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Secrétaires de mairie partie 5
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SECRETAIRES DE MAIRIE
PARTIE 5
Quelques temps plus tard...
La nuit avait pris le village. Ca et là, des lumières, celles qui éclairaient les maisons où hommes et femmes, jeunes et vieux, vivaient leur existence, vaquaient à leurs occupations, futiles ou plus graves, conscients ou pas de leur fragilité. La mairie aussi était éclairée. Deux tâches de lumière sur la façade. David D. travaillait depuis le début de soirée au discours qu'il devait prononcer le lendemain. Le président du conseil départemental lui rendait visite pour inaugurer plusieurs lieux auxquels l'entité avait participé, en particulier un city park et une nouvelle cantine scolaire.
Au fil des mois, il avait découvert les compétences de Lisa. Et pas seulement dans le domaine du sexe. Elle était ultra compétente et ultra habile pour rédiger des discours. Il lui donnait les idées et elle les mettait en forme rapidement. Encore une fois, c'était ce qu'elle avait fait. Un premier jet auquel il avait ajouté quelques modifications, elle rédigeait la deuxième version. Il l'entendit revenir de son bureau, ses talons tapant sur le sol, ce qui fit durcir sa queue. Elle portait aujourd'hui une belle robe, un tissu épais, qui lui arrivait aux chevilles, et il trouvait cela extrêmement troublant, parce que la robe masquait tout, et elle lui laissait tout à imaginer. Est-ce qu'elle était totalement nue dessous? Elle mettait toujours un soutien-gorge bien sûr, pour soutenir sa poitrine, mais, ces derniers temps, il était très surpris de constater qu'elle avait souvent un slip...Il avait eu envie de lui demander pourquoi, mais s'était abstenu. Il fallait toujours qu'il y ait une part de mystère.
Il aimait imaginer une petite culotte blanche, bien serrée, qui n'aurait couvert qu'une partie de ses fesses, rentrant dans sa raie, et s'enfonçant aussi bien dans sa moule.
Mais elle n'avait peut-être rien.
Elle fit son apparition. Toujours radieuse. Splendide. Il aurait eu beaucoup de mal à se passer de leur relation, qui avait donné un sens à son existence. Il était vraiment épris d'elle, et elle avait comblé pas mal de manques. Il aimait le lien qui s'était tissé entre eux. Lien qui passait par le sexe, mais qui était quand même et cela aurait pu sembler paradoxal, très fort.
Elle s'approcha, contourna la table, se positionnant tout près de lui. Il perçut, comme lorsqu'elle était venue précédemment, l'épaisseur et la chaleur de son corps. Rien pour le calmer, au final.
Elle posa devant lui une version dont il savait déjà, non qu'elle serait parfaite, mais qu'il ne trouverait rien à lui reprocher.
Il parcourut quand même les feuillets. Non, effectivement, absolument rien à dire.
— Alors, maintenant, j'ai droit à ma récompense, pour avoir attendu?
— Ce n'est pas toi qui va m'enlever ma robe...J'ai une surprise. Tu te souviens du stage que j'ai fait il y a trois semaines? J'ai fait connaissance de quelqu'un...On s'est très bien entendues...Suffisamment en tout cas pour se revoir...Très régulièrement...Pour faire des choses agréables ensemble. J'ai pensé que ça te plairait de la rencontrer.
Depuis quand était-elle là? Difficile de le savoir. Il y eut le crépitement des talons contre le sol, et David comprit que, si à un moment il avait pensé que c'était elle dont il entendait les talons, sa copine était là...Depuis combien de temps? Ce n'était pas vraiment important. Ce qui l'était c'était sa silhouette de rêve, qui acheva, si c'était encore possible, de faire durcir sa queue. Le temps qu'elle traverse la grande pièce, il put la regarder sous tous les angles. Une blonde somptueuse, avec des formes pleines, très grande, un corps totalement harmonieux, une chevelure d'un blond clair, de très beaux yeux bleus et un visage qui avait quelque chose d'aussi sensuel que son corps.
Elle était à la fois très différente de Lisa, elles n'avaient pas grand chose de commun, l'une brune, l'autre blonde, l'une une femme mure, l'autre beaucoup plus jeune, mais elles partageaient le même corps généreux, la même sensualité, et surtout le même appétit, évident, pour le sexe. Quelqu'un qui était averti sentait bien que l'une comme l'autre, elles vivaient en grande partie pour le plaisir, et que, sinon rien, du moins pas grand chose ne les rebutait. Elles s'étaient sans aucun doute parfaitement trouvées.
