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Uniformes

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/03/2024

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UNIFORMES
1
Cela faisait plusieurs semaines qu'un débat agitait ce petit campus américain. En effet, lors d'un conseil d'administration, Alan McRaney, un enseignant de droit, avait mis sur la table une question qui n'avait jamais jusqu'alors été abordée. Elle l'eut été s'il y avait eu un problème, mais de problème il n'y avait pas. Au contraire, c'était lui qui en avait soulevé un.
--Je pense que nous devons envisager, pour les années à venir, de faire porter à nos étudiants et nos étudiantes un uniforme. Quelque chose de commun et de neutre. Jupe veste ou jupe pantalon, dans du gris pour les jeunes femmes, avec des chemises blanches, et une tenue quasi identique pour les garçons, en gris également. Veste, pantalon...Je marche régulièrement sur le campus, et je vois, des deux côtés, des tenues qui sont à la limite de l'indécence.
C'était peu de choses que de dire que sa proposition n'avait déclenché qu'un enthousiasme modéré. En effet, c'était un campus sans histoires, très familial, et il ne semblait pas que les jeunes portent des tenues particulièrement affriolantes voire provocatrices.
--Je propose que ma proposition soit soumise au vote au prochain C.A. Un temps de réflexion sera le bienvenu.
La proposition n'avait pas fait souffler le vent de la tourmente sur le campus. Elle n'avait même surpris personne. McRaney était un homme particulier, très austère, très strict, peu apprécié. Il n'avait pas spécialement un bon contact avec les jeunes, contrairement à d'autres. Peu chaleureux, très froid, il vivait, pour ce qu'on savait, seul, et il était sans doute parfaitement bien placé pour donner corps à cette proposition.
Ce fut un mardi matin, dans la troisième semaine, le CA devait se réunir la semaine suivante, que très tôt le matin, McRaney, qui était l'un des premiers sur les lieux, eut une surprise. Il relisait son cours, enrichi de modifications imposées par les changements de loi. Bien que peu apprécié pour ses valeurs humaines, il l'était cependant pour la qualité de son enseignement.
Sa porte était entrouverte. On toqua, et il répondit machinalement : 'Oui'.
Wanda fit son apparition.
C'était une jeune femme magnifique, une superbe blonde, piquante, avec un corps voluptueux. Assez ironiquement, elle portait toujours des tenues estudiantines classiques, jean T-shirt ou jean sweat-shirt, mais celles-ci, plus que des tenues plus sexy, faisaient encore plus ressortir sa féminité. Son corps en courbes pleines, charnu à l'extrême, mais sans aucune graisse superflue. Elle avait également un visage magnifique, de Madone. Elle était aussi une fille remarquablement intelligente, qui comprenait très vite et restituait aussi vite.
Etait-elle l'une des raisons pour lesquelles l'enseignant souhaitait des uniformes ? Elle en doutait, car beaucoup de ses camarades avaient des tenues beaucoup plus révélatrices. Ce dont elle était par contre parfaitement consciente, c'était, même s'il s'efforçait de le cacher, et surtout s'il s'efforçait de le cacher, de l'intérêt qu'elle présentait pour l'enseignant. Son regard, souvent posé sur elle, était lourd de désir. Il n'y avait rien d'autre que ce regard pour laisser transparaître ce désir, Il ne lui parlait pas particulièrement, ne cherchait pas à la voir après le cours. Et d'évidence, il ne ferait jamais une tentative quelle qu'elle soit. Il ne voulait pas se compromettre et perdre son image. Mais il y pensait. Elle aimait l'imaginer, caressant sa queue jusqu'à l'éjaculation, en pensant en elle.
--Je peux vous parler quelques minutes ?
Il sembla surpris. Troublé aussi.
--Si vous en éprouvez le besoin, oui.
--Je suis venu vous parler en mon nom et en celui de plusieurs de mes camarades. Au sujet de votre désir d'instaurer un système d'uniformes.
--Je ne vois pas en quoi cela vous concerne. Vous n'êtes pas au C.A. me semble-t-il.
--Non, c'est sûr, mais j'ai pensé que j'étais le mieux placé pour vous parler. Et vous faire renoncer à ce projet.
L'enseignant eut un rictus méprisant et un rire qui ne l'était pas moins.
--Personne n'est jamais parvenu à me faire changer d'avis, et ce ne sera certainement pas vous qui y parviendrez.
--Je suis convaincue du contraire dit la jeune femme.
Et elle ouvrit son imperméable, qui n'était pas fermé par des boutons, mais juste par une ceinture attachée à sa taille, qu'elle défit.
Les pans s'écartèrent d'eux-mêmes.
Dessous, elle portait un de ces uniformes dont l'enseignant faisait grand cas.
