Maman en plein ménage 2

Olga, avec douceur, caresse le manche épais de son fils. Soudain, elle se bloque, puis se ravise, et retire sa main du short, elle se dit, qu'elle ne peut pas faire ça avec son propre fils, elle réagit vivement :

- Grégoire, cessons ce jeu stupide qui ne peut qu'être malsain. !

Elle regrette tout ce qui vient de se passer, elle se met à trembler, ronger par le remord. Elle reprend péniblement son ouvrage. Grégoire, déçu, replonge dans ses devoirs, en lorgnant du coin de l'œil sa maman. Sa queue est toujours raide, elle devient même douloureuse dans le carcan de tissu qui l'emprisonne.
Il la caresse plusieurs fois, en regardant sa maman penchée fortement qui époussette un meuble bas. Il ne peut s'empêcher de se pencher pour regarder les lobes fessiers et l'anus que sa langue vient d'agacer. Il entrevoit aussi la chatte qu'il a fait jouir.
Son sang ne fait qu'un tour, il sort sa queue de son short et malgré la présence de sa maman, il se branle comme un sauvage en serrant les dents. Rapidement, il commence à geindre. Ses gémissements de bête blessée font retourner sa maman. Elle écarquille les yeux, tétanisée par le comportement de son fils, elle qui croyait l'avoir dissuadée de ses idées incestueuses. Elle bègue en poussant de nombreux soupirs et dit avec des trémolos dans la voix :


-Grégoire, cesse immédiatement, tu pourrais faire ça dans ta chambre ou la salle de bain, pas en ma présence, tu es d'un sans gêne !

Le bougre agite encore un moment sa verge avant de se diriger vers la salle de bain, surement pour se finir. Olga reprend son ouvrage en poussant de nombreux soupirs. La journée se passe, sans que Grégoire et sa maman se parlent trop. Après le diner et la douche, Grégoire rejoint sa chambre, Olga la sienne, comme à l'accoutumée, son mari découche. Elle se retrouve seule, comme bien souvent dans son lit, elle s'étend en soupirant, et se remémore ce qui s'est passé dans la matinée. Elle frissonne, elle ressent encore la langue agile de son fils sur ses orifices et la jouissance incontrôlable qu'elle a eue. Olga ravale sa salive. Elle ne peut s'empêcher, de penser à la verge tendue de son fils que le bougre branlait en la regardant.

Son corps s'enflamme, il réagit à ces souvenirs incestueux. Sa chatte commence à suinter, son cœur bat plus rapidement dans sa poitrine. Elle déglutit plusieurs fois, en soupirant. Comme un automate, elle passe sa main sous sa nuisette, cherche entre ses cuisses sa vulve. Sa culotte est trempée, ses doigts fins passent sur le fin tissu humide. L'envie de se caresser devient de plus en plus insoutenable. Elle retire sa culotte en se tortillant, la jette sur le plancher, et ouvre le tiroir de la table de nuit, elle en sort l'engin qui remplace son mari. Elle retrousse sa nuisette et ouvre largement les cuisses. Les attouchements de son fils a pratiqué sur elle le matin même la rendent fébrile. Elle fait glisser sur sa vulve dégoulinante le gland du gode, elle appuie doucement, les grandes lèvres s'ouvrent, l'engin s'engage doucement dans le conduit brulant. Olga fait un petit va-et-vient avant d'enfoncer la bite factice, dans son ventre. Elle se cabre, l'engin lui dilate fortement le canal vaginal, Olga serre les dents et comment à se fouiller avec de plus en plus d'ardeur le vagin.


Elle geint en tortillant son bassin comme une danseuse orientale. De sa main libre, elle se caresse
le bouton sensible, qui ne cesse de prendre du volume. Ses râles deviennent bruyants, Olga ne veut pas jouir de suite, lorsqu'elle est au bord de l'explosion, elle cesse toutes activités, et attend un petit moment en haletant comme une bête blessée, que la tension redescende dans son corps. Souvent, elle réitère ce petit jeu jusqu'au moment que ce n'est plus tenable. Elle accélère le va-et vient en serrant les dents. Elle cabre en poussant un cri terrible, elle retire rapidement le gode de son vagin et gicle comme un geyser en prononçant le non de son fils. Sa jouissance est monstrueuse, elle respire, en tremblant fortement, son front perle de rosée. Ses yeux hagards. Soudain, la porte de sa chambre s'ouvre brusquement. Grégoire entre comme une balle et dit inquiet :

-Maman, qu'est qui se passe, tu m'as appelé, je t'ai entendu crier, tu ne te sens pas bien ?

Mais rapidement, Grégoire comprend. Sa maman est encore sous le coup de la jouissance, ses jambes sont grandes ouvertes, sa vulve suinte encore. Son corps et parcouru de frissons terribles, qu'elle ne peut pas contrôler. Les draps complices de sa jouissance ont absorbés son plaisir.
Olga reste sans voix, elle semble ailleurs. Soudain, elle se rend compte, de la présence de son fils. Elle ne trouve pas les mots, elle tente maladroitement de remonter le drap sur son corps dénudé. Mais Grégoire qui c'est assit sur le bord du lit l'en empêche, il repousse un peu plus loin le gode et dit tendrement :

-Non maman, reste comme ça, tu es si belle lorsque tu jouis, laisse-moi profiter du spectacle !

