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Virginité orientale

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Lue : 27076 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/01/2012

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Ouf !!!! c’est fait, je suis infirmière diplômée depuis hier. Quand j’ai lu mon nom, ma réussite au concourt, sur les listes des lauréates j’ai été remplie de fierté et de joie. Quel challenge d’avoir été au bout de mon ambition, moi Tanya d’origine Orientale, quelle récompense pour mes parents qui m’ont toujours montré le droit chemin, le chemin du travail et du respect des autres.


En cas de réussite j’étais sûre de trouver un poste dans la clinique proche de mon petit studio ; la vie s’ouvre devant moi, je suis majeure, autonome maintenant, je suis belle aussi, enfin je le crois, si j’en juge aux regards que les hommes me jettent à la dérobées sur mes formes.


Depuis mes études secondaires j’ai été entourée d’amies, des jeunes filles comme moi et pour compenser l’aide que je n’avais pas à la maison j’ai travaillé seule plus dur que mes copines, j’en trouve aujourd’hui ma récompense. Après un bac S, l’école d’infirmières, les jeunes filles sont devenues comme moi des jeunes femmes, nous nous faisons des confidences, leur vie sexuelle est débridée bien à l’abri des dangers avec la pilule et les préservatifs. Je suis frustrée de les entendre se confier à moi car enfermée dans le carcan des traditions je ne peux les imiter, emprunter moi aussi les chemins du plaisir.


Pourtant ma libido est grande, mes envies de jouir irrésistibles. A la puberté c’est seule que j’ai dû me contenter en échafaudant des fantasmes, en me caressant en secret dans mon lit. J’ai découvert le plaisir en serrant ma main blottie entre mes cuisses, en caressant mes seins et leurs pointes durcies, j’ai trouvé mon petit sexe, mon clitoris si sensible à mes caresses.


Chaque soir j’avais hâte de me coucher pour me caresser de plus en plus fort de plus en plus savamment. Je savais comment trouver mon plaisir et quand j’avais bien joui, tout mon corps tendu par l’orgasme je plongeais dans un sommeil profond peuplé d’orgies et de sexe, un monde interdit pour moi.


Des garçons m’ont fait des avances, évidemment, vite découragés par mon refus de faire l’amour avec eux comme avec mes copines. Pour ne pas éloigner ceux qui me plaisaient, j’ai su les retenir en leur donnant ce qu’ils quémandaient. Je leur ai offert des caresses que beaucoup de femmes refusent de faire et j’avoue y avoir trouvé du plaisir et de nouveaux fantasmes. Je lis sur leur visage l’émotion que je leur inspire quand ma main s’insère dans leur jean, quand mes doigts captent leur sexe pour le faire grossir, durcir et se dresser quand je l’extirpe de leur braguette ouverte.


J’ai appris à branler leurs verges en caressant leurs testicules. Ma récompense c’est de les faire jouir et quand ils explosent en longues giclées entre mes doigts j’imagine l’effet que ces jets de sperme feraient au fond de moi si j’en avais le droit.


Je suis devenue experte et de bouche à oreille, si j’ose dire, je me suis fait une solide réputation surtout quand j’ai commencé à les sucer. Je me vois à genoux devant eux, leur Jean baissé aux chevilles dans une encoignure sombre, sous une porte cochère, je scrute leur visage quand ma langue enduit leur sexe dressé de salive translucide et tourne autour de leur gland décalotté, ils se tendent quand ma bouche s’ouvre sur eux et engame leur hampe au plus profond de ma gorge. Je sais le moment ou je dois commencer à les aspirer, à passer ma main entre leurs cuisses, à palper leurs couilles et quand ils vont jouir dans ma bouche je les sodomise d’un doigt dans leur anus serré par l’émotion. Alors je les laisse décharger dans ma bouche, se vider en moi tout le temps de leur jouissance.


La plupart des élus me sont reconnaissant certains caressent mes beaux seins, les mettent à l’air et me les sucent mais je ne les laisse pas aller plus loin malgré l’envie qui me torture. Les nuits je dois me contenter de jouir superficiellement malgré ma soif d’être enfin pénétrée par ces sexes que j’excite sans contreparties.
………….


