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Il m'apprend

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Lue : 2657 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/12/2013

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Nous devions nous retrouver à la gare. Je cherchais cet homme en regardant de droite et de gauche. Un coup de fil : il m’attend plus loin dans la galerie. Je me souviens de son offre : me faire découvrir le plaisir dans sa totalité. Qui est-il, comment est-il ?

Un homme dans la quarantaine, grand, brun avec quelques cheveux blancs. Ses mains ? Belles presque des mains féminines. André me plait. Je vais passer des moments inoubliables, des ivresses sexuelles. Il me conduit à l’hôtel. Je pensais qu’il allait m’accompagner dans la chambre pour nous connaitre mieux, en totalité. Il m’attend pour aller diner.

Je me demande si je n’ai pas fait une bêtise en venant. J’ai encore des doutes en arrivant dans cet établissement : une grande salle rempli de convives bien habillés : des robes du soir, des smokings, surtout que je ne porte sur moi que strict minimum, comme il l’a demandé : un short très court, un haut transparent tenu par deux boutons. Il passe vers le fond, monte un escalier : nous sommes dans une salle aussi grande que celle d’en bas. Changement d’atmosphère : les femmes sont habillées comme moi, les hommes en tenue de ville.

Une femme s’approche de nous : une étrange femme peu vêtue, les jambes nues, les seins à portée de mains. Elle embrasse tendrement mon cavalier, mon maître. Elle prend les commandes, me regarde en disant que je suis attirante que si je veux je peux passer la nuit avec elle. André la fait taire. Je n’aurais pas dit non, j’aime bien les filles aussi.

Le serveur arrive : un jeune de 25 ans, à peu près. Il ne porte qu’un string qui fit bien ressortir son sexe, sa bite, ses couilles. A le voir au repos, je m’interroge sur sa taille en érection. Nous commençons le repas : la musique devient douce, propice à des danses corps à corps. André ne semble pas tenté. C’est le serveur qui se dévoue.

Nous sommes corps à corps. Je le sens bander contre moi. Même si je n’en ai pas le droit, je touche sa queue qui grossit. J’en sors une partie : le gland. Il palpite dans la paume de ma main. Je le serre, je voudrais qu’il jute que je puisse gouter sa semence. Ses mains palpent mes fesses : je voudrais qu’il passe sa main dans la raie, qu’il aille là-bas sur l’anus.

André me gronde un peu quand je reviens ; je ne peux pas branler les serveurs même s’ils le demandent : ils sont réservés à la patronne qui le soir aime avoir un de ses éphèbes et une amie sans son lit. Je l’envie un peu.

André m’emmène ensuite chez des amis. Ils sont encore absents, mais Claudie est là. Claudia est une fille blonde, presque nue qui m’embrasse dès qu’elle me voit. Son baiser glisse vers ma bouche. J’aime sa langue. André ne dit rien, il nous laisse faire ce qui nous plait. Dans l’instant nous somme attirées l’une vers l’autre. Je tends mon pubis quand la main de Claudia vient à la découverte de mes trésors. Elle ouvre le short, y passe sa main à plat sur le ventre. Elle arrive à ma fente.

Il me tarde qu’elle caresse, qu’elle me fasse jouir. Pourtant elle me demande de me mettre nue, ce que je fais rapidement. Je dois rester devant un fauteuil les jambes écartées. Elle s’assoit, passe une main sur mes fesses, les masse largement. Je ne suis même pas gênée par cette position étrange. Je sens son souffle sur la chatte c’est excitant. Son visage est contre mon ventre. Je suis tendue ver elle, je n’attends que sa langue. Hélas, elle se lève pour dire à André :
- Je vais la baiser, tu permets ?
- Bien sûr.

On ne me demande rien. J’accepte d’être la proie de cette femme. Elle a mon âge, un beau corps, de belles jambes. Elle ne me déplait pas de tout. Sa bouche dévore la mienne, elle est totalement contre moi. Je sens sa chaleur contre moi : je mouille.

Je suis allongée sur le divan : André me regarde. Claudia est presque sur moi. Elle embrasse mes seins, mon ventre, descend encore : j’écarte les jambes. Son souffle encore sur ma chatte. Enfin sa langue. C’est un brasier, ce sont les flammes de l’enfer sur mon con. Sa langue écarte les lèvres, passe vers le haut, lèche enfin le clitoris.

