ACCUEIL > Hétéro > Récit : Jeune facteur

Jeune facteur

+67

Lue : 40189 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 29/07/2010

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Jeune facteur, où tout est bien qui finit bien. Pardon pour la fin
Je viens d’avoir dix huit ans, Je fais un stage de vacances à la poste et l’on m’a collé le sale boulot de facteur, préposé comme ils disent. Avant-hier il m’est arrivé une aventure peu banale qui marquera ma jeune vie. J’apportais un pli recommandé et comme je sonnais à la grille d’un beau pavillon isolé au fond d’un grand jardin d’ornement, une voix féminine m’interrogea, là, dans l’interphone :
« Qui est ce ? » surpris, je dis
« C’est le facteur, j’ai un recommandé pour vous, il me faut votre signature »
« Entrez, la grille est ouverte »
Mince pensais- je, fâcheux contretemps car c’était ma dernière démarche de la journée et j’avais rendez vous avec mes copains. La porte d’entrée de la maison était ouverte, j’entrais dans un vaste vestibule…..personne…. .Je m’avançais et dans une grande pièce je la vis, femme d’une quarantaine d’année, blonde, élancée, bien faite, toute en courbes. Installée devant un chevalet, elle peignait une grande toile avec de longs pinceaux. Elle me regarda attentivement et sourit gentiment :
« Beau tableau jeune homme……vous êtes nouveau ? »
Je ne sais si elle parlait de moi et je devins rouge comme un coq. Elle prit le télégramme et comme j’ouvrais le registre, elle se colla presque sur moi pour signer. Il se dégageait de sa personne un parfum enivrant et moi le jeune puceau, j’en tremblais. Elle du voir mon trouble car elle me prit des mains le registre, le posa sur un petit guéridon et me dit :
« Détendez-vous ! Nous allons prendre un café, nous avons bien quelques minutes jeune homme »
Je commençais à manquer d’inspiration, j’allais refuser mais elle m’installa sur un petit sofa d’angle. Le café fut vite chaud et servi sur une table basse, elle face à moi dans un fauteuil me lorgnait par-dessous. J’étais paniqué, muet comme une carpe, tremblant comme un collégien. Elle, très à l’aise dominait la situation. Je n’osais regarder ses cuisses qu’elle ne cachait guère et qu’elle croisait et décroisait sans cesse; à un moment je crus même entrevoir slip et jarretelles……ma main frémit et catastrophe je renversais le café sur mon pantalon.
« Petit maladroit, vous allez vous faire gronder par maman……venez par ici que j’arrange çà » dit elle en se levant. Que dire ? Que faire ? Docilement je la suivis dans la salle d’eau. Cette pièce était dans la pénombre, chaque élément rutilait mis en valeur par un carrelage de marbre rose.
Eponge à la main elle me tamponna le pantalon…devinez vous ?....oui c’est cela en plein dessus. Pour tendre le tissu un doigt agile pénétra à l’intérieur en bas de la braguette. Le dernier bouton céda puis deux, enfin trois. Sa main passa entièrement sous le tissu tandis que l’autre frottait consciencieusement la petite tache de café :

« Qu’elle est petite ! » dit t’elle. Parlait-elle de la tache ou de mon sexe qui en effet n’était pas au mieux de sa forme. J’étais paniqué et si ce n’était la pensée de raconter mon aventure aux copains je me serais enfui. D’autant qu’aucun doute ne subsistait maintenant dans son attitude, dans ses gestes. Sa main passée dans mon pantalon était passée maintenant sous la soie de mon slip, sous prétexte d’enlever la tache, et malaxait franchement mon sexe, doucement mais fermement, rien n’échappait à sa curiosité, les couilles étaient palpées par une main baladeuse.

Moi qui ne connaissais du plaisir que la masturbation solitaire, je n’étais pas insensible à ce nouveau genre de caresses, je défaillais, je dus haletant m’accrocher à elle ; experte ses doigts s’activaient directement sur moi saisissant ma verge qui prenait de l’ampleur ; elle ouvrit mon pantalon, baissa mon slip ; offrant à ma hampe une mise à l’air, comme on dit entre nous. Honteux, pantelant je mis ma tête dans son cou et heureux je la laissais m’exciter et c’était bon.
« Mais tu es puceau, petit chou ! » dit-elle observant sans doute mon gland encapuchonné
« Arrêtons, je ne veux pas te dévergonder malgré l’envie que j’en ai » et comme elle retirait sa main, j’eus comme un cri et me serrais davantage sur elle.
« Mais c’est qu’il trouve çà bon !…..tu as raison …c’est bon pour moi aussi ! Finalement ta verge est comme je les aime, bien raide et lisse, elle doit être douce »
Sa main reprit son activité; rien de comparable avec à ce que je lui faisais subir habituellement, c’était à la fois plus caressant et plus ferme. Dans son mouvement de va et viens sa main occupait tout mon bas ventre, elle avait sortit mes couilles du pantalon et avec deux doigts seulement, le pouce et l’index elle me branlait en faisant jouer la peau sur ma tige raidie, décalottant puis recouvrant mon gland.

Ma verge prenait des proportions inconnues jusqu’alors, j’étais au bord de la jouissance et j’y restais car elle savait y faire, refreinant son ardeur quand elle devinait que j’allais exploser. Par moment elle variait sa branlette en fermant sa main enduite d’une mousse de savon parfumé, faisant comme un fourreau entre ses doigts repliés elle me laissait m’agiter dans cette sorte de chatte lubrifiée et quand elle se serrait sur moi je pouvais voir mon gland décalotté émerger de sa main.

Elle s’installa, collée derrière moi et je sentis une de ses bras passer entre mes cuisses, écartant mes fesses en remontant, elle saisit à pleine main mes couilles par-dessous en les triturant délicatement tandis que l’autre main passée par devant continuait de me branler la queue. Jamais je n’avais ressenti cette sensation de plénitude, les mains s’agitaient sur moi fiévreusement. Je nous voyais face à la glace, moi nu jusqu’à la taille, le pantalon à mes pieds, elle appliquée, sérieuse les yeux fixés sur ma verge raidie, dressée, énorme…

Alors elle y alla de bon cœur, sans aucune retenue cette fois et ce fut la délivrance, le bonheur absolu, les caresses sur ma verge devinrent, plus amples, plus complètes, plus douces, des frôlements de plus en plus rapides. Mes parties serrées, agitées en tout sens. Je me mis à gémir, me blottissant contre elle qui regardait fixement notre reflet ; je vis son sourire quand dans un spasme j’éjaculais en quatre ou cinq longs jets de sperme nacré souillant le miroir et le carrelage. Tout honteux je me retournais vers elle et me cachais au creux de ses bras. Jamais je n’avais autant joui, jamais plus grand plaisir ne m’avait inondé, chaque giclée était autant de plaisir sortant de mes entrailles.

