Infirmière sexy

Infirmière dans une clinique privée depuis bientôt un an, je prends soin de patients dans un service de chirurgie orthopédique. La moyenne d'âge de mes patients est de 70 ans mais il m'arrive de m'occuper de gens plus jeunes.

J'ai 25ans, d'origine magrébine je mesure 1m 68 pour 60 kilos. De grands yeux noirs, une bouche pulpeuse, des cheveux d'ébènes légèrement ondulés et une peau légèrement bronzée. Ce soir je fais la relève comme d'habitude et ma collègue m'annonce que nous avons un jeune homme de 32 ans hospitalisé à la chambre 21 pour une entorse du genou suite à une chute en moto. Son regard brillant me laisse présager que le jeune homme en question doit être charmant.

Je commence ma planification des soins et après avoir effectué quelques aides à la toilette et change de nuit avec ma collègue aide soignante je commence à faire le tour des tensions et température. Arrivée à la chambre 21 je tape doucement à la porte et entre dans la chambre après avoir entendu une belle voix profonde et chaude me dire d'entrer.
Une fois dans la chambre je commence à me présenter:
"Bonsoir je m'appelle Tanya, je suis votre..."

Et là la stupéfaction me prend, je ne m'attendais pas à voir un aussi charmant jeune homme, plus que charmant même il est magnifique, le plus bel homme qu'il m'ait été de voir. Une carrure d'athlète un visage viril avec une mâchoire carré, des yeux bleus- gris perçants, et une bouche sensuelle...
J'en reste bouche bée un moment puis me reprend.
"... Je suis votre infirmière cette nuit ... je viens... vous prendre la tension et la.. la température.

J'ai chaud très chaud, en plus aujourd'hui comme j'avais mis un dos nu je n'avais pas de soutien gorge et je suis nue sous ma blouse mis à part un petit string noir. Mes tétons gonflent et doivent pointer sur ma blouse blanche presque transparente... Il est nu jusqu'à la taille et ne porte en tout et pour tout qu'un boxer gris.
Son torse musclé et bronzé et tout simplement superbe, ses bras puissants, ses hanches dont le V apparaît à la limite de son pubis, ses jambes longues musclées... je m'avance enfin vers lui et il me regarde avec un sourire gourmand, il a compris qu'il me troublait...
"Bonjour Tanya, ravi de faire votre connaissance, je m'appelle Pierre mais vous devez déjà le savoir."
"En effet monsieur »
"Appelez-moi Pierre, chère Tanya tu es très sexy et jolie sais-tu !"
"Oh non c'est interdit Monsieur, nous n'avons pas le droit de tutoyer les patients.
"Ca restera entre nous..."

J'hésite puis finis par acquiescer.
Je m'approche de lui et lui demande de tendre le bras pour lui prendre la tension. Il le tend et sa main arrive juste entre mes jambes sous ma blouse qui je me rends compte maintenant est trop courte, elle a du rétrécir au lavage…

Je suis troublée mais ne recule pas, au contraire je m'avance un peu plus et me penche en avant, maintenant sa main se trouve juste contre mon string et il a une vue plongeante sur le décolleté de ma poitrine...
Je le vois qui fixe mes seins un sourire au coin des lèvres... Je me demande ce qu'il m'arrive et comment j'ai pu me mettre dans une telle situation, mais je dois avouer que ça m'excite et que je suis toute chaude, d'ailleurs mes tétons sont durs et pointent fièrement ce qu'il ne manque pas de remarquer et mon string est tout mouillé...
Ces doigts commencent alors à bouger et je le sens qui commence à me frotter doucement la vulve à travers mon string, je me mets à alerter et n'arrive plus à lui prendre la tension. Je le regarde intensément puis lui souris, puis je me mets à onduler sous ses caresses et me penche encore plus vers lui…
Son autre main s'insère sous ma blouse et commence à me caresser les seins, l'un après l'autre en faisant rouler mes tétons...

Il glisse peu à peu sa main qui me caresse la chatte à travers mon string, et s'insinue en dessous pour me caresser le clito puis de ses autres doigts il me pénètre d'un coup me faisant gémir de plaisir, je suis trempée, ma mouille coule sur sa main mon souffle devient court et je gémis de plus en plus fort, il alterne des accélérations et puis il ralentit, son pouce me frotte le clitoris et de son petit doigt après l'avoir bien enduit de ma mouille il le presse contre mon petit trou et me pénètre l'anus, s'en est trop pour moi je jouis et hurle mon plaisir...

Je reprends peu à peu mes esprits, et là je vois son regard chargé de désirs... il me dit: " Chérie, je n’en peux plus fais moi jouir dans ta jolie bouche"
Je m'agenouille devant le lit et il vient se placer juste au bord, doucement je fais descendre son boxer, je lui enlève et je commence à le masturber doucement dans ma main puis de plus en plus vite, je fais glisser son anneau de chair sur son gland et le presse bien fort...

Ensuite j'approche ma bouche et de ma langue je lui lèche le gland tout en continuant à le branler d'une main tandis que de l'autre je lui caresse les couilles, je les fais rouler l'une après l'autre dans
ma main et les presse ensuite réunies, bien serrées dans ma main. Il gémit, halète et me dit de le prendre dans ma bouche. Je le regarde et lui fais un sourire malicieux, je lui fais non de la tête et continue à m'amuser avec sa queue, je le lèche de haut en bas, aspire ses couilles une par une... je le déguste...

Mais il ne l'entend pas comme ça, et finis par me prendre par les cheveux et m'enfoncer sa queue longue chaude et grosse dans la bouche, là il commence à me la baiser littéralement en me regardant droit dans les yeux, je soutiens son regard et m'applique à faire glisser ma langue tout le long de son chibre et à le sucer. Il accélère de plus en plus...
"T’aime ça salope, hein? T’aime te prendre de bonne grosse bite dans la bouche, t'aime en manger? Alors profite bien de celle là!!"

Je gémis, je suis toute excitée par ce que je fais et par ce qu'il vient de me dire!!
Oui j'aime le sucer, sa bite est si belle, si dure, si longue mais aussi si douce c'est un vrai régal...
D'un coup je le sens se raidir et il explose dans ma bouche en gémissant bien fort.

J’avale tout ce que je peux, mais son liquide me coule de la bouche et vient se perdre entre mes seins... je continu à le sucer jusqu'à ce qu'il soit tout propre puis je me lève et viens l'embrasser langoureusement!! Il m'attrape par les hanches et me plaque tout contre lui et me murmure à l’oreille :
« J’ai envie de toi... je veux te faire l’amour…..te faire jouir…..te baiser la chatte….tu es belle Tanya…..J’aime ton visage….j’aime tes seins…..tu as l’air ardente…..Tu es toute trempée…..laisse moi te caresser les fesses…..oui….ouiiiiii …. ;elles sont fermes comme je les aime…..tu m’as bien fait jouir chérie…..tu suces drôlement bien tu sais »
« Oui je sais mon Pierre, j’adore sentir une belle bite dans ma bouche….La tienne m’a excité, elle est belle, bien lisse, bien grosse, dure et longue j’ai aimé lire dans tes yeux le plaisir que je te faisais …..je savais que tu ne pourrais me résister….quand tes yeux ont chaviré…quand ton souffle est devenu haletant…..quand ton ventre s’offrait à ma bouche…je savais que tu allais la remplir de ton plaisir…que j’allais sentir tes jets de foutre au fond de ma gorge comme…. »
Tu aimes ? Toutes les femmes ne le font pas….. »
« Moi j’adore ce moment où plus rien ne compte pour toi mise à part le plaisir, la jouissance que je te donne…..J’aime aussi tout avaler…..c’est bon tu sais…Continue de me caresser les fesses….j’aime…les seins aussi….pelote moi fort…oui …..C’est bon ….pince moi les tétons….. »
« Crois tu que je peux te baiser, ici, cette nuit, maintenant ? Tu en as envie, je le sais, je le sens, je le vois…..est ce possible ? je n’en peux plus…..tiens regarde ma verge….tu la vois…. »
« Oui je la vois, elle est énorme….elle se dresse…..son œil me regarde…..je l’imagine me remplissant la chatte……Oui….Ouiiiii….j’en ai envie, je la veux….. »
« Alors ! »
« Alors c’est possible….la nuit je suis seule à l’étage….je veille sur le repos des malades…..attends je verrouille la porte de ta chambre …nous serons parfaitement tranquille….tu es content ? »

« Et toi chérie ? »
« Je suis aux anges, jamais je n’aurais penser à me faire baiser dans le service… ;il faut que ce soit toi…..beau mâle….pour me dévergonder »
« Tu ne vas pas le regretter Tanya ….j’ai une énorme envie de te faire jouir la chérie…viens vers moi…. »

Il était debout, complètement nu, beau comme un astre, il ouvrit ses bras et il m’enlaça me serrant contre lui. Ses mains étaient sur moi sous ma blouse qui éclata avant de tomber à nos pieds. Nous étions nus tous les deux, seul le petit triangle de mon string cachait mon intimité.

Que c’était bon le frôlement de nos épidermes, mes seins sur son torse puissant, sa verge raidie entre mes cuisses, nos ventres soudés, nos mains baladeuses, les siennes massant mon dos, mes fesses, les miennes sur ses hanches ou cherchant entre ses fesses à saisir ses bourses gonflées de désir. » Pierre se décala un peu de moi et je sentis sa main entre mes cuisses qui empaumait ma vulve se débarrassant du dérisoire obstacle de mon cache sexe. Si je sais bien sucer Pierre lui su avec sa main, avec ses doigts faire monter mon désir. A pleine main il malaxait mes grosses lèvres les faisant rouler entre ses doigts ; je sentis d’un coup que je m’inondais rendant jouissif le frottement de mes lèvres intimes l’une contre l’autre, mon clitoris sollicité commença à poindre, à grossir et quand la main fouilla ma raie et que le bout des doigts le saisirent je reçus comme une décharge électrique, une onde de plaisir qui envahi tout le corps. Je lui criais:
«Branle moi chéri…branle bien ma chatte…..et mon cul aussi….ouiiiii….ahhhhh c’est bon…..oui….continue ….. »

Alors cela arriva brusquement, un plaisir immense envahit tout mon être, orgasme jamais connu jusqu’alors m’inondant de ma tête à mes seins gonflés à mon ventre pour éclater entre mes cuisses dans ma vulve qui s’ouvrit sur lui mon vagin durci, dilaté, grand ouvert, inondé de ma liqueur. Pierre me regardait jouir, heureux de son pouvoir, il me prit la bouche et nos langues se mêlèrent, enroulées l’une dans l’autre.
Combien de temps restais-je hors du monde réel, engloutie dans celui du plaisir si fort que plus rien ne compte hormis les caresses, les pénétrations, les baisers qui entretiennent et confortent cette plénitude indescriptible, je ne sais….longtemps….très longtemps, grâce à Pierre….mon Hérault.

Mais d’un coup je me sentis soulevée, portée dans des bras puissants, emportée… une porte qui s’ouvre…celle des toilettes….du froid sur mes fesses…..un coussin dans le dos…..les cuisses écartées…..une lumière diffuse venant de la chambre…Pierre devant moi……contre moi….J’étais bien…très bien….bien calée…mais où……Je n’étais pas encore sortie du monde des plaisirs….Je compris en émergeant petit à petit ….Pierre m’avait assise dans le lavabo…avait eu la délicatesse de me mettre un oreiller dans mon dos pour m’éviter la rudesse de la robinetterie. Ainsi j’étais offerte, ouverte et je me rendis compte de l’avantage de la situation quand il s’avança se collant à moi et que je sentis sa verge gonflée à bonne hauteur contre ma chatte offerte en dehors de la faïence.

