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Journée bien remplie pour une femme fidèle partie 3

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 27/12/2024

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JOURNEE BIEN REMPLIE POUR UNE FEMME FIDELE

PARTIE 3

Je ne suis pas naif, vous savez. Des hommes, ma femme en voit tous les jours. C'est son métier qui veut ça. Je suis convaincu que certains lui ont des avances, mais jamais elle ne céderait à leurs demandes, car elle est fidèle.

Marjolaine termina sa deuxième bouteille d'eau en arrivant devant chez George S...Il l'avait appelée la veille pour lui demander de passer dans la journée. Il voulait offrir un véhicule à son fils pour ses vingt ans.
Elle s'était chargée d'eau. Deux litres à la file. Le premier elle avait commencé à se l'enfiler après avoir quitté son patron, dans son bureau, pendant qu'elle préparait ses dossiers et tous les papiers dont elle avait besoin. La deuxième, elle l'avait entamée dans la voiture, un quart d'heure après.
Il fallait qu'elle ait la vessie pleine. Pleine à exploser. D'ailleurs, elle sentait que ça commençait à tirer. Mais il était nécessaire qu'elle soit prête pour sa rencontre avec celui qui était un de ses meilleurs clients.
George S... était un ancien haut fonctionnaire qui avait pas mal d'argent. Il habitait une grande et belle maison à étage dans l'un des quartiers les plus récents de la ville, et c'était un gros pervers. Il était passé au garage il y avait un an de cela parce qu'il voulait changer de voiture. Il hésitait entre plusieurs modèles. Marjo était sur le coup, présente quand il était passé, et elle avait bien compris à son regard qu'elle lui plaisait. Le contraire aurait d'ailleurs été étonnant.
Il était un client d'autant plus intéressant qu'il lui avait confié vouloir renouveler sa flotte de véhicules, les deux siennes et celle de sa femme, mais aussi offrir dans les mois à venir des véhicules à ses enfants.
La deuxième rencontre, après un temps de réflexion, avait eu lieu chez lui.
George S. était plutôt bel homme, bien conservé pour ses soixante et quelques années. C'était aussi un homme intelligent, très intelligent même, cultivé, avec le sens de l'humour. Elle rencontrait des gens de toutes les classes sociales, et elle trouvait cela très enrichissant. Le tout était de savoir s'adresser à eux, et de les convaincre d'acheter sa voiture, plutôt qu'une autre, et à tel ou tel prix.
Elle savait que son charme pouvait jouer...Ou pas...Et que les bonus qu'elle pouvait proposer pouvaient convaincre...Ou pas...C'était un ensemble, sans doute.
Il y avait des personnes qu'elle appréciait plus que d'autres. Georges S. lui plaisait, sans aucun doute. Ils avaient discuté, Elle lui avait présenté les gammes de véhicules. Il avait retenu un modèle pour lui, avant d'ajouter:
— Je vous prendrai un deuxième véhicule dans trois mois pour ma femme, et ensuite d'autres véhicules.
Marjo était assise à côté de lui, et elle remarquait bien, il aurait fallu être aveugle pour ne pas le voir, qu'il bandait. Sa queue déformait son pantalon. Il fallait dire qu'elle avait tout ce qu'il fallait pour qu'il bande et que, vu comme elle était parée, ce n'était pas étonnant que ce soit le cas. Elle portait une robe noire hyper collante qui soulignait, enfin elle l'espérait, ses charmes, courte, dévoilant ses jambes gainées de nylon.
Marjo n'eut aucune hésitation à poser sa main sur son pantalon, sentant une belle queue sous le tissu, déjà bien érigée, mais encore avec des capacités d'évolution.
— Il y a toujours un bonus avec moi. Ca vous tente?
L'homme la regarda, tranquillement, avant de lui répondre:
— J'aime les jeux de pisse.
Il y a sans doute certaines filles qui auraient été surprises, horrifiées. Pas Marjo. Pour elle la sexualité était à la fois unique et multiple, elle n'avait pas de tabous, pas de barrières morales, et elle était vraiment ouverte à toutes les possibilités. A la base, il fallait sans doute aimer intensément, profondément le sexe...Ce qui était son cas.
— On va caler ça, alors.
Il ne s'attendait pas forcément à un retour aussi rapide. Marjo tendit la main vers son pantalon et mit sa queue à nu. Il avait une bonne queue, bien longue et bien dure, épaisse et noueuse. Elle le masturba doucement, donnant encore plus d'amplitude à son membre.
Marjo avait envie de faire pipi depuis qu'elle était arrivée. Elle ne lui avait pas demandé où se trouvaient les toilettes. Elle avait bien fait. Elle avait la vessie tendue par l'envie de faire pipi.
Il avait été, même s'il n'en avait rien montré, sans doute très surpris par son attitude. Que Marjo ne manifeste pas une réticence, 'Oh non, c'est horrible, c'est dégueulasse!' mais aussi qu'elle se positionne quasi immédiatement au-dessus de lui, après avoir roulé sa robe à sa taille. Il voulait du pipi, il n'allait pas être déçu.
Quand on a très envie de faire pipi, parfois, ça ne sort pas immédiatement. Ce qui se produisit. Marjo crispa son ventre...Mais rien ne sortait. Elle trouva comme solution, et ce fut une solution efficace, de faire tourner sa main sur son ventre, dans un mouvement circulaire. Un long trait de pipi émergea enfin, qui vint frapper la poitrine de l'homme. Elle inclina son bassin pour donner une orientation verticale au liquide, et arriver à sa queue, frappée de plein fouet par le jet.
Dans les minutes qui suivirent, contrôlant mieux qu'elle ne l'aurait imaginé, elle le trempa de pisse, en alternant les jets courts et d'autres plus long. Il avait eu ce qu'il voulait, si c'était ce qu'il voulait. Trempé de partout. Le corps, le visage et sa queue, qui se dilatait de plus en plus, atteignant des proportions impressionnantes, preuve que ça lui plaisait.
Et curieusement, c'était la première fois qu'elle s'adonnait à ça, mais ça lui plaisait aussi beaucoup. Elle trouvait ça excitant. Ca la troublait. Et la mouille remplaça le pipi après qu'elle se soit entièrement vidée. Elle attrapa d'urgence un préservatif pour en gainer la queue mouillée avant de s'empaler sur lui.
Deux plaisirs très forts.
Depuis, Marjo avait vendu cinq véhicules à sa famille, dont il avait payé sinon la totalité, du moins une partie. Et là, elle le rejoignait pour une sixième vente et pour du plaisir.
Elle avait de quoi assurer. Le ventre distendu.
Il était devant la maison quand elle arriva. Un homme charmant, intelligent, qui l'accueillit avec beaucoup de chaleur comme toujours. Et qui adorait les jeux de pipi.
Ils se calèrent dans le grand living qu'elle connaissait bien. En commençant par le dossier de la voiture. S'il attendait toujours d'elle des jeux érotiques très humides, ça n'empêchait pas qu'ils commencent toujours par le dossier, et que, vu l'investissement, il attendait d'elle que ce dossier soit bétonné. Il payait d'ailleurs immédiatement, et elle repartait avec un chèque.
Elle s'était posée face à lui, sur l'autre canapé, qui faisait face à celui sur lequel il était installé. Sa robe avait remonté, et elle l'avait aidée un peu. Jambes ouvertes, elle lui offrait ses jambes gainées de nylon et son absence de culotte. Il avait une vision impeccable sur son sexe , un sexe tout excité à l'idée de ce qui allait se passer. Pour s'offrir encore plus, quand il avait baissé les yeux sur le contrat, elle avait sorti un sein de son décolleté, suivi d'un deuxième quand il avait signé le chèque. Elle adorait s'exhiber.
Il avait dans son living, entre objets de décoration, un chaudron. Il venait de lui tendre le chèque quand Marjo s'était écriée:
— oh mon Dieu, j'ai trop envie de faire pipi...Je ne peux plus tenir...Je n'aurais pas du attendre autant!!!
Marjolaine avait attrapé le chaudron. C'était vrai qu'elle était vraiment au bout. Le regard de l'homme avait pris une tout autre dimension, tout brillant, quand il l'avait vue s'accroupir au-dessus du chaudron. Le moment était venu.
Elle s'efforçait de se renouveler à chaque fois. De lui donner du plaisir. Et l'envie de la revoir. En fait, elle serait même venue gratuitement, car elle aimait ces jeux. Elle avait envie de lui dire, elle ne l'avait pas encore fait, qu'elle viendrait bien le voir, juste pour des jeux de pipi. Envisageable? C'était sortir de la relation client/vendeur. Mais des liens se créaient parfois...