Enhardi ma main se glissa vers ses seins, je les caressais du bout des doigts, je sentais leur grosseur, leur rondeur malgré le vêtement. Je l’observais dans les glaces; leur multitude nous multipliait ; je pouvais ainsi l’admirer de face, de profil ; elle était belle, désirable, mure, expérimentée ; l’idéal pour un novice comme moi.

Je l’embrassais dans le cou, un gros baiser mouillé, ma langue léchant sa peau veloutée, je la sentis frissonner, sa main lâcha mon sexe qui contrairement à d’habitude avait gardé toute sa grosseur, il était gros quoique souple, il pendait en appui sur mes couilles toutes congestionnées, le gland décalotté.

Elle m’entraîna dans sa chambre, elle semblait pressée, troublée, un vaste lit meublait la pièce, elle l’ouvrit et s’allongea après avoir quitté ses chaussures. En se faisant elle se retroussa et je pus admirer sa magnifique paire de jambes, ses cuisses gainées de bas noirs. Ahuri j’entrevis en haut des cuisses nues, des jarretelles de dentelle noire se noyant sous la jupe.

« Allonge toi près de moi mon petit » me dit elle gentiment pour me mettre à l’aise. Je tremblais comme une feuille, je touchais au moment tant attendu, j’allais réaliser mes rêves, mettre au propre les brouillons faits et refaits par la pensée. Oserais-je faire, réaliser toutes les choses folles entrevues en dormant. Avec cette femme si belle si gentille, si compréhensive, si jouissive aussi. Je m’allongeais l’esprit vide d’un coup. Je ne sus que faire…...

Nous nous regardions intensément, elle me prit la main et me guida, elle me tenait par le poignet sa main sur la mienne, son chemin nous mena directement dans son entrecuisses largement ouvert et comme premier contact ma main toucha directement son slip soyeux sur sa chatte. D’une pression elle m’appuya et je sentis son ventre, sa toison. Je ne connaissais de la femme que ce que l’on m’avait dit ou ce que j’avais lu et là je touchais, ce premier contact fut donc sensoriel, mes doigts curieux visitèrent les lieux, en palpant d’abord le slip puis la chatte que je devinais sous le soyeux tissu.

Je sentis la bosse du sexe, devinant la vallée séparant les deux lèvres, doucement scrupuleusement je reconnus tout son cours sans découvrir de source, j’allais à la reconnaissance allant du ventre au fin fond de l’entre cuisses, de l’orée de la toison, au début des fesses sans doute. En cet endroit le cache sexe se réduisait à une mince bande de tissu débordant de longs poils, plus loin un élargissement de l’étoffe couvrait rapidement les fesses pulpeuses.

Les mouvements de ma main eurent pour effet de retrousser davantage la jupe si bien qu’en haut des bas apparurent des merveilles, d’abord les cuisses nues, rondes et fermes et un adorable string, sorte de ceinture basse qui laissait voir la jolie dépression du nombril et qui avait du mal à cacher le fruit défendu. Le maillot avait été fait depuis peu car aucun poil ne dépassait. Un porte-jarretelles suffisait à tendre les bas à l’ancienne mode à l’aide de rubans sombres qui zébraient les cuisses et les fesses.

Devant ces trésors érotiques je ne pus étouffer un gémissement. Etonnée elle me regarda en souriant. Etait ce possible ? je me couchais près d’elle, elle m’offrit ses lèvres et nous nous engloutirent dans un profond baiser. Ouvrant largement ses lèvres sensuelles elle me donna sa langue ; j’eus vite appris à la saisir au creux de la mienne pour l’aspirer goulûment. Parfois un petit cri me freinait tant j’y mettais du cœur, alors c’est elle qui à son tour happait ma muqueuse glissante comme une truite au fond de sa bouche.

Je me tournais vers elle ; mes mains reprirent ses beaux seins tandis que les siennes faisaient subir maints outrages à ma verge, elle sortait de ma culotte largement ouverte: torsions, pincements, caresses furtives. Ouvrant alors les bretelles de son corsage je découvris un spectacle que je n’oublierais jamais celui de deux seins tels qu’on en voit qu’au cinéma ou dans les revues pornographiques mais ceux-ci croyez moi étaient bien réels, en relief retenus par-dessous par un petit bustier noir suspendu par deux minces lacets sombres qui tranchaient avec l’albâtre de la peau. La dentelle cachait les deux bonnets comprimant les deux volumes sur une vallée abrupte d’où se dégageait un parfum enivrant.

A ce moment j’eus je l’avoue un moment de panique. Qu’allais je faire, que dire, confus, timide je me pelotonnais dans ses bras, elle eut toutes les peines du monde à me calmer, elle me caressa la tête comme un enfant
« Allez petit ose, tu es avec l’amour maintenant, caresse moi, profite de moi, appelle moi Elvira, j’aime çà tu sais, fais ce que tu veux, mets moi nue, laisse toi aller, aller calme toi, voilà, voilà »
En parlant d’une voix rassurante elle s’était relevée légèrement et en douceur après l’avoir dégrafé entièrement je sentis descendre mon pantalon ainsi que mon boxer. En un rien de temps je fus nu et mon bas ventre fut de nouveau investi, mes cuisses relevées et écartées. Elle avait de l’énergie, du savoir faire et je sentis de nouveau mon être émigrer vers mon sexe, elle s’activait rudement sur lui et j’allais jouir à nouveau mais avec une expertise diabolique elle ralentissait ses caresses avant la montée du bonheur. Je tendais mon ventre en gémissant.