Une petite jupe, courte, grise, qui laissait ses jambes parfaites, nues, ses chevilles enveloppées par des soquettes blanches, pieds pris dans des tennis. En haut, une veste grise ouverte sur un chemisier sagement boutonné.
Pourtant, contrairement à ce qu'avait semblé dire l'enseignant, en évoquant une tenue neutre, elle était cent fois plus désirable qu'avec ses classiques jeans et sweat...
L'expression de l'enseignant le disait d'ailleurs clairement. Bouche entrouverte, il était tout rouge, et ses yeux criaient un désir d'autant plus fort que la frustration était son lot quotidien.
Wanda sourit en pensant à l'état de la queue de l'enseignant. Il devait être en pleine érection. Voire, et elle l'imaginait très bien, avoir éjaculé dans son caleçon.
Lui si acrimonieux, était à cet instant incapable de parler.
--Est-ce vraiment une bonne idée de mettre en place de telles tenues?
Et elle tourna sur elle-même.
De manière logique, dans le mouvement, la jupe se souleva, laissa voir l'intégralité de jambes parfaites, mais aussi ce que l'enseignant pensa d'abord être un slip, avant de comprendre, quand il vit sa partie postérieure apparaître, qu'il s'agissait d'un string qui laissait ses fesses nues, un triangle tout en haut se transformant en un cordon pour disparaître dans sa raie. Devant ce n'était sans doute pas mieux car le tissu collait très nettement à la bosse de son sexe, et dessinait tout aussi nettement la fente qui coupait celle-ci en deux, s'enfonçant dedans.
Elle tourna sur elle-même, le regard de l'enseignant collé à elle. D'abord vite, puis en ralentissant le mouvement. Elle sentait son regard, brûlant, sur elle, sur ses jambes, ses fesses, son ventre. Elle sourit. Il était aussi prévisible qu'elle avait pu le penser. Et aussi frustré qu'elle avait également pu le penser. Mais l'un conditionnait l'autre.
La jupe retomba enfin.
--Monsieur le professeur, dit-elle avec ironie, ne pensez-vous pas que la solution est pire que le mal que vous dénoncez ?
Il était pour ainsi dire tétanisé.
Elle contourna le bureau. Attrapa le cours qu'il relisait, et le balança par terre. Il ne protesta même pas. Elle se hissa d'un mouvement souple sur le bureau, se calant face à lui dans une posture audacieuse, les jambes ouvertes. La jupe s'était retroussée quand elle avait glissé sur le sol, elle était de toute façon tellement courte que son bas-ventre était visible, et ce slip qui devenait transparent de seconde en seconde, laissant voir le dessin de la bosse de son sexe et ses lèvres, entre lesquelles le tissu venait se ficher.
Wanda en était la première surprise, alors qu'elle avait pensé rester totalement neutre, la situation l'excitait terriblement. Son corps était brûlant, son sexe s'ouvrait, et elle mouillait. Elle n'avait d'ailleurs pas pensé aller jusque là, mais s'arrêter bien plus tôt. D'autant qu'elle éprouvait un profond mépris pour cet enseignant.
Mais il y avait quelque chose qui la perturbait énormément. Elle pensait à la queue de cet homme. Elle l'imaginait énorme, gorgée de sang, d'autant plus dure et longue qu'elle n'avait pas servi pendant des années. Wanda aimait le sexe, elle aimait les queues, elle aimait le plaisir. Et puis elle était convaincue qu'il n'avait pas fait l'amour depuis des années, et elle fantasmait énormément sur l'idée d'être celle qui le ramènerait, sinon sur le droit chemin, du moins sur celui d'une sexualité qui le rendrait moins aigri, et le dispenserait de faire de telles propositions.
Paralysé il la fixait. Se retrouver avec un univers qu'il avait rejeté pendant des années le rendait quasiment catatonique.
Elle se souleva, vient attraper son slip au niveau de l'élastique, le descendit au long de ses jambes, avant de le récupérer à une cheville.
Avec une audace qu'elle n'avait encore jamais eue, même avec ses petites copines, et quant bien même elle se sentait entrouverte d'excitation, tout autant que ruisselante, Wanda vint ficher ses deux index dans son sexe et s'ouvrit autant qu'il était possible.
Fasciné, il contempla son intérieur rose, visible jusqu'à son utérus.
--Regarde bien...C'est ça une femme...Quelque chose dont tu n'as jamais profité, ou si peu...Et ça a fait de toi quelqu'un d'aigri...
Elle lui laissa un temps suffisant pour regarder. Une image qui s'imprégnait en lui et qu'il n'oublierait pas. Elle tournerait en lui, le hanterait, obsédante.
Elle aurait sans doute pu s'arrêter là, mais elle avait envie d'aller plus loin. Ce qu'elle n'avait pas prévu. Envie de prendre du plaisir et de lui en donner.
