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Télétravail

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Lue : 1566 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/06/2021

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J’étais concentré sur mon écran quand elle a fait irruption dans la chambre d’hôtel. J’ai relevé les yeux, et j’ai vu une des plus jolies paires de jambes qu’il m’avait été donné de voir jusqu’alors.
C’est vrai que j’avais toujours été sensible au charme des jambes féminines, sans doute plus qu’à une autre partie de leur anatomie. Et les siennes étaient indéniablement dans le haut du panier, fines et galbées, sans le moindre défaut. Elle devait d’ailleurs en avoir conscience, car elle portait une jupe très courte, qui les dégageait bien, et son collant les rehaussait, sans nul doute.
Mon regard est sans doute resté fixé longtemps, trop longtemps même sur ces jambes qui m’ont fasciné tout autant qu’arraché à mes travaux fastidieux. Je me suis détaché de leur contemplation avec un sentiment de honte, pour remonter plus haut.
La fille qui se tenait devant moi avait mes âges, à peu près. Dans la trentaine. Elle avait un tailleur simple, et strict, veste et jupe gris, qui dessinait une silhouette fine. Sur l’épaule elle avait, accroché par une lanière, ce qui devait être un ordinateur portable. Je suis remonté jusqu’à son visage, triangulaire, fin. L’élément central, c’était sans aucun doute son regard, posé sur moi, et qui disait clairement sa surprise de me trouver là.
Ce n’est pas sans une certaine autorité, mêlée d’irritation qu’elle m’a jeté:
—Je peux savoir ce que vous faites là?
—Je m’échine à rédiger des rapports.
J’avais été embauché par une grosse entreprise, installée dans plusieurs pays, après des mois de galère, deux ans plus tôt. J’avais candidaté pour un poste qui n’était d’évidence pas fait pour moi. Au moment de partir, le recruteur m’avait demandé:
—J’ai vu que aviez été écrivain public pendant quelques temps.
—Je suis très bon pour écrire, sans doute parce que j’ai appris à lire très tôt et que j’ai toujours lu. Oui, j’ai fait ça pendant deux ans. J’aidais les gens pour rédiger des courriers, des lettres, des mémoires, mais j’ai laissé tomber. Je gagnais à peine ma vie. Mais j’aimais énormément ça.
—Ecoutez, j’ai un travail pour vous. Aujourd’hui, la plupart des personnes que je côtoie et qui doivent nous rendre des rapports sont incapables de rédiger. On récupère des rapports qui non seulement sont truffés de fautes d’orthographe, mais mal rédigés, et ça pose problème quand ça arrive à la maison-mère. Je vous engage pour remettre en forme tout ça.
Et depuis deux ans, je recevais, chaque jour des rapports que je devais relire et surtout re-rédiger. C’était assez étonnant comme des gens qui avaient pas mal de diplômes pouvaient rédiger d’une manière aussi médiocre. J’y passais énormément de temps.
—Vous occupez la chambre que j’ai réservée.
—Je ne pense pas, non.
Je semblais la crisper. Elle a glissé la main dans la poche de sa veste, et elle en a sorti une feuille de papier, froissée.
—J’ai pourtant la preuve que je suis bien ici.
—Je suis ici depuis trois jours. Dans cette chambre.
Une semaine plus tôt, j’avais lu dans la presse qu’un grand hôtel-restaurant près de chez moi, fermé pour cause de confinement, avait trouvé cette solution pour faire rentrer un peu d’argent. Il proposait de louer des chambres à la journée ou la semaine, à des prix très bas, pour que les gens viennent travailler. On avait une chambre à disposition du matin au soir, et un repas offert était inclus dans le prix. Je les avais contactés, sans grande conviction, appâté par le fait que je pourrais ainsi sortir un peu d’un chez moi qui me pesait. Il y avait de la place, on m’avait répondu à la réception. J’avais réservé pour une journée. Au terme de laquelle, voyant les bénéfices pour moi, un changement d’air, un goût de luxe, un repas sympathique, une concentration totale sur mon travail, et un prix très bas, j’avais renouvelé. J’avais donc pris une semaine de réservation. Et j’étais assigné à cette chambre.
J’étais plutôt d’un naturel calme, mais j'ai senti la moutarde me monter au nez.
—Je vous trouve bien arrogante, et bien autoritaire. Vous débarquez là, alors que je suis tranquillement installé, et vous revendiquez de prendre possession de cette chambre. Vous voyez bien que je travaille, non?
—Moi aussi, j’ai l’intention de travailler.
Je m’étais calé à un bureau, et j’étais en pleine rédaction, avec face à moi une vue magnifique sur la mer. Elle s’est laissée tomber sur le lit, avec une expression déterminée.
—Vous n’avez pas l’intention de partir, j’imagine?
—Pour aller où?, j’ai répondu. Je crois que la question ne se pose même pas. Je ne vais pas m’installer dans le couloir pour vous faire plaisir.
Elle est restée un moment figée, les bras croisés, avant de me dire:
—Bon, on va tirer les choses au clair.
Elle s’est levée, et elle m’a montré la feuille. Elle avait imprimé la réponse validant le fait qu’elle ait loué une chambre. Il n’y avait rien d’autre.
—Je vous propose qu’on descende à la réception.
On a quitté la chambre côte à côte. Elle avait une expression butée et boudeuse sur le visage, mais ça me plaisait bien. J’aime les filles qui ont du caractère. Et puis je trouvais que ça réhaussait son charme. Dans le conflit, je ne m’étais pas trop attardé dessus, mais je me rendais compte, en marchant près d’elle jusqu’à l’ascenseur, qu’elle était vraiment très jolie.
Deux étages en dessous, on a retrouvé le réceptionniste.
—Ah, je sens qu’il y a un problème.
—Il est dans ma chambre, elle a jeté, avant même que je n’aie l’occasion de dire quoi que ce soit.
Elle a posé sa réservation sur la table. Moi, je n’avais pas la mienne, alors j’ai donné mon nom.
—Il y a effectivement eu un problème, il a dit, après avoir examiné ses fichiers. Je pense que la personne qui vous a enregistré a fait une erreur, mais sans doute de bonne foi, car, si je vérifie les chambres à partir de votre fichier, la 14 n’apparaît pas. Ecoutez, je vais vous mettre dans la 12. Elle est libre, c’est une certitude. Et pour nous excuser, on va faire un geste commercial. On vous offre une journée supplémentaire gratuitement. Donnez-moi votre badge, madame, je vais vous donner accès à la 12.
On est remontés ensemble à l’étage. Silencieux. La tension était retombée.
Elle avait laissé son ordinateur dans la chambre. Elle m’y a accompagné pour le reprendre.
—Ecoutez, je tiens à m’excuser, elle a dit après avoir un peu hésité. Je crois que je ne vous ai pas montré mon meilleur jour.
—C’est oublié…Bonne journée.
Elle semblait avoir des regrets. Mais je n’ai rien rajouté. J’avais envie d’avancer sur mon travail. Elle a attrapé son sac et elle a disparu.
J’avais de quoi m’occuper. Je croulais sous les re-rédactions à effectuer.
Une demi-heure plus tard, on tapait à la porte. J’ai pensé que c’était le service. Parfois, on avait droit à un café sur le coup de dix heures, et il était effectivement pas loin de dix heures.
Elle a fait son apparition, sans sa sacoche cette fois. Elle s’est avancée vers moi, hésitante et sûre d’elle-même à la fois.
—Je voulais m’excuser pour tout à l’heure.
—Vous l’avez déjà fait, je lui ai répondu.
—Non, je voudrais m’excuser d’une manière autre.
Elle s’était approchée de moi, vraiment près et la densité de son corps remplissait mon espace proche.
—De la manière dont une fille peut s’excuser auprès d’un garçon.
Je n’ai vraiment compris où elle voulait en venir que quand, s’appuyant sur le bord du bureau, elle est venue poser sa main sur mon pantalon, au niveau de ma queue.
J’ai été un peu surpris, mais en même temps, mon désir a pris le dessus et a tout balayé. Elle m’a défait, et a mis ma queue a nu, une queue qui a gonflé sous ses yeux, alors qu’elle l’encerclait de sa main, et la caressait doucement. En contraste total avec son attitude précédente, il n’y avait plus aucun stress sur son visage, mais au contraire de la détente et un grand sourire.
—Je ne suis pas toujours aimable, je le reconnais. Et je ne sais pas toujours profiter de ce qui est positif.
Il y avait des manières de s’excuser. J’aurais plutôt imaginé qu’elle me paye un café…Là, on avait sauté pas mal d’étapes. D’autant que, si je la trouvais très attirante, je n’avais pas vraiment envisagé que quelque chose puisse se passer entre nous. Un quelque chose qui s’est nettement concrétisé quand elle a commencé, avec une mine extasiée, à donner des coups de langue sur ma queue.
—Hmmm…C’est bon d’avoir une queue à disposition.
—Il ne m’a pas semblé que la mienne pouvait t’intéresser tout à l’heure.
—Je peux être très agressive. Je me suis rendue compte de ce que je loupais en me calant dans la chambre 12. Mais on a tous droit à une seconde chance.
Elle a pris le temps de bien me caresser avec sa langue, et j’ai éprouvé un réel plaisir, d’autant plus important que ces derniers temps, je n’avais pas eu de rapport avec une femme, mais aussi parce que cela me faisait une pause, vraiment inattendue, dans le rush et le stress constants qui m’habitaient. Sa langue a tourné sur moi, descendant même sur mes couilles, et qu’elle se consacre à cette partie que les filles négligeaient la plupart du temps, et qui est très sensible, m’a donné du plaisir.
—Je pense que je me suis bien fait pardonner?, elle m’a demandé quand elle m’a lâché, ma queue toute raide et suppurante. Je n’aurais pas pensé que la fille tendue, coincée et autoritaire qui s’était présentée devant moi il y a quelques dizaines de minutes puisque caresser la queue d’un homme aussi bien.
—Sans aucun doute, oui.
Je me suis dit qu’elle allait me laissait comme ça, sans me faire jouir. Au-lieu de cela, elle a posé ses fesses sur le bord du lit, à quelques centimètres d’elle, derrière elle, en même temps qu’elle tirait vers le haut sa jupe, qui, de toute façon courte, serait remontée, mais sans doute pas aussi haut. Elle a eu un sourire engageant, qui contrastait avec le visage dur et frustré qu’elle m’avait présenté auparavant.
—Je crois que tu as toi aussi des choses à te faire pardonner? Tu n’as pas été très aimable, même si tu n’en es pas sans doute conscient. J’ai envie que tu me caresses aussi. Mais attends….Regarde d’abord.
Elle a ouvert le compas de ses jambes. Mon regard a glissé le long du nylon. Elles étaient vraiment bien ces jambes, sans l’ombre d’un défaut. Même si la jupe était courte, je n’avais pas encore remarqué qu’elle n’avait pas de collant dessous, en fait, mais des bas stay-up dont la jarretière élastique venait entourer le haut de ses cuisses. En guise de sous-vêtement elle avait un slip blanc, une simple culotte en coton qui était tendue à craquer par le renflement de son sexe, venant se coller dessus et s’enfonçant dans la fente qui coupait son sexe en deux. Avec un air détaché, comme si elle était ailleurs, et si je n’étais pas là, elle est venue balader une main sur le nylon qui enveloppait la perfection de ses jambes, avant de la faire tourner sur le nylon de son slip. Un point d’humidité est apparu, qui s’est agrandi.
—Allez, viens maintenant.
J’ai glissé à genoux devant elle, et je suis remonté doucement de ses chevilles, sentant sa chaleur me remplir, et l’électricité du nylon irriter mes mains d’une irritation agréable. De la pulpe de mes doigts, je suis venu caresser délicatement la forme de son sexe, en prenant un premier dessin, percevant le gonflement de son sexe, et la manière dont, sous le tissu, il s’était ouvert et dont il coulait, trempant petit à petit la culotte que j’ai finalement écartée, la glissant dans son aine, découvrant un sexe sans poils ouvert sur les lèvres qui s’étiraient largement d’elle, gorgées de sang, sur lesquelles je suis venu tourner de la langue, la faisant gémir et partir en arrière. Dans un même temps, ma main a glissé jusqu’à ma queue pour la caresser doucement, et apaiser la tension qui prenait de plus en plus de place en moi.
—C’est bon, tu fais ça vraiment bien. Continue. Pousse a langue dedans comme si c’était une queue.
J’ai obéi à son envie, dardant ma langue et l’enfonçant entre ses muqueuses. Ses liquides intimes étaient de plus en plus abondants, et ils remplissaient ma bouche de leur saveur sucrée, que je buvais avec avidité. J’ai senti qu’elle s’abandonnait à un plaisir qui l’a emportée. Elle a lâché d’une voix brisée:
—Je voulais pas jouir et je crois que je suis entrain…
Puis elle n’a plus rien dit, emportée par le plaisir…Je ne voulais pas non plus jouir, mais la situation m’excitait trop, inattendue, son corps, le fait de la voir emportée par un orgasme…Je me suis laissé emporter par la jouissance qui est partie de mon ventre, et que je n’ai pas retenue, me vidant de mon sperme chaud dans ma main. J’avais rêvé d’autre chose, mais c’était déjà bien comme ça.
—Il faut que je retourne travailler, elle a dit, après avoir repris ses esprits, ramenant son slip sur son sexe et le masquant pour me faire comprendre que c’était fini. Sinon, c’est pas la peine de venir ici.
Je me suis calé devant l’ordinateur pendant qu’elle s’éclipsait, et je me suis remis au travail. Je ne pouvais pas me permettre non plus de perdre du temps. Ca avait été un moment aussi divertissant qu’inattendu, mais il fallait passer à autre chose. Pourtant, en même temps que j’avançais dans ma relecture et re-rédaction, je repassais dans ma tête, en boucle, ce moment, que j’avais vécu avec elle. Ce genre de moment qu’on apprécie sur le coup et qu’on apprécie encore plus quand on y repense par la suite, ce genre de souvenir qui embellit les moments les plus sombres de notre existence.
Je ne m’attendais pas à ce qui s’est passé une heure plus tard.
Je venais juste de terminer la mise en forme d’un rapport quand la porte de la chambre s’est entrebâillée, puis ouverte plus grand. C’était elle. Presque timide, cette fois.
—J’ai encore envie de sexe. Tu crois qu’on peut faire quelque chose ensemble?
Elle posait la question, mais elle n’a pas attendu ma réponse. Elle a avancé jusqu’à moi, et pile devant moi, elle a glissé ses mains sous sa jupe, et elle a attrapé sa culotte pour la descendre le long de ses jambes dans un geste féminin qui m’a séduit. Tout comme le fait qu’elle dégage une jambe laissant sa culotte accrochée à son autre cheville. Elle m’a enjambé, de telle sorte qu’elle avait une jambe de chaque côté de moi. Décidément, la matinée n’allait pas être totalement consacrée au travail. Mais je n’avais pas à me plaindre. Cela faisait plusieurs semaines que le sexe était absent de ma vie, et c’était bon de s’y remettre. 
 Elle est venue chercher ma queue. J’étais resté excité du premier moment intime, à moitié dur, et j’ai redurci très vite. Elle a souri devant le phénomène, comme rassurée que je puisse de nouveau lui donner du plaisir. L’espace d’un instant, j’ai eu envie de lui demander si elle était comme moi, une période de manque, ou si, plus simplement, elle aimait beaucoup le sexe. Mais les questions pouvaient attendre. Pour l’heure, elle a glissé une main dans la poche gauche de la veste de son tailleur pour récupérer ce que j’ai compris être un préservatif dans son emballage. Elle l’a ouvert, en me précisant:
—J’ai toujours une boite de capotes avec moi, parce que j’ai le sentiment que les occasions peuvent se présenter…Enfin, c’est plus un souhait qu’une réalité, surtout ces derniers temps…Mais tu vois, l’essentiel c’est de ne jamais désespérer.
—Midnight Express?
—Quoi?, elle a demandé, en même temps qu’elle calait la capote sur mon gland et la faisait glisser jusqu’à la racine de ma queue.
—Oh rien.
Elle a retroussé sa jupe, la roulant autour de ses hanches pour que je puisse voir son pubis et son sexe. Elle a enfoncé deux doigts dans sa vulve pour s’ouvrir, mais je crois bien que je serais rentré même sans ça. Une jambe de chaque côté, elle s’est laissée descendre jusqu’à ce que mon gland vienne au contact de ses lèvres. Ca m’a fait une décharge d’électricité dans le corps. Elle m’a dit:
—Oh, comme j’ai envie d’être remplie…
Mais j’avais autant envie de la sentir autour de moi qu’elle de me sentir en elle. Elle a continué d’ouvrir son sexe de ses doigts, en même temps que de l’autre, elle attrapait ma queue et elle la guidait. Et ce qu’elle attendait tant est arrivé, je suis rentré en elle. Elle a poussé un gémissement de plaisir, alors qu’elle se laissait descendre sur moi, s’efforçant d’y aller lentement pour avoir le maximum du plaisir. Un plaisir qui a été contagieux.
Elle s’est retrouvée assise sur moi, mon sexe totalement enfoncé en elle. Je me suis dit que, si on en était restés à l’étape précédente, on aurait loupé quelque chose elle comme moi. Elle se tordait sur moi, en se faisant aller et venir sur ma queue, alors que mes mains tournaient sur elle, profitant de l’aubaine d’avoir son corps jeune et souple au bout de mes mains, virevoltant sur sa peau, à travers et sous les tissus pour mieux m’imprégner d’elle.