Un instant ivre de bonheur j’ouvris les yeux c’est alors que je m’aperçus que la pièce était garnie de nombreuses glaces judicieusement placées, sur les murs au plafond sur l’une d’elle je la vis penchée sur moi branlant ma verge et je n’en cru pas mes yeux, je me rendis compte à l’évidence que ce qui m’agaçait ce n’était plus ses mains, c’était sa bouche, je crus que je n’allais plus pouvoir me retenir que j’allais décharger entre ses lèvres, mais comme avec ses mains elle savait tempérer son ardeur au moment critique

« Petit chou, il n’est pas trop gros pour l’instant mais tu sembles doué pour l’amour avec un peu d’entraînement je crois que tu auras un beau sexe, j’espère qu’alors tu ne m’oublieras pas. J’arrête pour le moment car j’ai peur que tout à l’heure pour le bouquet final tu ne sois plus en forme »
L’oublier comment pourrais je ? Mais qu’entendait-elle par bouquet final. En pensant que j’allais la baiser j’en deviens fou, mon sexe me fait mal tant il est tendu, mes couilles pèsent un poids fou ; je ne dirais rien aux copains, pourvu que je puisse revenir souvent.
« Tu sais que moi aussi j’aime faire l’amour, soit gentil fais moi jouir, caresses moi de partout, je ne m’attends pas à un miracle la première fois, redonne moi ce que je peux te donner »

Devant mon embarras elle se redressa en retirant complètement sa jupe et son corsage ne gardant sur elle que ses dessous affriolants. Ainsi parée, désirable, accueillante elle me regarda en souriant consciente de l’effet qu’elle me produisait. Alors abandonnant toute pudeur je donnais libre cours aux pensées les plus folles. A genou près d’elle je caressais d’abord le slip, elle frissonna et releva son ventre en cambrant ses reins pour faciliter la caresse, son visage devint soudainement sérieux, ses yeux se révulsèrent légèrement et sa jolie bouche lâcha un gros soupir d’aise.

Encouragé par ce premier résultat ma main redoubla d’ardeur, toujours sur la soie du string mon majeur fouillait sa raie tandis que les autres doigts en bordure du cache sexe le pinçait doucement. J’eus alors une révélation, celle de mon pouvoir ; pour le moment elle m’avait tout donné sans rien recevoir, au milieu de ma jouissance elle m’avait dominé, presque étrangère, quasi maternelle ; en cet instant les rôles étaient inversés mes caresses insidieuses la transformèrent insensiblement à une femelle en rut.

Elle ouvrait largement ses cuisses et j’entrevis son sexe zébré du noir de son slip, je vis l’importance de sa blonde toison, je sentis une odeur nouvelle de sueur, son ventre quêtait la caresse et se prêtait par de savantes circonvolutions à un examen plus approfondi. J’osais écarter l’étoffe, je vis sa chatte, longue balafre boursouflée toute rose et couleur sang au fond de la vallée. J’étais fasciné et mon doigt fouilla la plaie jusqu’à un abime mouillé où il s’enfonça facilement.
« Branle moi chéri, fais moi jouir » dit elle en criant presque ; mais ce n’était guère facile, son slip tendu gênait la manœuvre. Je la lâchais pour l’admirer, elle gémit sa main alla à la place de la mienne et elle enfonça un doigt dans son sexe qu’elle branla énergiquement.

Attiré par ses seins je défis les fines bretelles, ce fut un jaillissement auréolé de rose. Quel équilibre, quelle pureté. Tandis qu’elle se branlait en bavant je la pelotais hardiment, mes mains prirent connaissance des lieux par de douces et enveloppantes palpations puis en attouchements plus subtils elles agacèrent les pointes qui se réduisirent en bourgeonnant.

C’est alors que j’eus une inspiration qui transformèrent la soirée, apercevant sur le chevet un assortiment de pinceaux divers en attente dans une sorte de bocal, j’en pris quelques uns et je commençais avec le plus long, le plus fin à lui caresser un téton. Immédiatement elle se cambra en criant comme électrisée par les poils du pinceau, ouvrant les yeux elle comprit et son regard marqua un grand étonnement sans réprobation toutefois. Moi le puceau je lui faisais faire une première.

Excité par sa réaction je me sentis une âme d’artiste et repris mon tableau. Durant une heure d’horloge je l’agaçais de la sorte, durant une heure elle roucoula, gloussa, perdant toute dignité ; parfois elle se cambrait en poses grotesques, fuyant ou se tendant sous les caresses de ces poils jouissifs ; parfois pour échapper à la jouissance procurée par le poil des pinceaux, elle les fuyait en se retournant, peu de temps car inexorable je glissais et enfonçait un manche lisse dans la commissure de ses fesses, elle se défendait , par un fouettement des cuisses, se fendant, serrant les cuisses pour coincer le manche parasite, c’est alors un pinceau à grosse soie qui brossait l’entrecuisses ce qui avait pour résultat de la faire geindre la tête sur l’oreiller.

Comme elle me présentait la partie la plus charnu de son anatomie, les nerfs à fleur de peau, d’un coup sec je rabattis le tissu découvrant deux rondeurs couvertes de sueur. Je bavais volontairement dans le vallon séparant ses fesses en regardant mon jet de salive descendre lentement le lit au fond de cette gorge profonde et écartant les deux lobes, subjugué je vis le petit orifice de son anus cerné de bistre. Alors, inconscient je présentais un gros manche rond et poli à l’entrée du petit gouffre et par de petites pressions, de petites circonvolutions pour vaincre la résistance, progressivement j’emmanchais le manche baveux dans ce cloaque discret qui s’arrondit autour de lui. Cela n’eut pas l’air de lui déplaire.

Je vis qu’elle perdait son contrôle durant tout ce temps car elle resta un bon moment après cette affaire à retrouver son souffle. Quand elle se retourna je vis que le devant de son slip était tout mouillé. Ce que j’avais fait sur le bout des nichons je l’entrepris dans son entre cuisses en face de la tache. Je voulais achever mon œuvre en apothéose et j’entrepris tandis qu’elle se relaxait un instant après l’intrusion du gros pinceau dans son fondement, de mieux l’installer. Je mis un gros oreiller sous ses fesses ; cuisses écartées, le corps bien cambré en arrière, les seins gros et fermes pointant fièrement, sa chatte encore cachée par le petit triangle de soie bien en évidence, à bonne hauteur.

Nu je me mis à genoux entre ses jambes, je pris un lot de pinceaux pour finir mon œuvre. Un pinceau très fin dans chaque main, je glissais leurs soies sous le tissu en restant à la lisière de sa culotte et symétriquement je les fis aller et venir du ventre en passant l’étroit passage qui sépare les grosses lèvres de sa chatte et l’entre cuisses. Je changeais de temps en temps et c’étaient alors les manches lisses qui se rejoignaient pout frôler le ventre et la vulve sous sa culotte avant de s’enfoncer réunis dans la raie des fesses.