Voila plus d’un mois que je travaille à la clinique, cela me change des stages que je faisais à l’école. J’ai des responsabilités et cela me plait. J’ai retrouvé quelques amies de ma promotion et dans nos temps libres nous parlons des fantasmes que nous déclenchons chez nos malades masculins, elles me racontent les mains baladeuses qu’elles laissent s’insérer entre leurs cuisses quand elles prennent la tension, les regards langoureux avant qu’ils ne plongent dans leur décolleté, des rancarts avec les plus beaux, pas forcément les plus jeunes. Moi je les écoute, attentive, envieuse de leur liberté…
Toutes me disent que finalement leur plaisir est plus grand avec des hommes d’expérience, Que leurs caresses, leur manière de les faire jouir n’a rien à voir avec celui des jeunes chiens qui ne pensent qu’à eux, à leur seul plaisir.


Elles me racontent les longs préliminaires qui peu à peu les transcendent, les font crier d’impatience aux portes de l’orgasme et le bonheur suprême quand on les pénètre enfin, longuement en d’onctueux vas et viens dans leur chatte qui n’en finissent pas et qui les font jouir de nombreuses fois avant de sentir au fond d’elle les giclées de foutre qui les font se tordre de bonheur.


Que je suis bête de ne pas faire comme eux, de me garder, pour qui ? Pour un hypothétique mari ? Ils ne se gênent pas eux de baiser avant mariage, Je les connais Je les côtoie, rares ceux qui sont puceaux. Alors pourquoi se sacrifier, pourquoi renoncer à ce besoin d’amour, de tendresse, de câlins, des pénétrations que tout mon corps réclame. Pourquoi ? oui pourquoi, pour un hymen, petite porte fragile aux plaisirs, que je n’ai peut être pas ou plus , quelle différence quand je trouverais celui avec qui je partagerais ma vie et qui m’aimera.
……….


Peu à peu l’idée de liberté fait son chemin, elle en a trop envie, d’ailleurs la nuit elle a commencé a aller plus loin, plus profond quand elle se caresse avec ses doigts, c’est un début mais insuffisant car c’est une bonne verge en elle que son corps réclame, à en crier de rage…….


Dans le service un homme est gentil avec elle, prévenant, il la conseille pour les tâches nouvelles. Ce qui ne gâche rien il est bien de sa personne, son âge ? La quarantaine. C’est un médecin externe qui a des consultations à la clinique, est il marié, a-t-il une petite amie ? ils n’en parlèrent pas. Les jours où il est là ils s’arrangent pour déjeuner ensemble, au réfectoire mais depuis peu ils vont dans un petit restaurant du coin plus propice aux confidences loin des regards curieux et perfides des collègues.
Avec lui elle se confie, raconte sa vie, ses angoisses, ses envies, sa culture. Elle est à l’aise avec cet homme qui la respecte et quand ils viennent à parler de sexualité elle ne peut lui cacher sa frustration et l’envie de liberté qui germe peu à peu dans son esprit.


« Réfléchissez bien ! » lui dit il en lui prenant la main pour la première fois, et durant toute la conversation qui suivit il la garda prisonnière entre ses deux douces mains jointes.


Réfléchir ! Elle ne fit que cela les jours suivants et sa décision prenait forme, si Pierre voulait c’est avec lui qu’elle voulait franchir le Rubicon. Lui seul était capable de ce cadeau qu’elle demandait, qu’elle espérait depuis toujours. Elle sentait confusément qu’il l’accompagnerait, avec tendresse, avec douceur dans ce premier geste d’amour ?


Pierre partit en stage pour de longs mois. Tanya lui fit promettre de lui écrire et là ce fut un enchantement, après des premiers échanges affectueux et chastes, des lettres journalières prirent un tour érotique. Pierre encouragé par les réponses de Tanya évoquait ce qu’ils pourraient faire ensemble si elle voulait, si elle renonçait à son obligation de chasteté avant mariage. C’était si bien décrit que cette lecture la rendait folle d’envie et quand elle relisait ses message sous sa couette elle se faisait jouir plusieurs fois en se tortillant cuisses serrées sur sa couche ; puissance de l’imagination c’est lui qui la faisait jouir au creux de ses bras.


Le retour arriva enfin, Tanya avait prit sa résolution. Quand ils se revirent pour la première fois ils comprirent que tout avait changé. C’est elle qui prit l’initiative, n’y tenant plus, la voix tremblante, les jambes en coton elle s’entendit lui dire :

« Pierre, si vous voulez je vous invite à déjeuner chez moi samedi, ce n’est pas bien grand mais nous y seront bien, qu’en pensez vous ? »

« Tanya ! je viendrais avec plaisir, vous êtes si belle, si attachante…si désirable….oui je viendrais …. »

Et quand ils se séparèrent ce jour là, debout, face à face, il la prit dans ses bras et posa ses lèvres sur les siennes….. »
………………


Tanya avait tout préparé pour recevoir Pierre, elle avait mijoté un en-cas mais surtout elle avait soigné son apparence, il fallait qu’elle soit sexy mais pas trop, juste ce qu’il faut, toute sa garde robe y avait passé mais quand enfin elle vit son image dans la grande glace de sa chambre elle se trouva bien. Sa robe légère passée sur des dessous vaporeux moulait son corps, sa poitrine débordait sans trop de son décolleté quant à ses fesses, par transparence, on devinait qu’elle portait un string car on pouvait imaginer les deux rondeurs jumelles.


Pierre était à l’heure, elle le trouva plus beau, plus jeune que d’habitude, sa tenue sportive le changeait des lourdes blouses blanches de médecin. Sur le pas de la porte il lui dit en souriant :

« On s’embrasse ? Tanya


Tanya se sentit fondre tant ces quelques mots étaient dits avec douceur, ce n’était pas un ordre mais une invitation. Alors elle se lova dans ses bras et leurs lèvres s’unirent pour un vrai premier baiser, leurs bouches ouvertes, leurs langues mêlées ils firent durer ce moment reprenant leur souffle pour mieux unir à nouveau.


Tanya sentit les mains de Pierre sur elle qui lui caressait le dos en douceur, une main lui caressait les cheveux tandis que l’autre se plaquait sur ses fesses pour l’étreindre davantage, bien serrée sur lui.


Dans un souffle en la regardant au fond des yeux il lui demanda :

« Tu n’as pas changé d’avis Tanya ? tu veux enfin connaître le vrai plaisir ? »

« Oui ! oui ! Pierre » C’était presqu’un cri qui lui échappait…..oui elle voulait baiser enfin…elle voulait tout connaître….elle avait trop attendu…..et avec Pierre si doux, si expérimenté sans doute cela allait être une révélation…..


jusqu’à présent elle se faisait jouir toute seule en se caressant et c’était déjà bon quand en lisant ses histoires érotiques elle massait ses seins et sa chatte en feu ; mais confusément elle sentait que son plaisir énorme pourtant était superficiel et elle rêvait de pénétrations profondes.


Aujourd’hui elle avait décidé de passer ces interdits et tremblantes dans les bras de Pierre elle se demandait si elle n’avait pas fantasmé un peu trop sur ce plaisir qu’elle souhaitait de tout son corps.

« Alors ne perdons pas de temps ma chérie car la route est longue, le plaisir nous attend à chaque virage. »

« Viens dans la chambre » dit Tanya

« Déshabillons-nous »


Pierre était nu et Tanya avait gardé son string quand ils s’allongèrent sur le lit dans la pénombre de la chambre. La glace était rompue entre eux comme s’ils avaient trouvé la liberté en se dénudant ; ils riaient comme des enfants. Ils s’enlacèrent, cuisses mêlées, le torse de Pierre sur les seins de Tanya. Ils se caressèrent longuement, les épaules, le dos, les fesses échangeant leur fraicheur. Leurs visages proches ils plongèrent dans un long baiser mouillé.

« Tu as des fesses fabuleuses Tanya comme j’aime »

« J’aime les tiennes aussi tu sais ! »

« tu sens ma main


Tanya sentit une de ses mains caresser ses fesses en mouvement enveloppants, elle écartait les deux volumes et ses doigts s’enfoncèrent dans la vallée profonde qui les sépare et en suivirent le cours, c’était bon, surtout quand un des doigts se centrait sur son petit trou et le massait en tournant autour. Les autres doigts folâtraient aux alentours

« Tu mouilles chérie ! »


C’est la première fois que Pierre l’appelait ainsi et le cœur de Tanya se mit à battre plus fort, la pression sur son anus se fit plus forte et cette main coquine pour être plus à son aise retrouva le petit puits mais en passant par devant entre les cuisses de Tanya. Manifestement les doigts étaient oints du miel de sa chatte et cela changeât la sensation, Tanya fut étonnée du peu de résistance que son petit cul opposa à ce doigt curieux car presque naturellement il s’enfonça en elle de toute sa longueur et il resta en elle en s’agitant. Puis elle le sentit aller et venir en elle, au recul il sortait et c’était agréable quand il la refourrait.


