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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/12/2024
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Journée bien remplie pour une femme fidèle partie 2
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JOURNEE BIEN REMPLIE POUR UNE FEMME FIDELE
PARTIE 2
Bien sûr, ma femme voit des hommes tous les jours, mais je sais qu'il ne lui viendrait même pas à l'idée de me tromper. Elle m'aime, et je la satisfais totalement. Je pars le matin, je reviens le soir, elle vit sa vie, elle va travailler, j'ai la conviction absolue que rien ne se sera passé dans la journée.
Marjolaine arriva au garage sur le coup de neuf heures. Cela faisait quatre ans maintenant qu'elle était représentante de la marque, et comme le disait son patron, personne avant elle n'avait jamais eu un tel score de ventes. Quand elle entreprenait un client, il était très rare qu'elle ne vende pas le véhicule.
Clairement, elle faisait tout ce qu'il fallait pour cela, et, si elle avait des arguments techniques et commerciaux, c'était souvent des arguments plus physiques qui savaient convaincre. Ca pouvait être de l'ordre du visuel uniquement, parce qu'elle portait des tenues qui mettaient en valeur ses charmes, en allant très loin. Une jupe courte, des jambes ouvertes, pas de slip dessous, un collant transparent, un sein qui se barrait d'un décolleté. Mais, comme elle se rendait chez les gens pour leur faire des propositions, elle pouvait aller bien plus loin. Masturber un homme, lécher le sexe d'une femme jusqu'à l'orgasme. Et souvent les acheteurs, une fois la vente conclue avaient droit à des visites personnalisées, une sorte de récompense pour leur achat. De la sorte quand ils faisaient un nouvel achat, ils venaient automatiquement la voir. Une manière comme une autre de fidéliser la clientèle, mais aussi d'avoir aussi du plaisir.
Quand elle se gara sur le parking du garage, et qu'elle descendit, tous les regards se portèrent sur elle. Regards des hommes et des femmes sur le parking, à l'intérieur du local, dans la partie garage. Clients, employés. Il y eut des verges qui durcirent, et des vulves qui s'humidifièrent. Il fallait dire que Marjo était particulièrement en beauté, particulièrement désirable aussi. Elle portait une robe en skai noire, très moulante, très courte aussi, qui dégageait bien des jambes faites au moule, gainées de nylon sombre, et prises pile en dessous du genou par des bottes hautes, noires, luisantes, avec des talons aiguille. Elle était irrésistible et elle le savait. Elle rêvait d'hommes se masturbant devant elle, sans la toucher. Plusieurs et pas qu'un seul, se poussant jusqu'à l'orgasme et arrosant sa robe, ses bas stay-up et ses bottes de traits de sperme bien blancs et bien crémeux.
Marjo se glissa dans l'immense local, pour marcher jusqu'au bureau du patron. Tous les matins, ils faisaient le point sur ses avancements de la veille. Et pas que...
Cela faisait cinq ans qu'elle travaillait au garage. Elle avait posé sa candidature pour le poste. Son aplomb avait su le convaincre. Elle lui avait dit: 'Je saurai être efficace.' et elle le lui avait très vite prouvé.
Elle avait été aussi très vite attirée par lui. Une bonne dizaine d'années de plus qu'elle et une séduction dont il n'avait pas forcément conscience. Il était d'ailleurs marié à une très jolie femme qui passait régulièrement.
Marjolaine avait pas mal d'atouts dans sa manche, elle le savait pertinemment. Elle savait d'ailleurs qu'elle prenait un risque. Son épouse était magnifique. Le comblait-elle? Elle n'en avait aucune idée. Ils semblaient s'entendre parfaitement.
Les apparences étaient parfois trompeuses.
Et puis elle comptait sur le fait que les hommes étaient toujours attirés par la nouveauté. Une femme leur plaisait...Mais si une autre se présentait...Ils ne disaient pas non.
Il lui faisait trop envie.
Il fallait tenter. De toute façon, elle était convaincue, cela faisait deux mois qu'elle travaillait au garage, qu'il ne la renverrait pas. Elle était ultra-efficace. Et il le savait pertinemment.
Elle avait engagé le même geste qu'elle avait esquissé quelques minutes plus tôt devant son voisin. Elle savait que rien ne troublait plus les hommes que la vue d'un sexe de femme. Elle avait ouvert les cuisses largement. Elle portait une mini noire, les jambes gainées par des bas stay-up. Il regardait souvent ses jambes. Il fallait dire qu'elle les offrait généreusement.
Elle avait amené ses jambes sur les deux accoudoirs, pour plus encore s'offrir. Il ne pouvait pas ne pas voir son sexe, que la position et l'excitation entrouvraient.
— Si tu as envie, c'est tout pour toi, autant que tu le voudras.
Le gars était resté figé. Il n'avait sans doute jamais rencontré de Marjolaine dans sa vie, de fille qui lui fasse une proposition aussi directe. Il était sans doute habitué à ce que ce soit lui qui fasse le premier pas.
Cela se passa très vite. Elle se redressa et vint se poser sur le rebord du bureau, tout près de lui, mais légèrement en décalé. Sa queue, dans une érection déjà bien développée, déformait le tissu de son pantalon.
Marjolaine venait très tôt le matin, avant que tout le monde arrive. Calée sur le temps qui leur était donné, elle savait qu'elle avait une bonne demi-heure avant que les premiers employés n'arrivent. Ce serait largement suffisant. Elle s'était penchée sur lui et avait mis à nu sa queue. Il l'avait laissée faire. Elle était sure maintenant qu'il n'y aurait pas de scandale.
Elle avait mieux saisi le contexte quand, alors qu'elle le déshabillait et extirpait de son caleçon une queue aussi longue qu'épaisse, d'une bonne quinzaine de centimètres, il lui avait avoué :
— Ma femme et moi nous vivons ensemble uniquement parce que ni l'un ni l'autre nous ne voulons divorcer. Ca fait des mois que nous n'avons plus aucun rapport sexuel.
C'était un champ ouvert, un véritable boulevard dont il fallait profiter. Quoi que...Il ne se privait pas forcément de rapports sexuels. Des prostituées de tous ordres...Mais il y avait là une ouverture dont lui, il pouvait profiter. Elle se fichait bien qu'il aille mettre sa queue dans d'autres chattes.
L'idée même qu'elle puisse glisser en elle cette queue volumineuse la mettait dans tous ses états. Elle la sentait déjà en elle.
Elle avait récupéré un préservatif dans son sac à main quand elle s'était levée. Elle le fit glisser rapidement le long de la verge érigée, et elle vint se positionner au-dessus du membre, la chatte palpitante d'envie. Jamais, jamais elle le savait bien, elle ne pourrait renoncer à ce plaisir, si intense, que lui donnait une queue.
Elle attrapa la verge du bout des doigts. Bien dure, bien chaude, enveloppée de latex. Le liquide qui sortait du méat faisait une tache qui s'élargissait contre le latex. Exactement ce qu'il lui fallait. Le gland vint riper contre ses lèvres, elle le ramena vers elle de quelques millimètres, et se laissa descendre dessus avec un plaisir immense. Celui de sentir la verge bien dure glisser en elle, la remplir, caresser les parois internes de son sexe, puis se stabiliser après que le gland ait cogné contre son utérus. Se sentir remplie, c'était quelque chose de tellement...Immense et jouissif. Elle jeta un petit coup d' oeil. La queue était totalement en elle. Une vision de ce que pouvait être le bonheur. Elle aurait aimé la garder des heures en elle. Mais c'était impossible. Le temps qui lui, qui leur était accordé était limité. Alors elle se mit à bouger sur la verge dure, se caressant et le caressant en même temps. C'était bon...Trop bon...Si elle avait du vivre sans sexe...Elle se serait donnée la mort...
— On a perdu trop de temps, deux mois...Il faudra profiter à fond des mois à venir...A fond, c'est le cas de le dire, soliloqua Marjolaine.
— Tu me fais redécouvrir le sexe, je ne savais plus ce que c'était. Deux ans qu'on ne baise plus, ma femme et moi. Plus rien. J'ai pensé qu'elle avait un amant, j'ai engagé un détective privé, que j'ai payé très cher. J'étais convaincu qu'il allait trouver quelque chose. J'ai doublé ses honoraires, il l'a suivie pendant un an et demi. Rien. Je ne l'intéresse plus du tout. Même pas une simple branlette. Je revis, là, tu vois.
Marjolaine avait la sensation enivrante que la queue de son partenaire se dilatait en elle, qu'il devenait plus long, plus épais...Il lui ouvrait la chatte, repoussait les parois de cette gaine de chair qui l'enveloppait.