Ces subtiles caresses ne la laissèrent pas insensibles et je vis qu’elle reprenait le chemin du plaisir. Au début, simples ondulations de son ventre, j’eus du mal ensuite à suivre sa chatte en furie. Avec une dextérité qui m’étonna, profitant des remontées de son ventre et avec la seule aide des pinceaux je lui fis descendre sa culotte découvrant de bas en haut les fesses écartelées et la chatte baveuse, j’allais conclure comme j’avais fait pour l’ anus et je cherchais le manche à gros calibre quand elle hurla :
« Non chéri pas le manche, prends moi maintenant…, aller baise moi….. C’est le moment….. C’est le meilleur….. vite….. vite »

Elle retomba dans son délire. Tout intimidé, sur les genoux je remontais vers le haut des cuisses mon sexe à bon hauteur, jamais je ne l’avais vu si gros, si raide. Je cherchais l’entrée, j’allais baiser, c’était cela, c’était merveilleux, ce fut facile, je l’attirai vers moi en la prenant par les hanches, mon gland s’engagea entre les lèvres baveuses sous un corps rond, il s’emmancha grassement, déjà il disparaissait de ma vue, mon sexe était planté en elle, je la vis cuisses écartées, nue, seins pointés, j’eus le temps de les prendre à pleines mains avant de m’allonger sur elle, ma bouche rejoignit la sienne. En me couchant mon sexe la transperça.

Criant tous les deux de bonheur nos deux corps soudés animés de grands spasmes, je la branlais, elle s’ouvrait largement à l’avancée et me serrait au recul. Elle avait relevé ses cuisses et me ceinturait avec elles à la taille pour me maintenir bien à fond. Nous trouvèrent notre bonheur en même temps, j’éjaculais en elle et je perdis conscience. A un moment mon sexe glissa et se détendant il sorti claquant mon ventre elle le reprit le pliant pour le remettre en place, je criais en la refourrant tandis qu’un bruit d’air s’échappait de sa chatte en faisant brouter ses lèvres en un chuintement humide. C’est ainsi que je devins un homme.

Nous sommes restés prostrée un long moment en haletant tout les deux, serrés l’un contre l’autre, le calme revenant peu à peu. Nos relations devenant normales ; j’étais tout honteux, intimidé, je me levais et me vis dans une grande glace qui bordait le lit, nu, jeune éphèbe, je pus voir mon sexe d’une manière inhabituelle, à sa place en haut de mes cuisses musclées, clé de voûte d’un ventre plat et dur. Je fus étonné de sa grosseur, souple, perpendiculaire, j’étais fier de le voir si puissant. Une main apparu sur l’image et le saisit doucement
« Chéri » dit-elle
« Pierre ! » lui dis-je
« Tu es un vrai homme, elle est grosse tu sais quand tu es excité, je n’en reviens pas; elle m’a fait beaucoup de bien ; elle me fait encore envie, approches toi du lit »

Dans la glace je vis alors l’image du couple que nous formions, un doux profil de femme, des lèvres pulpeuses à bonne hauteur, une impression de chaleur au moment où elle suça mon gland, la bouche du s’ouvrir assez grande pour l’absorber. Je dus m’appuyer pour ne pas défaillir, mes jambes tremblaient, j’étais fasciné par ce spectacle diabolique de mon sexe mangé par cette mante, mon amante religieusement. Je souris en pensant à cela et je pris alors de l’assurance, j’étais spectateur et acteur avançant les fesses serrées je limais, mon pénis brillant de salive enfoncé dans la bouche exquise.

A d’autres moments le gland sortait léché par une langue agile qui furetait, enveloppait la tête du nœud. Parfois la tige étais prise en travers par le milieu comme une flute traversière, la bouche ne pouvait se refermer sur ma verge en pleine grosseur. Les couilles furent également inspectées, léchées, mordues, aspirées, englouties une à une, les deux même dans une grimace, un bâillement rose. Le jeu des miroirs nous renvoyait l’image selon divers points de vue selon que je tournais l a tête d’un côté ou d’un autre.

Je la voyais, femme magnifique quasiment nue, dans une position érotique, allongée, le buste relevé pour me joindre, la bouche gourmande. J’étais de nouveau fasciné, ses beaux seins, ce ventre, ses jambes s’offraient à moi. C’était à peine croyable, ces images que je devais regarder à grand frais sur des feuilles glacées des revues érotiques je l’avais sous les yeux, pour de vrai, chaud, mouvant, l’odeur même jouait un rôle diabolique. Ces cuisses écartées, cette toison frisée humide, les lèvres de cette chatte, ces fesses et en contrechamp cette bouche butineuse infatigable qui me tirait la sève du plus profond de moi-même.

Cette fellation qui me ravissait semblait lui plaire à elle aussi, par moment elle était prise de tremblement serrant ou écartant ses cuisses, elle haletait quand sa bouche se libérait, puis elle repartait de plus belle en m’absorbant de plus en plus profondément en aspirant, en me caressant les parties. Son visage dodelinait sur moi de plus en plus vite, je compris que son désir était de me faire exploser dans sa bouche qu’elle avait besoin de cette liqueur pour jouir pleinement. Je lui repoussais doucement mais fermement son visage déglutissant mon sexe ; elle eut un cri rauque suivi d’un fouetté de jambes rageur. Qu’elle était belle dans son désarroi.

Pour la calmer et pour lui rendre le plaisir qu’elle me donnait je l’allongeais complètement sur le lit avec un oreiller sous sa tête et à l’envers je l’enfourchais mes genoux plus haut que son visage, me pliant je l’embrassais, sa bouche sentait l’homme en rut, elle tressaillit quand toujours à genoux je m’avançais, ma bouche captant ses seins avant de s’avancer sur son ventre, mes mains la caressaient accompagnant ma bouche, ma langue, mes dents sur la chair tendre de sa taille et de son ventre gracile. Elle anticipait l’invasion en ouvrant ses cuisses. Son sexe semblait appeler ma bouche, ma langue, mes mains.

Mais je m’attardais en chemin, sans perdre de vue le point d’orgue de mon parcours, son entre cuisses touffu qui s’ouvrait spasmodiquement, son ventre adorablement plat et lisse, orné d’un mystérieux ombilic, qui ondulait en s’offrant à l’avance. Je m’avançais de plus en plus pour embrasser ses seins, pour mordre sa taille. Elle ne restait pas inactive et quand mes fesses s’abaissèrent sur son visage je sentis qu’elle me reprenait le sexe dans ses mains avant de l’attirer entre ses lèvres.

Ne croyez pas que ce fut une partie facile, je m’écroulais sur elle épousant son corps ; ce fus un véritable combat, chacun, impatient, s’efforçant de recevoir et de donner du plaisir à l’autre. J’avais de l’ouvrage et plein d’idées libertines, elle ne manquait pas d’imagination et d’expérience. A ses gémissements hystériques je devinais le plaisir que lui procuraient ma bouche et mes mains sur ses seins, ils étaient gonflés et durs, leurs pointes raidies et moi en écho je lui manifestais le mien quand elle me soupesait les parties tout en me suçant la verge.

