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Initiateur

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Lue : 4873 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 23/02/2017

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Je me nomme Gérard, j’ai 45 ans, je suis marié et père de d’une fille de 12 et d’un fils de 17 ans. Voici l’histoire qui m’est arrivée l’an dernier.
Nous faisons construire une maison et j’en profite pour construire moi-même un bassin de natation avec un espace vestiaire douche : douche sans porte et vestiaire composé d’un banc d’une table et de 3 patère, le tout avec un beau carrelage clair. Vers fin avril, le bassin étant fini, je l’ai mis en eau pour que mi-mai il soit déjà utilisable. Je travaille mais suis libre le mercredi après-midi, je viens donc travailler tous les mercredis et le week-end. Pendant les travaux, j’avais fait connaissance des voisins : un couple avec deux filles de 16 et 18 ans.
C’est vers fin mai, un mercredi après-midi, alors que je commençais à bâtir l’abri du bassin pour qu’il puisse servir toute l’année, que j’ai vu débarquer Stéphanie, l’aînée des voisins, un sac sur l’épaule et vêtue d’une petite robe de plage laissant apparaître les bretelles d’un maillot de bain. Il était déjà 16 h. Elle m’expliqua qu’elle n’avait pas cours deux après-midi par semaine et qu’elle m’avait vu profiter du bassin. Elle était seule chez elle et voulait savoir si elle pouvait se baigner. J’ai accepté, lui ai montré le vestiaire et ai continué mes travaux. Vers 17 h 30, alors que j’arrêtai et que je rejoignais le vestiaire pour profiter moi aussi du bassin, elle est sortie et s’est enveloppée dans sa serviette grelottante. Je lui ai conseillé de se sécher rapidement et de s’habiller et lui ai dit que j’attendrai qu’elle ait fini pour me changer mais elle restait immobile, apparemment transie de froid. Je l’ai alors prise dans mes bras et lui ai frotté énergétiquement le dos. Elle m’a regardé en souriant et m’a dit que ça lui faisait du bien en me demandant de continuer. Je lui ai répondu, sans penser à mal, qu’elle devait enlever son maillot si elle voulait sécher. Quelques contorsions sous la serviette attachée sous les aisselles lui ont permis d’enlever son maillot une pièce attaché dans le cou. Elle est aussitôt venue se coller à moi et j’ai recommencer à lui frotter le dos. Je voyais qu’elle ne tremblait plus mais elle restait collée à moi… mes idées devenaient moins innocentes ! Je lui ai demandé si elle voulait que je la sèche entièrement. C’est avec un petit sourire timide qu’elle m’a dit oui. Je lui ai alors étrillé les fesses puis l’ai assise sur le banc, j’ai attrapé une petite serviette et lui ai séché les pieds en la chaussant pour qu’elle ne se refroidisse plus au sol. Ma serviette toujours en main, j’ai séché ses jambes et suis remonté doucement vers ses genoux puis le bas de ses cuisses. Elle me tendait ses jambes se laissant complètement faire mais je n’ai pas voulu monter trop haut. Je l’ai alors relevée et ai poussé le drap de bain entre ses jambes pour finir de lui sécher les cuisses sans passer sur son sexe. Je lui ai dit qu’elle me semblait sèche et, profitant de l’ouverture de côté du drap de bain, j’ai passé une main dans son dos en lui précisant qu’il était bien sec. Elle m’a souri. Je lui ai demandé si elle voulait que je vérifie sur ses fesses et, après un instant d’hésitation, elle m’a chuchoté un petit oui. J’ai alors doucement descendu ma main sur son postérieur et l’ai juste effleuré puis j’ai passé un doigt dans sa raie sans pour autant trop descendre. Laissant mon doigt un peu coincé dans cette raie tentante, je lui ai dit qu’il y restait un peu d’humidité et l’ai invitée à se pencher en prenant appui sur le banc pour que je finisse de la sécher. Elle m’a tourné le dos et s’est mise en position. J’ai repris le drap de bain et l’ai promené sur ses fesses, les écartant bien puis, d’un doigt, j’ai parcouru toute la raie en descendant sous l’anus. Quand j’ai senti que j’atteignais l’orée de son antre magique je me suis arrêté et j’ai fait remonter mon doigt en m’arrêtant sur son anus que j’ai légèrement forcé. Je lui ai alors dit que ça devrait aller et lui ai proposé de sortir pour qu’elle s’habille. Elle m’a dit que ce n’était pas la peine. Drap de bain toujours attaché, elle a enfilé sa culotte et attaché son soutien-gorge. Elle a alors fait tomber le drap de bain et passé les bretelles du soutien-gorge. Je n’ai pu m’empêcher de lui dire qu’elle était très jolie. Elle a souri, a passé sa petite robe d’été et est venue m’embrasser sur la joue en me murmurant merci puis elle est rentrée chez elle. J’ai dû passer par les toilettes pour me vider le sexe avant de profiter à mon tour de la douche et du bassin de natation.
J’ai vite oublié ce doux épisode et ai continué mes travaux : un mur de soutien, côté voisins, pour la véranda qui couvrirait ce bassin. Le mercredi suivant, alors que j’avais décidé d’arrêter, fourbu et qu’après une douche méritée j’étais en maillot, j’ai vu arriver Stéphanie : même robe et sac en bandoulière. Elle est venue me faire la bise et m’a demandé si elle pouvait se baigner, me précisant qu’elle s’était douchée avant de se changer. J’ai accepté, mon bassin étant taillé pour deux nageurs. Elle a tombé sa robe et je l’ai découverte dans un charmant bikini. Elle a rejoint le bassin et nous avons nagé pendant plus d’une heure sans nous arrêter. Je suis sorti en premier et suis allé me doucher en pensant que, si elle entrait à ce moment-là, elle me trouverait nu. Mais j’ai eu le temps de m’habiller avant qu’elle n’arrive. Je venais de finir quand elle est arrivée. Ce coup-ci, elle ne tremblait pas de froid mais elle m’a directement demandé, un peu gênée et baissant la tête, si je voulais bien la sécher.
• « Pas de problème mais avant que je ne te sèche, tu dois te doucher. Je vais sortir et tu m’appelleras quand tu voudras.
• Non, vous pouvez rester. » Sa voix était ténue, un peu éraillée à ce moment-là.
• « Si je reste, je te mate !
• Je sais. »
Puis elle s’est dirigée vers la douche et est restée de dos. Elle s’est dévêtue et j’ai pu apercevoir ses jolies fesses que j’avais caressées la semaine précédente. Elle s’est savonnée consciencieusement. Quand elle a tendu les bras vers son dos, je lui ai proposé mon aide qu’elle a accepté aussitôt mais à voix plutôt basse. Je m’approche, prend le savon, pose une main sur une hanche et lui demande doucement si je fais les fesses. Elle se raidit un peu mais acquiesce. Je la fais reculer vers la sortie de la douche et lui demande de tendre les bras pour s’appuyer sur le fond ce qui l’oblige à s’incliner un peu et arrondi son magnifique postérieur. Je lui conseille d’écarter un peu les jambes pour ne pas risquer de glisser. Elle crée un compas à peine suffisant pour une main. Je commence à lui savonner le dos, remonte aux aisselles et effleure la naissance des seins. Puis, doucement, en de multiples cercles des deux mains, je descends vers ses fesses. Je les savonne longuement et les écarte à plusieurs reprises. Je place alors une main sur sa hanche pour la tenir fermement et introduit un doigt de l’autre main entre ses fesses. Je le descends et le remonte plusieurs fois, caressant sa rosette sans la presser jusqu’à une ultime remontée où je m’y arrête et tourne autour de son anus mon doigt savonné que je finis par lui introduire doucement. Je la sens se raidir un peu et lui demande si ça va. Elle n répond pas. Je retire mon doigt, arrête mon savonnage et attrape le pommeau de douche que je règle assez fort pour la rincer. Quand je rince ses aisselles, j’avance le pommeau pour qu’il lui cingle un peu les seins puis je rince son dos, descends jusqu’aux fesses, passe le jet entre les cuisses en n’oubliant pas de viser son sexe. Elle frissonne. Je remonte sur ses fesses que j’écarte de ma main pour bien rincer son anus où, à nouveau, j’introduis rapidement mon doigt avant de le retirer. J’arrête le jet. Elle reste immobile. Je lui tends son drap de bain pour qu’elle s’en enveloppe et la fait sortir. Je la prends dans mes bras et commence à l’essuyer énergiquement. Elle est tout sourire. Cette fois-ci je l’essuie entièrement, j’entour