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J'étais innocente

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Lue : 3738 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/01/2013

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Avant je n’osais pas me montrer toute nue. Il m’a appris comment montrer mes fesses et le reste en public. Quand nous nous sommes connus, j’étais encore une pucelle engluée dans mes convictions réacs. J’avais été élevée en Suisse dans une institution religieuse rigoureuse. Les seuls contacts avec le sexe était qu’il ne fallait pas en parler, pas y penser.

Une seule séance de cinéma a suffi. C’était pourtant un film à l’eau de rose. Le vue de cet homme donnant un baiser sur la bouche de l’actrice mettait le feu au ventre. Dans mes rêves je me voyais dans ses bras prêt à tout ce qu’il demanderait. Il s’est assis près de moi. Je regardais ce garçon que je ne connaissais pas avec des yeux envieux. Je voulais qu’il m’embrasse. Je le voulais tant que je touchais son bras. Il se tournait vers moi.

Raoul a compris que je voulais quelque chose. Lui me désirait aussitôt. Sa main venait sur mon épaule, je me penchais vers lui. Quand il posait ses lèvres sur le miennes, je me laissais faire. J’ouvrais ma bouche quand sa langue forçait vers la mienne. Je ne pensais pas qu’un simple baiser soit aussi bon. Il a touché ma poitrine dans un geste doux. Je sentais gonfler mes seins. S’il avait voulu passer sa pain directement sur les tétons, je l’aurais laissé faire.

Mes bras entouraient son cou. Je fermais les yeux. J’attendais je ne sais quoi. Sans un mot il posait une main sur le genou. Il montait la main entre mes jambes que j’ouvrais facilement. Je sentais que ma culotte se mouillait.

Avant la fin du film, il m’emmenait avec lui dans un jardin où nous nous asseyons sur un banc. Raoul remettait sa main vers le slip. J’étais à sa disposition. Quand il mettait deux doigts, je crois, entre les lèvres d’en bas je sentais le calme venir dans le bas ventre.

Je sentais quand il commençait à caresser. Mon bas ventre se tendait vers sa main. Je sentais son poignet juste sur ma cuisse. Ses doigts étaient agiles : il me donnait un drôle de plaisir immense, totalement inconnu. Sa langue tournait dans ma bouche, j’aimais sa salive.

Je tenais sa main pour qu’elle ne me quitte pas. Raoul recommençait à me caresser. Il murmurait des mots d’encouragement pour que je jouisse encore. C’était tellement bon que je le laisser recommencer. Il m’a vite donné ce que j’attendais.

Quand il a pris ma main pour la poser sur sa braguette, je sentais au début qu’il avait quelque chose de gros. Il l’a sorti. J’ai pu voir sans sa queue dans la pénombre. J’ai pris cet engin dans la main. Il me semble que c’était un petit animal qui frémissait.

Il m’a demandé de le caresser aussi. Je ne savais pas trop comment faire. Sa main est venue entourer la mienne. Il m’a fait descendre, remonter. Je sentais que sa queue avait encore grossi.

J’ai continué seule à aller et venir sur sa bite. Avant qu’il jouisse il m’a demandé d’enlever mon t-shirt, ce que j’ai fait en confiance. Par surprise il enlevait mon soutien-gorge. Mes seins à l’air libre me faisaient mal. Il savait comment leur faire du bien. Sa bouche venait me téter. Sa langue léchait les tétons. Je me tendais vers la bouche. Je lâchais la bite. Il me faisait lever. Là il descendait ma jupe, ma culotte. J’étais nue dans ce jardin heureusement sans personne.

Sur ses genoux j’étais bien, il me caressait partout le corps depuis les épaules jusqu’aux fesses. Il descendait son pantalon. Je pouvais voir son sexe en érection plus gros que l’instant avant. Raoul me demandait me venir sur lui. Je m’asseyais sur lui, les fesses tendues vers son dos.

Il me guidait pour que je sois juste sur sa queue. Je sentais quand sa bite touchait la raie des fesses. Lui passait sa main vers ma chatte. Il me masturbait encore quand je le sentais juste sur l’anus. C’était excitant. En confiance je me laissais aller. Il écartait mes chairs autour du cul. J’avais mal, je n’osais pas le dire. J’étais complètement assise, je sentais ses poils contre mes fesses. Heureusement que je sentais ses doigt sur la chatte. Ca compensait la douleur de mon cul. J’allais presque jouir quand il allait et venait dans l’anus. J’avais enfin un plaisir coupable autour de sa queue.

Mon premier orgasme d’encore presque vierge. Je sentais sa présence dans le cul. Je le sentais jouir. C’était encore excitant. Je me retirais lentement. Je pouvais voir un peu de semence autour du gland. Presque debout, je l’embrassais sur la bouche. Sa queue encore dure me narguait. Je me retournais pour la prendre ailleurs que dans le cul. Mes cuisses autour de lui je pouvais lui donner mon con. Il écartait mes lèvres, passait sans dommage juste à l’entrée du vagin. D’un seul coup il entrait dans mes chairs.

J’avais presque aussi mal que quand il m’enculait. Là le plaisir est arrivé, trop vite. Je me souviens encore de cet envahissement du corps en entier quand je jouissais. Je ne voulais surtout pas qu’il sorte de mon corps.

Ce doit être à ce moment-là que d’autres amoureux sont venus. Ils étaient quatre. Les bancs en face de nous étaient vides. Quand je me tournais je les voyais comme nous, nus, se faisant mettre pour les filles et mettant pour les hommes. Je voyais une bite monumentale. La fille qui l’avait en elle gémissait comme si elle souffrait. Moi, je jouissant encore rien qu’à regarder autour de moi.

Un soir Raoul me demandait l’aller chez des amis. Là je connaissais des plaisirs autres avec d’abord une fille qui me léchait le clitoris et un homme qui me baisait en même temps. J’ai appris ensuite qu’ils étaient mariés.

J’apprenais également que Raoul aimait également les autres hommes. Il venait derrière celui qui m’enculait comme j’aime, profondément, brusquement. En bandant comme je le l’ai encore jamais vu, il posait sa queue sur le trou du cul de mon enculeur. Je l’entendais souffler sur le dos de l’autre. Je sais, puisqu’il me le disait qu’il avait pris un pied pas possible. Ce soir-là j’ai pu connaitre les joies d’avoir deux queues rien que pour moi. Un de mes amants voulait que je sois sur lui. Il restait calme, sur le dos, la queue bien droite. Je pouvais me coucher presque sur lui. Je me faisais baiser profond. Mes allers et venue devaient attirer une autre pine. Ce deuxième est venu tendre sa queue pour que je le suce un peu. Ensuite, en remerciement il est venu se perdre dans ma raie. J’ouvrais l’anus comme je pouvais le plus grand possible. Il entrait très lentement comme s’il avait peur de me faire mal. J’étais seule maitre de mes mouvements. En trainant j’arrivais à retarder et ma jouissance et celle de mes amants.

Je suis devenue totalement libertine.
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Histoire de fabrissa

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