Je m’avançais encore, mes mains passant sous ses cuisses, sous ses fesses. Complice elle ouvrit ses jambes de reine gainées de noir et je pus par-dessous avec mes doigts écarter ses lèvres et caresser sa chatte ouverte et inondée, alors je n’en puis plus et mon visage plongea entre la chair blanche de ses cuisses et j’embrassais sa chatte comme on embrasse une bouche, ma langue bien enfoncée dans son vagin et s’agitant comme une folle. Jamais je n’aurais imaginé une réaction aussi vive à cette effraction, elle hurla et tout son corps se mis en branle, serrant ma tête entre ses cuisses pour me garder bien profond en elle. Soudés l’un à l’autre, nos corps tendus par le plaisir, nous roulions l’un sur l’autre, dessus dessous à tour de rôle sans nous désunir.

Quand je lui relevais ses cuisses en les calant sous mes bras nous étions en travers du lit. Levant la tête, dans le miroir d’en face, je vis mon visage entre ses cuisses et ses fesses nues, les battements de ses jambes gainées de sombre, sa toison fauve, sa chatte en furie. Je ne pus tenir davantage en gueulant j’embouchais à nouveau sa cramouille baveuse et lui roulais un patin mais au lieu de sa langue c’était son clitoris, à la place de la salive c’était son foutre.

En rien de temps elle se raidit et elle plongea dans la jouissance. La glace me renvoyait l’image d’une magnifique paire de fesses, lobes écartés, pointée du tréma brun de son anus, de deux cuisses repliées sous mes bras puissants et une grosse chatte boursouflées. J’en alors une envie énorme de possession une folle envie de la baiser de nouveau. Je me dégageais. Déçue elle se laissa faire docile comprenant mes intentions à la moindre pression, elle se retourna et se mettant à genoux me présenta sa croupe qui prit alors une ampleur insoupçonnée sa taille se creusa, son ventre se ramolli, ses gros seins prirent leurs dimensions maximum tirés par la pesanteur.

Eberlué de mon hardiesse je voyais dans le grand miroir en face de nous son visage impatient, son regard brûlant nous regardant, j’étais derrière elle, je la prenais par la taille attirant vers moi, ses fesses ouvertes, mon sexe dressé pointé entre les grosses lèvres de sa chatte. C’est elle qui ondula de la croupe pour bien se centrer sur moi et elle poussa un grand cri de triomphe quand d’une avancée brutale je m’enfonçais en elle, mon gland en butée au fond de son vagin.

Jamais je n’avais connu cette sensation de plaisir, de plénitude ; en allant et venant en elle dans l’écrin de cette chatte qui l’emprisonnait délicatement chaque pore de ma verge participait à la montée fulgurante de mon désir et je du faire un effort immense de concentration pour ne pas exploser dés les premiers vas et viens. Je pouvais voir dans le tain de la glace qu’elle ne m’avait pas attendu pour jouir, son visage crispé rayonnait, de sa bouche grande ouverte un gémissement continu s’échappait ponctué de petits cris à chaque enfoncement. Tout son corps était agité, mouvant, elle ondulait des fesses tordant ma queue en elle pour augmenter ses sensations.

Quand mes mains passant sous elle lui saisirent les seins elle sembla perdre tout contrôle pour s’abandonner complètement au plaisir qui la submergeait. Des mots sans suite accompagnaient mes caresses ; j’étais fier du plaisir que je lui donnais, jamais je n’aurais pensé avoir un tel pouvoir sur une femme comme elle. Je la faisais crier maintenant, je n’allais pas pouvoir tenir longtemps, ses cris, ses plaintes, le spectacle de son corps m’enivrait, le mien était tendu comme un arc et quand dans un souffle elle me supplia de venir, la flèche de mon plaisir se décocha fulgurante dans son vagin en jets puissants, notre plaisir à tous les deux au zénith, nos deux corps noyés dans un orgasme commun, partagé, sublime, inoubliable pour moi.

Insensiblement nous nous calmèrent complètement harassés, une petite avancée un serrement de cuisses seulement de temps à autre puis se fut le calme. Ma partenaire s’assoupit à plat ventre et en quelques minutes elle s’endormit. Je me blottis contre elle l’épousant parfaitement, mon sexe entre ses fesses les paupières lourdes je voulus la rejoindre au pays des rêves un pays où l’on peut jouir infiniment. J’avais une soif terrible, le sommeil ne venant pas je me dégageais de ce corps tant désiré et sans faire de bruit je me levais pour aller me désaltérer. Dans la pénombre prenant le couloir, nu, je me dirigeais vers la salle d’eau ma verge restait roide telle une branche de bois mort vidée de sa substance. Par une sorte de tiraillement nerveux elle demeurait grosse décalottée, ferme et luisante. Quelle soirée quel apprentissage pour cette première fois, j’étais content de moi.

En passant devant une porte j’entendis un léger bruit Qu’était-ce ?..... Plus rien ! Je m’arrêtais la maison était redevenue silencieuse, la porte était légèrement entr’ouverte je la poussais et glissais ma tête pour voir. La pièce était sombre et semblait déserte mes yeux ; m’habituant à l’obscurité je vis que j’étais dans une autre chambre, une chambre d’amis sans doute ; non ! car sur une chaise je vis un petit tablier blanc, une petite toque, une paire de collants ! Serait-ce une chambre de bonne ? J’entrais.

C’est alors que je la vis cachée derrière la porte, son visage charmant marquait non de l’effroi mais du désarroi, je crus discerner qu’elle était étrangère, Espagnole ou Métis, elle portait un grand peignoir qu’elle tenait serré sur elle les mains sur sa poitrine ; elle était grande, immobile, interdite, elle ne disait mot. Dans la pénombre un carré de lumière diffuse m’apparut sur le mur près de la tête du lit. Je m’approchais, c’était un carré de verre avec une petite chaînette, je crus comprendre, je tirais sur la petite boucle qui la terminait la clarté devint plus dense et la chambre voisine m’apparut : lit défait et mon Elvira nue étalée sur la couche. C’était bien un système optique qui permet de voir sans être vu.

