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Je suis devenue salope

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Lue : 4095 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/10/2013

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Je suis devenue une salope à cause de mon amant. Commençons par le début. J’étais presque une pure jeune fille. Il m’a dépucelé peu de temps après notre rencontre. Il m’a appris à me donner du plaisir. Je l’ai fait facilement devant lui, puis le plus souvent seule : je préfère ainsi, mon imagination vogue vers des amants inconnus qui me baisent. Un jour il a voulu que j’augmente son plaisir. Ce n’était pas compliqué. Nous étions avec une autre fille sortie de je ne sais où. Elle était bien fichue. Il la caressait devant moi qui en mouillais. J’avais envie de jouir. C’est elle qui m’a caressée, remarquablement caressée. Elle m’a faite jouir plusieurs fois consécutives. C’est lui qui la prise devant moi dans le cul en plus. Elle se tortillait de plaisir durant la sodomie. Moi je restais encore vierge de ce côté-là. Je lui ai demandé de me la mettre au cul : Il a refusé tout d’abord. Ce n’est que plusieurs jours plus tard qu’il me la mise au cul. J’ai eu mal quand il est entré. Ensuite je me suis décontractée complétement. J’ai joui. Je ne pensais jamais que ce soit aussi bon. Je ne le demande plus, c’est lui, quand il en a envie qui m’encule. J’aime.

Un soir, en baisant il m’a demandé de coucher devant lui avec un copain : il voulait voir comment je baisais. J’ai eu la faiblesse d’accepter. Nous étions à trois sur le lit. Ils m’embrassaient ensemble. Mes seins étaient à la fête. Je sentais bien les deux mains sur mes jambes, entre elle. J’ai eu deux doigts sur le petit clitoris. J’ai vite joui. Ensuite une autre main est venue caresser le cul : j’aime ça. Il m‘a fait mettre sur le côté. Je sentais sa bite contre le pubis, je sentais l’autre bite sur ma raie. J’en avais envie des deux côtés. C’est celle de derrière qui s’est présentée la première. J’ai ouvert mon cul comme je pouvais. La queue en entrée simplement en me défonçant un peu. Quand la bite était au fond de mon cul, c’est celle de mon amant qui est entrée dans le vagin. Il me semblait bondir avec deux bites en moi. J’éclatais de plaisir en criant, en en appelant ma mère.

Nous avons souvent remis la chose. Je me régalais et me régale toujours d’avoir deux bite devant et derrière.

Mon type a voulu que je sois rasée. Il a même pris rendez-vous chez l’esthéticienne. Elle m’a faite entrer dans le cabinet. Je devais être nue, totalement nue. J’étais sur le dos, les jambes ouvertes pour lui permettre l’épilation du maillot. Elle le faisait fort bien, surtout après pour enlever le feu du rasoir avec sa main. Elle l’a passé partout, surtout entre mes jambes. Elle allait même là où elle n’avait rien fait. J’avais un nouveau feu quand elle a caressé gentiment toute la chatte en s’arrêtant surtout sur le clitoris. Emportée vers une nouvelle destination je la laissais me caresser. Sa bouche est venue remplacer son doigt. De clitoris elle est venue dans le vagin. Sa langue me semblait longue très longue : j’ai joui autour en lui donnant une dose de mes secrétions naturelles.

Elle a fit tomber sa blouse : elle était nue dessous. Elle est venue sur moi d’abord prendre le sexe à pleine bouche et me donner le sien à bouffer. Ma première chatte. C’était agréable à ma bouche, à ma langue. Quand je léchais trop fort, elle me mordillait. Elle gémissait, je gémissais. Nous faisions un concert particulier. Je ne sais combien de temps j’ai passé dans cet institut. Je suis sortie moulue et heureuse des plaisirs que j’avais reçus.

Je racontais mon aventure à mon mec. Il m’a couché, m’a entrer sa queue dans le vagin d’abord et pour changer en mettant sur le ventre dans l’anus.

Il nous a fait inviter dans une causerie amicale comme il dit. J’en étais satisfaite de voir toutes ces bites, ces cons, ces fesses. Je connaissais tout ça pour l’avoir un jour ou un autre l’avoir pratiquer. Je voulais faire un essai : je pouvais demander à un type de me la mettre au cul, un autre dans la bouche et à une autre de me lécher.

Je craignais de ne pas trouver d’amateur. Le plus simple, contrairement à ce que je pensais a été de me mettre avec une gentille fille pleine de désirs homosexuels, elle mariée, son mari est venu pour que je le suce. Nous nous sommes embrassées sur la bouche : mon type bandait. Je ne le voulais pas, lui. Enfin j’ai pu draguer le deuxième homme. Pour le premier c’était simple, j’ouvrais ma bouche pour lui bouffer la pine Elle avait un gout que je ne connaissais pas. Le deuxième est venu quand j’ai précisé que c’était pour le cul.

Je me trouvais comme un poulet à la broche avec une queue dans l’arrière train et une autre dans la bouche. Celle qui arrosait du son jus était la fille entre les jambes. Elle léchait, elle caressait les seins. La masturbation qu’elle se donnait était pour pimenter la sauce.

La nuit fut trop courte pour mes désirs, j’aurais facilement contenté plusieurs hommes ou femmes encore. Je vais aller me confesser : j’espère que le curé sera tellement excité de mes récits qu’il voudra lui aussi goûter à mes fruits défend.
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Histoire de fabrissa

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