Il trouve sa fille dans un club 3

Marthe jouit comme jamais, elle s'écroule sur le lit en haletant comme un animal blessé. Paul, lui, n'a pas éjaculé, sa queue est dressée comme un menhir, il est allongé sur le dos, pensif, il saisit son membre et avec rage le branle. Les yeux embués de sa femme ne quittent pas le manche gorgé de sang. Sa chatte est brulante, elle pose sa main dessus et tout en regardant son mari se branler, elle saisit son clito et avec violence le masturbe. Paul sait que quelque chose se passe dans son couple suite à son dérapage avec sa fille. Il sent sa femme plus aimante, et plus vorace de sexe. Pour cela, le chenapan, veut en profiter un maximum.
Il presente sa queue aux lèvres charnues de sa femme, comme une affamée, elle gobe le manche de chair et se met à le téter avec goinfrerie. Les couilles de Paul sont tellement gonflées qu'elles sont devenues douloureuses. Marthe prend plaisir à lui pétrir férocement comme pour se venger de quelque chose.


Elle suce avec avidité le sexe gonflé de désir de son mari, le bougre serre les dents, il est au bord de l'explosion. Tout en suçant le gland, Marthe branle avec brutalité la hampe veineuse. Paul pousse un rugissement de fauve et remplit la bouche de sa femme abondamment avec son sperme épais. Marthe avale sans rechigner la précieuse semence. Repus, les deux, l'un contre l'autre, rêvassent en soupirant. Marthe curieuse demande à Paul :

-Tu penses à quoi mon chéri ?

Il repond un peu penaud :

-Si tu savais ma chérie, comme je pense à Cloé, à son cul bien ferme, je me revois la pilonner comme un malade !

Marthe tourne la tête vers lui et lui dit tendrement :

-Et si nous allons la retrouver dans sa chambre, je l'ai entendue sortir de la douche !

Paul surprit réplique :

-Tu me permets de re-baiser Cloé, tu es sérieuse ma chérie ?

-Oui, on ne peut plus, je vois que tu la désir comme un malade, tu ne débandes même pas tellement elle te hante !

Les deux se dirigent vers la chambre de Cloé, ils frappent et ouvrent doucement la porte. Cloé est étendue en nuisette sur son lit. Elle se redresse, inquiète, elle dit en béguant un peu :

-Il se passe quelque chose ?

Avant de répondre, Marthe et Paul s'assieds de chaque cote de leur fille. C'est sa maman qui parle la première :

-Ton papa m'a tout raconté de vos exploits au club, mais comment tu en es arrivé là ma chérie !

Cloé se jette dans les bras de sa maman et répond avec honte :

-C'est un besoin pour moi de jouir, d'avoir des membres en moi, tu comprends maman !

Marthe dodeline de la tête, elle comprend que sa fille est nymphomane et sans élever la voix réplique :

-Si c'est plus fort que toi, je le comprends, mais depuis que ton papa t'a baisé, il ne pense qu'à toi, tu l'as rendue fou, nous avons fait l'amour à l'instant comme des bêtes, regarde, il ne débande pas, soulage-le je t'en prie ma chérie !


Les yeux de Cloé se posent sur l'énorme bosse qui déforme le pyjama de son papa, elle reste sans voix. Mais comme elle l'aurai fait au club, inconsciemment, elle avance sa main vers l'objet gonflé et l'enserre avec ses longs doigts. Elle regarde sa maman, ses yeux s'embrument, comme un robot, mécaniquement, elle commence, à branler doucement la bite tendue de son papa. Même à travers le fin tissu du pyjama, la masturbation est efficace. Paul se laisse tomber sur le dos. Marthe écarquille les yeux lorsque, sa fille baisse le pyjama de son papa pour en extraire l'objet tant convoité. Elle regarde avec intérêt, les doigts experts de sa fille qui agitent la bite de son papa. Rapidement la cadence augment. Soudain Paul se cabre, Cloé décalotte à fond le gland en continuant la masturbation. Un flot puissant de sperme gicle de la verge raide. En retombant, la semence enduit les doigts de Cloé qui ne cessent de branler l'engin. Marthe a les yeux rivés sur le geyser humain, elle se demande comment il peut gicler si fort.


Enfin, Cloé lâche la queue frémissante de son papa, qui, lui dit :

-Fais voir à maman comment tu sais faire une gorge profonde ma chérie !

Cloé regarde sa maman, qui lui fait un signe de tête approbateur. Cloé ouvre la bouche et engouffre jusqu'aux couilles la queue gluante de son papa, elle avance et recule sa tête sur la hampe en la suçant avec un art. Puis, elle enfonce la bite au fond de sa gorge, et agite sa tête de gauche à droite en écrasant avec sa bouche, les bourses velues pleines de semence. Paul est aux anges, la maman est béate devant une telle fellation. Sa chatte commence à devenir une fournaise. Elle retrousse ce qui lui reste de chemise de nuit et se caresse la vulve en grognant comme une bête en rut.

Paul se tend comme un arc et envoie dans la gorge de sa fille plusieurs décharges de sperme, la coquine manque d'étouffer, elle recrache brusquement la verge gluante, et avec difficultés, avale la totalité de la décharge. Paul remercie sa fille du bonheur qu'elle lui donne, il ajoute :

-Au club, tu as deja fais l'amour avec des femmes ma chérie ?

-Oui papa, souvent même il y a des femmes qui ne préfèrent que les femmes !