Alors incompréhensiblement alors que cette situation aurait du me réjouir je fus alors pris d’une rage noire, je me précipitais sur la boniche en criant :
«Salope, petite salope tu t’es régalée ! Hein !tu t’es rincée l’œil ! pouffiasse, voyeuse, réponds ! tu as joui en nous regardant ? »
Effrayée elle ne niait pas
« C’était beau, tu es fort » dit elle avec un accent prononcé « Conchita à trouvé du plaisir à regarder, j’ai joui plusieurs fois ! »
J’en eu marre et je lui retournais une petite gifle et je l’empoignais à plein bras. Elle recula en gloussant, nullement effrayée semble t’il. Je la suivis jusqu’au moment où butant sur le lit elle se renversa au bord de la couche. Ce fut comme un éclatement, le peignoir s’ouvrit, elle était complètement nue dessous. Magnifique, sauvage, elle sentait le musc, deux seins lourds et fermes barraient le buste, les mamelons érectés, un ventre puissant, des cuisses longues et musclées, ouvertes, fleuries au sommet d’un bosquet sombre, une bête à faire l’amour. D’un coup j’eus envie d’elle

Je voulus la regifler, j’étais entre ses cuisses, ses fesses mettaient son bas ventre en position avantageuse je m’allongeais brutalement sur elle ma bouche dans son cou pétrissant ses gros nichons, méchamment pour faire mal pourtant cela eut l’air de lui plaire. Elle avait une grosse chatte et quand la prenant par les hanches je trouvais ma voie en elle : nous furent inondés d’un coup, sa chatte était pleine de sa mouille, de son plaisir trop longtemps retenu en regardant les ébats dans la chambre voisine.

Elle se mit à jouir immédiatement pourtant je l’enfilais comme une bête, ma verge dure comme du bois la fouillait au plus profond de sa chair et cela lui plaisait apparemment je malaxais ses seins sans ménagement pour son plus grand plaisir semble t-il ?
« A fond, à fond » hurlait-elle. Moi je dominais la situation ,vide mais dur je la menais sur le chemin du bonheur je lui pris la bouche et la mordit elle en jouit davantage ; mon sexe était broyé par ses cuisses puissantes aspiré au plus profond du gouffre, incroyablement je me remis à jouir. Ce fut une jouissance sèche, un énorme picotement de tout mon bas ventre, une onde électrique fantastique, mais au lieu d’être fugace et rapide je fus transporté de bonheur aussi longtemps qu’elle. Je me relevais vainqueur, la laissant pantelante, sa bouche bavait, nos ventres inondés.

Elle se releva et fit mine de me sucer, déjà sa bouche prenait mon gland …Ah non fini….. fini ! Je la retournais à plat ventre sur le lit et lui administrais une correction en règle, une bonne fessée, ma main cinglait ses grosses fesses, elle criait en se remettant à jouir
J’hurlais « Salope ! Putain! » Et lui relevant ses fesses rougies je l’enculais brutalement sans ménagement, ma verge telle un bâton de feu la transperçait dans un râle. D’un tiroir entrouvert j’extirpais un godemichet ; selon les apparences il venait de servir lors de la séance d’observation, je le pris et me dégageant j’emmanchais ce gros sexe de caoutchouc mou et froid dans sa chatte en furie.
Quand je refermais la porte elle reprenait son plaisir toute seule en se masturbant avec l’engin. Je bus un verre d’eau et vint reprendre ma place au creux des reins de mon initiatrice, reconnaissant, paisiblement tandis que mon sexe mollissait enfin, je m’endormis.

Il faisait grand jour quand je repris conscience, les rayons du soleil filtraient au travers des jalousies, j’étais en pleine forme, je dus faire un effort pour me rappeler les péripéties de la soirée ; j’avais le sexe douloureux, il pointait encore tout décalotté. Décidément il se révélait sous son véritable jour insatiable et jouisseur. J’étais seul dans la chambre, je me levais et nu comme un ver, je me pointais dans la grande salle de la maison.

Installée derrière son chevalet, Elvira, mon amante, avait l’air de vouloir peindre un portrait et la boniche posait avec mauvaise grâce. Je la vis mieux que cette nuit, c’était une brune ibérique au regard de feu, vêtue d’un petit pagne de bergère antique qui ne cachait pas grand chose, elle montrait son anatomie fabuleuse à damner un saint, des seins, des fesses de reine que la jupette ne cachait guère. Sans pudeur j’entrais en tenue d’Adam. Un double gloussement m’accueillit.

« Ah chéri tu tombes bien je me proposais de croquer quelques poses antiques sur le paradis terrestre je te prends comme modèle tu me dois bien çà, aller place toi près de Conchita voilà côte à côte… ; quel beau couple vous faites….allons plus près prends là par la taille oui ne bougez plus je croque….. »
En disant cela elle s’activait derrière un chevalet avec quelques fusains. J’étais en enfer mes mains prenaient la taille bien tournée de Conchita face à face, nos regards se croisaient comme deux épées il passait une quête mutuelle d’érotisme pratiquement ma verge touchait son vêtement.

« C’est une scène chaste que je veux, je n’arrive pas à me concentrer avec cette verge….l’artiste s’approcha et me donna sur le gland un cinglant coup de baguette, non magique car en une seconde ma virilité s’écroula comme une grosse chiffe mole. Je crus discerner un sourire aux lèvres de Conchita.
Les poses succédant aux poses le naturel revenait au galop apportant érection et raideur ? Nous étions de plus en plus entrelacés et je me demandais même où voulait en venir la maîtresse de maison. Elle semblait prendre le plus grand plaisir sous prétexte d’esthétisme à nous encastrer l’un dans l’autre.

« Conchita penche toi un peu plus en t’appuyant sur la colonne brisée….là bien… toi approche toi par derrière pose ta main sur la sienne…. Alors… tu dois avoir tes cuisses sur sa croupe….allez ton autre main doit saisir la taille…. Amoureusement…..comme si tu la désirais, penche toi plus Conchita… plus bas mets bien tes fesses en évidence et toi gros ballot encastre toi, je ne veux plus voir ton engin….c’est horriblement grossier ».

Pour mon plus grand plaisir je cachais ma verge au milieu des lobes à demi nus de l’Espagnole. Seule la fine étoffe de sa petite culotte la protégeait encore. Je ne pus m’empêcher de rouler des hanches d’autant que Conchita après m’avoir ouvert ses fesses les serrait maintenant convulsivement sur mon membre. Imperceptibles au départ les mouvements prenaient de l’ampleur et ne devaient pas passer inaperçus. Je lui remontais sa jupette, les fesses apparurent dans toute leur splendeur légèrement écartées sur un canyon profond et humide caché par la fine soie du slip. Je calais mon sexe dans cet écrin enchanteur tandis que mes deux mains pétrissaient ses hanches, nos deux corps se mouvaient à l’unisson en des déhanchements érotiques et de brusques avancées.

« Ah non pas de porno » hurlait l’artiste, Conchita et moi n’écoutions plus, nous nous étions soudés l’un à l’autre ne nous souciant que de notre seul plaisir. Mes yeux exorbités fixait cette opulente croupe qui ondulait sur ma verge, magnifique houle, ses fesses me serraient, me fuyaient et il me fallait toute mon attention pour que mon sexe garde le contact à l’intérieur des cuisses. Je n’en pouvais plus, mes mains firent glisser sa culotte découvrant la commissure des grosses fesses nues, m’écartant je la fis glisser sur ses cuisses, en quelques ondulations elle tombât sur le sol. Conchita put de nouveau s’ouvrir et mon sexe fut enfin libre de fourailler mais cette fois bien dressée dans la douceur des chairs et du poil dont la poule était abondamment pourvue. Mes mains reprirent leur place sur les hanches, sur la taille de cette diablesse pour bien me vautrer sur elle.