Le regard que lui jetait Lisa était d'ailleurs sans équivoque. Il l'englobait d'affection. Elles étaient d'évidence très proches.
Elle portait une simple robe noire, ultra-courte dans une matière élastiquée, qui était très proche de son corps, et de ses courbes, laissant à nu des jambes bien dessinées, pleines mais gracieuses. La robe était tellement courte qu'elle laissait voir la totalité de la jarretière du bas stay-up et même un peu de chair au-dessus. Elle avait des bottes noires, classiques, avec des talons aiguille, mais ça complétait l'ensemble, et elle était aussi désirable que Lisa.
David ne savait plus où donner de la tête.
Il avait le sentiment que, dans les minutes qui suivaient, les situations troublantes et excitantes allaient être démultipliées. Et que ça allait le mettre à rude épreuve.
— Regarde bien, lui intima Lisa. Tu regardes, mais tu ne bouges pas. Tu as droit de te tripoter la queue pour te soulager.
Et sans doute pour le pousser dans ce sens, elle le défit, sous les yeux de la blonde que la situation semblait amuser, et elle mit sa queue à nu.
--Mmmm, il a une belle queue !
D'autant plus belle qu'il avait une bonne érection, troublé par Lisa, puis par sa copine, par l'addition des deux et ce que cela semblait promettre. Elle enveloppa sa queue et se mit à le masturber très lentement. Il se demanda ce qu'elle voulait réellement: faire encore dilater sa queue pour montrer à sa copine qu'il avait réellement une belle verge, le pousser dans les extrêmes de l'excitation pour voir s'il arrivait à se maîtriser sans jouir, jouer avec lui...Sa queue se mit à suinter, un flux régulier qui ne devait pas s'arrêter, il le savait bien.
Lisa se tourna vers sa copine:
— Tu en as envie?
— Dans tous les orifices, assura Adriana.
— Au fait, elle s'appelle Adriana.
David se dire que finir ainsi sur la même sonorité, en a, était sans doute un signe de leur ressemblance.
Elle le lâcha et commença le show, dont David devinait déjà qu'il le mettrait dans tous ses états.
Et ça ne loupa pas.
Dès les premières secondes.
Lisa se tourna vers Adriana, elles ouvrirent toutes les deux la bouche, et sortirent leur langue pour les frotter l'une contre l'autre, lentement et sensuellement.
Il crut que, déjà, il allait jouir, tellement c'était troublant.
Lisa attrapa l'ourlet de la robe hyper-courte, et la souleva, l'amenant jusqu'à la taille de la jeune femme. Elle la laissa à sa taille. Pourtant David avait aussi envie de voir ses seins. Il ne fut pas déçu dans les secondes qui suivirent.
Les mains de Lisa accrochées aux fesses d'Adriana, les deux femmes continuèrent leur travail de langue, avant que Lisa ne fasse tourner Adriana, qui se laissait guider, vers elle, lui présentant, un peu comme l'aurait fait un maquignon, le ventre de sa partenaire. Le creux du nombril, et la pente du pubis qui amenait vers l'ouverture du sexe. David apprécia de voir sa toison blonde, qui faisait écho à celle brune de Lisa, il n'aimait pas les sexes glabres, et la manière donc son sexe avait commencé à s'entrouvrir et dont ses lèvres, sorties d'elle, gonflaient et s'allongeait.
Lisa la retourna, et lui présenta sa croupe, bien charnue, coupée en deux par un sillon profond. Elle appuya au centre de ses fesses, pour les écarter et révéler sa muqueuse anale. Une manière de lui promettre qu'il pourrait enfoncer sa queue dedans?
Adriana se laissa retourner...Lisa remonta la robe plus haut, dévoilant une paire de seins nus sous la robe, pleins et fermes.