Paul relève la tête, et demande :

-Tu veux bien initier ta maman aux plaisirs lesbiens, je te le demande comme un service personnel ma chérie !

Les deux femmes se regardent sans dire un mot. Marthe, au plus profond d'elle-même, désir fortement cette nouvelle expérience. Elle se couche sur le dos en regardant sa fille. Cloé, deja chaude comme un volcan, ne rechigne pas, maman ou pas, du moment qu'elle fait l'amour, c'est ce qui compte pour elle. Elle ecarte les lambeaux de tissu de la chemise de nuit, pour découvrir entièrement le corps de sa maman. Marthe frissonne, lorsque Cloé pose ses mains sur sa peau laiteuse. Avec une délicatesse extrême, elle fait glisser ses mains sur la peau moite de sa maman. Les mains souples et agiles s'approchent des lobes mammaires, les contournent de nombreuses fois sans les agresser. Lentement, elle caresse des seins, les pétrit doucement comme pour en connaitre la texture. Comme par enchantement, les mamelons se dressent de plus en plus, aux centres des aréoles brunes. Paul regarde sa femme gémir sous les attouchements bien dosés que pratique sa petite princesse. Sa queue est dure comme du béton, il la presse fortement pour en atténuer le flux sanguin.


Cloé roule avec tact les mamelons entre ses doigts, les étire à la limite de la douleur, la coquine sait y faire. Elle dépose de nombreux baisers sur les seins gonflés de désirs de sa maman, avant de gober à tour de rôle les petits mats de chairs, qui prennent de plus en plus d'épaisseur. Marthe défaille la bouche de sa fille et plus délicate que celle de son mari. Sa chatte n'est plus qu'un petit ru de compagne intarissable. Avec douceur, la bouche de Cloé glisse sur la peau de sa maman, sa langue fouille un court instant le nombril boursouflé. Marthe gémit, grogne de plaisir, elle repete sans cesse :

-Oh mon Dieu, mon Dieu comme c'est bon, n'arrête pas ma chérie, non n'arrête pas !

Lentement, la bouche de l'experte s'approche de la chatte inondée, se pose dessus pour aspirer le maximum de jus. La maman serre les poings, elle se cambre pour bien offrir sa chatte à la bouche de sa fille. Comme une professionnelle du sexe, Cloé titille avec sa langue le clito devenu énorme de sa maman, qui geint de bonheur sous ses coups de langue répétés. Pour faire disjoncter sa maman, Cloé aspire la boule de chair et la suce comme un bonbon, cet attouchement buccal provoque sur sa maman un effet terrible. Marthe se cabre et jouit en hurlant comme une bête blessée. Cloé dévore la vulve maternelle, qui suinte comme un fruit trot mûr. La coquine veut emmener sa maman au septième ciels. Sa langue descend et se pose sur l'anus frétillant, l'agace longuement, puis tente de forcer le muscle rectal. Marthe se cabre en couinant fortement, la pointe de la langue vient de forcer le passage et s'enfonce de peu de centimètres dans la gaine anale. La maman devient comme hystérique, elle agite sa croupe en grognant, son corps se met à trembler. Paul est estomaqué par ce qu'il voit. Juste au moment où sa femme jouit du cul, il lui enfonce trois doigts dans la chatte et la lui fouille férocement, pour qu'elle jouisse encore plus fort. Cloé change de position, elle veut aussi sa part de jouissance.


Elle se place tête bêche sur sa maman et plaque sa bouche sur sa chatte, elle lui devore comme une affamée. Marthe veut rendre ce bienfait à sa fille, elle s'accroche à ses hanches et pose sa bouche sur la vulve dégoulinante de Cloé qui pousse un gémissement de plaisir. Sa maman lui rend chaque coup de langue, chaque aspiration et chaque succion sur son clito. Les deux amantes jouissent en même temps. Paul ne tient plus, il se place derrière sa fille et dirige sa queue vers la chatte occupée par la langue de sa femme, il donne un coup de reins et enfonce sa verge jusqu'aux couilles dans le ventre de sa fille qui se cabre en gémissant de bonheur. Le bougre lui laboure la chatte avec force, il ressort son glaive de l'étui trempé, et le plonge dans le cul accueillant de Cloé qui gémit sous la pénétration brutale. Le coquin enfonce sa bite avec une alternance parfaite une fois dans la chatte et une fois dans le cul. le rythme est soutenu. prise par le cul et la chatte, la chaudasse insatiable gicle de plaisir. À chaque enfoncement de son pieu dans le ventre de sa fille, sa femme donne un coup de langue sur la verge luisante de cyprine de son mari, pour accélérer la montée de jus dans la hampe.


Paul se régale, il defonce le cul de sa fille comme il l'entend, les gémissements de Cloé l'excitent tellement qu'il s'acharne sur elle. Il se deverse une fois dans la chatte puis, après quelques efforts supplémentaires, il lui remplit le cul avec le restant de semence qu'il a encore dans les couilles. Cloé jouit encore de nombreuses fois sous les assauts barbares de son papa. Enfin il se retire, en regardant les dégats causés aux trous beants qui laissent échapper le surplus de sperme.
les deux femmes se remettent à se brouter les orifices, jusqu'à l'ultime jouissance. Marthe et rayonnante, les deux amantes embrassent langoureusement en échangeant un flot de salive. Marthe, ne regrette pas ce moment merveilleux passé entre les bras de sa fille. Elle rappelle à son mari sa promesse d'inviter Raymond pour une bonne double pénétration.