Une infirmière pour un infirme

"Bip bip bip"
J'ouvre un œil, où suis-je? Je vois des lits autour de moi, j'entends des appareils fonctionner, je sens qu'on s'affaire...
Ça y est, je me souviens, je viens d'être opéré d'une hernie discale sous anesthésie générale. Je suis en salle de réveil. J'essaye de bouger un peu les pieds, les bras... Mes membres me semblent lourds, engourdis.

Une infirmière s'active à côté de moi. Après ce coma artificiel, j'ai l'impression de revenir d'entre les morts. Je tourne péniblement ma tête vers elle et dans un réflexe lui attrape le bras. Je tente de lui sourire. Elle me regarde et je vois que sous son masque, elle sourit à son tour.
Je ne peux voir que ses yeux, brillants, légèrement en amande, certainement ceux d'une asiatique. Un ange passe. Puis elle détache son regard et continue son travail tandis que mes yeux se referment.
Je sens qu'on me transporte, je suis dans un état semi-conscient mais je perçois les déplacements du lit monté sur roulettes tandis qu'on me ramène dans ma chambre. Plusieurs infirmiers me remettent dans mon lit. Parmi eux, je crois reconnaître mon ange asiatique lorsqu'elle me jette un dernier regard en sortant...
Je me rendors, encore épuisé de l'opération et sous l'effet des médicaments.

Je suis réveillé par une autre infirmière qui m'apporte une petite compote et deux biscuits pour que je puisse reprendre des forces. Je m'aperçois qu'on m'a mis des bas de contention. Après l'opération je dois rester allongé, et il faut prévenir les risques de phlébite.
Je me sens un peu mieux désormais. Mon voisin de chambre est revenu d'opération et on a tiré le rideau d'intimité entre nos deux lits. Il ronfle et dort profondément.
Entre alors une infirmière. Enfin, l'infirmière, devrais-je dire ! J'ai reconnu ses yeux tout de suite. C'est elle.
"M. Martin ? Je suis Sophie, votre infirmière. Je viens vous laver les jambes..."

En effet, cela fait près d'une journée entière que je porte ces bas de contention et dans mon état, impossible d'atteindre mes jambes pour les laver.
Elle se dirige vers la salle de bain et en revient avec une bassine et un gant de toilette.
Elle retire la couverture et déroule mes bas. Me voilà donc allongé sur le dos, vêtu de ma tenue d'opération consistant en une blouse et en slip en papier... Je l'observe tremper le gant dans l'eau et délicatement le passer sur mes mollets. Ses manches retroussées laissent apparaître sa peau blanche au grain délicat. Elle a l'air si douce...

Lentement, elle va et vient, se rapprochant de plus en plus de monentrejambe. Je sens que je commence à bander, et ce petit slip en papier ne cache rien du tout. Je croise son regard, celui-ci brille de mille feux gourmands. Apparemment ma réaction n'a pas l'air de lui déplaire...
"Je vais vous remettre vos sous-vêtements" declare-t-elle en s'emparant d'une paire de ciseaux. Aussitôt elle commence à découper le slip de papier. Mon membre dur, libéré, jaillit alors sous ses yeux.

"Oh, mais il n'est pas anesthésié celui-ci !" s'écrie-t-elle. Lentement, sans quitter mon regard, sa main glisse de ma cuisse vers mon sexe pour s'en saisir.
"On dirait qu'il a besoin d'une petite rééducation aussi lui..." dit-elle en commençant des aller-retours avec sa main.
La sensation est délicieuse, mon chibre est maintenant bien dressé, dur, chaud. Mes couilles commencent à bouillonner du sperme qu'elles contiennent.

Sophie enlève alors son masque et me sourit. Et quel sourire ! Ses dents blanches mordillent déjà sa lèvre inférieure, lui donnant un air coquin extrêmement excitant.
Tout en continuant à me malaxer avec sa main, elle approche doucement ses lèvres de ma bite. Elle embrasse d'abord délicatement le bout du gland. Je ressens alors une décharge électrique. Elle me regarde, me sourit, avant d'engloutir mon sexe avidement.
Mon dieu que c'est bon ! Sa bouche est chaude, humide. Sa langue continue de me titiller tandis qu'elle me suce.
Ma main caresse sa jambe, et remonte à la recherche de ses fesses. Elle ne porte rien d'autre que des sous-vêtements sous sa blouse... Je sens la dentelle de sa culotte sous mes doigts. Je les promène sur sa petite croupe ferme.

Elle continue de me sucer, mon gland fait des aller-retours entre ses lèvres et le fond de sa gorge. Je sens que je vais exploser.
Mes doigts écartent le rideau de dentelle et fouillent désormais son intimité. Sa chatte est déjà mouillée. Ils y pénètrent sans difficulté alors qu'elle pousse un soupir de plaisir.
Le voisin ronfle toujours alors que j'accélère le va-et-vient de mes doigts. Pourvu qu'il ne se réveille pas ! Elle commence à gémir doucement. Je retire mes doigts pour les humecter. Ils ont un bon goût de mouille, c'est très excitant. Je commence à tourner délicatement mon majeur autour de son anus, tandis que mon pouce lui pénètre la chatte. Sa rondelle s'ouvre comme une fleur et mon majeur pénètre son orifice. Je commence alors des aller-retours avec mes doigts dans ses deux trous.

Elle respire de plus en plus fort. Elle gémir tandis qu'elle aspire de toutes ses forces mon sexe prêt à exploser.
Le rythme de sa bouche et celui de ma main sont maintenant coordonnés. Ils s'accélèrent encore. Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Ma sève remplit ma bite brûlante, le sentiment est divin !

Soudain, je n'y tiens plus. Je me décharge dans sa bouche. La pression est tellement forte que je gicle plusieurs fois de longs jets de sperme chaud et visqueux. Elle n'en perd pas une goutte tandis que son corps est secoué de spasmes par l'orgasme...
Le voisin se retourne sur son lit.

Elle se redresse, et tout en me regardant, sourit, bouche fermée en passant les doigts à la commissure des lèvres. Puis elle découvre ses dents blanches et déglutit. Elle réajuste sa blouse. Se penche pour me donner un baiser sur les lèvres et avec un sourire coquin me dit "On dirait que vous récupérez vite, bonne journée M. Martin ! "
Puis elle se retourne, et je ne peux qu'admirer le balancement de ses petites fesses sous sa blouse tandis qu'elle sort de la chambre...