Et puis elle se mit à la caresser, et David se dit qu'il allait se jouir dessus. Elle amena sa bouche sur ses seins et elle commença à lui sucer un téton. Dans un même temps, elle vint à l'entrée de son sexe, et elle caressa ses lèvres, sans se glisser en elle. David les vit nettement gonfler, se remplir de sang et s'allonger, tout comme il vit, quand elle passa d'un sein à l'autre, un téton durci, tout long. Sa mouille, jusqu'alors absente, commença à couler, liquide huileux qui se répandit sur ses chairs, et trempa la main de sa maîtresse, et qui ne devait plus cesser de couler.
Sans pudeur, même si c'était un geste intime, David se mit à caresser sa queue. Une manière de soulager la tension qui l'habitait. Ce show le mettait dans tous les états. Sans aucun doute, les filles en étaient bien conscientes.
Lisa relâcha sa pression sur sa partenaire, tétons pointant et sexe ouvert, pour lui laisser prendre la main. Sa copine, avec une complicité évidente à chaque seconde, se pencha pour attraper l'ourlet de la robe qui lui arrivait aux chevilles. Tout ce qu'on voyait, c'était une paire de bottines lacées, noires, avec des talons aiguille, que David trouvait vraiment sexy. Et pour le reste... Il allait le découvrir après l'avoir imaginé toute la journée.
Ce qu'il découvrit en premier, enveloppant ses superbes jambes, ce fut du nylon. Il ne fut pas surpris. Elle avait rarement les jambes nues. Bas ou collants, c'était un parement infiniment troublant.
Adriana remonta la robe très lentement. D'une main. De l'autre, elle caressa les jambes, comme David aimait et comme il aurait aimé le faire.
Il aurait aimé toucher Adriana pendant qu'elle remontait la robe, glisser ses doigts au fond de sa fente, venir à la rencontre du sexe ouvert et humidifié, Mais ce n'était pas la consigne. Il se sentait frustré, pourtant il tirait de l'excitation de cette frustration. La verge tendue à l'extrême.
C'étaient bien des bas, la bande élastiquée le dit clairement quand la jeune femme arriva à mi-cuisses.
La surprise était plus haut. David éprouva une profonde satisfaction de découvrir qu'elle avait effectivement un slip sous sa robe. Pas tellement pour le fait d'avoir raison, mais parce qu'il y voyait la preuve qu'il y avait entre eux un lien, quelque chose qui tenait de l'intuition, de la télépathie, du non-dit et qui prouvait leur proximité.
C'était aussi excitant de la voir avec une petite culotte que cul nu. Une simple culotte en coton qui collait étroitement à ses parties intimes, soulignant bien le renflement de son sexe, et la fente qui s'ouvrait au milieu, en s'enfonçant dedans, Le tissu était sombre autour de la fente, d'une humidité sans doute récente.
Adriana la retourna, présentant ses fesses, couvertes partiellement par le coton qui là aussi s'enfonçait dans le sillon.
Elle la retourna à nouveau et la robe continua son chemin vers le haut. A sa grande surprise, il constata qu'à l'inverse, elle n'avait pas de soutien-gorge, sans doute parce qu'elle estimait que la robe maintenait bien ses seins, qui jaillirent à l'air libre.
Il espérait que l'une des deux femmes lui proposerait de venir enlever la petite culotte, l'humidité prenant de plus en plus de place sur le tissu. Mais, sans doute pour le tourmenter et le frustrer au maximum, les deux filles se débrouillèrent entre elles. Adriana s'agenouilla devant sa copine et descendit la petite culotte, dévoilant le sexe nu de Lisa, dont l'état disait l'excitation. Elle jeta le slip à David qui le rattrapa et l'examina, pendant qu'Adriana, comme elle l'avait déjà fait bien des fois, se mit à caresser et à fouiller la vulve de celle qui était devenue sa meilleure copine, qui se cambra et gémit. Jamais elle ne se lasserait d'être fouillée ainsi. Adriana la caressait tellement bien de la langue. Mieux qu'aucune fille avant. Et elle s'efforçait de lui donner autant de plaisir en retour.
David avait un œil sur elles, un autre œil sur le slip qu'il examinait...Oui, une simple culotte en coton...Ultra simple, et ultra troublante. Les sécrétions vaginales avaient trempé une grande partie de la face de la culotte ainsi que l'entrejambes. Il planta son nez dans le tissu. Un parfum enivrant, qu'il aurait pu respirer pendant des heures.
Mais les filles étaient ailleurs. Lisa se redressa, et écarta les feuillets enfin validés de la surface de la surface du bureau. La surface vierge s'offrait.