A un moment je perdis le contact et mon zob vint se plaquer sur mon ventre, la seconde suivante il se plaçait dans l’écrin secret des fesses. Je m’animais en montées et descentes me branlant dans sa raie, le fond était de couleur brune tranchant avec la pâleur des fesses. Mon gland sortait tout décalotté tandis que mes couilles inondées de son foutre pressait sa chatte. Nous poussions de temps à autre de petits cris rauques qui nous excitaient mutuellement. Je pouvais me voir dans l’abondant système de glaces, un jeu permettait de voir de dos le spectacle de mes fesses serrées animées de brusques avancées. Un autre nous montrait de profil, elle pliée, cul nu, la jupette retroussée montrant ses cuisses et sa croupe épanouie, son dos à l’horizontale soutenu par les bras sur le chapiteau de la colonne.

Hypnotisé par le spectacle renvoyé de toute part par les jeux de glace j’abandonnais la vue directe de ce doux cloaque et j’observais ce couple dont je faisais partie. L’homme, moi, Pierre, retroussa davantage la jupette lui remonta vers la tête ; à un moment les seins énormes apparurent comme deux fruits murs et s’arrondirent serrés, et pantelants ils furent pris en mains par-dessous en un mouvement doucereux et pétris voluptueusement ils s’érectèrent de deux tétasses brunes.

En un clin d’œil la jupette rejoignit le slip par terre et comme moi elle fut nue, le couple se voyait dans la glace et il s’offrit le plus beau spectacle érotique vivant qu’il n’avait jamais vu. Mimant les positions des bandes dessinées il se laissait aller à mille fantaisies dont une des moins hardies fut un suçage de mon nœud debout. Pendant la péripétie le couple tournait montrant les parties cachées sous des angles insolites, il descendait plusieurs fois du perchoir pour se placer sur les miroirs mis au sol qui montraient le spectacle par en dessous et bien croyez moi 4 cuisses vues d’en bas clouées à un même clou nous sûmes ce que c’était. Un gland déformant une chatte poilue en se vautrant aux lèvres roses nous le vîmes et de concert nous jouèrent une magnifique symphonie.

Le spectacle se termina en apothéose par un coït en levrette. Conchita à genoux soutenue par ses bras, la croupe haute, les gros seins flottant, moi à genoux derrière elle, le sexe limant la chatte, les mains sur sa taille pour l’animer de mouvements opposés aux miens. Depuis un moment Elvira ne dessinait plus, affalée sur son tabouret cuisses écartées elle se caressait la vulve en gémissant, soudain elle se leva s’avançant vers nous se mêlant à la fête elle me prit la verge et la releva quelques centimètres plus haut centrée sur la rondelle de Conchita et m’intima l’ordre :
« Aller petit encule moi cette salope » Ce que je fis facilement. En un instant nous perdirent pied et nous nous écroulèrent en jouissant sur la moquette sous les yeux de l’artiste le manche lisse d’un gros pinceau dans la raie des fesses.
C’est ainsi que se termina la séance de pose au paradis terrestre.

A la suite de cette aventure, je dus prendre une semaine de repos non reconnu comme accident du travail !
Au bout d’une semaine donc, reposé, en forme je fus pris d’étranges lourdeurs au bas ventre, le souvenir de cette journée me hantait et me torturait, je passais plusieurs fois devant ce que j’appelais mon paradis terrestre, je me sentais observé car je passe presque chaque jour à la même heure tardive de l’après midi, mais aucun signe, aucun appel ne m’encourageait à entrer.

J’usais alors d’un stratagème, je fis moi-même une lettre recommandée à mon hôtesse et je m’arrangeais au bureau à me la faire confier lors de la tournée du vendredi soir…. Le cœur battant à tout rompre je sonnais au portail…..un silence… un rideau qui frémit puis un « Qui est ce ? » la voix me bouleversa et mal assuré je bredouillais c’est le facteur…. « Je n’attends rien » dit la femme… « Je vous assure que c’est très important »…..Un déclic, une porte qui s’entrouvre en plein émoi j’entrais dans la propriété.
En arrivant dans le corridor, je la découvre de nouveau, dieu qu’elle est belle, désirable, son air n’est pas agréable… « Donnez »dit elle sèchement je m’exécute, nerveusement elle ouvre la missive, j’avais marqué en majuscule : Je te désire…. « Je me plaindrais, insolent sortez monsieur ou j’appelle »

Tout mon plan s’écroule en moi, je ne comprends pas son attitude. Que se passe- t’il ? Tentant une dernière démarche je la prends dans mes bras mais elle se débat en gesticulant, je suis plaqué sur elle et la maintenant au mieux mon ventre la presse, elle doit sentir mon désir, je tente de l’embrasser mais elle se cabre, c’est un combat. Je comprends en réfléchissant d’un coup que j’essaie de la prendre contre son gré, ce que je ne veux pas évidemment. Cette idée m’arrête, elle en profite pour s’échapper et détale, d’un réflexe je suis sur elle la prenant par l’arrière je m’excite sur ses fesses mouvantes, la tenant d’une main j’essaye de la retrousser, j’arrive à mes fins et revois son slip, ses cuisses, ses fesses… elle se débat, je me replaque sur elle mon ventre maintient le tissu retroussé, mes jambes mes cuisses se collent aux siennes. Je veux lui redonner envie de moi.

Elle réussit à se dégager un bras et je ressens une extrême douleur au bas ventre, sa main m’a prit les parties et me les broie sur mon pantalon. Je pousse un cri rauque, en un instant elle m’échappe encore et se rue dans le corridor, elle s’engouffre dans une pièce et ferme la porte ; je n’ai que le temps de glisser un pied dans l’entrebâillement. Je pense que je glisserais bien autre chose dans le sien, cette idée me fais sourire et me calme…. « Je t’aime, j’ai envie de toi … tu m’as dit de penser à toi » mais j’ai beau peser sur la porte mi close, je la sens maintenue fermement.

