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Je suis ta chienne

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Lue : 25455 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/03/2010

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Cela faisait maintenant trois mois. Il y avait trois mois, mon amie Morgane m'avait parlé d'un gars avec qui elle était sortie quelques semaines, avant qu'il ne parte à l'étranger pour quelques semaines. Elle avait ajouté qu'il l'avait quittée parce que l'appétit sexuel de mon amie ne le satisfaisait pas. J'avais discrètement pris l'adresse Internet du jeune homme, et après avoir vu quelques photos de lui sur Facebook, l'avait ajouté sur MSN. Quelle merveille, Internet!

Durant trois mois, nous avions communiqué via le net, je lui avais envoyé des photos sexy de moi, et il avait promis de s'occuper de mon cas à son retour, et avait dit qu'il se réserverait pour cette occasion. Aujourd'hui, comme promis, j'attendais l’atterrissage de son vol à l'aéroport. Il avait du retard, et je n'en pouvais plus tant j'étais excitée. Trois cafés bus depuis que je m'étais assise à cette cafétéria ne m'aidaient évidemment pas. Soudain on annonce que son vol a atterri.

Je me précipite vers les arrivées, et après 20 minutes d'attente, je le vois. Il m'a vue, et ne regarde plus que moi! Ouf!, j'avais peur qu'il m'aie donné de faux espoirs, et que d'autres que moi ne l'attendent. Il pousse son chariot à valise jusque moi, et m'enlace avant de m'embrasser. Quel expert, sans faire quoi que ce soit d'autre, il m’amène déjà au bord de l'extase.

"Viens." C'est le seul mot qu'il a employé. Je l'ai suivi sans rien dire jusqu'au parking, qu'il a payé. Je réfléchissais pendant que nous descendions par l'ascenseur. Il a laissé sa voiture à l'aéroport tout ce temps? Il doit être riche... En effet il devait être riche, son énorme 4X4 l'attendait dans un garage privé. Il chargea ses bagages, ouvrit la porte arrière, et m'y fit monter. Toujours pas un mot, mais je sentais quelque chose de fort entre nous.

Il prit le volant, et roula une demi heure avant de s'arrêter. Il me rejoint ensuite à l'arrière. Il glissa ses doigts dans mes cheveux.
"J'ai attendu deux mois. J'espère que tu es aussi excitée que moi". J'étais incapable de répondre, tout ce que j'ai trouvé à faire, c'est glisser ma main entre ses jambes et lui caresser le sexe déjà durci en hochant la tête. Il fourra sa langue dans ma bouche, et à nouveau, je me sentis envahie de désir, ma fente s'humidifiait déjà. Morgane avait été folle de ne pas profiter d'un pareil étalon, son sexe grandissait encore dans ma main.

Je me penchai et commença à mettre des coups de langue à travers son pantalon, j'adore faire ça! Bientôt, je lui ouvre son jeans, tandis qu'il soulève ma jupe pour écarter délicatement mon string et commencer à me caresser ma chatte trempée. Ses doigts se lubrifièrent vite dans tout mon jus, et ils me pénétrèrent au moment où j'enfonçai sa bite dans ma bouche. Je pompais le plus fort que je pouvais, et j'enfonçais mon nouveau manche le plus loin possible, je voulais lui faire comprendre que je voulais n'être plus qu'à lui. Ca a eu l'air de lui plaire, il m'enfonça un doigt de plus dans la fente, ce qui m'arracha un petit cri.

Je fus rapidement déçue, quand il jouit dans ma bouche. Mon excitation retomba. "Arrête pas, je t'ai dit que je te prendrais le premier jour où je te verrais et je t'ai pas encore prise petite salope." Les mots qu'il venait de me dire m'excitèrent à nouveau, et ça a eu l'air d'avoir un effet similaire sur lui, il eut une nouvelle érection, bien qu'elle fut moins dure que la précédente, c'était mon travail de la raviver. Je remis la bite dans ma bouche et me remis à pomper. Ce faisant je me rendis compte que mon nouvel amant n'avait jamais entendu le son de ma voix.

Je me mis à ajouter un massage des testicules à ma pipe, il eut l'air d'aimer ça, car il me redressa soudain pour m’amener au dessus de lui. Il dressa son chibre en l'air, et m'assis dessus. Lubrifiée comme je l'étais, il s'enfonça très loin très rapidement, j'en fus surprise et me mis à respirer très fort quand il me plaqua contre son torse me prit par la gorge et m'embrassa. J'eus un orgasme. Sans le moindre coup de rein, cet homme m'avait apporté à l'orgasme, je me demandais comment il serait avec une bouteille d'alcool et des solides coups de bassin puissant.

Il commença par de légers coups de rein, qui me soulevèrent du sol de deux centimètres. je me remis à respirer très fort, j'avais très chaud, et il accéléra. Je sentais son chibre devenir encore plus dur que tout à l'heure, je sentais son souffle dans mon cou, et surtout, je le sentais m'enfoncer son membre en moi. Je sentis un nouveau genre d'orgasme monter en moi, beaucoup plus puissant que mes orgasmes habituels. il n'arrêtait pas de me pilonner, un de ses doigts commençait à me titiller l'anus, j'haïssais ça d'ordinaire, mais n'osais pas l'arrêter de peur de faire cesser le nouveau plaisir qui grandissait en moi. Mes tétons étaient devenus durs, la sensation qu'ils me procuraient était entre la douleur et le plaisir...

Deux minutes plus tard, le plaisir en moi était à son paroxysme, et ce n'étaient plus des cris, mais des hurlements qui me sortaient de la gorge. Au moment le plus fort, je failli perdre connaissance, puis me laissai tomber sur lui, inerte. Il me redressa, et sortit sa bite de ma chatte ravagée par le plaisir et la violence de ses coups de rein. Mon amant me prit par les cheveux, et m'enfonça la bite au fond de la gorge, j'eus envie de lui crier d'arrêter mais je ne pouvais pas. Il ne bougeait que les bras, pour me bouger la tête. Je regardai par terre, et vit quelques gouttes de liquide par terre. J'étais sûre d’avoir gardé son foutre dans ma bouche la première fois, avant de le cracher dans un sac. Je compris que ce liquide là, c'est moi qui l'avait éjaculé. Je sentais que je salivais comme jamais, et bientôt ma bave s'écoula sur son membre, et plus bas, sur le cuir du fauteuil. Il me laissait respirer toutes les dix secondes, et cela dura trois minutes avant qu'il jouisse à nouveau. La première fois, j'avais craché sa semence, mais cette fois je l'avalai goulûment, et avalai également tout le liquide sorti sur ma bouche qui avait coulé sur lui, en le courant de coups de langue. Je me rendis compte qu'il ne m'avait pas déshabillée. Il me prit par la main et me porta sur le siège convoyeur où il attache ma ceinture, j'étais déboussolée par le plaisir.

Après avoir passé une loque à l'arrière, il reprit le volant, et roula. Mon Dieu, me dis je. Je viens de me faire prendre sur une aire d'autoroute. Heureusement que la voiture dispose de vitres teintées. J'étais sous le charme de mon amant, et je me souvins enfin que je ne lui avait toujours pas parlé tant j'étais gênée, et ce depuis son arrivée.

"Je... J'ai beaucoup aimé" Sont les premiers mots que je lui ai dit.
"Je suis désolé, répondit il, j'ai été fort brutal, mais j'étais trop en manque. On peut dire que je t'ai juste baisée aujourd'hui, je te referai l'amour plus tard." Il posa sa main entre mes jambes et se mit à me caresser.

"Je suis ta chienne", lui dis-je.
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Histoire de Laura Eden

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