Elle était bloquée comme toujours quand elle avait le ventre plein. Toujours la même méthode, elle fit tourner sa main, dans un mouvement circulaire sur son ventre. Le premier jet de pipi partit malgré elle, la surprenant. Puissant, il vint frapper le cuivre du chaudron avec un bruit sec. Elle avait vraiment envie, elle s'en rendit compte, et elle lâcha avec soulagement des traits de pisse, qui vinrent, sous le regard fasciné de l'homme, remplir le chaudron d'abondance. George S. avait sorti sa queue et la frottait avec ardeur. Fascinée, Marjo regardait le morceau de chair prendre de l'ampleur, déjà érigé quand elle l'avait sorti de son pantalon, la queue, sous l'effet de l'excitation, se développait. Elle aimait le voir énorme, elle aimait voir les queues, toutes les queues, s'épaissir, jusqu'à la dilatation extrême, celle qui précède le jaillissement du sperme.
Elle aimait être accroupie ainsi, s'offrir, intégralement, le sexe ouvert, dans un acte intime, fasciner l'homme, lui donner du plaisir.
Il s'approcha, et elle savait exactement ce qui allait se passer. Il braqua sa queue sur elle. Elle se demanda s'il allait parvenir à faire pipi, alors qu'il bandait autant. La réponse, ce fut le jet de pipi qui vint la frapper, et trempa sa robe. Elle ne put s'empêcher de rire. Il balança plusieurs jets sur son corps, trempant sa robe. Elle ferma les yeux, comme pour l'inciter à lui arroser le visage, ce qu'il vint faire, giflant son visage de son jet, avant de le disperser dans ses cheveux. C'était tellement fort de partager de tels moments.
Elle se redressa et le poussa en arrière. Elle avait bien rempli le chaudron, mais elle avait suffisamment de réserves pour l'arroser lui et ainsi dire prendre sa revanche. Elle le bascula sur le canapé et entreprit de le tremper, de haut en bas. Sa queue, frémissante, et encore plus dilatée, disait son plaisir.
Elle attrapa rapidement un préservatif avant de venir s'empaler sur lui. Un plaisir plus classique mais qui ne l'était pas vraiment, car si leurs muqueuses se caressaient avec intensité, l'un comme l'autre s'interrompait, se dégageait pour arroser son partenaire avant de reprendre jusqu'à la jouissance.
C'était l'après qu'il fallait toujours gérer. Généralement, Marjo partait pour la douche, pendant que l'homme commençait à nettoyer. Il ne voulait pas mettre des bâches quand elle arrivait, estimant que plusieurs coups de serpillière permettaient d'éponger des dégâts qui étaient toujours sur des zones limitées, le sol et les canapés en cuir.
Marjo l'attendait sous la douche, se savonnant avec encore une envie de sexe dans le ventre. Malgré son âge, Gerard avait une capacité à conserver une bite bien dure. Il finissait par la rejoindre, la queue en pleine érection. Il restait toujours un peu de pipi pour qu'ils puissent s'arroser mutuellement, avant, toutes les réserves épuisées qu'ils se savonnent l'un l'autre. Marjo aimait masturber sa queue, l'enduire de savon, la sentir encore toute raide au creux de sa main tout en sachant qu'ils allaient bientôt se séparer. Elle finissait généralement la douche en faisant couler sur eux l'eau chaude qui chassait le savon et en faisant jouir son amant d'un moment. Sous le ruissellement de l'eau brûlante, elle caressait la queue dilatée de la langue et de la bouche, jusqu'à ce qu'elle sente que la jouissance approchait, et qu'elle resserre sa bouche autour du gland, pour que la sperme remplisse sa bouche et coule dans son gosier.
Marjolaine avait prévu une tenue de rechange. Une robe rouge courte et collante, elle ne changeait pas de style, avec dessous juste un soutien-gorge. Ca faisait longtemps que la culotte était devenue un accessoire inutile pour elle.
Il la raccompagna sur le pas de la porte.
Ce fut sur le seuil qu'il prononça les paroles qu'elle n'attendait plus.
— On pourrait se voir autrement que pour une vente de bagnole. Tous les matins, il n'y a personne à la maison, tu m'appelles et tu passes si tu es libre?
Cette proposition la réjouit plus qu'elle ne l'aurait imaginé.
— Je t'appelle dès que je peux. J'ai un emploi du temps bien rempli.
Elle savait que ce serait très rapide.

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Histoire de JamesB

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