Avaient-elles calculé où s'agissait-il d'improvisation? Difficile de le savoir. Elles montèrent sur la table, et elles se disposèrent devant lui, à quatre pattes, lui offrant ce qu'elles avaient de plus intime. Dans une position où elles s'offraient totalement, par leur corps, mais aussi le regard qu'elles lui jetaient, l'une et l'autre, accompagné d'un sourire. Différentes, et pourtant semblables. Croupes charnues ouvertes sur les plissements anaux, un peu plus bas leurs vulves gonflées d'excitation, huilées par les liquides intimes qui sortaient d'elles.
— Tu vas lécher nos chattes...Quand on te le dira, et pas avant, tu pourras venir en nous. Avec capote, on est bien d'accord.
Tous les moments avec Lisa étaient enivrants. Celui-là, avec Lisa et sa meilleure copine l'était sans doute plus que d'autres.
David vint poser la pointe de sa langue tout en haut de la raie d'Adriana, là où elle s'amorçait. Comme Lisa l'avait fait sur elle, il appuya sur ses fesses, ce qui lui permit de bien planter sa langue au fond du sillon et de descendre sur cette zone ultra-sensible. Avant même que David n'ait atteint son anus, elle gémissait déjà de plaisir. Il glissa et traversa la muqueuse, allant jusqu'au bout du sillon, revint sur son point de départ, et exerça la même caresse plusieurs fois, ignorant toujours son anus. Elle sentait bien que la jeune femme se liquéfiait.
Un léger recul lui permit de recalculer la situation. Les deux femmes se masturbaient mutuellement, chacune avec la main contre ou dans le sexe de l'autre, démultipliant leur plaisir et permettant aussi à l'autre d'attendre, parce que, malheureusement, il ne pouvait s'occuper que de l'une d'entre elles. Il se dit qu'il fallait mieux fractionner ce qu'il faisait. Elles étaient deux, c'était une évidence. Il glissa directement sur la muqueuse anale de Lisa, la caressant et la rendant élastique de la pointe de sa langue. Lisa gémit de tout son plaisir. Il revint sur Adriana, caressa la sienne, prenant suffisamment de temps pour leur donner du plaisir, mais sans s'attarder. Il les fouilla bien, les travailla bien, avant de glisser jusqu'à leurs sexes, béants. Il y mit toute son énergie, avec une autre approche pour ces chairs déjà béantes, même si leurs muqueuses anales s'étaient entrouvertes sous la caresse, laissant déjà penser à une éventuelle pénétration.
Sa queue frémissait de désir. Il avait envie de se glisser dans leurs chairs, de les sentir autour de lui.
David était au bout de son envie, les deux femmes s'en étaient-elles rendues compte, quand Lisa lui dit :
— Viens en nous, et fouille nous bien.
Il alla chercher dans un tiroir une de ces boites de préservatifs dont il était devenu un grand consommateur, depuis que sa relation avec Lisa avait débuté. Il s'en gaina, la queue dilatée à éclater. Il n'avait plus qu'une envie, les pénétrer. Il remarqua qu'elles s'étaient déplacées sur la table, et glissa sur la surface de celle-ci pour les rejoindre.
A ce moment, il en eut bien conscience, ils n'étaient tous les trois qu'une envie, quelque chose d'animal, pour ne pas dire bestial, mais c'était bien ainsi. C'était beau de se laisser aller à ses envies.
Calé sur la table, comme elles (un instant, il se dit qu'il fallait espérer qu'elle ne s'effondre pas...) il s'approcha d'Adriana, qui attendait comme sa bonne copine, les deux femmes s'embrassant avec ardeur. Quand Lisa comprit qu'il pénétrerait Adriana la première, elle recula et glissa près de lui.
— Je vais t'aider, des fois que tu ne parviendrais pas à bien rentrer elle, proposa-t-elle avec hypocrisie. Tu crois qu'elle est assez dure?
Sa queue était tendue à craquer, jamais elle n'avait été aussi grosse, mais c'était juste un prétexte. Elle le frotta de la langue et de la bouche. La présence du condom rajoutait un plaisir supplémentaire. Un instant, David se relâcha, et balança un trait de sperme, qui vint souiller de blanc le réservoir du préservatif.