C’était doux, ce membre, ce long cylindre, lisse, chaud, immobile pour l’instant sur moi entre mes cuisses. En remuant son bassin latéralement Pierre insinua sa verge dressée entre mes grosses lèvres et la laissa en place en variant simplement sa pression sur moi. Ecrasant agréablement mon clito tapi dans ma raie. Installé ainsi il était à l’aise avec ses mains de me caresser les seins, de me serrer dans ses bras, de m’embrasser dans le cou, de m’arranger les cheveux. J’étais déjà très bien.

Pierre commença à remuer son bassin, de haut en bas cette fois, avec une faible amplitude, déformant mon sexe qui accompagnait les petits vas et viens de cette verge. Il en fut autrement quand ceux-ci devinrent plus amples et que ma chatte devint toute humide. Maintenant je sentais cette queue s’ébranler entre mes lèvres, c’était doux, onctueux….c’était bon. Je commençais à gémir de plaisir quand le mouvement s’amplifia…. Quand il s’accéléra….je sentais maintenant nettement quand le gland décalotté se frayait son chemin dans ma raie……partant de l’anus visible lui aussi il remontait en pulsant au fond de moi pour émerger sur mon ventre où en me penchant je pouvais voir le gland apparaître tout congestionné avant qu’il ne replonge en moi.

Jamais je n’avais eu une telle sensation et je cherchais à m’ouvrir à capter ce membre dans ma chatte. Cela devint intolérable quand l’énorme phallus s’attardait sans s’arrêter mais en se pressant sur mon bouton, à l’entrée de ma chatte et de mon anus. Le plaisir était là à ma portée mais encore inaccessible sans la décision de Pierre de me fourrer enfin.
Il me faisait languir faisant monter mon désir jus qu’à la souffrance. Je n’y tenais plus et à mon tour je l’insultais
« Alors tu me baises…..fourre moi la chatte…..alors tu viens…..non… ;pas encore….tu attends
quoi ?.....salaud…..Impuissant…..pardon…..je veux sentir ta queue…..prends mon cul si tu veux……non je n’en peux plus…..Soit gentil… je te sucerais comme tu aimes….je te sucerais les couilles ….je caresserais tes fesses…..je doigterais ton cul….mais viens…. Je n’en peux plus…Ahhhhhhh…..ouiiiiiiiii…..enfin…..ahhh c’est bon ta grosse queue dans ma chatte… elle est grosse …..je suis pleine de toi……Je jouis… oui …..plus vite….plus fort…..sort ton gland et renfile moi …..j’aime quand tu me pénètres… c’est bon… je jouis…rejoins moi… remplis moi de ton foutre…..arrose moi….asperge moi bien à fond…….ouiiiiiiiii……enfin…..tu jouis toi aussi……Je le sens…..tu es bien….continu….branle toi en moi…..longtemps comme j’aime…..ahhhh c’est bon….prend mes fesses si tu en as envie…..prends mon cul…..regarde le….il t’attends…… Oui…….doucement……aide toi avec ton doigt…..mouille le bien…..oui deux doigts…..ouvre le chemin…..je suis prête….ton gland…..oui…..je le sens…..il est gros…..il rentre…..oui….doucement…..doucement……Quelle queue mon pierre….ouffffffff……c’est bon maintenant…..aller agite toi bien….tu aimes ?.... c’est serré hein ! Bouffe moi les seins…..ahhhhh c’est bon…..Ouiiiiiiiiiii…… »

Une heure durant Pierre me fit jouir, il était très doué, très prévenant et quand nous nous désaccouplèrent le bonheur inondait nos visages . Je lui fis une petite toilette qui lui redonna de la vigueur. Il se laissa faire quand il se recoucha, je lui pris sa verge dans ma bouche et quand il fut bien raide je m’installais sur lui, pris son sexe en main le centrais sur moi et m’enfonçais sur lui jusqu’à la garde...

Texte co-écrit avec Pierre le Grand.