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Muriel ou Marlène-Marlène ou Muriel

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Lue : 735 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/06/2021

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Madame, on m’a commandité de vous remettre cette lettre.
-Merci…dis-je en l’ouvrant.
« Muriel, mon double. ta sœur aimée, et détestée. Après des années de séparation et de silence, Je t’adresse cette lettre.
Quand tu la liras, je ne serais plus de ce monde. J’ai décidé d’en finir, parce que ça fait longtemps, que je n’existes plus.
Peut être depuis le jour de nôtre naissance. La naissance de deux jumelles, Muriel et Marlène, ou Marlène et Muriel, et pas un signe physique distinctif. Deux prénoms qui furent un point commun, pendant de longues années. C’était Muriel et Marlène, indifféremment.
Las...Muriel la gentille, et Marlène la méchante, Muriel la bonne en classe, Marlène la cancre, Muriel la première féministe, Marlène la flirteuse, Muriel la prude, Marlène la baiseuse, Muriel la bourgeoise mariée, Marlène la pute. Aujourd’hui, Muriel la vivante, Marlène la morte. Nous avons joués chacune, une des deux faces de nos personnages.
L’horreur, et peut être les joies, de ceux dont tu t’es toujours protégées. Il y avait longtemps que nous avions cessés de nous voir, un peu après ton mariage. Tu croyais m’avoir chassée, c’est moi qui était partie.
Tiens, à ce propos, une dernière saloperie de Marlène, j’ai couché plusieurs fois avec Pierre, ton mari. Ou plutôt ton fiancé. A l’époque, nous étions parties tous les trois en vacances à Ibiza.
Je me souviens la façon qu’il avait de sucer mon clitoris, l’audace de sa queue quand il me baiser la chatte, le goût de son sperme sur mon palais. Tout ce que tu lui refusais à l’époque. J’espère que tu as changé après ton mariage.
Aujourd’hui, je suis morte d’avoir été prisonnière d’une de ces faces. Toi Muriel, es-tu bien sure de ce que tu fais, de ce que tu es.
Reste toi même Muriel, mais tu peux devenir Marlène quand tu le souhaites.»
-Sale garce… -Que dis-tu ma chérie...c’est quoi cette lettre.
-Rentrons Pierre, ne restons pas dans cet endroit maudit.
Une fois à la maison, je prends une bonne douche, et rejoins mon mari sur la canapé. Je suis vêtue d’un court peignoir. Je me blottis contre lui, réfléchis à tous ce que je viens de lire. Je sens la main de Pierre glisser dans l’échancrure du peignoir. Après tout, quoi de tel que faire l’amour, pour se changer les idées. Le fait de savoir que mon mari, avait baisé avec ma sœur, m’excitait. Mais, n’étais-je pas en train, de devenir...Marlène. Après cette relation, dans laquelle je n’ai pris aucun plaisir, je sentis le besoin de prendre une autre douche.
-Je te sens fatiguée ma chérie, me dit Pierre. Veux-tu que nous prenions quelques vacances.
-Justement...à ce sujet, tu te souviens de celle d’Ibiza. -Bien sur, j’y pense souvent….ça fait longtemps. Mais pourquoi me parles-tu de ça...nous n’étions pas encore mariés. -Je sais...et tu ne te souviens de rien d’autre. -Si...que nous avions passé des moments merveilleux… -Comme celui d’avoir baisé ma sœur, par exemple… -Mais chérie...que vas-tu chercher là… -Bouges pas mon chéri...je reviens tout de suite.

Je ne ne suis jamais revenu. C’est ce jour la que j’ai quitté Pierre, après trois ans de mariage. C’est à ce moment, que la dernière phrase de la lettre de ma sœur, ressurgit dans la tête. « Tu peux devenir Marlène, quand tu le souhaites.»
Ce que Marlène avait connu, son côté espiègle, tout ce que je n’ai osé faire, je voulais le connaître à travers elle.
Après un divorce qui m’a mis à l’abri du besoin, je me suis installée près de Rome, une ville magnifique.
J’ai rencontré là bas, des gens exceptionnels, qui, comme moi, partageaient la passion de l’art. J’ai eu pas mal d’aventure, sans lendemain bien sur. Mais ce côté prude, me poursuit toujours.
Aujourd’hui, je dois appeler le directeur du musée, pour prendre un rendez-vous. Rendez-vous est pris à quinze heures.
La secrétaire m’introduit dans un vaste bureau, ou m’attend Mr. Calvin, directeur du musée.
-Bonjour Muriel, asseyez-vous, je vous en prie. -Bonjour, monsieur Calvin. -Quel plaisir de vous voir. Installez-vous. Mes amis en France, vous ont chaudement recommandé, vous savez. Avez-vous vôtre curriculum vitae. Voyons ça...oui pas mal. Mais je m’aperçois que vous avez très peu de connaissance en italien...dommage. -Mais j’ai d’autres atouts pour vous convaincre, Mr. Calvin. -A bon...et lesquels.
D’un seul coup, le visage de ma sœur jumelle, traverse mon esprit.
Je me lèves lentement, ôte mon manteau. Je défais un à un les boutons de ma robe...je n’ai rien dessous. Je vois les yeux du directeur, prêt à sortir de leurs orbites. Je m’approche de lui, à doigts touchés.
Je lui prend la main, la porte à un sein.
-Vous sentez les battements de mon cœur, Mr. Calvin. -Mais...que faites-vous...
Je lui prends l’autre main, la glisse entre mes cuisses.
-Chut...laissez-vous faire, Mr. Calvin, détendez vous.
Je me penche, extrait sa queue du pantalon, et la prends en bouche. Je sens Mr. Calvin dérouté par mon audace. Il baisse son pantalon, me prend par les hanches, me fait descendre doucement sur lui, jusqu’à ce que le m’empale sur sa bite. Elle n’est pas très grosse, mais m’apporte une agréable sensation. Je parviens même à jouir.
Deux jours plus tard, je reçois une promesse d’embauche.
J’ai très vite sympathisé avec Mr. Calvin. Il m’invitait dans des soirées mondaines, ou les femmes rivalisaient de beauté.
Un week-end s’annonçait différent des autres. C’était pour la Saint Valentin. La soirée était prévu dans une vaste demeure. Ce soir là, Mr. Calvin tenait à ce que le sois pendue à son bras.
-Puis-je vous offrir un verre, me propose Mr. Calvin. J’ai très apprécié nôtre premier contact. Me consacrerez-vous une partie de vôtre temps ce soir. -Avec plaisir, Mr. Calvin. -Dans ce cas, m’accorderiez-vous cette danse.
Au fur et à mesure de l’avancée de la soirée, l’ambiance se détendait. Des couples se formaient, se rapprochaient. La soirée s’annonçait libertine. Pour éviter tout contact, je me dirige aux toilettes. Je reste quelques minutes face à moi, dans le miroir. Je réfléchis.
Cinq minutes plus tard, c’est une autre femme qui sort des toilettes. C’est...Marlène.
Je me perdais parmi les invités, qui n’hésitaient pas à me prendre par la taille, à saisir un sein. Un homme, plus virulent, me souleva par la taille, me coucha sur une table. Des mains ôtèrent mes vêtements, soutien gorge et string compris. En deux minutes, me voila plongée dans le tumulte de l’orgie. Des doigts fouillaient ma chatte, mon petit trou. Des queues se présentaient devant ma bouche, que je suçais une à une. Dans l’affaire de rien de temps, j’étais souillée de sperme jusqu’au fond de ma gorge. Je n’en finissais pas de jouir.
Vers cinq heures du matin, les lumières s’estompèrent, laissant la place aux rumeurs.
« Putain...comme elle aime la baise, dit l’un...t’as raison, et comme elle suce, dit un autre...Ouah, je l’ai prise au petit trou...comme il était serré, je crois bien être le premier, termine un troisième…
Les hommes se rejoignaient autour d’un dernier verre, me laissant détruite sur le sol. Je tournais la tête d’un côté, de l’autre, croisa le regard d’un inconnu. Il s’approcha de moi, me proposa d’aller chez lui. Il m’offrit sa salle de bains. J’avais besoin de purifier mon corps.
Quand j’en ressortis, deux coupes de champagne trônaient sur la table basse du salon. Après avoir trinqué, il me montra ma chambre, et se retira. Il fut tout surpris de me voir le suivre dans la sienne. La nuit fut magique, torride. Sans qu’il en fasse la demande, je me suis donnée à fond, lui offrant mon corps.
Le lendemain, après un dernier mes sulfureux câlin, il me ramena chez moi. Je m’installa à l’ordi, et me mis à écrire.

Je décidais de faire mes bagages, et rendre visite à mes parents. Je fis un crochet par le cimetière, m’arrêta devant un caveau. Je sortis et lus ma lettre.
« Marlène, ma sœur détestée, mais adulée aussi. Après tant d’années, je t’adresse cette lettre, qui, contrairement à moi, tu ne liras pas, car contrairement à toi, je suis vivante. Peut être que depuis nôtre naissance, nôtre destin était tracé. Mais à quel prénom était-il attribué. «Marlène ou Muriel, Muriel ou Marlène. Ta lettre a eu pour effet de m’ouvrir les yeux.
Muriel que tu qualifiais de gentille, est devenu méfiante. Muriel la prude, que tu dénonçais, s’est transformée en baiseuse notoire, que tout le monde s’arrache dans les soirées mondaines. Muriel la bourgeoise est devenu pute, hurlant de plaisir sous le joug d’amants plus vicieux les un que les autres. Muriel la féministe, qui se gouine des nuits entières, avec de ravissantes femmes mariées, mal baisées, délaissées, insatisfaites. Mais surtout, Muriel la vivante, qui n’en finit de pleurer sa sœur.
Le seul espoir qu’il me reste, c’est qu’un jour, je puisse reposer près de toi, enfin unies dans la mort. Et que soit inscrit sur la stèle. « Muriel et Marlène-Marlène et Muriel.»
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Histoire de Aurore34

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