Elle se redressa et vint le défaire. A travers le tissu du pantalon, elle sentait une queue bien dure. Exactement ce qu'elle avait imaginé. Elle tremblait d'impatience et d'envie. Elle la fit sortir à l'air libre. Oui, exactement ce qu'elle avait conçu, elle savait deviner à quoi ressemblait la queue d'un homme simplement à son apparence physique, une queue très longue et très épaisse. C'était d'une triste ironie qu'il puisse avoir une aussi belle queue et qu'elle ne serve pas.
Wanda faisait beaucoup et souvent l'amour, elle avait une expérience que l'homme, toujours tétanisé, incapable de dire quoi que ce soit, lui qui était connu pour ses répliques cinglantes, ne possédait pas. Elle ne pensait pas se tromper en esquissant ce schéma.
Elle caressa doucement sa queue. Moins pour la faire durcir, elle était déjà énorme, que pour en apprécier la plénitude. Elle ferma les yeux, ravie.
--Je vais te faire un condensé de ce qu'une femme peut te faire. Tu ne les regarderas plus jamais pareil. Plus jamais avec mépris. Tu sauras qu'elles peuvent donner du plaisir. Je suis certaine que tu as déjà eu des rapports avec des femmes, mais que tu n'en as jamais tiré du plaisir, pas vrai?
Elle le masturba doucement. Ça avait été son premier acte sexuel, masturber des garçons. Son liquide pré-sécrétif commença à couler.
Elle glissa la main dans l'une des poches de son imper, à la recherche d'un préservatif. Elle en avait toujours sur elle. Quand on est jeune, une rencontre, une envie...Ça peut aller très vite...Un peu ce qui se passait aujourd'hui.
Même si elle n'avait pas imaginé que les choses puissent se passer de cette façon.
Elle trouva un préservatif emballé dans de l'aluminium...Ca aurait été un manque de chance qu'elle n'en ait pas sur elle. Elle ne dérogeait jamais à la règle d'utiliser un préservatif. Trop peur d'avoir une vilaine maladie. Mais cette fois, elle aurait quand même fait une exception à la règle. Elle avait trop envie de cette queue...Une maladie vénérienne. Ca faisait des années qu'elle n'avait pas du servir...
Elle déchira l'emballage. Une rondelle de latex luisante apparut. Elle la posé sur le gland dilaté et huileux de liquide pré-sécrétif, Un seul geste, efficace, pour descendre le latex jusqu'à la racine de la queue.
Elle descendit de la table et vint se positionner au-dessus de la chaise. Ses jambes de part et d'autre de la chaise et de l'homme. Il laissa échapper un grognement, mais il aurait été bien difficile de savoir ce qu'il pouvait signifier. Colère ou contentement?
Se caler au bon niveau. Elle tenta d'abord de faire rentrer le membre en elle sans le guider, mais ça ne marchait pas, alors elle l'attrapa, et le guida vers ses lèvres. Le contact du gland contre ses lèvres lui envoya de l'électricité dans le ventre. Elle poussa le membre dans son ouverture et se laissa descendre dessus, jusqu'à ce que la queue soit entièrement en elle, et qu'elle soit assise dessus. Elle se sentait remplie, et même que la verge distendait sa chatte. C'était bon...Décidément, sa simple manifestation pour empêcher une mesure absurde avait pris un ton particulier.
Il y eut un moment de pur plaisir. Calée sur lui, elle se faisait monter et descendre sur le membre dilaté dont il lui semblait qu'il grossissait en elle, et qui, en tout cas, caressait bien sa muqueuse, la gainant, la frottant, et lui procurant un plaisir qu'elle n'avait, lui semblait-il, jamais connu. C'était tellement bon.
Est-ce qu'il ressentait lui du plaisir ? Difficile de le savoir....Il avait un visage sans expression, seul ses yeux parlaient...Difficile de comprendre le message. Un regard halluciné, pas facile d'y lire du plaisir. L'indicateur, c'était peut-être sa queue, qui semblait grossir à l'infini dans son ventre.
Et ce fut aussi l'explosion finale...Il poussa une sorte de cri rauque, et explosa dans son ventre, crachant de multiples jets de sperme, et faisant jouir Wanda qui se tordait sur lui.
La fin fut plus rapide. Elle se dégagea, groggy. Elle avait bien joui. Des orgasmes très forts.
Elle remonta le préservatif. Le réservoir débordait de sperme. Il bandait toujours.
Ne résistant pas à une envie, et alors même qu'elle se disait qu'elle ne devait pas s'attarder, elle monta le préservatif au niveau de son visage, tira sur le latex pour ouvrir le préservatif et vint bouffer le sperme qu'il contenait. Elle jeta la capote dans la poche de l'imper.
Elle n'en avait pas tout à fait fini. Elle se pencha sur la queue rigide à l'identique. Elle enveloppa le gland et un peu plus, et fit bouger sa main très rapidement le long de la tige. Il ne fallut que quelques secondes pour qu'un torrent de sperme ne jaillisse, qui vint rejoindre les rasades copieuses qu'elle avait déjà lapé. Cette fois, son érection se dégonfla. Elle se rajusta, et quitta le bureau.
Le C.A. avait lieu une semaine plus tard. Ses collègues furent plus que surpris de l'entendre dire :
--J'ai fait à tort une proposition la fois précédente. Les choses sont bien comme elles sont.Il n'y a nul besoin d'un quelconque uniforme.
Et les choses en restèrent là.
Beaucoup furent surpris par le changement d'attitude de l'enseignant dans les semaines et les mois qui suivirent. Moins tendu, largement plus ouvert aux autres, souriant, chaleureux.
Quelque chose s'était produit.
2
Une autre année universitaire. Au petit matin, très tôt, une jeune femme pénètra sur le campus et se dirigea vers l'une des maisons dans lesquelles résidait le personnel. En l’occurrence, McRaney, l'enseignant qui, neuf mois plus tôt avait proposé de mettre en place des uniformes.
La jeune femme était magnifique. Vêtue d'un simple survêtement qui rendait grâce à sa beauté. Mais n'importe quoi aurait rendu grâce à sa beauté.
Elle se glissa dans la maison dont la porte principale n'était pas fermée. Monta une volée de marches et se glissa dans une grande chambre. Là, il y avait une silhouette sous le drap. Wanda, car c'est d'elle qu'il s'agissait se déshabilla, fit glisser le survêtement sous lequel elle ne portait rien, une nudité parfaite. Elle souleva le drap et dévoila le corps d'un homme mûr. Il dormait encore. Sa verge, épaisse et longue, était en pleine érection. Elle vint la caresser doucement, de la pulpe des doigts, et le membre s'agita, se dilata encore.
L'homme entrouvrit les yeux. Il lui sourit. Un beau sourire, de la part de quelqu'un qui, jusqu'à il y a peu, ne souriait jamais.
La jeune femme se fit glisser sur la verge de l'homme, mais en lui présentant son dos. Elle guida la verge vers son sexe, et la fit rentrer dedans. Pour elle, c'était un plaisir qui ne s'épuisait pas que de sentir son sexe en elle, épais, dur, chaud, qui renouvelait ce qu'elle avait ressenti la première fois lorsque, dans le bureau, elle avait poussé la queue dans son ventre, sans imaginer que ce serait aussi fort.
L'homme vint prendre, dans ses mains épaisses, ses fesses à pleines mains, fesses charnues, qui débordaient de ses mains, et il la fit monter et descendre sur sa queue, donnant lui le rythme.
Ca avait été à la fin des examens, début juillet, qu'un soir, il rentrait chez elle, il avait eu la surprise de voir la jeune femme surgir de l'obscurité.
Elle portait une simple robe, qu'elle avait soulevé, laissant voir un corps nu.
--Maintenant que tout est fini, j'aimerais qu'on ait du plaisir ensemble.
Souvent, quand une relation se nouait, les opposés s'attiraient, et c'était bien ce qui s'était passé entre eux. Une étrange complicité s'était développée, au fil des semaines, très fortes, passant certes essentiellement par le sexe. Qui ne se serait sans doute pas mise en place, c'était une évidence, si l'homme ne s'était pas radicalement métamorphosé, suite à ce rapport sexuel dans son bureau qui avait eu valeur de magie, comme cassant un ensorcellement.
La jolie blonde contracta ses muscles vaginaux, et pivota pour se retrouver face à lui. Elle se pencha vers lui, et il vint dévorer ses tétons.
Ils se rejoignaient aussi souvent que possible pour des moments de plaisir qui duraient très longtemps.
Wanda imprima à son sexe des mouvements spasmodiques, crispant ses muscles autour de la verge de son amant, puis les desserrant. Elle hurla quand les jets de sperme jaillirent et vinrent cogner contre ses muqueuses. Elle aimait ces jets abondants et copieux qui la remplissaient. Le meilleur c'était quand il venait par derrière, et que la semence restait longtemps en elle.
Elle le fit sortir d'elle. Sa queue, lors de leurs rapports, restait obstinément raide. L'occasion de multiplier les jeux sexuels.
La semence dégoulinant de son vagin, elle vint prendre ses couilles dans sa bouche, l'une après l'autre, en léchant la surface, en même temps qu'elle le masturbait. Elle savait que d'ici quelques minutes elle le prendrait dans sa bouche, et qu'elle boirait son sperme quand il jouirait.
Ils avaient la matinée pour eux.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Uniformes

Le 24/03/2024 - 07:34 par nana08000
Très belle histoire, bien écrite et très excitante

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