— Ce n'est pas le moment de jouir...Tu jouiras quand tu nous auras bien fouillées et que nous, on aura joui.
La queue de David était toute proche de la vulve d'Adriana. Lisa frotta le gland contre les lèvres gorgées de sang. Adriana se mit à crier. David pria en son for intérieur qu'il n'y ait personne dans le bâtiment. Certains administrés, en effet, sachant qu'il travaillait tard, passaient parfois pour parler avec lui.
La main de Lisa sur sa hanche fut comme un signe. Il commença à pousser pour rentrer dans le sexe d'Adriana. Tous les deux, ils regardèrent avec une fascination commune, la fascination que l'on pouvait avoir pour tout ce qui concernait le sexe, la queue dilatée à l'extrême de David glisser dans la vulve tout aussi dilatée, jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un ou deux centimètres à l'extérieur. Adriana s'était cambrée. Yeux clos, elle lâcha un profond soupir.
--Comment on peut vivre sans une queue dans le ventre?
Sous l' oeil attentif de Lisa, qui n'en perdait pas une miette, David se mit à aller et venir dans le sexe de la jeune femme. La verge s'enfonçait, disparaissait, puis réapparaissait.
Lisa ne tenait pas à rester passive, et première d'une série, lorsque la verge énorme revint vers l'arrière, elle la dégagea. Le latex était trempé par les liquides intimes d'Adriana, qui dégoulinaient autour du plastique. Elle prit la queue dans sa bouche, la glissa dans sa bouche d'un tiers, faisant aller et venir celle-ci dessus, avant de la rentrer à nouveau dans sa vulve. Le même schéma, répété plusieurs fois, avant qu'elle ne vienne se caler contre Adriana.
Le schéma inverse ne se mit pas en place. Adriana resta collée contre Lisa, et David fouilla un moment la MILF, allant et venant dans la vulve chaude et caressante, avant de sortir d'elle, et de pénétrer à nouveau Adriana. Il la travailla de sa queue distendue, puis revint dans le ventre de Lisa.
Le temps dissous, les trois partenaires étaient uniquement dans le plaisir, un plaisir intense qui dériva quand Lisa dit :
— Encule-nous. C'est ce qu'on veut. Maintenant.
Cela faisait des années que David n'avait pas sodomisé de fille avant que Lisa ne le guide vers cette pratique qu'elle adorait beaucoup, selon son propre aveu. Ca s'était fait naturellement, empalée sur lui, elle avait attrapé sa queue dure, et l'avait posée contre sa muqueuse anale. L'espace un instant il avait eu peur de lui faire mal, mais il était rentré dans son rectum aussi facilement que, quelques minutes plus tôt, il avait glissé dans son vagin. Elle s'était faite bouger sur lui, une fois la queue fichée en elle, avec un plaisir qui semblait réservé aux moments de sodomie. Un plaisir fort.
David se demanda si Adriana aimait elle aussi se faire sodomiser, et s'il pouvait la pénétrer sans problème. Raison qui le poussa à se déporter vers elle. Il posa son gland énorme contre la muqueuse anale resserrée, en se demandant comment il allait pouvoir rentrer en elle. Puis il se dit, que, pas plus pour Lisa que pour elle, la question ne méritait sans doute d'être posée, et il appuya.
Ca passa comme une lettre à la poste, et il se retrouva engagé quasiment jusqu'à la garde dans le rectum de la jeune femme. Il la fouilla, la main de Lisa était venue, comme au début, la masturber, avant de se retirer et d'aller dans ce canal anal qu'il connaissait déjà, celui de la MILF dont il était plus épris qu'il ne se le serait avoué.
Il y eut un moment, au bout de ce long chemin, où il devint évident qu'ils allaient jouir. La fin d'un processus, d'un long moment de plaisir, mais aussi la promesse de quelque chose d'encore plus fort, plus intense, et l'évidence pour les trois qu'à moment exceptionnel, correspondait un orgasme exceptionnel. Les deux filles jouirent quasiment au même moment, le corps secoué de spasmes, éjaculant des quantités de liquide impressionnantes, David se dit, une fois de plus qu'il faudrait passer un bon coup de serpillière, lui-même, pour effacer les traces, il ne tenait pas à ce que la femme de ménage trouve des flaques de cyprine partout le lendemain matin, avant de commencer à jouir dans l'intimité d'Adriana.