Tanya crut deviner que le doigt grossissait, en fait un après l’autre c’est maintenant l’index qui lui branlait le cul et c’était agréable. Mais Tanya sentit que sa chatte était aussi sollicitée, par le pouce sans doute car ce doigt était plus gros, plus charnu aussi, il allait et venait entre ses lèvres en s’attardant sur son clitoris qui commençait à bander, il s’attardait à l’entrée de sa vulve entre ses petites lèvres.


Tanya était toute mouillée et le gros doigt glissait dans sa fente. Alors sans crier gare il s’enfonça d’un coup dans la chatte de Tanya qui poussa un petit cri de douleur. Douleur est un bien grand mot car la surprise passée Tanya ne ressentait plus que cette nouvelle sensation à l’entrée de son ventre. Les deux doigts emmanchés en elle s’agitaient maintenant comme des fous avant de se calmer et de sortir de leur antre.


« Voilà chérie c’est fait, tu n’auras que du plaisir maintenant »

« Que veux-tu dire mon Pierre ? »

« Je veux dire que tu as perdu ton pucelage, ton hymen était déjà bien ouvert, ton sacrifice était bien inutile mais tu sais si un jour tu prends un mari de tradition il me sera très facile de réparer les dégâts, un petit point de suture et voilà, tu seras plus neuve que tu ne l’étais ! »


« Tu viens de me promettre du plaisir maintenant, j’attends depuis si longtemps mon Pierre , j’aimerais que tu commences par mon petit cul, car il n’est plus vierge lui, avec lui j’ai déjà pris du plaisir mais rassure moi, je vois ton sexe bandé énorme plaqué sur ton ventre, je vois ton gland décalotté…comment cela va-t-il être possible ? »


« Il faut y aller doucement, il faut bien préparer ton petit cul, l’amadouer, bien le lubrifier, il faut mettre plusieurs doigts avant de présenter son sexe, il faut trouver une position favorable mais tu sais peu de femmes aiment se faire prendre le derrière, d’autres en sont folles et aiment mieux se faire sodomiser…..le veux tu vraiment ?.....oui…..tu me diras quand tu m’auras essayé »

« La position c’est comment ? »

« En levrette c’est mieux ! »

« Attends, je me tourne….à genoux…..comme çà ?
« Relève bien tes fesses…..quel cul tu as ma beauté…..laisse moi te caresser les fesses d’abord…..mmmmm….je me régale……regarde j’ai un petit flacon d’huile…. »

« Ahhh….c’est froid…. »

« Tu sens çà coule entre tes fesses…le petit ruisseau arrive sur ton petit cratère…..mon doigts entre tout seul…..tu as mal ?.....non !.... attends je glisse deux doigts….et là çà va ? oui !... tu le sens, je te pétris tes jolies fesses…..je les écarte…. Pour bien t’ouvrir…. Je m’approche…..laisse moi me branler entre tes miches…..ahhh c’est bon »


Tanya d’un coup sentait l’émotion de Pierre, son langage était plus rauque, moins châtié, sa respiration plus forte, plus rapide, il avait mis une main sur ses hanches, elle sentait sa grosse verge s’enliser verticale entre ses fesses lubrifiées et aller et venir bien plaquée au fond de sa raie, que c’était bon


« je vois ton cul chérie…..attend …..je baisse ma garde….je m’approche…..tu sens mon gland à l’entrée de ton cul ? »

« oui je le sens…..Je sens qu’il entre en moi…..c’est bon….je n’ai pas mal….tu es centré maintenant……Qu’attends tu……prends moi par les hanches et attire moi vers toi…..oui…..ouiiiii…..elle est grosse….elle est douce…..elle glisse bien…..tu me remplis…..va y …attire moi vers toi et repousse moi…..branle moi le cul…..oufffff….enfonce toi encore…..çà me brûle….mais c’est bon…. »

« Caresse toi la chatte en même temps…..je suis presque à fond…..tu as mal ?..... »

« non….nonnn….je suis bien…..je sens tes couilles sur moi….tu es à fond ? »

« Oui chérie…..ouvre toi bien…..ajuste toi sur ma grosse queue…..je vais te défoncer maintenant si tu aimes ? »

« Oui …..ouiiii…..j’aime c’est bon….jamais je n’avais ressentit cette plénitude…..aller bouge…..fouette tes couilles sur mon cul…..ahhhhhhouiiiii…merci…continue….masse moi les seins….oui penche toi sur moi…..pince moi les tétons…..tu sens ma main sur ma chatte…..je te caresse les couilles…..Ouiiiii…. j’aime me faire prendre mon petit cul….. »

« si tu savais comme je suis bien moi aussi je ne vais pas pouvoir résister….je vais jouir moi aussi….. »

