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Les trois novices (1)

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Lue : 1373 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 23/11/2020

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Je m’appelle Richard, je vis dans une communauté religieuse au bord du Rhône. Je suis leur abbé depuis trois ans.

A l’intérieur du clôs, ainsi nommé en raison des hauts murs qui nous séparent de la vie publique, nous sommes une dizaine de moines à travailler la vigne ainsi qu’élever quelques animaux de basse-cour et moutons. Même si les vignes se trouvent à quelques kilomètres de notre demeure, la production de vin se fait dans nos chais. A l’extérieur, nous sommes des quidams, impossible à reconnaître dans nos habits civils.

Par la rareté des vocations, notre groupe a dû se résoudre à la mixité. Ainsi au printemps 2019, trois sœurs nous ont rejoints. Non pas pour les tâches vinicoles, bien que, mais principalement dans la commercialisation et l’intendance.
Quand je dis trois sœurs, je devrais plutôt dire trois novices. Je reste toujours intrigué par ces nouvelles vocations, souvent issues de la même source ! Ainsi Anne et Julie, deux jumelles filiformes d’environ 1 mètre 65 de 22 ans, provenant d’une riche famille campagnarde du Pays de Loire et Lizbeth, 21 ans, grande mulâtre d’un mètre 80 abandonnée à la naissance dans les faubourgs de Bordeaux. Les bases les plus fréquentes : l’orphelinat et le « non-droit » à l’héritage de grandes familles agricoles.
Le clôs est assez grand pour que chacun – et maintenant chacune – ait sa cellule (chambre). Seules les commodités sont partagées. Avant que l’on transforme une pièce en salle d’eau, j’ai instauré une discipline qui permet aux hommes de ne pas être gênés durant les ablutions des femmes. Les hommes se lavent avant le repas du matin, les femmes après. Viennent ensuite l’office et la répartition des tâches.

Début avril, les novices ont bien assimilé les travaux à la ferme. Je m’apprête à partir au marché du village quand le frère Paul m’interpelle

- Julie s’est fait pincer par le jars, elle saigne…
- L’abbé Mathieu peut la soigner
- Il est parti au palissage !
- Je vais m’en occuper… Pendant ce temps, chargez la camionnette que je sois dans les temps pour le marché.

J’arrive dans l’annexe de la cuisine où Anne essaye de rassurer sa sœur. Mais je remarque qu’elle est en panique. Il faut dire que le jars est un vicieux et qu’il n’en est pas à son coup d’essai.
Comme de fait, quand je m’approche de Julie, je constate que sa robe est fortement déchirée sur le haut de sa cuisse. Le rouge du sang a pris le dessus sur le gris du tissu ! J’écarte un peu les morceaux déchirés mais, ne peux voir l’ampleur de la blessure. Je demande à Julie de bien vouloir soulever sa soutane. Chancelante, elle s’exécute et je remarque une vilaine plaie. Il faudra de la chirurgie et cela dépasse mes compétences.

- Il va falloir vous conduire à l’hôpital pour suturer cette blessure. Avez-vous la force d’aller vous changer dans votre chambre ?
- Je n’ai plus de force frère Richard – murmure-t-elle.
- Sœur Anne, allez lui chercher des habits civils, pendant ce temps, je vais laver sa blessure et bander sa cuisse.

Je tire les rideaux de la fenêtre et retire la robe de Juliette. La plaie n’est pas si profonde que je l’imaginais. Je rassure Sœur Julie qu’il suffira de quelques steri-strip pour réduire la blessure. La fille est robuste mais sous l’effet des pansements d’alcool, elle vient enserrer la main qui soigne. Dans un geste d’apaisement, je pose ma main à l’intérieur de sa cuisse, douce et chaude. C’est à ce moment-là que je remarque que notre sœur porte une culotte sexy… Mon trouble est vite dissipé par l’arrivée de sa sœur.

A deux, nous finissons de lui prodiguer les soins nécessaires. Quelques blagues permettent de dérider la situation. Sœur Julie est de nouveau sur pied et je m’apprête à filer au marché…

Le soir venu, dans ma cellule qui fait également office de repère des livres agricoles, alors que je prends quelques informations sur les oies auprès de « L’aviculture » de Charles Voitellier, l’on frappe à ma porte.

- Entrez !
- J’espère que je ne vous dérange pas clame Sœur Anne.
- Ma porte est toujours ouverte dis-je tout en me levant
- Frère Richard, me dit-elle, ce matin je n’ai pu m’empêcher de voir le trouble qui a envahi ma sœur. Je voulais vous mettre en garde du fait qu’elle est vierge et passablement naïve.
- Mais…
- Mais si ma sœur est vierge, il n’en est pas de même pour moi.

Et tout en disant cela, elle m’embrasse fougueusement avec une main qui trouve rapidement la virilité prisonnière de ma bure.

Surpris de cette initiative, je n’en suis pas moins satisfait. Je nous conduis vers le lit où je retire prestement ma bure. Anne se penche vers moi pour m’embrasser et poursuivre son chemin vers mon sexe déjà dressé. Elle retire mon caleçon tout en déposant quelques baisers sur l’objet de ses désirs. Mais ces moments de tendresse passés, comme une sauvage, elle se jette goulument sur ma queue. Le manque ou la passion ont raison de notre sagesse. Alors que ses va-et-vient sont de plus en plus forts, je lui retire la soutane et ne m’étonne pas de la voir nue dessous. Pas de raison de ne pas explorer ce corps chaud et offert. Ma main glisse sur ses fesses, les écartent et mes doigts s’insinuent dans la raie pour venir s’humidifier à la cyprine abondante.

Elle bouge lentement du cul tout en jouant le long de mon sexe. J’ai des difficultés à me retenir et elle le ressent. Elle s’arrête et me repousse sur la couette pour s’agenouiller sur mes lèvres. Cette fois, j’ai sa mouille dans la bouche. Je commence à lécher, ma langue explore cette cavité longuement oubliée. Elle mouille comme je n’aurais jamais imaginé. Ma langue et mes lèvres titillent son clitoris, ses petites et grandes lèvres. Elle se tortille, gémit, triture mes cheveux tout en maîtrisant la cadence.

Ses petits seins sont fermes, ses tétons sont durcis par l’excitation et mes doigts qui les maltraitent. L’envie se fait pressante, elle se retire de ma bouche pour descendre sur ma queue. Je la regarde m’introduire en elle, sensuellement, loin de cette sauvagerie du début. Elle profite de l’instant. Elle monte au rythme qu'elle décide. Mais je ne résiste pas à aller à son devant, j’ai envie de jouir mais elle me repousse, se retire. J’étouffe un cri de déception. Elle le remarque dans mon regard et reprend sa position. Elle ondule sur mon sexe, elle luit de plaisir. Cette fois, je m’enfonce de plus en plus loin et plus fort encore. L’orgasme est partagé dans une retenue silencieuse qui sied au lieu religieux.

Allongés l’un contre l’autre, je m’inquiète d’avoir éjaculé en elle. Elle me rassure car son gynéco lui a placé un implant contraceptif à la suite d’un dérèglement hormonal… Elle me demande si j’étais puceau. Je lui souris tout en lui disant que j’avais eu des rapports avant de faire mes vœux. Mais cela est une autre histoire….
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Histoire de AbbeR

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