— Ah putain, c'est trop bon d'être dans ton ventre...Je vais jouir...
Il y eut un premier jet de sperme, qui, à travers le latex, vint taper contre ses parois internes, et qui fit exploser en elle son premier orgasme. Il y eut un contre-balancement. A chaque jet de sperme supplémentaire, un nouvel orgasme. Elle se tordait sur lui, mais il n'était pas mieux, se retenant, parce qu'il était au garage, sans quoi il aurait sans doute hurler.
Ca avait été leur premier orgasme.
Depuis, ils en avaient partagé un paquet d'autres. Quelque chose de rapide, d'intense.
Ils ne s'étaient jamais vus à l'extérieur, et Marjo n'était pas sûre qu'elle en aurait eu envie. Elle appréciait que ce soit dans ce contexte.
Ce matin-là, elle se glissa dans son bureau. Il y avait toujours ce laps de temps d'une demi-heure qui leur permettait d'agir. Le regard de l'homme glissa sur elle comme le plus beau des compliments. Il crut bon pourtant de rajouter :
— Tu es hyper-sexy comme toujours...Tu ferais bander un mort.
Ils n'appartenaient pas au même milieu social, n'avaient sans doute pas beaucoup de points communs, mais ils se rejoignaient grâce au sexe. Pour finalement, une proximité qu'il n'avait plus, qu'il avait perdue avec sa femme.
Sans un mot, le sexe d'abord, les affaires ensuite, elle alla se pencher sur un meuble moyennement haut, sur lequel étaient empilés des dossiers. Avant de se plier en deux, elle attrapa de ses deux mains l'ourlet de sa robe et remonta celle-ci jusqu'à sa taille. La longue vitre qui limitait le bureau, mais aussi le miroir à l'opposé sur le mur renvoyaient une image ultra-excitante qui, elle le savait, agissait comme un réflexe de Pavlov sur les hommes. Mais qui l'excitait aussi, sa mouille sortant d'elle et coulant en même temps que son sexe s'ouvrait. Elle se voyait penchée en avant, le cul offert, ses fesses ouvertes par sa position, les plissements de son anus aussi visibles que sa vulve qui n'avait pas vraiment retrouvé une position de repos après Jean-Marc. Ce qui se passait avec Robert l'excitait terriblement. Avant, pendant et après.
Ce qui lui plaisait avec Robert, c'est que c'était toujours du sexe cru, à l'état pur, sans un mot de trop. Juste la recherche du plaisir et le plaisir. Il fallait croire que ça ne marchait pas trop mal entre eux, car cela faisait quasiment deux ans maintenant qu'ils partageaient un moment de sexe cinq, voire six jours par semaine. Et surtout, ce n'était toujours pareil. Ils arrivaient à chaque fois à renouveler ce moment. Il fallait dire qu'elle avait beaucoup de créativité, et d'imagination.
Elle le vit, du coin de l' oeil, récupérer un préservatif dans un tiroir et s'en gainer. Voir sa queue, même au bout de deux ans, ne la laissait pas indifférent. Il avait une belle queue, longue, dure, épaisse, et qui, quand elle était très dilatée, était impressionnante. Et avoir ça en elle...
Il vint derrière elle. Elle aimait cette position, car la queue des hommes, de la sorte, venait stimuler des zones qui lui donnaient énormément de plaisir.
Il vint jusqu'à elle, la queue enveloppée de latex et il s'arc-bouta pour que son gland vienne appuyer contre ses lèvres. Il les frotta, sans encore rentrer en elle. Lui aussi, il prenait de bonnes initiatives. C'était vraiment bon, comme ça. Elle gémit de plaisir, alors que la grosse tête, gorgée de sang, frottait ses lèvres. Puis, il commença à rentrer en elle. Dans cet angle, le plaisir était tout de suite très fort, et il la rendait rapidement folle. C'était à la fois un plaisir et un supplice. Mais pour rien au monde elle n'aurait voulu que ça s'arrête. L'orgasme qu'elle obtenait avait une force peu commune, mais les moments avant étaient...Uniques. Elle se faisait prendre dans toutes les positions possibles, mais ça n'était jamais comme ça.
Elle aurait bien aimé que son mari la prenne comme ça.
Ca faisait bien longtemps qu'il ne la prenait plus d'aucune manière.