« oui mon chéri jouis, remplis moi de ton foutre ….. »

« Ahhhhhhouiiiiicébon…..je jouis….j’explose.. tu sens mon sperme qui remonte et qui souille tes fesses… »

« Oui çà glisse mieux…..je sens bien ta queue toute douce qui me ramone le cul….elle glisse…. C’est bon……j’ai bien joui…..si tu savais comme j’ai sommeil ….. tu le sais, je te l’ai dit, cette envie irrépressible de dormir quand j’ai bien joui»

« Résiste ma chérie, allonge toi…..sur le dos……oui……je m’installe à genoux devant toi…..écarte bien tes cuisses……n’est pas peur cela va être le moment…..celui que tu attends depuis si longtemps……je m’approche de toi……aide moi à te soulever……oui tes fesses sur mes cuisses……avance toi encore un peu….tu sens ma hampe sur ton ventre ? »

« Si le la sens, oui elle est énorme…..tu vas me prendre……comme çà ? »

« Tu le veux toujours ! »

« Plus que jamais…. caresse moi, j’ai envie de toi à en crier…. quand tu vas me prendre regarde moi…..je veux que tu lises mon bonheur dans mes yeux…… »

« Je vais m’appliquer ma chérie…..j’espère rendre ce moment inoubliable pour toi……et pour moi aussi….si tu savais comme moi aussi j’ai envie de toi…..de te faire devenir femme….enfin…..
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Alors ils se turent, leurs regards rivés l’un dans l’autre…….Pierre prit son sexe en main et le ploya sur le ventre de Tanya. Il ajusta sa position de telle sorte que son gland se place entre les lèvres sa chatte. En ondulant et avec l’aide de sa main il lui faisait parcourir la longue faille rose entre ouverte. Tanya se prêtait à cette caresse en animant son ventre de petites reptations, juste ce qu’il faut pour mieux sentir le mufle de cette queue s’enliser dans sa boursouflure.


Tanya se mit à gémir quand sortant de je ne sais où Pierre déboucha le petit flacon et déversa un filet d’un liquide incolore sur sa verge, petit ruissellement transparent qui les inonda en changeant radicalement leurs sensations.


Le gland s’attardait sur les petites lèvres ouvertes, il se vautrait sur le petit capuchon du clitoris. Par moment il descendait le cours du canyon enchanteur pour titiller la vulve lubrifiée ; c’était pour mieux revenir vers le centre du plaisir, sur ce petit sexe féminin qui commençait à poindre en sortant de son antre.


Tanya se pâmait, jamais les caresses qu’elle se prodiguait le soir dans son lit n’avaient eu cette douceur. Avec cette huile qui faisait glisser leurs sexes si onctueusement l’un sur l’autre elle ressentait , multipliées, toutes les sensations. Il lui semblait même deviner sur elle la caresse du filet de peau qui retient le prépuce et quand il passait sur son clito elle avançait son ventre pour mieux le sentir.


Elle se caressa les seins en pinçant leur pointes, Pierre la regardait intensément, elle vit son trouble quand elle sentit son membre descendre vers sa vulve pour y rester cette fois. Orienté par la main de son amant elle le sentait s’animer, se centrer, faire pression pour sa petite grotte….Tanya frissonna était ce le moment ?……jamais son envie d’être pénétrée n’avait été aussi forte…. Aussi impérieuse ……elle se sentit s’ouvrir…pour le moment c’était d’une douceur infinie…..seul le gland de velours était en elle……il entrait et sortait……et cela suffit à la faire jouir….cela arriva brutalement sans crier gare


…..jamais elle n’avait ressenti un plaisir si intense……et elle laissa ce sexe aimé faire son œuvre…..
Pierre l’observait guettant semble t’il une douleur qu’elle aurait pu ressentir et qu’il aurait lue sur son visage. Il ne vit que son plaisir et un sourire l’illumina.


Alors Tanya sentit qu’elle s’ouvrait mais se fut avec une telle délicatesse qu’elle fut submergée par le plaisir, ce gland qui ouvrait le chemin en elle, cette hampe grosse et dure qui l’enfonçait, qui l’écartelait, qui pressait son clito. Et puis ce lent va et viens dans le terrain conquis et amadoué qui peu à peu s’enfonçait en elle.