Au moment de se séparer, quelques instants plus tard, Lisa lui souffla :
— Elle est en congé, elle est là pour quinze jours!
Ca promettait de bons moments.
PARTIE 5
Quelques temps plus tard...
La nuit avait pris le village. Ca et là, des lumières, celles qui éclairaient les maisons où hommes et femmes, jeunes et vieux, vivaient leur existence, vaquaient à leurs occupations, futiles ou plus graves, conscients ou pas de leur fragilité. La mairie aussi était éclairée. Deux tâches de lumière sur la façade. David D. travaillait depuis le début de soirée au discours qu'il devait prononcer le lendemain. Le président du conseil départemental lui rendait visite pour inaugurer plusieurs lieux auxquels l'entité avait participé, en particulier un city park et une nouvelle cantine scolaire.
Au fil des mois, il avait découvert les compétences de Lisa. Et pas seulement dans le domaine du sexe. Elle était ultra compétente et ultra habile pour rédiger des discours. Il lui donnait les idées et elle les mettait en forme rapidement. Encore une fois, c'était ce qu'elle avait fait. Un premier jet auquel il avait ajouté quelques modifications, elle rédigeait la deuxième version. Il l'entendit revenir de son bureau, ses talons tapant sur le sol, ce qui fit durcir sa queue. Elle portait aujourd'hui une belle robe, un tissu épais, qui lui arrivait aux chevilles, et il trouvait cela extrêmement troublant, parce que la robe masquait tout, et elle lui laissait tout à imaginer. Est-ce qu'elle était totalement nue dessous? Elle mettait toujours un soutien-gorge bien sûr, pour soutenir sa poitrine, mais, ces derniers temps, il était très surpris de constater qu'elle avait souvent un slip...Il avait eu envie de lui demander pourquoi, mais s'était abstenu. Il fallait toujours qu'il y ait une part de mystère.
Il aimait imaginer une petite culotte blanche, bien serrée, qui n'aurait couvert qu'une partie de ses fesses, rentrant dans sa raie, et s'enfonçant aussi bien dans sa moule.
Mais elle n'avait peut-être rien.
Elle fit son apparition. Toujours radieuse. Splendide. Il aurait eu beaucoup de mal à se passer de leur relation, qui avait donné un sens à son existence. Il était vraiment épris d'elle, et elle avait comblé pas mal de manques. Il aimait le lien qui s'était tissé entre eux. Lien qui passait par le sexe, mais qui était quand même et cela aurait pu sembler paradoxal, très fort.
Elle s'approcha, contourna la table, se positionnant tout près de lui. Il perçut, comme lorsqu'elle était venue précédemment, l'épaisseur et la chaleur de son corps. Rien pour le calmer, au final.
Elle posa devant lui une version dont il savait déjà, non qu'elle serait parfaite, mais qu'il ne trouverait rien à lui reprocher.
Il parcourut quand même les feuillets. Non, effectivement, absolument rien à dire.
— Alors, maintenant, j'ai droit à ma récompense, pour avoir attendu?
— Ce n'est pas toi qui va m'enlever ma robe...J'ai une surprise. Tu te souviens du stage que j'ai fait il y a trois semaines? J'ai fait connaissance de quelqu'un...On s'est très bien entendues...Suffisamment en tout cas pour se revoir...Très régulièrement...Pour faire des choses agréables ensemble. J'ai pensé que ça te plairait de la rencontrer.
Depuis quand était-elle là? Difficile de le savoir. Il y eut le crépitement des talons contre le sol, et David comprit que, si à un moment il avait pensé que c'était elle dont il entendait les talons, sa copine était là...Depuis combien de temps? Ce n'était pas vraiment important. Ce qui l'était c'était sa silhouette de rêve, qui acheva, si c'était encore possible, de faire durcir sa queue. Le temps qu'elle traverse la grande pièce, il put la regarder sous tous les angles. Une blonde somptueuse, avec des formes pleines, très grande, un corps totalement harmonieux, une chevelure d'un blond clair, de très beaux yeux bleus et un visage qui avait quelque chose d'aussi sensuel que son corps.