Le fils, attentionné, pose ses mains sur les cuisses de sa maman, les caresse en les faisant glisser de plus en plus haut, elles butent contre les aines, ses pouces glissent sur les grandes lèvres vaginales.

Olga rougit, elle récupère difficilement de sa jouissance monstrueuse, elle dit faiblement :

-Petit voyou, tout est bon pour toi pour profiter de la faiblesse de la maman, tu es un incorrigible vaurien !

Grégoire lui sourit et dit en appuyant ses pouces sur les grandes lèvres :


-Ton corps et brulant comme de la braise, je sais que tu veux encore jouir, ne t'en prive pas, vas, -y aimons-nous, comme des bêtes !

La maman détourne la tête pour ne pas croiser le regard de son fils, très émue, elle dit :

-Tu es fou mon chéri, il ne faut pas penser à ça, ce matin, nous avons dérapé, ôte-toi ça de la tête !

Grégoire en enfonçant ses pouces dans la vulve de sa maman répond :

-Soit franche maman ce matin ce petit dérapage comme tu dit, il t'a plus oui ou non répond !


Olga, baisse les yeux et répond avec un ton d'agacée :


-Oui, oui, j'ai aimé, voilà, tu es content, j'ai honte de te l'avouer, mais c'est la vérité !


Le fils vicieux demande encore :

-Dit en plus, avoues tout !

La maman fébrile ne peut retenir ses larmes, elle dit en sanglotant :

-Si tu veux savoir tout et bien à l'instant, je me suis défoncée la chatte en pensant à toi petit salaud !

Grégoire souriant réplique :

-Je t'ai dit que tu serai ma salope, tu vois, tu commences bien, profites de la vie, tu es encore jeune et désirable maman !

Il étire encore plus la chatte de sa maman, elle se cabre en disant :

-Oh putain, qu'est que tu me fais mon chéri !

Grégoire se dit, eh bien, je vais faire de ma maman une grosse salope, je sais qu'elle le peut. Il lui enfonce trois doigts dans le vagin et le ramone comme un fou. La maman se cabre en gémissement :

-Oh mon chéri, mon chéri, tu vas me rendre folle !

Grégoire éclate de rire et répond :

- Maman, je veux que tu sois une grosse, grosse salope !


Olga serre les dents, le ramonage est terrible, un quatrième doigt rejoint les autres. Elle s'agite en couinant de plaisir. pendant qu'il lui fouille la chatte, il se penche et lui aspire le clito. Il le suce avec rage, sa maman gémit fortement, elle est au bord de l'explosion. Elle se cambre en disant :

-Mon chéri, mon chéri, je vais jouir !

Il accélère le ramonage et les succions, sa maman se cabre en poussant un cri inhumain, elle gicle dans la bouche du suceur en agitant son bas-ventre. Grégoire se redresse, il sort se son slip sa queue tendue et l'enfonce d'un seul coup au plus profond des entrailles de la jouisseuse. Il s'accroche à ses hanches et la démonte violemment comme un soudard. Olga défaille, elle s'agrippe à son fils en couinant monstrueusement. La maman chauffée à blanc jouit encore une fois en haletant comme une bête malade. Le fils infatigable la besogne comme un dingue, sa queue entre et ressort du ventre maternel, en prenant de plus en plus de vitesse. Il se raidit, pousse un soufflement de bœuf et remplit le ventre de sa maman en transe avec sa semence épaisse. Il retire son engin gluant, retourne sa maman sur le ventre et lui écarte avec ses mains les fesses, il crache sur la rosette brune et place son gland contre. Olga sait ce que cherche son fils, elle se cambre davantage pour faciliter l'accès à son petit trou.


Sans aucune précaution, le bougre de fiston enfonce sa queue visqueuse dans le rectum de la maman qui pousse un grognement. Rapidement, Grégoire lance les chevaux. Sa queue voyage dans la gaine étroite en faisant gémir sa maman. Cet endroit, souvent ignoré par son mari, procure à Olga un plaisir intense. Elle agite sa croupe en grognant de bonheur, les assauts terribles de Grégoire la font jouir du cul comme une damnée. Le coquin la démonte comme un forcené, ses coups de bélier sont si forts que sa maman jouit une seconde fois du cul. Il donne encore de nombreux cous de boutoir avant de déverser dans les entrailles de sa maman sa sève épaisse. Enfin, pour clôturer en beauté, il offre aux lèvres charnues de sa maman sa queue.

Comme une affamée, Olga suce et tète le gland au gout suave, la coquine s'acharne sur la queue comme une hystérique. Sa bouche habile fait son effet, Grégoire pousse un long râle rauque et répand son sperme dans la bouche de la maman gourmande, elle avale sans rechigner le nectar que lui offre si généreusement son fils. Une fois gavée, elle recrache la verge qui lui a donné tant de bonheur.

Fier de sa maman, Grégoire lui dit :

-Maman chérie, tu est tellement bonne, que je veux en faire profiter mes amis !

Olga regarde son fils en fronçant les sourcils et répond en faisant un large sourire :

-Au point ou nous en sommes mon chéri pourquoi s'en priver, je n'ai jamais fait cela à plusieurs, ça sera une nouvelle expérience pour moi !

Grégoire réplique :

-Je te prédis, une vie de grosse salope ma chérie, hum, tu seras notre pute !

Olga éclate de rire et répond :

Si c'est ton desir, mon chéri, je serai un grosse pute pour toi, maintenant que tu m'as ouvert les yeux, et le cul, je suis d'accord mon chéri maudit !