Robert savait bien faire l'amour. Elle avait le sentiment qu'au fil du temps, il s'était amélioré, avec plus d'aisance, plus d'habileté...Elle lui avait posé la question de savoir si sa relation avec sa femme s'était améliorée. La réponse avait été dure pour le couple, flatteuse pour elle:
— Non, rien n'a changé, sinon qu'elle a quitté la maison et demandé le divorce. Je sais que j'ai de la chance de t'avoir.
Voulait-il le lui prouver en la baisant ainsi? Elle sentait l'orgasme monter en elle.
Il n'y avait que dans cette position qu'elle jouissait vite, la première, qu'elle enchaînait les orgasmes jusqu'à n'en plus pouvoir, et aussi qu'elle éjaculait, crachant des jets d'un liquide blanc qui ressemblait à du sperme, ce qui lui imposait par la suite de se nettoyer. Elle ne pouvait pas partir voir un client avec les jambes couvertes de ses sécrétions.
Et ça se passa cette fois comme les autres fois. Marjolaine commença à jouir, et enchaîna plusieurs orgasmes qui furent intenses et profonds et la transportèrent. Comme à l'accoutumée aussi, elle éjacula, des jets copieux de sécrétions épaisses qui disaient son plaisir, et qui la maculaient. Heureusement qu'elle avait mis une jupe qu'elle avait roulée à sa taille. Mais elle avait toujours une tenue de rechange.
Emportée par la force de sa jouissance, elle eut toutefois la présence de dégager la verge dilatée d'elle, elle s'accroupit, se retrouvant avec le membre, énorme, sous les yeux. Elle fit glisser sa bouche dessus, enveloppant un tiers de sa queue, les joues distendues par la taille du membre, Elle vint masser doucement ses couilles. Ce fut la question d'une paire de secondes avant que le sperme ne jaillisse en traits copieux, qui lui remplit la bouche d'un goût acre, et qu'elle laissa couler dans son gosier. Même lorsqu'il eut cessé de jouir, elle garda sa queue dans sa bouche, lapant les ultimes coulures qui sortaient de son méat.
Il y avait une petite salle de bains, attenante à son bureau où elle avait l'habitude de se rajuster et de se nettoyer. Après y être passée, elle le rejoignit pour faire le point de la journée et des jours à venir. Tout calé, elle pouvait commencer sa journée de travail.
PARTIE 2
Bien sûr, ma femme voit des hommes tous les jours, mais je sais qu'il ne lui viendrait même pas à l'idée de me tromper. Elle m'aime, et je la satisfais totalement. Je pars le matin, je reviens le soir, elle vit sa vie, elle va travailler, j'ai la conviction absolue que rien ne se sera passé dans la journée.
Marjolaine arriva au garage sur le coup de neuf heures. Cela faisait quatre ans maintenant qu'elle était représentante de la marque, et comme le disait son patron, personne avant elle n'avait jamais eu un tel score de ventes. Quand elle entreprenait un client, il était très rare qu'elle ne vende pas le véhicule.
Clairement, elle faisait tout ce qu'il fallait pour cela, et, si elle avait des arguments techniques et commerciaux, c'était souvent des arguments plus physiques qui savaient convaincre. Ca pouvait être de l'ordre du visuel uniquement, parce qu'elle portait des tenues qui mettaient en valeur ses charmes, en allant très loin. Une jupe courte, des jambes ouvertes, pas de slip dessous, un collant transparent, un sein qui se barrait d'un décolleté. Mais, comme elle se rendait chez les gens pour leur faire des propositions, elle pouvait aller bien plus loin. Masturber un homme, lécher le sexe d'une femme jusqu'à l'orgasme. Et souvent les acheteurs, une fois la vente conclue avaient droit à des visites personnalisées, une sorte de récompense pour leur achat. De la sorte quand ils faisaient un nouvel achat, ils venaient automatiquement la voir. Une manière comme une autre de fidéliser la clientèle, mais aussi d'avoir aussi du plaisir.
Quand elle se gara sur le parking du garage, et qu'elle descendit, tous les regards se portèrent sur elle. Regards des hommes et des femmes sur le parking, à l'intérieur du local, dans la partie garage. Clients, employés. Il y eut des verges qui durcirent, et des vulves qui s'humidifièrent. Il fallait dire que Marjo était particulièrement en beauté, particulièrement désirable aussi. Elle portait une robe en skai noire, très moulante, très courte aussi, qui dégageait bien des jambes faites au moule, gainées de nylon sombre, et prises pile en dessous du genou par des bottes hautes, noires, luisantes, avec des talons aiguille. Elle était irrésistible et elle le savait. Elle rêvait d'hommes se masturbant devant elle, sans la toucher. Plusieurs et pas qu'un seul, se poussant jusqu'à l'orgasme et arrosant sa robe, ses bas stay-up et ses bottes de traits de sperme bien blancs et bien crémeux.
