Il trouve sa fille dans un club 4

Depuis, les trois ébattent chaque jour. Lorsque Paul a les batteries à plats, les deux femmes se gouinent jusqu'à épuisement. Mais Cloé, la nymphomane, doit se terminer à chaque fois en se bloquant un plug anal dans le cul tout en se godant rageusement la chatte, pour avoir une ultime jouissance. Marthe devient de plus en plus gourmande, avec sa fille, surf sur le net à la recherche d'objet de plaisir. Elle sont émoustillées pas des fourreaux qui se placent sur la verge ou sur bon gode, cela permet de doubler la taille de la verge ou du gode. Les engins ont la particularité d'être garnis de picots, l'un a des picots souples, l'autre bien rigides. D'après la description, les jouissances sont garanties monstrueuses. Les deux complices se regardent en éclatants de rire, la commande est vite passée, la réception est encore plus rapide. Le moment venu, Marthe déballe le paquet sous les yeux impatients de Cloé et ceux ahuris de Paul. Les engins sont impressionnants, la maman et la fille se regardent en souriant, rapidement, elles se mettent nues. Paul reste sans voix, en voyant sa femme est sa fille se chauffer en se dévorant la chatte et l'anus pour préparer le terrain.


C'est Marthe qui ouvre les hostilités, elle s'empare de l'engin aux picots souples et le place sur le gode que sa fille a toujours en réserve. Elle le brandit comme une épée en riant puis le pose contre la chatte dégoulinante de sa fille qui ouvre au maximum les cuisses, non sans avoir pris soin de placer un gros coussin sous ses reins. Marthe frotte doucement les picots sur la fente ruisselante de Cloé qui se cabre en offrant sa vulve à l'engin monstrueux. Marthe pousse, les lèvres vaginales s'écartent, le mandrin s'engage dans la gaine, les picots souples en frottant contre les parois du vagin ont un effet terrible, immédiatement Cloé se met à geindre comme une bête blessée. Paul se penche pour mieux voir l'engin dilater la chatte de sa fille. Lentement, Marthe continue de faire progresser l'engin dans le ventre de sa fille, qui se tortille comme un ver en gémissant de plaisir. Une fois le monstre bien en place, Marthe commence à faire des demi-rotations dans la vulve dilatée. Cloé se cambre en soufflant comme un dragon, le frottement de l'engin sur ses muqueuses vaginales, la font défaillir. La maman, consciencieuse et aimante, commence un va-et-vient qui prend de la vitesse, le pilonnage incessant fait grogner sa fille de plaisir :

-Oh maman, maman, c'est terrible, oh putain, je vais jouir, oui, oui ouiiiiiiiiiii !

Un jet de cyprine est expulsé avec force de la chatte malgré la présence encombrante de l'engin. Rapidement, Marthe remplace le fourreau par l'autre, et l'enfonce dans la chatte hyper trempée de jus. Cloé à l'impression que l'on lui rabote les parois du vagin tellement les picots sont rigides. Marthe prend plaisir à faire tourner l'engin dans la chatte en la malmenant le plus possible. La coquine s'excite en voyant et fille s'agiter sous les coups violents qu'elle lui asséne. Cloé a les yeux presque révulsés, un rictus affreux déforme son visage d'ange. La coquine est au bord du coma, un filet de bave s'écoule à la commissure de ses lèvres.
La chatte de Marthe est en feu, Paul le remarque, il plaque sa main sur sa chatte et lui enfonce trois doigts profondément dans le vagin puis, le ramone du mieux qu'il peut. Cloé gémit sous l'effet terrible que produit les picots contre les parois de sa chatte. Elle a l'impression que sa maman lui lime la gaine, c'est douloureux, mais très bon à la fois. Cloé ne peut retenir une seconde jouissance, elle arrose sa maman avec la cyprine qui gicle de sa chatte. Pour se venger, Marthe enfonce l'engin à font, et saisit l'autre engin pour le faire entrer par la petite porte de service. En poussant comme une malade, Marthe réussit à faire entrer le fourreau dans le cul de sa fille, qui se tortille en geignant fortement. Marthe attend un court instant avant de commencer un va-et-vient qui devient infernal.

Cloé, prise par les deux trous, devient hystérique, elle s'agite en grognant comme une bête en rut. Ses râles ressemblent à ceux d'une mourante. Sa maman lui ramone les deux orifices en même temps. Paul serre les dents et enfonce un quatrième doigt dans la chatte souple de sa femme et la bourre comme un sauvage.
Dans la pièce, ce n'est que gémissement et cris de plaisirs. Cloé pousse un hurlement et jouit du cul comme jamais, elle ne l'avait fait. Elle grince des dents fortement, en se cambrant davantage. Une seconde jouissance finie par la terrasser. Marthe souffle comme un bœuf, son mari lui défonce la chatte avec de plus en plus de violence. Elle gémit en se laissant tomber sur le dos, la main de Paul et presque entièrement en elle, le bougre la défonce comme un soudard. Marthe pousse un cri, la main vient de disparaitre dans ses entrailles, Paul n'en croit pas ses yeux. Il regarde sa femme qui grimace en serrant les dents. Il se decide enfin à pilonner le sexe avide de jouissance. C'est en grognant que Marthe jouit sous le regard amusé de sa fille. Paul retire sa main et admire en hochant la tête le trou béant, qui laisse échapper son jus.
Cloé sait qu'il est temps de faire subir à sa maman les fourreaux du plaisir. Elle fait prendre la pose à sa maman et la défonce avec les objets avec autant de vigueur que sa maman lui a fait endurer les plaisirs méconnus d'elle jusqu'à aujourd'hui. Prise profondément et brutalement, Marthe rugit sous les assauts qui lui raclent la chatte. Paul s'occupe du cul de sa femme pendant que sa fille dévaste à grands coups de picots la vulve de sa maman, que l'engin élargi en voyageant dedans. Paul y met tout son cœur, il ramone avec amour le cul de sa femme avec l'engin dardé de pointes de souples. Marthe à l'impression qu'on lui dévaste le cul tellement l'engin s'enfonce profondément en elle, les frottements des picots contre les parois sensibles de son rectum la font gémir comme une bête blessée. Marthe jouit plusieurs fois de suite, sont corps est secoué de terribles frissons. La coquine finit par demander grâce.


Pour remercier son papa d'avoir fait jouir sa maman, Cloé lui fait une fellation dont seule elle à le secret. Une fois les burnes vides, et Cloé gavée de sperme, le trio s'engouffre dans la douche, Marthe à beaucoup de mal à marcher. La toilette est suivie d'attouchements jouissifs que Marthe en peut supporter, car ses orifices sont trop sensibles pour le moment. Une fois rassasiés, ils sortent de la salle de bain, pour s'étendre nus sur le canapé. Il est grand temps de récupérer. Marthe, rappelle à son mari la promesse qu'il lui avait fait, une double avec son ami Raymond, la coquine n'a jamais eu en elle deux bites en même temps. Marthe devient plus demandeuse que sa fille, cela étonne son mari qui pense deja à acheter des objets qui pourront le suppléer lorsqu'il aura des défaillances sexuelles. Paul s'empare du téléphone et appel son pote Raymond, il lui dit qu'il a besoin de lui, Raymond répond qu'il peut se libérer le lendemain après midi.
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