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J'ai pu prendre mon train

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Lue : 1586 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 16/11/2013

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Je suis nu dans ma salle de bain. Je bande comme souvent. J’ai la trique. Je me touche la bite.
C’est pas tout ça, qui n’a rien à voir avec la suite.
Je reprends donc, excusez-moi, je m’égarais. Alors, du courage, allons-y.
C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit……
Et zut, je me trompe encore. Décidément cette nana m’a complètement tourné la tête.

La nuit dernière était captivante. Au fond j’étais chez elle parce qu’elle m’y avait invité. Je ne suis pas de ceux qui entrent sans permission. Donc elle m’avait invité pour passer un long moment « sic ». Je savais à l’avance la suite. Je l’avais pas mal draguée. Elle me cherchait aussi.

Même si j’avais envie d’elle, je me souvenais que je devais partir tôt le lendemain prendre un train. Alors, que je me suis dit : elle veut, moi aussi, ne perdons pas de temps : une caresse là où elle veut, la bite dans son garage, pardon dans sa chatte. Et zou, l’affaire est enlevée. Tu parles, nous avons fait l’amour longtemps, surtout elle.

Il a fallu que je la déshabille doucement. Je commençais par le haut : ses épaules apparaissent sous son corsage. Elles attirent ma bouche, ma langue. Je la respire longuement. J’embrasse le cou, je reviens sur les épaules. Je caresse le dos, ruse pour aller dégrafer son soutien-gorge. Elle me laisse faire en posant sa tête sur moi, ses lèvres tendues vers les miennes. Les premiers ennuis pour enlever ce qui lui couvre le haut. C’est elle qui le fait. C’est gentil de sa part d’avoir cette patience à mon égard. Nous allons sur le divan.

Ses seins me narguent. Je les embrasse, je lèche les tétons, je les aspire en bouche. (Où diable j’aurais bien pu les aspirer). Elle tient ma taille, j’en fais autant. Pudique elle ne va pas plus bas. Moi oui. Des hanches je descends vers ses genoux. Elle attend tranquillement la suite. Je mets un temps fou à caresser sa cuisse, en montant doucement. Je ne sais si elle s’impatiente : c’est une femme polie, mais active : quand j’arrive à sentir sa chaleur sexuelle, elle masse ma queue. Si je m’écoutais je la laisserais faire toute la suite. Mais au point où j’en suis, autant continuer ma manœuvre. Elle ouvre doucement son compas. J’ai accès directe à son intimité.

Je trouve dans l’ordre quelques poils, des lèvres presque lisses, un petit ergot, un endroit privé où abriter ma bite, me tout bien humide. Il ne manque rien, je peux continuer.

Voyons, voyons, commençons par le début. Son sexe, OK ! Ma main OK ! Ma bite OK pour le moment. J’entame le compte à rebours. Dix……Zéro….Feu. Mes doigts commencent le travail de sape. Je caresse jusqu’à l’entendre murmurer des encore énamourés. Le clitoris est très sensible, je recommence encore. Elle est tendue vers ma main. Elle continue à masser la bite, la sort enfin de sa cachette. Elle sait comment faire en promenant sa main sur la queue.

Lassée d’être encore vêtue, même légèrement, elle se lève, sans faire de manière elle est vite nue. La voilà sur mes genoux. Si elle oublie la bite, je peux facilement reprendre mes fouilles. Elle s’ouvre complètement. Mes doigts s’invitent dans une chatte ouverte, mouillée. Je fouille plus bas : elle me laisse faire ce que je veux. Son petit trou est serré. Je ne voudrais pas lui faire de mal, je retire ma main qu’elle retient. Elle accepte, elle tient à que je lui caresse cet endroit si privé.

Nous allons dans sa chambre en semant des habits le long du couloir. Il me reste les chaussettes. Je dois avoir un drôle d’allure ainsi. Nous sommes allongés cote à cote. Ca ne dure pas, elle m’attire sur elle. Elle est chaude dans tous les sens du terme. J’aurais voulu la caresser encore : elle prend ma pine, la pose là où elle veut. J’entre dans son vagin doucement en voulant profiter du moindre millimètre. Elle y est douce, agréable et en même temps sauvage. Je voulais rester au fond un petit moment. Elle est plus pressée que moi. C’est vrai qu’elle arrive à l’orgasme plus vite. Je sens ses spasmes autour de ma queue. Je résiste à ma jouissance que je sens poindre.

Ouf, elle me fait sortir d’elle. Je bande toujours. Elle sait. Mais elle a une envie que je ne pouvais connaitre : il lui faut nécessairement que j’aille visiter son petit trou. Sans changer de position, elle me conduit là où elle veut. Quel cul, mais quel cul ! Il est difficile à percer. Elle tient ce que j’y aille. Je force quand enfin la porte d’ouvre. Elle pousse un cri que je qualifie de surprise. La queue entre ensuite facilement, au fond. Qu’elle est agréable à enculer. Elle sait comment faire pour son plaisir : le mien passe en second. Je sens encore sa jouissance qui cette fois entraîne la mienne. Nous jouissons longuement ensemble.

Nos lèvres ne sont pas quittées un seul instant pendant toute notre union.

J’ai pu prendre mon train, en pesant à elle : nous avions pris rendez-vous pour la suite.
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Histoire de baiserjouir

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