Marjo se glissa dans l'immense local, pour marcher jusqu'au bureau du patron. Tous les matins, ils faisaient le point sur ses avancements de la veille. Et pas que...
Cela faisait cinq ans qu'elle travaillait au garage. Elle avait posé sa candidature pour le poste. Son aplomb avait su le convaincre. Elle lui avait dit: 'Je saurai être efficace.' et elle le lui avait très vite prouvé.
Elle avait été aussi très vite attirée par lui. Une bonne dizaine d'années de plus qu'elle et une séduction dont il n'avait pas forcément conscience. Il était d'ailleurs marié à une très jolie femme qui passait régulièrement.
Marjolaine avait pas mal d'atouts dans sa manche, elle le savait pertinemment. Elle savait d'ailleurs qu'elle prenait un risque. Son épouse était magnifique. Le comblait-elle? Elle n'en avait aucune idée. Ils semblaient s'entendre parfaitement.
Les apparences étaient parfois trompeuses.
Et puis elle comptait sur le fait que les hommes étaient toujours attirés par la nouveauté. Une femme leur plaisait...Mais si une autre se présentait...Ils ne disaient pas non.
Il lui faisait trop envie.
Il fallait tenter. De toute façon, elle était convaincue, cela faisait deux mois qu'elle travaillait au garage, qu'il ne la renverrait pas. Elle était ultra-efficace. Et il le savait pertinemment.
Elle avait engagé le même geste qu'elle avait esquissé quelques minutes plus tôt devant son voisin. Elle savait que rien ne troublait plus les hommes que la vue d'un sexe de femme. Elle avait ouvert les cuisses largement. Elle portait une mini noire, les jambes gainées par des bas stay-up. Il regardait souvent ses jambes. Il fallait dire qu'elle les offrait généreusement.
Elle avait amené ses jambes sur les deux accoudoirs, pour plus encore s'offrir. Il ne pouvait pas ne pas voir son sexe, que la position et l'excitation entrouvraient.
— Si tu as envie, c'est tout pour toi, autant que tu le voudras.
Le gars était resté figé. Il n'avait sans doute jamais rencontré de Marjolaine dans sa vie, de fille qui lui fasse une proposition aussi directe. Il était sans doute habitué à ce que ce soit lui qui fasse le premier pas.
Cela se passa très vite. Elle se redressa et vint se poser sur le rebord du bureau, tout près de lui, mais légèrement en décalé. Sa queue, dans une érection déjà bien développée, déformait le tissu de son pantalon.
Marjolaine venait très tôt le matin, avant que tout le monde arrive. Calée sur le temps qui leur était donné, elle savait qu'elle avait une bonne demi-heure avant que les premiers employés n'arrivent. Ce serait largement suffisant. Elle s'était penchée sur lui et avait mis à nu sa queue. Il l'avait laissée faire. Elle était sure maintenant qu'il n'y aurait pas de scandale.
Elle avait mieux saisi le contexte quand, alors qu'elle le déshabillait et extirpait de son caleçon une queue aussi longue qu'épaisse, d'une bonne quinzaine de centimètres, il lui avait avoué :
— Ma femme et moi nous vivons ensemble uniquement parce que ni l'un ni l'autre nous ne voulons divorcer. Ca fait des mois que nous n'avons plus aucun rapport sexuel.
C'était un champ ouvert, un véritable boulevard dont il fallait profiter. Quoi que...Il ne se privait pas forcément de rapports sexuels. Des prostituées de tous ordres...Mais il y avait là une ouverture dont lui, il pouvait profiter. Elle se fichait bien qu'il aille mettre sa queue dans d'autres chattes.
L'idée même qu'elle puisse glisser en elle cette queue volumineuse la mettait dans tous ses états. Elle la sentait déjà en elle.