Elle était à la fois très différente de Lisa, elles n'avaient pas grand chose de commun, l'une brune, l'autre blonde, l'une une femme mure, l'autre beaucoup plus jeune, mais elles partageaient le même corps généreux, la même sensualité, et surtout le même appétit, évident, pour le sexe. Quelqu'un qui était averti sentait bien que l'une comme l'autre, elles vivaient en grande partie pour le plaisir, et que, sinon rien, du moins pas grand chose ne les rebutait. Elles s'étaient sans aucun doute parfaitement trouvées.
Le regard que lui jetait Lisa était d'ailleurs sans équivoque. Il l'englobait d'affection. Elles étaient d'évidence très proches.
Elle portait une simple robe noire, ultra-courte dans une matière élastiquée, qui était très proche de son corps, et de ses courbes, laissant à nu des jambes bien dessinées, pleines mais gracieuses. La robe était tellement courte qu'elle laissait voir la totalité de la jarretière du bas stay-up et même un peu de chair au-dessus. Elle avait des bottes noires, classiques, avec des talons aiguille, mais ça complétait l'ensemble, et elle était aussi désirable que Lisa.
David ne savait plus où donner de la tête.
Il avait le sentiment que, dans les minutes qui suivaient, les situations troublantes et excitantes allaient être démultipliées. Et que ça allait le mettre à rude épreuve.
— Regarde bien, lui intima Lisa. Tu regardes, mais tu ne bouges pas. Tu as droit de te tripoter la queue pour te soulager.
Et sans doute pour le pousser dans ce sens, elle le défit, sous les yeux de la blonde que la situation semblait amuser, et elle mit sa queue à nu.
--Mmmm, il a une belle queue !
D'autant plus belle qu'il avait une bonne érection, troublé par Lisa, puis par sa copine, par l'addition des deux et ce que cela semblait promettre. Elle enveloppa sa queue et se mit à le masturber très lentement. Il se demanda ce qu'elle voulait réellement: faire encore dilater sa queue pour montrer à sa copine qu'il avait réellement une belle verge, le pousser dans les extrêmes de l'excitation pour voir s'il arrivait à se maîtriser sans jouir, jouer avec lui...Sa queue se mit à suinter, un flux régulier qui ne devait pas s'arrêter, il le savait bien.
Lisa se tourna vers sa copine:
— Tu en as envie?
— Dans tous les orifices, assura Adriana.
— Au fait, elle s'appelle Adriana.
David se dire que finir ainsi sur la même sonorité, en a, était sans doute un signe de leur ressemblance.
Elle le lâcha et commença le show, dont David devinait déjà qu'il le mettrait dans tous ses états.
Et ça ne loupa pas.
Dès les premières secondes.
Lisa se tourna vers Adriana, elles ouvrirent toutes les deux la bouche, et sortirent leur langue pour les frotter l'une contre l'autre, lentement et sensuellement.
Il crut que, déjà, il allait jouir, tellement c'était troublant.
Lisa attrapa l'ourlet de la robe hyper-courte, et la souleva, l'amenant jusqu'à la taille de la jeune femme. Elle la laissa à sa taille. Pourtant David avait aussi envie de voir ses seins. Il ne fut pas déçu dans les secondes qui suivirent.
Les mains de Lisa accrochées aux fesses d'Adriana, les deux femmes continuèrent leur travail de langue, avant que Lisa ne fasse tourner Adriana, qui se laissait guider, vers elle, lui présentant, un peu comme l'aurait fait un maquignon, le ventre de sa partenaire. Le creux du nombril, et la pente du pubis qui amenait vers l'ouverture du sexe. David apprécia de voir sa toison blonde, qui faisait écho à celle brune de Lisa, il n'aimait pas les sexes glabres, et la manière donc son sexe avait commencé à s'entrouvrir et dont ses lèvres, sorties d'elle, gonflaient et s'allongeait.
Lisa la retourna, et lui présenta sa croupe, bien charnue, coupée en deux par un sillon profond. Elle appuya au centre de ses fesses, pour les écarter et révéler sa muqueuse anale. Une manière de lui promettre qu'il pourrait enfoncer sa queue dedans?
Adriana se laissa retourner...Lisa remonta la robe plus haut, dévoilant une paire de seins nus sous la robe, pleins et fermes.
