Infidèle par jeux...

Je m’appelle Charlène, très belle femme de vingt huit ans, marié depuis peu à Hervé. Nous avions, pour raison familiale, retardés nôtre lune de miel.
Je vais vous raconter l’histoire qui m’est arrivé récemment, et comment, j’ai été très vite dépassée par les évènement. En fait, nôtre voyage ne s’est pas pas du tout déroulé, comme prévue initialement.
Nous étions, mon mari et moi, dans un coin du sud de la France. Nous dormions dans un hôtel situé en bord de mer.
C’était vraiment super. Nous passions le journée à bronzer sur la plage privé, et le soir, restaurant, ciné et promenade sur la plage. La parfaite détente.
Un après-midi, alors que nous étions allongés sur nos serviettes sous un soleil de plomb, une femme, accompagnée de deux hommes, vint s’installer à quelques mètres de nous. Soudain, les deux mecs entreprirent de caresser la jeune femme, qui ne tarde pas à pousser de légers gémissements, pas du tout gênée par nôtre présence. C’est à ce moment que je sentis une main caresser mes seins, se faufiler dans mon maillot, caresser ma chatte.
- Que ferais-tu si je n’étais pas là ?
- Mais rien mon chéri...à quoi penses-tu?
- Comme ça...pour savoir.
Les gémissements allaient crescendo, à tel point qu’Hervé, excité et ne voulant pas me baiser sur la plage, m’emmena dans la chambre. Je n’ai jamais vu mon mari dans cet état. Une vraie bête de sexe. Il me prit dans toutes le positions, me faisant jouir à chaque coup de queues. Il me lâcha après mon troisième orgasme.
L’histoire qu’il me proposa sous la douche, peu paraître bizarre. Il me proposa de passer la soirée en boîte de nuit, pas loin de nôtre hôtel.
J’acceptais volontiers, mais fus troublée par ce qu’il me demanda ensuite. En fait, il souhaitait que nous y allions chacun de nôtre côté. Je ne comprenais pas ce qu’il voulait dire, mais surtout, ou il venait en venir.
Il attrapa son portefeuille qui se trouvait dans mon sac, et me tendit une liasse de billets. Il voulait que je quitte la chambre, pour aller faire les boutiques, afin de m’acheter des vêtements sexy.
Je tentais désespérément de lui demander ce qu’il voulait réellement faire, mais il m’interrompit en me disant qu’il m’en parlerait à mon retour.
Curieuse de connaître ces intentions, je partis en ville faire mes emplettes. Il voulait que je sois provocatrices ? Il n’allait pas être déçu.
Je m’arrêtais devant la vitrine d’une boutique de lingeries, et en regardant les tenues qui y étaient exposées, j’eus une idée bien précise de la façon dont j’allais me vêtir ce soir.
En fin de journée, comme prévu, je retrouvais mon mari dans la chambre de l’hôtel.
A peine entrée dans la chambre, il m’attrapa par la taille, me jeta violemment sur le lit. Sans me laisser le temps de réagir, il me retourna, et fit glisser ma petite culotte de sous ma courte jupe. Puis, sans aucun ménagement, il enfonça deux doigts dans ma chatte, avant d’y glisser sa queue en érection.
- Mais...que t’arrive-t-il salaud...t’es bien gros…
Sa façon féroce de me baiser, déclencha au plus profond de mon ventre, un violent orgasme. Tout en me défonçant la chatte, il m’expliqua comment devait se passer la soirée. Il se rendrait dans la boîte de nuit quelques instant avant moi, et s’installerait au bar.
Pendant ce temps, je devais me vêtir de mes habits achetés l’après-midi, et me rendre à mon tour dans la boîte de nuit. Mais, je ne devais pas le rejoindre, et faire comme si je ne le connaissais pas.
Il souhaitait me voir danser, et provoquer les hommes. Lui me regarderait, mais en aucun cas, intervenir, c’est tout. Il était totalement excité par cette idée. J’étais un peu surprise par cette demande, mais j’acceptais de jouer le jeu.
Après tout, cela pouvait être amusant, et excitant.
Lorsque il me quitta pour se rendre à la boîte de nuit, je me préparais. J’endossais un petit chemisier en soie rouge, que je ne boutonnais qu’à moitié. On pouvait très allègrement apercevoir le haut de ma poitrine nue. J’enfilais un string, ainsi qu’une très courte jupe noire, des bas résilles, qui montaient jusqu’en haut de mes cuisses. Pour finir, je me chaussais de talon aiguilles, qui me faisaient gagner bien huit centimètres. Je coiffais mes cheveux blonds en lionne, et me maquillais avec soin. Je me trouvais très désirable.
Une fois prête, je me rendais à la boîte ou se trouvais mon époux.
Il était au bar. Il me regardait pénétrer dans ce lieu faiblement éclairé, ou la musique était un peu forte. Comme il me l’avais demandé, je ne le rejoignis pas.