Elle avait récupéré un préservatif dans son sac à main quand elle s'était levée. Elle le fit glisser rapidement le long de la verge érigée, et elle vint se positionner au-dessus du membre, la chatte palpitante d'envie. Jamais, jamais elle le savait bien, elle ne pourrait renoncer à ce plaisir, si intense, que lui donnait une queue.
Elle attrapa la verge du bout des doigts. Bien dure, bien chaude, enveloppée de latex. Le liquide qui sortait du méat faisait une tache qui s'élargissait contre le latex. Exactement ce qu'il lui fallait. Le gland vint riper contre ses lèvres, elle le ramena vers elle de quelques millimètres, et se laissa descendre dessus avec un plaisir immense. Celui de sentir la verge bien dure glisser en elle, la remplir, caresser les parois internes de son sexe, puis se stabiliser après que le gland ait cogné contre son utérus. Se sentir remplie, c'était quelque chose de tellement...Immense et jouissif. Elle jeta un petit coup d' oeil. La queue était totalement en elle. Une vision de ce que pouvait être le bonheur. Elle aurait aimé la garder des heures en elle. Mais c'était impossible. Le temps qui lui, qui leur était accordé était limité. Alors elle se mit à bouger sur la verge dure, se caressant et le caressant en même temps. C'était bon...Trop bon...Si elle avait du vivre sans sexe...Elle se serait donnée la mort...
— On a perdu trop de temps, deux mois...Il faudra profiter à fond des mois à venir...A fond, c'est le cas de le dire, soliloqua Marjolaine.
— Tu me fais redécouvrir le sexe, je ne savais plus ce que c'était. Deux ans qu'on ne baise plus, ma femme et moi. Plus rien. J'ai pensé qu'elle avait un amant, j'ai engagé un détective privé, que j'ai payé très cher. J'étais convaincu qu'il allait trouver quelque chose. J'ai doublé ses honoraires, il l'a suivie pendant un an et demi. Rien. Je ne l'intéresse plus du tout. Même pas une simple branlette. Je revis, là, tu vois.
Marjolaine avait la sensation enivrante que la queue de son partenaire se dilatait en elle, qu'il devenait plus long, plus épais...Il lui ouvrait la chatte, repoussait les parois de cette gaine de chair qui l'enveloppait.
— Ah putain, c'est trop bon d'être dans ton ventre...Je vais jouir...
Il y eut un premier jet de sperme, qui, à travers le latex, vint taper contre ses parois internes, et qui fit exploser en elle son premier orgasme. Il y eut un contre-balancement. A chaque jet de sperme supplémentaire, un nouvel orgasme. Elle se tordait sur lui, mais il n'était pas mieux, se retenant, parce qu'il était au garage, sans quoi il aurait sans doute hurler.
Ca avait été leur premier orgasme.
Depuis, ils en avaient partagé un paquet d'autres. Quelque chose de rapide, d'intense.
Ils ne s'étaient jamais vus à l'extérieur, et Marjo n'était pas sûre qu'elle en aurait eu envie. Elle appréciait que ce soit dans ce contexte.
Ce matin-là, elle se glissa dans son bureau. Il y avait toujours ce laps de temps d'une demi-heure qui leur permettait d'agir. Le regard de l'homme glissa sur elle comme le plus beau des compliments. Il crut bon pourtant de rajouter :
— Tu es hyper-sexy comme toujours...Tu ferais bander un mort.
Ils n'appartenaient pas au même milieu social, n'avaient sans doute pas beaucoup de points communs, mais ils se rejoignaient grâce au sexe. Pour finalement, une proximité qu'il n'avait plus, qu'il avait perdue avec sa femme.
Sans un mot, le sexe d'abord, les affaires ensuite, elle alla se pencher sur un meuble moyennement haut, sur lequel étaient empilés des dossiers. Avant de se plier en deux, elle attrapa de ses deux mains l'ourlet de sa robe et remonta celle-ci jusqu'à sa taille. La longue vitre qui limitait le bureau, mais aussi le miroir à l'opposé sur le mur renvoyaient une image ultra-excitante qui, elle le savait, agissait comme un réflexe de Pavlov sur les hommes. Mais qui l'excitait aussi, sa mouille sortant d'elle et coulant en même temps que son sexe s'ouvrait. Elle se voyait penchée en avant, le cul offert, ses fesses ouvertes par sa position, les plissements de son anus aussi visibles que sa vulve qui n'avait pas vraiment retrouvé une position de repos après Jean-Marc. Ce qui se passait avec Robert l'excitait terriblement. Avant, pendant et après.
