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Julie, agricultrice, dodue et sexy partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/08/2025

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JULIE, AGRICULTRICE, DODUE ET SEXY
PARTIE 1

— Tu es toujours différente quand tu pars.
J'étais dans la chambre, et je remontais un bas stay-up le long de ma jambe.
— J'espère que je te fais bander?, je lui ai demandé.
En guise de réponse, il me regardait m'habiller depuis quelques minutes, il a libéré sa queue, une queue comme je les aimais, sa queue comme je l'aimais, énorme, très longue, mais aussi très large. Quand je la prenais en moi, dans ma bouche, dans ma chatte ou dans mon anus, ça n'était que du bonheur.
— Hé ben dis donc, tu as envie.
— Quand je te vois comme ça...
Mais moi aussi, voir sa queue dilatée, ça m'a donné envie.
J'étais quasiment prête, mais on pouvait faire quelque chose. J'étais en tailleur jupe, une jupe courte, je venais de gainer mes jambes de bas stay-up. Je me suis laissée glisser sur le lit, à quatre pattes, après avoir retroussé ma jupe, et descendu mon string. Il s'est approché, je le sentais plein d'envie, une envie contagieuse. On avait pourtant baisé ce matin, au lever comme très souvent. J'étais heureuse que le désir se maintienne entre nous. Il s'use souvent dans les couples.
J'ai senti que je m'ouvrais et que je commençais à mouiller, et quand son gland est rentré en contact avec mes lèvres, j'ai lâché une longue coulure de cyprine, dont j'ai senti qu'elle partait le long de sa queue. J'adorais me faire prendre comme ça, à quatre pattes, comme une chienne, sentir sa queue glisser en moi, me remplir, et ensuite bien me fouiller, dans chaque position, il y avait des sensations particulières, et j'aimais celles que me donnait cette position-là, j'avais la sensation que sa queue allait de plus en plus loin en moi, qu'elle me forait pour me remplir totalement, et ça ajoutait au plaisir d'avoir mes chairs intimes caressées.
Il se déchaînait sur moi, me fouillant bien. Il avait souvent envie de sexe, moi aussi, mais je savais que la tenue que je venais de passer l'excitait encore plus. C'était que quand je partais pour les réunions et les stages de la Confédération Régionale des Agriculteurs je m'habillais autrement qu'avec la combinaison que je portais tous les jours sur la ferme. Là, j'avais un tailleur noir avec des dessous rouges, des bas stay-up et des bottes à talon aiguille, et je le savais, j'étais sexy, plus qu'avec un bleu de travail souillé.
Moi aussi j'étais excitée. Autant parce qu'il me baisait que parce que je savais que le séjour serait placé, comme à chaque fois, sous le signe du sexe. Il y avait cette queue qui me fouillait, il y en aurait bien d'autres, et dans tous mes orifices.
Ce que j'adorais, et ça non plus je ne m'en lassais pas, c'était quand il jouissait et que son sperme venait frapper avec violence mes parois intimes. A ce moment-là, j'étais une poupée désarticulée, me tordant dans tous les sens, perdant le contrôle et à chacun de ses orgasmes faisait écho un des miens. Ce que j'aimais aussi, c'était sentir le sperme en moi, et qu'il coule hors de ma chatte. Il sortait trop vite. C'était mieux quand il me sodomisait. Ça prenait beaucoup plus de temps, et sentir la semence couler, lentement, me mettait en transes, m'excitait, me partageant entre le souvenir de ce qui venait de se passer et l'envie de recommencer.
— Il faut que j'y aille, sinon je vais être en retard, on a une réunion ce soir.
— Je me demande pourquoi tu vas à toutes les réunions..., il a maugrée en rentrant sa queue dans son pantalon.
— Ça permet de faire avancer les choses...On a obtenu des signes positifs du gouvernement.
— C'est vrai, il a reconnu.
Il est retourné traire les bêtes. Le sperme coulait encore de moi. Je ne me suis pas nettoyée. Je voulais qu'il coule encore le long de mes cuisses. Je l'épongerais après, Et puis j'aimais l'idée d'arriver à la réunion avec l'odeur, forte, du sperme sur moi, et de donner envie aux hommes que je croiserais.
Je me suis maquillée rapidement. Je me savais désirable.
Je m'étais toujours posée pas mal de questions sur moi, mon physique, mon sex-appeal...
Je venais d'une famille où on était massif, trapu, et je ne faisais pas exception à la règle. J'étais loin des canons de beauté classique, et pourtant je plaisais et j'avais plu, dès que j'avais basculé vers la féminité, aux hommes. J'avais pu identifier certains critères, je ne les connaissais pas tous. Je savais, déjà, que j'avais un joli visage, en particulier des yeux bleus et une bouche pleine et bien dessinée. Mes kilos en trop étaient aussi la garantie de mes formes opulentes, et j'avais bien compris que les hommes se fichaient que vous ayez du surpoids quand vous aviez des seins, des fesses et des hanches. Et une grosse chatte. Et quand vous portiez des tenues moulantes, soulignant vos formes, ils ne voyaient que ça. Aucun d'entre eux ne se serait plaint de vos kilos en trop. Ce qu'ils voyaient, c'étaient des seins opulents, des fesses charnues, des hanches et des cuisses bien pleines, et une chatte qui tendait les tissus qui la recouvraient, dessinée nettement quoi que vous portiez, autant de charmes avec lesquels ils avaient envie de jouer. D'ailleurs je n'avais pas qu'une grosse chatte, mais aussi un gland clitoridien et des lèvres assorties, et ça rendait les hommes fous.