« Vas baiser Conchita ! » répond t’elle
« C’est toi que je veux, toi mon initiatrice aller laisse moi entrer aimons nous, Conchita c’est toi qui la mise dans mes bras… »
« Le matin, oui, mais la nuit, non, alors que tu sortais de mes bras tu as été infidèle, alors reprends la elle ne demande que çà »
Je suis au paroxysme de l’énervement, d’une brusque poussée je réussis à entrer ? Face à face nous nous regardons, nous nous mesurons, je m’efforce de prendre un air enjôleur mais cela ne marche pas, elle est comme une chatte en furie.
« Salauds, porcs, couilles moles » me dit elle. C’est trop, c’est incompréhensible après ce que nous avons vécu, ca déborde, je me précipite, je l’enlace en un furieux corps à corps, par bonheur nous sommes dans la chambre, je m’en aperçois maintenant, la chambre de mes premiers exploits, les jours se suivent et ne se ressemblent pas pensais je en la renversante sur le lit. je me couche sur elle, ses cuisses s’agitent dans le vide mais je tiens le bon bout, le lit moelleux m’aide à la maintenir, mon ventre a prit bonne place et tous ses mouvement de défenses confortent ma position, je lui tiens les bras en l’embrassant dans le cou sa tête dodeline pour m’échapper. Va-t-elle enfin se laisser aller ?

Je sens son parfum, devenu fou j’agrippe son corsage et l’arrache, elle hurle toute dépoitraillée et je la fais taire en plaquant ma bouche sur ses lèvres pulpeuses mais elle tente de me mordre, furieux j’arrache son soutien gorge et je pétris plutôt que je pelote ses seins. Son buste est nu j’écrase ma bouche sur un téton que j’aspire goulûment, elle se débat, je semble être seul à trouver du plaisir pourtant je sens bien tous ses sens en alerte, j’attaque et je me défend à la fois, mais je la veux, je veux la baiser et je lui dis, elle se tortille sous moi, je pèse de tout mon poids sur son buste et par bride je remonte sa jupe. Ce fut un rude travail mais en récompense je pus me vautrer dans son entrecuisses. Je tentais d’être doux en ondulant amoureusement sur elle mais par de brusques avancées de son bas ventre elle marquait le dégoût que je lui inspirais.

« J’ai trop envie de toi »dis je « c’est toi qui m’a initié, je veux et je vais te baiser » mais prudent pour ne rien laisser au hasard, j’entrepris de me mettre à poils, je le fis lentement en ne la quittant pas des yeux, elle m’observait ne perdant rien du spectacle, je terminais par le slip. J’eu un peu de mal à me dépêtrer le sexe tant il était raide. Nu comme un ver je m’approchais d’elle…
« Non, non, » disait elle. J’entrepris alors de la mettre nue elle aussi ce fut long mais passionnant, je déchirais plutôt que je glissais d’ailleurs. Nue je la retrouvais belle et désirable, elle semblait moins agressive, sa colère, sa peur avait fait place au défi….. « Violle moi freluquet si tu peux »

Ce fut le début d’un long corps à corps, nus tous les deux, elle se défendait moins, moins dangereusement semblait il, pas de griffure, de torsion de pincements mais de perpétuelles dérobades, de déhanchements, de poussées, de fouettement de cuisses, des serrements de fesses, de brusques avancées des ventres, des relèvements subits. Je l’enlaçais en mille positions sans jamais réussir à conclure. En maintes occasions je ne pus me contenir, je l’inondais alors de longs jets nacrés. Elle aussi était toute humide. Dans une roulade je me retrouvais sur elle allongé sur un vieux tapis et presque naturellement je l’emmanchais enfin sans aucune résistance, elle gémit et ses mouvements nous enfoncèrent davantage l’un dans l’autre. Je l’embrassais et elle me donna sa grosse langue que j’aspirais goulûment.

La prenant sous les fesses je les écartais en les soulevant ce qui me permis de la fourrer à fond. Je voyais en me branlant en elle ma verge pénétrer dans sa chatte blonde et rose. Elle m’enlaça et je sentis qu’elle me laissait aller en elle, plaqués l’un contre l’autre. Je me tendis une autre fois et elle aussi se mit à jouir, enfin ! Notre jouissance durant le temps d’une longue possession ponctuée de petites pressions de faibles ondulations. Elle releva ses genoux, ouverte, offerte
« C’était bon depuis le début mon chou, mon Pierre, j’avais envie de toi sale petit bonhomme, tu es bien monté , tu as bien fait de passer outre à ma résistance, j’ai eu peur te connaissant que tu abandonnes la partie il faut que tu saches que mon plaisir a été quintuplé.

C’est ainsi que je pris connaissance d’un autre trait féminin. En souriant nous avons terminé notre partie. Je me centrais plus bas et doucement je vis mon gland disparaître mangé par son petit trou brun. Quand le gland fut emmanché distendant l’orifice, je m’allongeais sur elle en l’enculant à fond pour son plus grand plaisir. Gémissante je la pris tendrement dans mes bras et nous nous embrassèrent à pleine bouche. Je vous passe la suite de ses retrouvailles.

Ainsi depuis le début, sa résistance, le dégoût que je lui inspirais n’était qu’un jeu érotique pour elle. Mon désarroi, ma violence l’excitaient au plus haut point. Elle ne saura jamais qu’à plusieurs reprises j’étais sur le point d’abandonner car je ne conçois l’amour que dans la complicité, la confiance, la tendresse, le partage. Inconsciemment je crois maintenant, après coup que j’avais deviné ce jeu justifiant mon acharnement et je sais traduire désormais des non qui disent oui.

Depuis régulièrement nous nous voyons elle m’a tout apprit et je lui rends bien. Ma verge s’est développée outre mesure, mes capacités sont considérables et certaines nuits nous avons pu voir poindre l’aube en pleine forme encore.
Nos amours sont cachés, je la rejoins toujours discrètement à la tombée de la nuit pour la quitter à l’aurore.
Une ou deux fois seulement nous sommes sortis ensemble arrêtant la voiture loin des gens au plus profond des forêts. Je suis son amant secret. Si nous nous rencontrons dans la rue elle m’ignore froide et hautaine et je souris quand mes copains me vante sa beauté.
75 vote(s)


Histoire de Pierre le Grand

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Jeune facteur

Le 22/10/2010 - 23:40 par Paradise Kiss
Voilà longtemps que je n'ai pas lu une de tes histoires ... Elle est très bien écrite, on a l'impression d'être présent dans l'histoire ... Bref, c'est tellement jouissif Continue comme çà
Le 02/08/2010 - 16:43 par TanyaSweet
Comme toujours tu nous fais jouir... ton histoire est fort bien écrite et excitante, comme Elie j'en redemande encore... ce jeune puceau qui découvre l'amour dans les bras d'une femme d'expérience... rien de plus jouissif...
Le 02/08/2010 - 14:10 par elie
Merci Pierre pour ce grand moment, j'ai trouver la fin de ton histoir trés excitante, on en redemande encor.....

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :