ACCUEIL > Hétéro > Récit : Jour de grève à la SNCF

Jour de grève à la SNCF

+25

Lue : 1781 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/11/2020

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Nous sommes à la veille des vacances d'été et les cheminots n'ont rien trouvé de mieux que de lancer un mouvement de grève le jour d’un séminaire. Impossible de prendre la camionnette car c’est le jour du marché. Inutile d'imaginer un covoiturage ne connaissant par les autres participants. Il faut espérer que certains conducteurs aient le sens du devoir.

Arrivé sur le quai, je grimace à voir les gens qui ont les mêmes espérances que moi ; le quai est noir de monde ! Après 35 minutes d'attente, on nous annonce l'arrivée prochaine d'un convoi pour Lyon... L'effervescence se fait sentir dans la foule qui ne cesse de grossir.

Comme de fait, 5 minutes plus tard un train se présente mais au lieu des 12 wagons prévus, il est seulement composé de 6 ! Quand la première voiture arrive à ma hauteur, je vois déjà des gens debout... Heureusement, la portière s'arrête devant moi. Je suis l'un des premiers à l'intérieur mais me retrouve rapidement bloqué dans le coin de la plateforme. Devant moi la chevelure blonde et délicatement parfumée d’une femme dont je n’ai aucune idée de qui elle est, ne l’ayant pas vue entrer. Sur ma droite, un monsieur d’un âge avancé me fait face. Inutile de penser pouvoir bouger dans un sens ou dans un autre...

Le monsieur me salue et me dit qu'il a été surpris par cette grève. Poliment je lui dis qu'il faut prendre son mal en patience et ce malgré cette chaleur qui commence à se faire sentir. Nous échangeons des banalités jusqu'à l'arrêt suivant où un nouveau contingent essaye de monter à bord de la rame...

La blonde ne cesse de reculer, m’écrasant de plus en plus contre la paroi, me laissant tout juste l’espace pour respirer. Plus elle recule et plus je sens ses fesses se presser contre moi. La chaleur torride qui se dégage d’elle a un effet bizarre sur moi : une érection commence à se faire sentir. Elle se recule encore un peu plus afin de m’acculer contre la paroi du train et commence à bouger doucement de gauche à droite. On dirait qu’elle veut s’assurer de bien coincer ses fesses contre mon sexe afin de ressentir les effets de son manège.

Tout à coup, une main vient se glisser entre l’arrière-train de la blonde et mon sexe. Il est maintenant gonflé à bloc par la pression et l’ardente chaleur de cette paire de fesses sur lui. De petits doigts commencent à me masser secrètement la queue, la pressant et la malaxant sur toute sa longueur. Je bande comme un taureau alors que cette main ne fait rien pour me calmer. Elle m’enserre la queue, pesant fortement dessus, tantôt la tordant, tantôt la massant méticuleusement. Après quelques instants de ce manège, je sens la main quitter ma queue pour défaire les trois boutons de ma braguette et s’y insérer, désirant, je le suppose, mieux palper mes attributs. Manquant de place pour bien y faire, elle extirpe mon sexe du caleçon. La sort de mon pantalon et la plaque contre ses fesses. Peau contre peau, ayant relevé sa jupe sans que je ne m’en rende compte. Je sens la chaleur de ses fesses tout contre ma queue. Elles bougent de façon à ce que l’objet de ses désirs aille insensiblement se caller entre elles. Ouf ! Il commence à faire vraiment chaud dans ce train !

Je suis dans un état tel que je vois bouger les lèvres du vieil homme sans entendre ce qu’il dit. Et penser qu’il ne semble pas s’apercevoir de ce qui se passe à quelques centimètres de lui m'excite encore plus.

Le sexe maintenant bien inséré entre ses deux globes que je ne peux voir, elle bouge maintenant son petit cul de haut en bas. Me fait une belle branlette qui, si elle ne réduit pas l’allure, va certainement me mener à lui arroser le dos d’ici quelques minutes. Reculant la tête vers la droite, de manière à ce que personne n’entende, la blonde me dit à l’oreille :

— Prends-moi. S’il te plaît, baisse-toi un peu que je m’empale sur ton chibre et laisse-toi faire. Ne te retiens surtout pas, il ne nous reste plus beaucoup de temps.
Je fléchis donc, sans réfléchir un seul instant, les genoux et sens les fesses de la fille se soulever et s’écarter pour laisser ma queue glisser en elle. Elle se penche un peu en avant puis recule sur moi, me guidant de sa main et m’introduisant d’un seul coup en elle. Elle mouille comme une fontaine et je m’y enfonce le plus profondément que notre position nous en laisse la possibilité. La fille commence alors à se dandiner graduellement, me faisant passer par toutes les gammes d’émotions. Je sens mon gland se frotter contre les parois de son antre tendre et doux. Ses fesses tantôt s’écrasent contre moi, tantôt se retirent pour revenir d’un coup sec s’empaler sur ma queue qui, à cette cadence, va bientôt exploser en elle.

Reprenant mes esprits le temps d’un instant, je me rends compte que je suis en train de baiser, en plein jour, dans un train bondé de gens, avec une femme dont je n’ai même pas vu le visage, et je trouve cela excitant. La fille bouge légèrement de gauche à droite, de bas en haut et moi je sens le plaisir monter au rythme de ses déplacements tendres et doux.

Je ne sais même plus si le vieux continue à me parler, car toute mon attention est maintenant concentrée sur mon plaisir et l’éjaculation qui s’annonce. Afin de bien faire sentir à ma chère complice que je vais bientôt jouir, je lui enserre la taille, n’entravant d’aucune façon ses mouvements, trop divinement orchestrés avec les soubresauts du train. Quelques instants plus tard, je sens une main prendre mon bras et des ongles s’y enfoncer. Elle est en train de prendre son pied en silence. Ressentant une chaleur intense provoquée par son plaisir, je ne peux et ne veux me retenir. Alors j’explose, lui giclant toute la sauce au fond du ventre.

Le vieil homme s'inquiète de mon état... Il pense que je fais un coup de chaleur car, me dit-il, pendant quelques instants, vous avez tourné de l’œil et êtes devenu tout rouge. J’ai failli lui répondre que s'il avait été à ma place, il aurait été dans le même état.

Pendant ce temps, la fille aux cheveux blond s’est dégagée brusquement et s’éloigne rapidement en bousculant les deux ou trois types qui se tenaient entre elle et la sortie. Elle quitte le train sans même se retourner, balançant son petit cul de gauche à droite...
25 vote(s)


Histoire de AbbeR

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Jour de grève à la SNCF


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :