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Journée bien remplie pour une femme fidèle partie 4

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 27/12/2024

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JOURNEE BIEN REMPLIE POUR UNE FEMME FIDELE
PARTIE 4
Je vais même vous dire le fond de ma pensée. Ma femme n'est absolument pas intéressée par le sexe. Elle est asexuée. Elle trouve des satisfactions ailleurs. On peut avoir beaucoup de plaisirs dans la vie sans forcément passer par le sexe.


14 heures. Il était temps de souffler.
Il y avait un petit restaurant un peu plus loin du garage, dans un mini-centre commercial. Elle y avait mangé pour la première fois deux mois plus tôt. C'était là qu'elle avait aperçu Amélia, et ça avait été le coup de foudre immédiat. Elle travaillait là, avec un associé, et elle assurait plusieurs tâches, cuisinant, servant. Marjolaine avait trente ans, Amélia deux ans de moins. Aussi blonde que Marjolaine était brune. Marjolaine était attirée par pas mal de personnes, mais ça avait rarement été, de la sorte, un tel coup de foudre. Elle avait tout aimé chez elle, sa blondeur, les traits délicats de son visage, son corps élancé et pourtant doté de formes généreuses. Ce premier jour, elle portait une ultra mini-jupe en skai avec des cuissardes, et un top ultra-moulant, sans soutien-gorge, dont un sein s'était barré un moment, quand elle s'était penchée sur un client. Si elle avait été un homme, Marjo aurait eu une érection, c'était une fille et sa chatte s'était remplie de mouille, ouverte et mise à couler. Un désir immédiat, très fort.
Elle était venue la servir. L'occasion de profiter d'elle de près, et de confirmer ou d'infirmer ce qu'elle ressentait. Elle avait été chaleureuse. Elles avaient un peu discuté, et Marjo avait été favorablement impressionnée par le fait que la jeune femme était passionnée par la cuisine. Ce qui permettait à Marjo d'avoir autant d'amants et de maîtresses, c'était qu'elle avait une audace que d'autres n'avaient pas. Elle lui avait dit:
— Vous m'attirez énormément. Il y aurait quelque chose de possible entre nous ?
Marjo ne s'attendait pas à ce qui s'était passé dans les secondes qui avaient suivi. C'était la fin du service. Marjo allait souvent manger bien après-midi, débordée par ses rendez-vous. Il n'y avait plus personne dans la salle. Il avait suffi d'une seconde pour que la jolie blonde disparaisse. Ce n'était pas de la magie. Elle s'était glissée sous la table. Marjo l'avait trouvée aussi audacieuse qu'elle, elle l'était et ça lui avait plu.
Ce jour-là elle portait un caleçon très moulant, et un string dessous. Elle mettait un sous-vêtement sous pantalon ou caleçon, jamais rien sous robe ou jupe.
Ca avait été très vite. La blonde était venue placer ses mains autour de sa taille, et tirer pour descendre le caleçon, accrochant au passage son slip.
Marjo s'était retrouvée le ventre nu. La blonde l'avait attrapée par les hanches, pendant qu'elle s'ouvrait, pour lui offrir son sexe. Elle avait finalement entamé un cunni qui était aussi un analingus comme Marjo ne risquait pas de l'oublier.
Ca faisait très longtemps, en fait qu'on ne lui avait pas fait un cunni. Les hommes ne pensaient généralement qu'à enfoncer leur queue dans les trous de leur partenaire, se souciant surtout de leur plaisir, même si Marjo était assez maline pour prendre sa part et largement tout en leur faisant croire qu'elle leur donnait tout ce qu'ils voulaient. Il y avait pas mal de temps qu'elle n'avait plus eu de relation avec une fille, et là, par contre, les cunnis, ça y avait été, des souvenirs très forts, aussi bien en réception qu'à donner.
C'était une délicieuse surprise, d'autant plus forte que la blonde était vraiment habile, ne négligeant aucune de ces parties de son anatomie qui pouvaient donner du plaisir à Marjo, dans des nuances qui la faisaient aller d'un plaisir à l'autre. Une boule de flipper qui venait faire tilt à chaque fois.
Marjo s'était totalement abandonnée, sans se soucier de qui pouvait la voir, et comprendre, si facilement. Mais, après tout, la blonde s'en fichait aussi, et royalement, alors qu'elle devait être visible sous la table, même si la nappe tombait pas.
Il y avait eu le plaisir, intense, et ensuite des orgasmes d'une rare force, accompagnés d'une bonne série d'éjaculations puissantes, dont elle avait vu l'impact quand elle était sortie de sous la table.
Elle en avait pris plein la gueule. Cheveux et visage trempés, mais ses vêtements étaient aussi bons pour être changés.
Les choses avaient pas mal évolué depuis. Marjo venait de plus en plus souvent manger, quand elle avait le temps, en fin de service. Elle l'attirait toujours autant, et lorsque tout le monde était parti, la blonde lui bouffait la chatte, avec une expertise unique. Pas forcément sous la table, elle trouvait toujours des lieux, des axes...Une réserve, un couloir, un bout d'escalier.
En même temps, Marjo était frustrée. Elle avait fini par lui dire :
— Je veux profiter de toi et ton corps.
Évidemment, Marjolaine ne s'attendait pas à ce qu'elle devait trouver, mais qui au final l'avait surprise et ravie à la fois.
Une relation comme elle en avait jamais connue avant et n'en connaîtrait plus après.
Dans une réelle harmonie, et un plaisir...Vraiment uniques.
Elles développaient leur relation différemment. Marjo s'accordait une heure pour être avec Amelia, une heure de plaisir, de sexe, et mangeait un sandwich après. Amélia elle finissait son service, faisait une pause avant de revenir deux heures après pour préparer le repas du soir.
Marjo venait d'arriver sur le parking. Il lui fallait parfois attendre cinq minutes, mais là, au moment où elle arrivait, Amélia sortait. Marjo sentit son sexe s'ouvrir et un jet de mouille sortir et tremper ses chairs. Jamais sans doute sa chatte ne s'ouvrait autant et jamais sans doute elle ne mouillait autant que quand elle voyait Amélia et quand elle était avec elle. Il y avait quelque chose d'unique dans cette relation qu'elle n'avait pas envie de perdre.
Si elle avait eu une bite, elle aurait eu une belle érection.
Mais c'était précisément le cas d'autres.
Amélia était toujours sexy. Elle portait une robe en skai à la fois courte et moulante, avec ces cuissardes dont elle avait plusieurs paires, elle ne portait quasiment que des bottes.
Elle aperçut Marjo. Un immense sourire, un petit signe de la main, elle se précipita vers le véhicule. Deux secondes plus tard, elle se glissait à la place du mort tout en posant son sac derrière. Quasi immédiatement, leurs bouches se rejoignirent pour un baiser aussi long que profond.
La suite s’enchaîna plutôt vite. Quand elle la voyait, plus qu'avec tout autre partenaire, Marjo avait envie de la toucher, de lui sauter dessus...Elle posa ses mains sur les cuisses, généreusement dévoilées par la robe qui avait évidemment remonté quand elle s'était installée et la caressa, sa chaleur remontant dans ses mains à travers le nylon.
La robe était remontée mais couvrait encore son pubis. Marjo attrapa l'ourlet et souleva la robe pour dévoiler, dessous, un string blanc entièrement transparent.
String qui n'enveloppait pas un sexe de fille, bien qu'elle en ait totalement l'apparence. Il n'y avait rien de masculin dans ce corps. Et Marjo n'était même pas sûre que cette queue soit, paradoxalement, un élément de masculinité.
En tout cas cette queue disait qu'elle avait envie. Autant que Marjo. Elle était dressée, dépassant largement du string, collée contre son ventre.
Assez ironiquement, aucun homme avec qui elle avait pu aller n'avait jamais eu aucune grosse queue.
Marjo se souvenait quand elle avait découvert que, si Amélia était une fille, elle était une fille un peu spéciale. Ca avait expliqué pourquoi Amélia allait toujours dans un sens unique.
Elles étaient dans une remise, et elle avait vraiment eu envie de retourner la situation.
Amélia portait un pantalon en simili-cuir ultra-moulant, et c'était ironique qu'elle n'ait rien remarqué. En fait, quand elle portait quelque chose de très serré, elle glissait sa queue, qui, même au repos était grosse et longue, entre ses cuisses.
