Histoire de plats

C'était en 1998 à Avignon. Chez des amies, j'étais resté quelques temps et on m'avait présenté cette charmante Françoise avec laquelle durait un petit jeu de séduction. Et malgré tentatives et hésitations, rien ne s'était produit. Mon amie de l'époque était venue me rejoindre d'Arras et à l'occasion d'une soirée organisée par mes amies, Françoise était venue accompagnée de ses parents. Mais elle illuminait la soirée dans sa robe longue fourreau noire un moulante, épaules dénudées, string très fin visible à mes yeux d'expert...

Je voyais qu'elle était jalouse de mon amie qui était venue jusque là, et c'est en montant à l'appartement du dessus chercher des plats que Françoise m'accompagnait.

A peine la porte fermée au verrou, elle s'avança vers moi et m'embrassa à plein bouche; répondant à son baiser, accidentellement, les fines bretelles de sa robe tombèrent, sa robe aussi. Son corps, que j'évaluais depuis un moment était une pure merveille chez cette belle quinquagénaire, petits seins droits, petits mamelons mais fermes. Déjà sa main était dans mon pantalon à caresser ma queue si raide. J'avais une main dans son string, ne rencontrant aucun poil mais une vraie fontaine. Elle s'asseyait sur la table de la cuisine et je la pris d'un coup après avoir tiré sur le côté son micro string. Sans ménagement, je la prenais tellement l'envie était forte. Elle me mordait l'oreille en me susurrant des mots grossiers à l'oreille dont un, encule-moi!

Alors je sortis d'elle, et sans autre forme de procès, lui prit son petit trou. Elle adorait ce que je lui faisais. Elle me tirait à elle par les hanches en criant, en soufflant, en gémissant et je me mis à jouir dans le fond de ses reins avec une forces mes aïeux que je lui inondai tout son petit cul...
Elle m'embrassa longuement, me dit que je ne m'en tirerai pas comme ça, se rhabilla et partit tout comme moi avec les plats.

A notre retour dessous, personne n'avait rien remarqué. Assis en face d'elle, elle me fit du pied tout le soirée avant de se retrouver une fois encore là-haut pour une fellation assez formidable.

Le lendemain, mon amie repartait pour Arras sans que je ne la revoie jamais, et Françoise restait mon amante un moment avec laquelle j'aurais rarement pris autant mon pied qui, je le crois, aimait avant tout la sodomie en prenant presque son pied davantage que partout ailleurs. Une sacrée amante oui!