Ce qui lui plaisait avec Robert, c'est que c'était toujours du sexe cru, à l'état pur, sans un mot de trop. Juste la recherche du plaisir et le plaisir. Il fallait croire que ça ne marchait pas trop mal entre eux, car cela faisait quasiment deux ans maintenant qu'ils partageaient un moment de sexe cinq, voire six jours par semaine. Et surtout, ce n'était toujours pareil. Ils arrivaient à chaque fois à renouveler ce moment. Il fallait dire qu'elle avait beaucoup de créativité, et d'imagination.
Elle le vit, du coin de l' oeil, récupérer un préservatif dans un tiroir et s'en gainer. Voir sa queue, même au bout de deux ans, ne la laissait pas indifférent. Il avait une belle queue, longue, dure, épaisse, et qui, quand elle était très dilatée, était impressionnante. Et avoir ça en elle...
Il vint derrière elle. Elle aimait cette position, car la queue des hommes, de la sorte, venait stimuler des zones qui lui donnaient énormément de plaisir.
Il vint jusqu'à elle, la queue enveloppée de latex et il s'arc-bouta pour que son gland vienne appuyer contre ses lèvres. Il les frotta, sans encore rentrer en elle. Lui aussi, il prenait de bonnes initiatives. C'était vraiment bon, comme ça. Elle gémit de plaisir, alors que la grosse tête, gorgée de sang, frottait ses lèvres. Puis, il commença à rentrer en elle. Dans cet angle, le plaisir était tout de suite très fort, et il la rendait rapidement folle. C'était à la fois un plaisir et un supplice. Mais pour rien au monde elle n'aurait voulu que ça s'arrête. L'orgasme qu'elle obtenait avait une force peu commune, mais les moments avant étaient...Uniques. Elle se faisait prendre dans toutes les positions possibles, mais ça n'était jamais comme ça.
Elle aurait bien aimé que son mari la prenne comme ça.
Ca faisait bien longtemps qu'il ne la prenait plus d'aucune manière.
Robert savait bien faire l'amour. Elle avait le sentiment qu'au fil du temps, il s'était amélioré, avec plus d'aisance, plus d'habileté...Elle lui avait posé la question de savoir si sa relation avec sa femme s'était améliorée. La réponse avait été dure pour le couple, flatteuse pour elle:
— Non, rien n'a changé, sinon qu'elle a quitté la maison et demandé le divorce. Je sais que j'ai de la chance de t'avoir.
Voulait-il le lui prouver en la baisant ainsi? Elle sentait l'orgasme monter en elle.
Il n'y avait que dans cette position qu'elle jouissait vite, la première, qu'elle enchaînait les orgasmes jusqu'à n'en plus pouvoir, et aussi qu'elle éjaculait, crachant des jets d'un liquide blanc qui ressemblait à du sperme, ce qui lui imposait par la suite de se nettoyer. Elle ne pouvait pas partir voir un client avec les jambes couvertes de ses sécrétions.
Et ça se passa cette fois comme les autres fois. Marjolaine commença à jouir, et enchaîna plusieurs orgasmes qui furent intenses et profonds et la transportèrent. Comme à l'accoutumée aussi, elle éjacula, des jets copieux de sécrétions épaisses qui disaient son plaisir, et qui la maculaient. Heureusement qu'elle avait mis une jupe qu'elle avait roulée à sa taille. Mais elle avait toujours une tenue de rechange.
Emportée par la force de sa jouissance, elle eut toutefois la présence de dégager la verge dilatée d'elle, elle s'accroupit, se retrouvant avec le membre, énorme, sous les yeux. Elle fit glisser sa bouche dessus, enveloppant un tiers de sa queue, les joues distendues par la taille du membre, Elle vint masser doucement ses couilles. Ce fut la question d'une paire de secondes avant que le sperme ne jaillisse en traits copieux, qui lui remplit la bouche d'un goût acre, et qu'elle laissa couler dans son gosier. Même lorsqu'il eut cessé de jouir, elle garda sa queue dans sa bouche, lapant les ultimes coulures qui sortaient de son méat.
Il y avait une petite salle de bains, attenante à son bureau où elle avait l'habitude de se rajuster et de se nettoyer. Après y être passée, elle le rejoignit pour faire le point de la journée et des jours à venir. Tout calé, elle pouvait commencer sa journée de travail.
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