chacun de ses seins, je passe la main sur son sexe et pousse un doigt vers sa fente mais sans insister. Je l’assois et lui sèche les pieds et je remonte vers ses cuisses. J’avance ma serviette jusqu’à ce que le dos de ma main touche l’autre cuisse. Elle se laisse faire et coopère volontiers en me tendant ses jambes et en les écartant. Je la relève et lui propose alors de l’allonger en travers de mes genoux pour lui essuyer finement les fesses. Elle a une courte hésitation puis me dit oui. J’ajoute alors que je vais le faire avec la petite serviette et donc détacher le drap de bain. Elle me sourit et me dit « Je sais ». Elle s’allonge, je détache le drap et pose la petite serviette sur ses fesses que je frotte doucement. Je les écarte et sèche bien la raie puis je pose la serviette et commence à lui caresser les fesses à main nue. En même temps je lui demande si elle me permet de poser mon autre main sur son sein. Un oui rauque et feutré me répond. Je m’exécute aussitôt et très vite fait raidir un téton que je malaxe. Pendant ce temps-là mon autre main n’hésite plus à caresser l’anus puis descend entre ses cuisses qu’elle a écartées. Je vois sa cyprine couler. Je l’essuie et remonte sur sa vulve. Elle gémit. Je lui demande si elle veut que j’arrête. Son « non » est direct. Je remonte mon doigt mouillé vers l’anus et l’introduit directement et le plus profond possible puis je fais bouger. Elle me souffle un « c’est bon ! » que j’apprécie. Je redescends vers sa chatte, un doigt titillant son clito trempé et deux autre s’introduisant dans son vagin, je la mène presque immédiatement au septième ciel. Pour la laisser se détendre, je lui caresse encore les fesses et pénètre son petit trou avec mes doigts trempés. Quand elle reprend son souffle, je la relève et la découvre enfin entièrement nue : que c’est beau une fille de 18 ans quand on en a 45 ! Je me lève, vais fouiller sa bouche avec ma langue en lui caressant les seins puis m’écarte et lui dis de s’habiller. Elle le fait puis vient se coller à moi pour un câlin. Elle me demande alors pourquoi je ne lui ai pas fait l’amour. Je lui réponds que je ne fais l’amour à une femme que si elle me le demande expressément. Elle sourit et me dit merci.
Le mercredi suivant, je l’ai vu arriver dès le début de l’après-midi mais sans sac. Elle est venue vers moi et m’a dit que se sœur allait rentrer plus tôt et qu’elle devrait être chez elle, surtout qu’après la petite sœur serait en vacances. Elle ne voulait pas se baigner mais m’a demandé de la dépuceler. Vu nos ébats précédents, j’ai accepté. Nous nous sommes installés dans le vestiaire et, après avoir étalé plusieurs draps de bain au sol, nous sommes allongés nus. Je lui ai expliqué comment me caresser. Puis je l’ai échauffée et faite jouir une première fois avec un doux cunnilingus. Quelques petits câlins plus tard, elle m’a demandé de la prendre. J’ai enfilé un préservatif et lui ai fait l’amour doucement et profondément. Quand je l’ai sentie se raidir plusieurs fois de suite en gémissant plus fortement, j’ai accéléré ma cadence et ai joui comme je ne l’avais pas fait depuis longtemps. Nous avons fini par une douche rapide puis elle s’est rhabillé et m’a quitté rayonnante en me disant merci. Le temps des vacances étant là, c’en était fini de nos moments solitaires. Quand elle me voit, j’ai droit à de grands sourires mais tout s’est arrêté là.
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