Marjo avait descendu les tissus d'un seul mouvement. Dessous, elle avait une simple culotte blanche qu'elle avait tiré aussi.
La queue d'Amélia, secouée de spasmes, avait jailli d'entre ses cuisses d'où elle était calée. Vraiment surprise, Marjo avait vu le membre s'étirer sous ses yeux, prendre du volume, et volume imposant.
Elle avait eu un moment de vertige, partagée entre surprise et trouble. La surprise parce que non, elle ne s'attendait pas à ce qu'Amélia ait une queue, et le trouble parce qu'elle n'aimait rien de plus que la différence, et une fille avec une queue, c'était le summum de ce qu'elle avait pu trouver jusqu'à présent.
Cette première fois-là, il n'y eut pas vraiment de fioritures. Elle récupéra un préservatif, vint le caler sur la queue frémissante, agitée de spasmes et lui dit :
— Viens prendre ton plaisir. Tu t'es souciée jusqu'à présent du mien, c'est normal que tu en profites aussi maintenant.
Marjo s'était pliée en deux au-dessus d'une table.Amélia vint derrière elle, appuya son gland énorme contre ses lèvres et rentra en elle. Marjo eut un orgasme immédiatement. Ce n'était pas tant la pénétration qui la fit jouir que l'idée d'être baisée par une fille avec une queue, attelage surprenant. Elle éjacula et cracha du liquide autour de la queue bien dure qui était en elle et qui la fouillait. Amélia lâcha:
— Dis donc, c'est bon pour toi !
— Tu m'as reservé une bonne surprise...Je ne pensais pas que...
— C'est souvent le cas avec mes amants et mes maîtresses...La surprise de découvrir que je suis une fille avec un quelque chose en plus...Ca réveille ou éveille peut-être beaucoup de choses...Des fantasmes, des possibilités...
En disant ça, elle fouillait le sexe de Marjo, sa queue appuyait sur les zones sensibles, ultra-sensibles...Marjo ne devait pas oublier ce moment, autant parce que c'était la première fois qu'elle avait un rapport avec une fille dotée d'une queue que parce qu'elle avait joui, plusieurs fois, et éjaculé, ce qui lui arrivait rarement, arrosant leurs chairs. Amélia, elle, avait fini par jouir, crachant jet de sperme sur jet de sperme contre les parois internes de Marjo, et la faisant tressauter de plaisir.
Un premier moment qui avait vu la naissance d'une infinité d'autres moments, tous plus heureux les uns que les autres. Amélia était une fille unique, et leur relation était unique.
Marjo se pencha sur la verge d'Amélia et commença à la caresser de la langue. Amélia gémit de plaisir, et du liquide pré-sécrétif se mit à couler de son méat. Marjo éprouvait énormément de plaisir, et avait le souci qu'il en soit de même pour Amélia.
Elles étaient sur le parking, et on pouvait sans doute les voir, mais elles s'en foutaient toutes les deux. Amélia était en plein trip:
— Ah tu suces vraiment trop bien...Je vais jouir!
— Pas grave, ta queue de fille restera toujours aussi performante.
Le sperme avait rempli la bouche de Marjo, crémeux et épais, coulant en saccades.
Ca avait été quand elle avait eu la bouche vide, qu'elle avait dit:
— Moi aussi, j'ai une surprise pour toi.
Elle avait soulevé sa robe. Son sexe nu était partiellement masqué, pour la partie haute, par le cuir qui emprisonnait la queue de plastique noire et longue, verge artificielle qui contrastait avec celle qui était toujours collée contre le ventre d'Amélia, encore bien rigide malgré la jouissance. Il y avait tout un harnachement qu'elle avait fixé avant de venir chercher sa maîtresse. Une ceinture autour de la taille, des lanières pour que ça tienne mieux, une base en cuir, et donc cette queue en plastique, collée contre son ventre, prête à fonctionner.
C'était une étape supplémentaire dans leur relation.
Jusqu'à présent ça avait toujours été Amélia qui avait pénétré Marjo. Il y avait eu énormément de plaisir, mais aussi une envie qui montait chez Marjo de basculer sur autre chose. Surtout, elle sentait bien cette même envie chez Amélia, même si celle-ci ne l'explicitait pas.