Au-delà, j'avais eu envie de sexe très très tôt, comprenant vaguement, puis de manière plus nette les plaisirs infinis de certains rapprochements, un continent que l'on n'avait jamais fini d'explorer. C'était venu tout seul. J'avais commencé, comme pas mal de filles, par masturber des queues de garçons. J'y avais posé ensuite ma bouche. Je n'étais pas une fille farouche, loin de là. J'avais après, mes seins avaient grossi en un été, passant du néant à deux énormes pastèques qui n'étaient pas sans me surprendre, pensé que peut-être je pouvais prendre leur queue entre mes seins, et les caresser avec...De l'intuition, une intuition avec laquelle j'avais découvert le sexe. Les garçons m'avaient surnommé Miss Cravate de Notaire parce que j'adorais ça, et je me débrouillais bien. Ca a été une révélation, comme pour d'autres moments de sexe, que d'envelopper une première queue, puis ensuite plein d'autres, de la sentir vivre, vibrer au creux de mes seins. Mais aussi de la caresser et de faire que l'homme ait du plaisir à mon rythme, en suivant mes caresses, mes pauses...Sentir la queue grossir, se dilater, s'allonger, dans mon décolleté. Un plaisir qui se rajoutait à celui, que je connaissais depuis longtemps, depuis mes premières fellations, d'ouvrir la bouche, et d'y accueillir leur sperme. J'aimais la semence, j'aurais pu en boire des litres, son goût toujours pareil et différent en même temps selon les hommes. Et évidemment mes partenaires adoraient que je boive leur sperme, parce que pas mal de filles étaient dégoûtées par la semence...
L'étape suivante, ça avait été que j'avais eu envie de me faire pénétrer, mais j'avais très peur de tomber enceinte, même avec une double protection, pilule plus capote. Je m'étais dit que me faire prendre par le cul serait une bonne solution, là au moins pas de risques. J'avais peur que ce soit un peu serré, mais une copine plus âgée m'avait exposé clairement qu'un peu de lubrifiant sur la queue de mon partenaire et sur mon anus ferait bien passer la chose, mais aussi suggéré de me rentrer avant un anus plug qui me dilaterait bien...
J'avais eu un peu d'appréhension la première fois, Appréhension injustifiée. Je ne m'attendais pas à avoir autant de plaisir. A tel point que j'étais devenue totalement accro et que je poussais tous les garçons à me prendre par là, ils étaient ravis de l'aubaine, évidemment, tous les garçons aiment prendre les filles par le cul...Je me caressais fébrilement la chatte, ça complétait mon plaisir, mais j'étais fermement convaincue que j'aurais trois fois plus de plaisir par le cul que par la chatte, et quand j'étais seule, je me pénétrais avec des godes, mais toujours par le cul.
Il y a différents types de relations. On peut rechercher le plaisir, du plaisir avec un partenaire, ça n'a rien de dégradant, c'est déjà une complicité, et même une complicité forte, mais avec Pat, il y avait eu quelque chose de plus fort, j'avais compris qu'on allait construire quelque chose sur le long terme. J'ai craint que lui demander de me sodomiser soit un mauvais signal pour lui.
Ca a été ironique. Je me suis faite pénétrer par la chatte pour la première fois à l'âge de 24 ans. Une sorte de dépucelage, alors que ça faisait longtemps que je n'étais plus vierge par le cul. Assez ironiquement, timidement, il m'a demandé, c'était la troisième fois qu'on faisait l'amour, si ce serait envisageable qu'il mette sa queue un peu plus bas que ma chatte...
En tout cas qu'il me prenne d'une manière classique a mis en évidence que je pouvais avoir du plaisir, aussi, par la chatte, et j'ai alterné des pratiques plus classiques et des pénétrations anales qui restaient le must pour moi. Quand j'avais deux partenaires, ce qui m'était déjà arrivé plusieurs fois, le problème ne se posait pas.
Le sexe tenait une grande importance dans ma vie, et j'avais vite compris, même si je tenais énormément à mon compagnon, que la fidélité ce n'était pas pour moi. J'avais besoin d'expériences multiples, de moment multiples, de plaisirs multiples...
Là, je partais à cette réunion pour défendre les intérêts de notre profession, malmenée, mais aussi parce que je savais qu'il allait y avoir du sexe, beaucoup de sexe.
Un trajet de 120 kilomètres pour rejoindre M...On aurait une première réunion ce soir pour décider d'éventuelles mesures de rétorsion concernant les engagements du gouvernement sur la baisse ou la suppression de taxations sur le gasoil rouge. Choix, action ou pas, qui remontaient ensuite au national.
Je n'avais rien laissé au hasard. La réunion avait lieu à vingt heures, j'étais partie sur le coup de 17 heures, pour arriver à M... à 18 heures, ça allait me laisser une bonne heure trente pour retrouver ma grande copine Emilie. Entre elle et moi, il existait une complicité très forte. Celle de deux filles, mais, plus, celle de deux filles qui aimaient le sexe.
Ça faisait deux ans qu'on se connaissait. Ça s'était passé très vite. Quelques regards échangés, et on s'était retrouvées dans les toilettes, bouche à bouche, langue à langue, et la main dans la culotte de l'autre. Elle était très grande, avec des formes aussi marquées que les miennes, même si elle avait une morphologie différente, la taille plus fine que la mienne, mais avec des volumes aussi opulents. On s'entendait parfaitement, ce qui avait fait durer notre relation, avec un goût intense pour le sexe sous toutes ses formes.
Et il me tardait de la retrouver.
Il y avait quelque chose que j'avais remarqué, et qui me réjouissait plutôt: j'aimais le sexe, et plus j'aimais le sexe, plus je trouvais d'occasions sur ma route. Et évidemment plus je trouvais d'occasions sur ma route, plus j'aimais le sexe.

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Histoire de JamesB

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