Que c’était bon ! Comment avait elle pu se priver de ce plaisir ? Ses copines n’avaient pas menti en lui décrivant la jouissance ! Quelle bonne idée d’avoir choisi Pierre pour lui faire franchir le pas, ce Pierre si doux, si expérimenté, si bien membré et qui la besognait si bien. Elle se sentait pleine de lui, complètement écartelée maintenant .


Elle sentait son ventre sur ses fesses, ses parties fouettant son cul, les va et viens devenaient plus heurtés, plus rapides, de plus en plus profond, elle sentit que son gland butait au fond d’elle avant d’aller plus profond encore, ouvrant une autre porte ; cela la fit jouir et elle avança son ventre pour que cette queue reste bien enfoncée.


Pierre aussi était bien, cela se voyait, son visage torturé par le plaisir, son regard la transperçait, il ne put s’empêcher de pousser un cri quand passant une main sous lui Tanya surexcitée lui saisit les couilles entre ses doigts et les accompagna dans leur course endiablée. Pierre la pénétrait durement maintenant il perdait son contrôle, il allait jouir lui aussi, il avait passé ses mains sous elle pour arquer son corps,

Il pétrissait ses fesses en titillant d’un doigt son petit trou. Il se pencha sur elle pour l’embrasser avant de sucer la pointe de ses seins.

D’un coup il releva son buste, comme tétanisé, son sexe toujours tendu en elle, il était dans un autre monde, Tanya était heureuse de lui rendre du plaisir, elle aussi perdait de sa lucidité…..Pierre poussa un long cri, un hurlement presque et Tanya d’un coup sentit au fond d’elle des jets puissants qu’elle n’avait connus que dans sa bouche quand elle contentait ses copains.


Quelle différence, quelle sensation inconnue la submergeait, la liqueur nacrée remontait avant d’être refoulée au plus profond d’elle-même, cela giclait inondant leurs ventres, ruisselant dans sa raie des fesses, ils étaient dans les bras l’un de l’autre écrasant leur poitrine l’une sur l’autre ? Ivres de plaisir ensemble, Tanya au bord de la perte de conscience. Pierre tendu comme un arc, leurs ventres soudés, des étoiles plein leurs yeux.


Et cela dura, la jouissance s’estompant peu à peu, lentement. Ils étaient bien, Tanya sentait les longs et onctueux allers et retours de l’énorme verge dans sa chatte écartelée ; le bien être prenait place de la jouissance, que c’était bon cela aussi, ils s’étaient écroulés ivres de plaisir dans les bras l’un de l’autre, leurs corps en sueur soudés pour s’immobiliser peu à peu.


C’est Tanya qui se dégagea la première, Pierre allongé à ses côtés les yeux fermés. Il sentit une tiédeur envahir son ventre, il vit sa Tanya penché sur lui, son visage sur lui, ses mains saisir son sexe pour le présenter à sa bouche. Alors il se laissa faire, découvrant avec surprise le savoir faire de son amante.


Elle le suça longuement, savamment en lui tripotant les couilles, elle lécha sa hampe avec délicatesse en remarquant quelques gouttes de sang sur son gland, vestiges de sa virginité perdue. Pierre heureux n’était qu’un râle, son sexe avait retrouvé sa vigueur surtout quand Tanya entreprit de la pomper en aspirant, le sang affluait de nouveau dans sa queue raidie, il allait jouir cela se devinait aux ondulations hiératiques de ses hanches.


Tanya s’employait pour le faire jouir, elle avait glissé une main entre ses fesses écartelées et elle lui fit une petite enculette avec un de ses doigts, le plus long. Pierre poussa un cri de fauve en rut, il allait se répandre en elle, sa semence montait impérieuse ramonant déjà ses couilles et sa hampe.


Contre toute attente il se releva comme un fou en saisissant Tanya , la renversant en relevant ses fesses et là, la prenant par les hanches, il la baisa brutalement en levrette. C’est comme un trait de feu qui transperça la chatte de Tanya. Pierre avait saisit ses seins qui se dandinaient au rythme endiablée des pénétrations.


Avant de le rejoindre dans le stupre et après avoir de nouveau sentit les giclées de foutre ravager son utérus elle eut la présence d’esprit de passer sa main par-dessous entre ses cuisses et de palper les valseuses de Pierre, ce nom est bien adapté à ces attributs qui fouettaient ses fesses.


Cette fois, c’était trop, ils s’écroulèrent emmanchés l’un dans l’autre et Pierre constata que sa Tanya était partie cette fois dans le monde des rêves, il s’allongea son corps lové sur le sien et il partit lui aussi la rejoindre.
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Histoire de Pierre le Grand

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