnera-t-elle aussi facilement à un autre homme ? Je ressens un gros malaise. Nous devons partir en voiture le lendemain en fin de matinée, nous nous couchons assez tôt. Or nous dormirons peu. Victoire gémit, donne des éclats de voix significatifs : on fornique bruyamment de l’autre côté de la paroi. A la faveur d’une accalmie je m’endors. Brutalement je suis tiré de mon sommeil par de véritables cris de délire amoureux.

La source de ces exclamations me semble évidente. Je tâte le drap à la place de Julie : elle n’est pas là. Un rai de lumière passe dans l’ouverture de la porte de ma chambre. Que se passe-t-il, où est Julie, est-elle partie rejoindre l’autre couple pendant mon sommeil ? Je saute du lit, me dirige vers la lueur : Julie est debout dans le couloir, en nuisette transparente, penchée vers la lumière qui sort de la chambre voisine. A son tour je la surprends dans un rôle bizarre de voyeuse. Elle regarde en direction du lit, subjuguée par le combat qui s’y livre. Elle a un poing dans la bouche et une main sur le bas-ventre. Victoire miaule toujours aussi fort. Julie ne me sent ni ne me voit me placer derrière elle. Puisque le spectacle l’intéresse autant, je pousse la porte pour l’ouvrir toute grande et je pousse Julie dans la chambre. Elle fait deux pas et jette un cri d’effroi. Je me retire, mais j’entends André qui parle à voix basse :

-Ah ! Te voilà enfin. Tu en as mis du temps. Je le savais bien, tu es incapable de résister à l’appel de la chair. Viens avec nous, tu en as besoin. Laisse enfin parler tes sens, amusons nous à trois. Victoire commence à fatiguer. Bienvenue Julie.

Une porte claque, celle de ma chambre se referme, le plafonnier nous éclaire et Julie en courroux me traite de fou.

-C’est toi qui m’as poussée ! Ils m’ont prise pour une excitée du berlingot par ta faute.

-Je t’ai vue bouillante de désir sur le seuil de leur chambre, en observation ou en admiration devant les performances de ce bel André. Tu n’osais pas entrer, je t’ai aidée. André a compris ce que tu n’oses pas reconnaître.

-Non ! Ils faisaient un tel boucan depuis la reprise que j’ai voulu voir s’ils n’allaient pas réveiller notre fils. Ces idiots n’avaient même pas fermé la porte de leur chambre. Victoire couchée sur le dos, cuisses écartées, était fouillée brutalement par trois doigts d’André. Cela durait depuis longtemps. J’ai vu André se déchainer pour obtenir un maximum de bruit de sa partenaire pour nous exciter. Je venais de comprendre comment il s’y prenait quand tu m’as poussée. J’étais sur le point de fermer leur porte et de revenir au lit. Ecoute-les, c’est infernal. Demain je les sermonnerai, je ne veux plus entendre ce sabbat.

-Cette fois ils ont dépassé les limites. Un sermon est une mesure dérisoire. J’exige, sans autre forme, que tu fasses ton choix. J’ai clairement entendu André t’inviter pour un trio dans leur lit. Tu les rejoins et demain tu pars avec eux et tu ne me verras plus ou tu restes dans notre lit avec moi et tu refuses catégoriquement de les accueillir dans notre résidence de vacances. Ne me parle plus de confiance ou d’autres balivernes. Que décides-tu ? Ne tergiverse plus. Je veux une réponse immédiate.

-Elle est évidente, puisque je t’aime.

-Elle doit être aussi évidente pour eux. Ils continuent leur cirque. Viens avec moi, allons leur annoncer la nouvelle. Tu les as invités, donc tu leur assènes ta décision.

-Tu crois ? Je, je dois leur dire quoi exactement ?

- Que leur conduite dans une maison familiale où il y a un enfant est inqualifiable, que nous ne prendrons pas le risque de les entendre recommencer, que nous ne voulons pas d’eux à Fouras et que demain matin ils seront partis à huit heures au plus tard. Précise que c’est notre décision commune et irrévocable.

-J’enfile une robe de chambre ?

-Tu es magnifique dans ta nuisette. S’ils voient ton intimité, ce ne sera pas la première fois. Moi, chez moi, je veux pouvoir me promener à poil quand l’envie me prend. On y va. Je frappe à la porte, passe devant.

-Qu’est-ce que je t’ai dit Victoire. C’était une fausse sortie. Elle revient, elle est impatiente de se faire niquer. Mais, Jean l’accompagne, c’est formidable, on va faire une partie carrée ! Ouf, ils se décoincent. Il n’y a rien de tel que de beaux orgasmes pour réveiller la libido des braves gens. Approchez. Toi, Jean passe du côté de la grande, je te l’offre pour cette nuit. Julie, qu’attends-tu pour me serrer dans tes bras ? Tu es superbe dans tes voiles. Souris. Quoi, je te fais peur, approche, lâche le bras de ton homme, laisse lui un peu de liberté. Tu veux commencer par un discours ? Parle.

Victoire est muette à côté de ce vantard. Elle a flairé que le verbiage d’André passe mal. Julie se lance, débite notre décision d’un seul trait. André fait semblant de ne pas saisir. Je confirme la décision, rappelle notre besoin de calme et de sérénité et m’excuse auprès de Victoire de la désillusion que lui donne notre résolution. Je lui conseille de profiter de l’absence de Richard et d’offrir l’hospitalité à son amant. De nouvelles manifestations sonores m’obligeraient à les mettre à la porte en pleine nuit. Julie se soustrait aux regards indiscrets d’André sur le bas de sa nuisette et me tire vers notre chambre. Une dispute oppose les amants qui s’accusent d’avoir provoqué leur renvoi. Ils se taisent. Ouf !

Notre voyage nous mène à un joli pavillon. Nous n’avons plus évoqué les faits de la nuit, Clovis n’a pas à être mêlé à ces histoires. Je suis satisfait d’avoir obtenu de Julie une décision courageuse. Elle semble soulagée d’avoir écarté les risques de conflits. Nous prenons possession des lieux dans le soir. Le pavillon voisin est occupé par un couple et une gamine de l’âge de Clovis. A travers le grillage de séparation nos enfants sympathisent. Nos voisins nous saluent et nous invitent à l’apéro et à la dégustation de sardines grillées. Ça va mieux ! Chassons le stress.
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