Ce qui avait ralenti, voire arrêté, c'était qu'elle pensait qu'elle ne serait pas capable de pénétrer Amélia. Puis, petit à petit, cette peur s'était dissoute. Elle avait décidé de s'équiper, et, une fois les éléments achetés, elle l'avait essayé, et elle s'était rendue compte que c'était à sa portée.
— Viens, on va chez moi, comme d'hab.
Un moment particulier, unique entre elles.
Amélia habitait dans un immeuble rénové, Un appartement lumineux.
Ca se passa très vite. Entre elles, il y avait toujours peu de paroles, mais pourtant une immense complicité, qui passait par le sexe.
Marjo se laissa glisser sur l'immense divan qui était un élément central de la pièce, soulevant sa robe, offrant son attribut postiche et provisoire. Amélia s'approcha, et se dépoila. Sa robe, son string, et sa queue intacte, bien qu'elle ait joui. Il ne lui restait que son soutien-gorge qu'elle dégrafa, révélant une magnifique poitrine, bien ronde, haute, bien sûr totalement artificielle, les cicatrices en dessous le disaient clairement, mais qui n'en restait pas moins excitante.
Ce qui excitait le plus Marjo et elle était certaine que c'était pareil pour Amélia, c'était cette inversion des rôles, elle allait pénétrer sa maîtresse, et sans doute qu'Amélia attendait ça depuis longtemps, voire même depuis la première seconde.
Ce fut très simple. Amélia vint se positionner au-dessus d'Amélia, posant la pulpe de ses doigts contre le gode pour le guider vers son fondement, et se laissa descendre. Un instant, Marjo eut peur que ce ne soit pas possible, mais la tête du gode vint enfin appuyer contre la muqueuse anale et rentra avec facilité. Sans surprise bien sûr, ce n'était sans doute pas la première fois que des queues s'enfonçaient dans son anus. Le pénis artificiel disparut quasi totalement dans la muqueuse. Amélia sembla éprouver un plaisir intense à être pénétrée. Un plaisir de nature différente remplit Marjo, plaisir à voir la verge de plastique avalée, qui bien sûr ne lui donnait aucune sensation, mais le moindre mouvement, le plus infime soit-il frottait contre ses muqueuses et c'était donc très bon.
Elles furent toutes les deux prises dans ce moment, et dans leur plaisir. La queue d'Amélia était roide contre son ventre, et elle n'avait sans doute jamais été aussi grosse, disant clairement son plaisir. Elle était gorgée de sang, et ses liquides pré-sécrétifs coulaient abondamment de son méat, ruisselant sur le morceau de chair dilaté. Marjo ne put s'empêcher de tendre la main vers la verge, de l'envelopper de sa main et de la masturber. Amélia cria:
— Si tu continues, tu vas me faire jouir!
Elle prononçait le dernier mot qu'un jaillissement de sperme, des jets copieux comme toujours venaient poisser le torse de la jeune femme, et la main de Marjo. Mais, aussi comme toujours, et alors qu'elle se faisait toujours bouger sur le membre viril artificiel, sa queue restait raide, capable de traverser plusieurs orgasmes en restant toujours dure, et de cracher un sperme toujours abondant.
Amélia était en plein trip, prises entre deux sources de plaisir, le gode qui bougeait en elle et caressait sa zone anale ultra-sensible, et sa verge, inlassablement caressée par Marjo. Elle jouit encore deux fois, deux orgasmes intenses, avant que Marjo ne se dégage, n'attrape un préservatif et ne vienne s'asseoir sur la queue de chair. C'était différent de d'habitude, il fallait faire glisser la verge au-delà du socle de cuir, mais il restait suffisamment d'espace pour la faire rentrer. Andréa rentra en elle. Comme leurs corps étaient proches, la queue artificielle était collée contre son ventre. Etait-ce cette présence qui l'excitait ou une volonté de remercier Marjo pour l'avoir enfin prise? Elle fouilla Marjo comme elle ne l'avait jamais fouillée, lui arrachant un chapelet d'orgasmes qui la faisaient ruisseler et éjaculer autour de la queue. Comme souvent, comme Marjo adorait faire et Amélia aussi, elle prit la queue dans sa bouche, pour recevoir la semence, et l'avaler jusqu'à la dernière goutte.
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