Je suis dans un brouillard, je me laisse faire sans oser le rendre. Je sens des orgasmes dans mon corps, sur mes seins, sur mes fesses. Mon réveil est brutal quand elle se met en 69.

Enfin un sexe de fille à lécher. J’aime son odeur, son goût. A mon tour de passer la langue. Je me contente à tort de lécher le clitoris. Elle passe sa langue sur le vagin où elle pénètre un instant. C’est tellement bon qu’elle me fait jouir. Je rends la caresse. Elle continue. Elle passe le périnée, elle arrive sur l’anus. Je sens le bout de la langue patrouiller autour du cul. C’est la première fille qui se permet de venir à cet endroit. J’aime me faire sodomiser, mais là, c’est une pionnière. Elle est à la fois douce et brusque. C’est vrai qu’en début elle lèche un peu comme une chatte le tour fragile de mon cul. Ensuite elle muscle la langue pour entrer. Je me retrouve avec une langue entière dans mon anus.

Je voudrais en faire autant. La bite d’André est venue entre les fesses de Claudia. Je la vois s’enfoncer dans le cul de celle qui me baise. Elle ne reste pas longtemps : André lâche son sperme trop vite. J’en reçois deux gouttes sur ma langue.

Noter baisse n’arrête pas. C’est encore Claudia qui enfonce deux doigts ans mon petit trou, décidément fort demandé. Je lui en fais autant : je sors le sperme d’André de son cul. Je le garde sur mes doigts pour le donner à Claudia qui le lèche.

André est repu après un simple orgasme. Moi, j’en demande encore. André connait des gens qui, que je retrouve cette fois dans la chambre à l’hôtel : quatre hommes vigoureux. J’espère que je serais leur esclave. Ils s’y mettent tous pour me mettre toute nue. Je m’offre, je suis leur servante. Voir quatre bites en extension, prêtes à me baiser : un rêve.

C’est André qui dirige mes amants. Il ne veut pas que j’en ai plusieurs à la fois. Dommage. Je me décide pour me faire mettre, la plus petite bite. Je la prends dans la bouche. Elle est souple, presque élastique, en tout cas bien parfumée. Le gland est parfait. Mes lèvres l’entourent. Je les fais glisser autour. Je l’ai en entier dans la bouche : ma langue prend le relais, je lèche tout le tour, les bords, je m’attache aux bords. Je ressors le tout pour le reprendre encore dans la bouche, j’en suis gourmande. C’est meilleur qu’un mets recherché. J’aime. Ma récompense arrive par trois gros jets au fond de la gorge. Dommage j’aimais bien cette queue.

Je fais du travail à la chaine : j’ai deux bites dans les mains. Je le branle ensemble. J’aime voir les prépuces monter et descendre. Je les veux, je me couche, j’écarte mes cuisses. Les deux bites arrivent presque ensemble dans mon con. La plus rapide entre dans le vagin bien lubrifié. Je me donne totalement, je sens la queue venir au fond, repartir, venir encore. J’entoure mes jambes autour du corps de celui qui me baise. Il me fait jouir plusieurs fois. Quand il me quitte, c’est l’autre qui guettait cet instant. Il entre sans me caresser avant. Je le sens comme l’autre au fond de moi. Il doit mieux coulisser avec le sperme du premier. Je jouis en même temps que lui.

Je n’attends plus que le quatrième. Il est là, la bite à la main, il se branle. J’aime voir ça. Je me tourne, il comprend ce que je veux : il vient derrière moi, m’ouvre les fesses. Je l’aide avec mes deux mains. Je lui donne mon postérieur. Il prend mon cul doucement, calmement presque avec respect, proprement longuement : au moins il ne jouit pas vite. Je déguste sa pine, toute sa longueur ? Ça dure longtemps, très longtemps. Je sais que je jouis plusieurs fois de cette queue agile. C’est bon d’être ainsi enculée. Il manque juste une petite chose : une fille que je lèche.

Je ne désespère pas d’avoir deux amants à la fois : un dans le cul et l’autre dans le con. Je l’ai déjà fait une fois : c’est délicieux.
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Histoire de fabrissa

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Commentaires du récit : Il m'apprend

Le 12/09/2023 - 16:47 par Kristof41
Belle histoire vivement la suite

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