J’avais un trac terrible.
Je ne me sentais pas très à l’aise. Je décidais de prendre un verre, pour faire passer mes émotions. Très vite, je m’aperçus que je ne laissais pas les mâles indifférents. Mon mari devait s’en apercevoir aussi.
Des regards, plus ou moins discrets, se posaient sur moi. Je commandais un autre verre, et l’esprit un peu troublé par l’alcool, je me rendis sur la piste de danse. Je commençais à me déhancher au rythme de la musique, et très vite, trois hommes, élégamment vêtus, très séduisant, se mirent à danser autour de moi. Ce devait être des homme d’affaires, qui venaient se détendre en boîte.
Plus le temps avançait, plus je m’imprégnais de cet univers de la nuit. Lorsque les slows arrivèrent, l’un des trois hommes m’invita. Durant la danse, je sentais qu’il se collait à moi, au point de sentir son sexe contre mon ventre. J’avais trouvais celui de mon mari gros, lors de nôtre dernière relation, mais je pensais que les mesures de celui-ci devait le dépasser.
Ses mains tentaient de descendre timidement sur mes fesses, je le laissais faire. Cela m’excitait énormément.
Je cherchais Hervé du regard. Sure que d’un coin du bar, il devait m’épier, prêt à intervenir au cas ou cela tournerait mal, ou si l’inconnu allait trop loin. C’est du moins ce que je pensais.
Une fois la danse terminé, il regagna la table, pour rejoindre ses deux autres potes. Plus tard dans la nuit, l’un d’eux m’invita courtoisement, à les rejoindre à leur table. Bien évidemment, j’acceptais l’invitation. Je m’installais sur la banquette, entre deux de mes nouveaux compagnons, tandis que le troisième, s’asseyait en face moi. Ils me firent boire, et je bus. Je riais, mes yeux pétillaient. J’en avait fini par oublier mon mari, caché quelque part dans la salle. Je me sentais libre.
Un de mes voisins passa une main derrière ma nuque, m’attira à lui pour donner un tendre baiser, que j’appuyais volontairement. Le second, lui, s’employait à déboutonner mon chemisier, jusqu’à en extraire mes seins, qu’il fit passer par dessus mon soutien gorge. Ses mains se mirent à les caresser avec douceur. Le troisième luron, assis en face moi s’approcha, glissa ses mains sous ma jupe, en ressortirent avec mon string, qu’il mit dans la poche de sa veste.
Au début, j’essayais de calmer leurs ardeurs, gentiment, car tout cela n’était qu’un jeu. Mais à force de boire, je finis par perdre le contrôle de la situation. Et les trois inconnus comprirent que j’allais devenir une proie facile, vulnérable.
Mes voisins prirent chacun une de mes jambes, et les posèrent sur leurs genoux, m’écartant entièrement. Celui qui était en face de moi souriait, quand il engouffrait une main entre mes cuisses. L’accès était facile, et n’opposait aucun obstacle.
Un doigt lissait ma fente maintenant humide, excitait mon clitoris. Puis deux doigts pénétrèrent ma chatte, et commencèrent à la branler. Je fermais les yeux, prise d’intense pulsions, je projetais mon bassin sur ces doigts inconnus qui fouillaient mon intimité, que seul mon mari y avait accès. Mon corps répondit favorablement à cette odieuse caresse. L’orgasme terrible qui s’en suivit en fut la preuve. J’entendais les rires soutenus de mes partenaires, à peine couvert par la musique. Je me tournais vers mes partenaires de jeux, pris leur bouche chacun leur tour, tandis que le troisième, continuait à faire rouler mon petit bouton décalotté, entre ses doigts. Je sentais la jouissance s’approcher à nouveau, et elle vint.
Dans un sursaut de lucidité, je cherchais mon mari du regard, en vain.
L’intense ardeur des trois hommes monta crescendo. Il sortirent leur grosse bite, m’obligèrent tour à tour à les sucer, à les avaler, à les nettoyer.
Puis, tout se passa très vite.
Je me suis retrouvée dehors, dans un coin sombre du parking, plantée entre les voitures. Les trois comparses s’employaient à m’effeuiller, jusqu’à me retrouver entièrement nue. A moitié inconsciente, je sentais mes vêtements quittaient mon corps. Je sentais leurs mains sur ma peau, caresser mes seins, pénétrer ma chatte, mon petit trou, jouer avec mon clitoris, tandis qu’ils m’embrassaient fougueusement.
Puis je me suis retrouvé plaquée sur le capot d’une voiture, jambes écartées. Je sentais une queue énorme se glisser entre mes fesses, taquiner ma chatte, la pénétrer d’un simple coup de rein. J’étais en train de me faire prendre par un inconnu. Deux puissante mains se cramponnaient sur mes hanches. Je ne pus m’empêchais de jouir sous cet assaut brutal. Je sentais les couilles pleines de mon assaillant butter violemment contre ma chatte dégoulinante de mouille. Dans un puissant râle, l’inconnu se vida les bourses au fond de mon ventre, sous les yeux révulsés de ses potes. De puissante giclées de sperme inondèrent ma petite chatte, malmenée par sa grosse bite.
Je commençais à prendre conscience de ce qui était en train de m’arriver, et que ce n’était plus un jeu.
Alors que je tentais de me dégager, l’un des trois complice prit ma place sur le capot, pantalon aux chevilles. Sa grosse bite en érection, ne laissait aucun doute, quant à ses intentions. Il passa une main derrière ma nuque, et me força à me pencher sur son membre. Je n’eus d’autre choix que le prendre en bouche. Je pris avec sérieux cette fellation, sur cette nouvelle queue bien calibrée.
Pendant ce temps, je sentis une présence derrière moi. Une autre bite, aussi grosse, se frayait un passage entre mes cuisses, taquinait mon petit trou. Sans opposition aucune, il le pénétra. Vu l’étroitesse du conduit, il compris que c’était la première fois que je me faisait sodomiser, que le passage restait à faire. C’est pourquoi, il y alla avec précaution, évitant tout mouvement brusque, pour éviter de me faire mal, et me laisser un mauvais souvenir de la première fois. Ce qui ne m’empêcha pas d’avoir un nouveau orgasme, puissant, au point d’avoir honte. Les cris de plaisir traversèrent le parking, déchirèrent la nuit.
Des voitures, occupées par des couples entrain probablement de baiser, se mirent à klaxonner, à faire des appels de phares en nôtre direction. J’étais rouge de honte.
Mais je m’aperçus très vite que j’aimais ça. Sans réfléchir, je pris la queue qu’on me tendait. Elle était là, énorme, entièrement décalottée. Sans plus attendre, je la pris en bouche. Je la suçais avec gourmandise, eu même rythme que la queue qui me défonçait le cul. J’attrapais les couilles, les faisais rouler violemment entre mes doigts. Je sentais la bite d’un homme s’agitait de plus en plus vite. Deux mains saisirent la pointe de mes seins, les pinçais. Je sentais la colonne de chair écarter mon petit orifice avec précaution. Les trois hommes se mirent à m’insulter, me traitaient de pute, de salope, de chienne. Plus ils m’insultaient, plus j’aimais ça, plus je jouissais.
Je taillais une pipe d’enfer à l’un d’eux. Je l’entendais soupirer de plus en plus fort. Lorsque qu’il cracha son jus, j’avalais tout, ce que je n’ai jamais fais à mon mari. Je reçus dans le même temps, de puissants jets de sperme dans mon petit trou dilaté.
L’orgasme éclata en moi comme un éclair. Je jouis comme jamais mon mari, ne m’avait fait jouir. Un vrai tsunami.
Après ces épreuves nouvelles pour moi, l’un d’eux, John, proposa d’aller prendre un verre dans sa chambre. Seul un potes déclina l’invitation. Le dernier dit qu’il nous rejoindrait, après avoir récupérer une bouteille de champagne, et des coupes, au bar de la boîte de nuit.
Cette nuit fut torride. Ils s’amusaient avec moi. Ils étaient assis sur le lit, moi allongée sur la moquette. Ils me caressaient, enfonçaient leurs doigts dans ma chatte, la branlaient. Ils riaient de me voir me tordre comme ver, de m’entendre crier de plaisir. L’un d’eux disait être certain, que je devais être mal baisée, que mon mari n’assurait pas au lit. Ce qui n’était pas totalement faux. Cette nuit fut révélatrice, me prouva que mon corps pouvait appartenir à d’autres hommes, bien montés.
Pendant près de quatre heures, je me suis offerte sans retenue, oubliant que je m’étais mariée il y a deux semaines, pire encore, oublier totalement mon mari.
Je me suis faite baiser dans les positions les plus scabreuses. A deux, on a plus de ressources, et ils le prouvèrent. Ils se remplaçaient pour faire une pause, tandis que moi, je leur tenais tête. Du reste, ils vantèrent mes prouesses au lit, surtout lors d’une double pénétration de feu. Une première pour moi.
Puis Paul, un protagoniste quitta la chambre, me laissant seule avec John. La relation devint plus intime, sans pour autant calmer nos ardeurs. John s’avéra être un amant exceptionnel. Si les dieux de l’amour existent, il en fait parti.
Plus tard, bien plus tard, je me retrouvais avec mon mari à l’hôtel. Il était tellement excité par ce que je lui ai raconté, qu’il m’a baisée jusqu’au levé du jour.
Ce qui m’est arrivé cette nuit là, n’était pas prévu dans nôtre voyage. Je dois avouer que j’ai apprécié me faire niquer par ces trois représentants de passage, et que j’étais prête à retenter cette expérience.
Mon mari m’a avoué avoir pris beaucoup de plaisir à me voir me faire baiser par d’autres mâles.
En fait, ce salaud jouait les voyeurs.