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Momo le cuistot

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Lue : 7097 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 25/07/2010

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Outre de m’être donnée à un quinquagénaire de la résidence, j’en vins à deux jours de partir d’ici de jeter aussi mon dévolu sur le cuistot marocain. Celui-ci franchement n’était guère baisant. Chauve, bedonnant, assez con au final. Seulement il était gentil avec les mômes satisfaisant à leurs caprices culinaires ponctué à chaque fois d’un “ je fais ça aussi pour votre jolie maman ”. Cela me tapait un peu sur les nerfs d’autant qu’il disait cela à toutes les femmes. Qui plus est il devait lui paraître que la belle blonde que j’étais ne pouvait lui être un jour accessible.

A moins d’aller payer pour une prostituée de semblable apparence. Bref moi même j’eus été étonnée que ce type un jour me baisa. Mais les voies de Dieu sont impénétrables au défaut des nôtres. Il y avait à côté de ma chambre un couple quinqua dont l’épouse se tapait sans vergogne nombre de jeunes mâles. Certes elle portait encore beau pour son âge mais Avait une réputation avérée pour la fellation. En fin d’après midi son mari tâchait hypocritement de lui laisser le champ libre pour une hypothétique partie de pétanque. Celle-ci aussitôt appelait un amant pour venir la satisfaire. Le rituel était rodé. A travers la cloison j’entendais par tous les ébats et devais augmenter souvent le volume de la télé en présence des enfants.

Quelle ne fut cependant ma surprise de surprendre un jour vers les seize heures mon marocain fermant la porte la Dulcinée. Manifestement il avait été recruté. 54 ans, vilain, il ne répondait pourtant aux critères officiels. Je sus par la suite que celle-ci avait eu vent des dimensions extraordinaires de son sexe. Bref celui-ci rougit que je le surpris en telle occurrence. J’eus la présence d’esprit cependant de lui sourire et par un doigt en forme de chut sur la bouche de lui témoigner mon entière discrétion. A partir de là survint ce mécanisme récurrent chez moi. Je ne pouvais détacher mon imagination de ce vieil arabe entrain de besogner l’autre salope.

Cette après-midi les enfants étaient demeurés au centre de loisir. Je n’avais pas allumé la télé et tout en savourant un polar j‘avais à loisir écouter les râles d’à côté. J’avais conclu que ce devait être un bon coup. La vieille prenant assurément son pied. D’où mon dépit que ce fut le marocain auteur d’un tel exploit. Je ne pouvais concevoir que je ne pus moi même vérifier et de la qualité d’une bite et de la jouissance que j’aurais pu y rencontrer. Cela devint vite une obsession. Je partais bientôt, il me fallait frapper un grand coup. J’abandonnais le projet trop ordinaire de l’attirer en ma chambre. J’inventai aussi une fable du genre que j’avais besoin qu’il m’emmène d’urgence en ville afin de récupérer des médicaments pour mes enfants, ma voiture étant à court de carburant. Surpris de ma demande, il n’osa me refuser.

N’étais-je une cliente et lui un simple employé. Il ne lui vint point à l’idée que je veuille me faire sauter. Je devinais même que ce service requis le mécontentât un peu : il manquait une mi temps d’un match de foot important. Je dus un peu le consoler quand je parus devant lui. J’arborais une mini jupe extrême et des sandales à hauts talons accentuant d’autant ma cambrure et mes fesses. Mon haut dévoilant mon nombril ne masquait pas cependant que mes seins étaient libres de tout soutien-gorge.

A ces côtés sur la route je devinais qu’il reluquait mes cuisses. Nous en vîmmes vite à sympathiser. J’éclatais de rire à toutes ses plaisanteries. Lorsque soudain j’abordais sans prévention l’incident de l’autre jour : je l’avais découvert de sortant chez Mme untel. J’avais tout entendu à travers la cloison. Je l’assurais encore d’une entière discrétion. Mais calmement , droit dans les yeux je lui demandais pourtant s’il avait un gros sexe. Ma question le soufflât, l’abasourdi. Je savourais mon insolence, la crudité de mon propos. Il ne pouvait comprendre qu’une jeune et belle bourgeoise distinguée put tenir à l’instant un langage si grossier. Il cherchait que répondre à la question. Durant quelque silence je vins à pointer mon regard bleu vers son sexe. Je me réjouissais de ses rougeurs de midinette en même temps que je constatais qu’il bandait de plus en plus. C’était mûre pour que j‘aille moi même m’en assurer. Ma main n’eût pas de peine à annuler la courte distance pour aller tâter la bosse et apprécier en effet du fabuleux objet. A cet instant notre marocain Mahommed bouleversé se transforma. La voiture partit en trombe. Du centre de la ville en quelques minutes nous parvînmes à sa périphérie, derrière un mur et un terrain vague.

Là il éructa, vida son sac : Que me veux-tu ? c’est quoi cette connerie de pharmacie ? c’était pour me reprocher d’avoir baisé la vieille ? et puis ces façons de parler de ma queue ? qu’est ce tu veux au fait ? tout cela dit dans un accent de magrébin. Affectant toujours mon immense sourire, droit dans les yeux je lui proclamais que j’avais envie avant de partir, d’une queue vraie et ce à ma mesure. Bref je méritais autant que la vieille que d’être baisée. ! Il sembla abasourdi de ce ces paroles. Il y eût un silence. Puis ce fut un autre Mohammed en quelque instant. Il était sur moi. Mes seins extirpés hors de mon haut étaient labourées de ses baisers plus gloutons et hâves que les autres. Sa main s’était rapidement frayée un chemin à travers mes cuisses, agrippant la culotte et abordant la chatte. Je subissais avec délectation toutes les caresses répugnantes de ce mec.

Cependant stoïquement je le laissais faire, sa bouche sentant l’ail, nos langues e mélangèrent longtemps, il bandait à présent comme un turc, je le chauffais à point. Bref je n’eus pas de peine à ouvrir sa braguette, à libérer l’engin. Il n’était pas en dessous de mon imagination. La vieille avait raison : il s’agissait d’un vrai trésor que je m’empressais de sucer activement dessous le volant . Ma fellation fut dantesque. Comme une furie j’absorbais l’énorme verge jusqu’à étouffer. On eût dit que j’avais faim et voulais l’engloutir comme s’il se fut s’agit d’une banane. Je léchais et bouffais tour à tour les couilles dedans leur bourse. Mohammed me confia que la vieille ne l’avait pas mieux sucé que moi. Je pris cela comme un compliment tandis que son doigt m’entrait maintenant dans le cul. Cette façon qu’ont les hommes de manifester qu’ils voudront à la fin vous enculer, m’était désormais familière. Je laissais le doigt préparer le terrain et évaser l’anus. Je n’envisageais de refuser mon cul à cette bite énorme. Je finissais cependant de bien le sucer afin de tendre haut son étendard. Puis rompant soudain cet exercice, je le laissa interloqué, sortant hors de la voiture et m’allant placé penché dessus le capot. Fesses cambrées , résolu d’être foutue par derrière. Tout cela n’était très raisonnable.

Hors de la voiture et bien que nous fûmes hors de la ville, des promeneurs du soir des fois se hasardaient en contrebas et pouvaient observer nos ébats. Mohammed et moi nous n’en eûmes cure. Il vint me rejoindre et levant à peine la mini jupe (celle-ci de toute façon parvenait peu à dissimuler mon cul) il écarta le fil du string et enfourna derechef sa grosse bite dans la moule. Outre la grosseur du truc, j’eus à subir de violents assauts. Ce type ventripotent cachait une vigueur insoupçonnée. Je comprenais à présent que la vieille n’eût pas à simuler tout son contentement. Moi même je suffoquais de plaisir. Dans mon bonheur je percevais qu’un type en contrebas nous observait. Que voyait-il au vrai ? une jeune femme blonde et bronzée, fort jolie sûrement et qu’un gros type chauve besognait par derrière. Celle-ci appréciant manifestement le labeur de son amant.

Quoiqu’il en soit Mohammed eût rapidement l’envie de passer par l’autre entrée. Il se rasséréna d’un coup, fit preuve de sang froid. Il s’agenouilla derrière moi et de sa grosse langue entrepris de me nettoyer l’anus et d’ouvrir et d’assouplir fort celui-ci . Jamais je n’eus droit à traitements si délicieux. ¨Personne ne s’était enquis de m’offrir de cette façon une toilette de mon cul. Je jouissais par là, il s’évasait à mesure et tout était possible.

Mohammed présenta habilement le gland à un moment propice, j’eûs quelque émotion et une douleur intense quand il pénétra et força l’issue. Le souffle coupé je dus attendre un instant de supporter l’irruption de sa queue dans mon cul. Puis doucement lentement comme en mesure, son engin se fit un petit chemin, s’installant en ses quartiers d’hiver. Stoïquement j’étais résolu à absorber quand même tout son membre. Cela demanda quelque temps. Il procédait par à coup. Il parvint cependant à la fin à effectuer de notables allers retours. Ce n’était pas tant le plaisir que le sens du devoir qui m’obligeait à le laisser s’ébrouer au fond du cul. Enfin il conçut que je préférais être défoncée et finit par la chatte. Ce fut encore plus sauvage que tout à l’heure. Le soir tombait, il déchargeât tout son foutre en moi Je le suçais hâtivement. Du sperme maculant une partie de mon visage et abîmant de mon beau maquillage. Il m’intimât que l’on devait rentrer, la cuisine l’attendait. Tandis que nous roulions rapidement vers la résidence j’eus encore le caprice de goûter une dernière fois sa queue et jusqu’aux abords du parking je le suçais, chevelure blonde dessous un volant.
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Commentaires du récit : Momo le cuistot

Le 10/03/2016 - 11:33 par Pierre le Grand
Cette histoire n'a pas la place qu'elle mérite, dans les profondeurs du classement elle devrait se trouver parmi les meilleures. J'ai apprécié le style, la montée en intensité de l'excitation qui m'a saisie au fil des mots. J'ai aimé, un seul petit 1 c'est vraiment peu, c'est injuste amitié Pierre

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