—Je veux que tu caresses mes fesses en même temps, et que tu viennes poser un doigt sur mon anus pour le frotter doucement mais sans rentrer dedans. C’est la combinaison parfaite.
Mes mains ont glissé autour de ses hanches pour venir empoigner le volume charnu de ses fesses. Elles étaient douces et chaudes. Je les ai caressées un moment, avant de poser mon index là où son sillon prenait naissance et de descendre dans l’ouverture qui déchirait sa croupe en deux. Elle a poussé un long gémissement quand j’ai arrêté mon doigt contre les plissements de son anus, et que je les ai caressés…
—Ah, tu me combles…Ta queue qui caresse ma chatte et ton doigt sur ma muqueuse…C’est comme ça que j’éprouve du plaisir…
On est restés emboités comme cela un long moment, jusqu’à jouir l’un et l’autre. Elle a eu un plaisir intense, et moi aussi. Elle s’est rajustée, récupérant le slip accroché à sa cheville pour le remettre, avant de s’éclipser à nouveau.
La matinée était bien avancée déjà. Elle est revenue sur le coup de midi me proposer qu’on mange ensemble. J’ai changé de chambre, pour la rejoindre, mais la 12 était identique à la 14. Elle avait posé son portable sur une tablette et ses affaires sur le lit. On a discuté de nous, de nos vies. On avait sans aucun doute mis la charrue avant les boeufs. On s’est ensuite séparés pour retourner pour travailler.
J’avais fait une sorte de pari avec moi-même que, dans l’après-midi, elle reviendrait. J’étais immergé dans mon travail, il était pas loin de trois heures, quand elle s’est de nouveau glissée dans la chambre. Sans un mot, elle s’est laissée glisser sur le lit, se mettant à quatre pattes, et relevant sa jupe. Elle avait changé de slip, sans doute un slip de rechange dans son sac, et le précédent était-il trop poisseux. Celui-là était noir, et elle l’a descendu, se dévoilant, ses fesses charnues tendues vers moi, ouvertes sur cette muqueuse anale dont elle aimait qu’on la caresse, et une vulve que l’excitation ouvrait, et dont pendaient des filaments de sécrétions vaginales. Elle a tourné la tête, et, son regard planté dans le mien pour un message on ne peut plus clair, elle a redoublé le message que me donnaient ses yeux, en me disant simplement:
—Viens.
C’était une position que les hommes qui suscitait le désir chez les hommes, quelque chose d’irrésistible. Elle m’a tendu un deuxième préservatif, niché au creux de sa main. Je m’étais durci en quelques secondes. Pendant que je me couvrais de latex, elle m’a glissé:
—Je veux que tu mettes ta queue dans ma chatte, et ensuite que tu me sodomises. Tu crois que c’est possible? N’aie pas peur de me faire mal, j’adore me faire enculer, ça rentrera facilement…
Fou d’excitation, autant par sa position que par sa proposition, je me suis glissé en elle pour la fouiller avec une énergie à la mesure de mon excitation.
Je suis resté jusqu’à six heures du soir. Finalement la journée avait été bonne. J’avais pu boucler tout mon planning, et puis il y avait eu tout ce plaisir partagé. Cela va sans dire, le matin même, je n’aurais jamais imaginé un tel déroulement.
Elle est apparue à nouveau. M’a souri. Comme le matin, au moment du premier contact, elle avait sa sacoche sur son épaule.
—Voilà, je m’en vais, elle a dit, presque timide.
En une journée nous étions devenues intimes. Enfin, je pensais qu’on pouvait considérer qu’on était intimes, vu ce qui s’était passé entre nous. Ca serait sans aucun doute un one shot, mais les souvenirs de ces moments traineraient longtemps en moi. J’avais encore la sensation de son rectum serré autour de ma queue, de son corps frémissant, et de sa perte de contrôle quand mon sperme avait jailli, venant taper contre ses muqueuses.
—Dis-moi, je reviens demain. Tu seras là?
—C’est une certitude.
Ma réponse a semblé la rassurer.
—Si on prenait une seule chambre pour deux, ce serait plus économique, non?
La perspective d’une journée où, sans nous séparer, nous alternerions travail et sexe s’est inscrite devant moi. J’ai souri.
—Je ne suis pas contre.
—Alors je réserve en descendant. A demain.
—A demain.
La vie vous réserve parfois de belles surprises.
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Histoire de JamesB

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