Et puis elle se mit à la caresser, et David se dit qu'il allait se jouir dessus. Elle amena sa bouche sur ses seins et elle commença à lui sucer un téton. Dans un même temps, elle vint à l'entrée de son sexe, et elle caressa ses lèvres, sans se glisser en elle. David les vit nettement gonfler, se remplir de sang et s'allonger, tout comme il vit, quand elle passa d'un sein à l'autre, un téton durci, tout long. Sa mouille, jusqu'alors absente, commença à couler, liquide huileux qui se répandit sur ses chairs, et trempa la main de sa maîtresse, et qui ne devait plus cesser de couler.
Sans pudeur, même si c'était un geste intime, David se mit à caresser sa queue. Une manière de soulager la tension qui l'habitait. Ce show le mettait dans tous les états. Sans aucun doute, les filles en étaient bien conscientes.
Lisa relâcha sa pression sur sa partenaire, tétons pointant et sexe ouvert, pour lui laisser prendre la main. Sa copine, avec une complicité évidente à chaque seconde, se pencha pour attraper l'ourlet de la robe qui lui arrivait aux chevilles. Tout ce qu'on voyait, c'était une paire de bottines lacées, noires, avec des talons aiguille, que David trouvait vraiment sexy. Et pour le reste... Il allait le découvrir après l'avoir imaginé toute la journée.
Ce qu'il découvrit en premier, enveloppant ses superbes jambes, ce fut du nylon. Il ne fut pas surpris. Elle avait rarement les jambes nues. Bas ou collants, c'était un parement infiniment troublant.
Adriana remonta la robe très lentement. D'une main. De l'autre, elle caressa les jambes, comme David aimait et comme il aurait aimé le faire.
Il aurait aimé toucher Adriana pendant qu'elle remontait la robe, glisser ses doigts au fond de sa fente, venir à la rencontre du sexe ouvert et humidifié, Mais ce n'était pas la consigne. Il se sentait frustré, pourtant il tirait de l'excitation de cette frustration. La verge tendue à l'extrême.
C'étaient bien des bas, la bande élastiquée le dit clairement quand la jeune femme arriva à mi-cuisses.
La surprise était plus haut. David éprouva une profonde satisfaction de découvrir qu'elle avait effectivement un slip sous sa robe. Pas tellement pour le fait d'avoir raison, mais parce qu'il y voyait la preuve qu'il y avait entre eux un lien, quelque chose qui tenait de l'intuition, de la télépathie, du non-dit et qui prouvait leur proximité.
C'était aussi excitant de la voir avec une petite culotte que cul nu. Une simple culotte en coton qui collait étroitement à ses parties intimes, soulignant bien le renflement de son sexe, et la fente qui s'ouvrait au milieu, en s'enfonçant dedans, Le tissu était sombre autour de la fente, d'une humidité sans doute récente.
Adriana la retourna, présentant ses fesses, couvertes partiellement par le coton qui là aussi s'enfonçait dans le sillon.
Elle la retourna à nouveau et la robe continua son chemin vers le haut. A sa grande surprise, il constata qu'à l'inverse, elle n'avait pas de soutien-gorge, sans doute parce qu'elle estimait que la robe maintenait bien ses seins, qui jaillirent à l'air libre.
Il espérait que l'une des deux femmes lui proposerait de venir enlever la petite culotte, l'humidité prenant de plus en plus de place sur le tissu. Mais, sans doute pour le tourmenter et le frustrer au maximum, les deux filles se débrouillèrent entre elles. Adriana s'agenouilla devant sa copine et descendit la petite culotte, dévoilant le sexe nu de Lisa, dont l'état disait l'excitation. Elle jeta le slip à David qui le rattrapa et l'examina, pendant qu'Adriana, comme elle l'avait déjà fait bien des fois, se mit à caresser et à fouiller la vulve de celle qui était devenue sa meilleure copine, qui se cambra et gémit. Jamais elle ne se lasserait d'être fouillée ainsi. Adriana la caressait tellement bien de la langue. Mieux qu'aucune fille avant. Et elle s'efforçait de lui donner autant de plaisir en retour.
David avait un œil sur elles, un autre œil sur le slip qu'il examinait...Oui, une simple culotte en coton...Ultra simple, et ultra troublante. Les sécrétions vaginales avaient trempé une grande partie de la face de la culotte ainsi que l'entrejambes. Il planta son nez dans le tissu. Un parfum enivrant, qu'il aurait pu respirer pendant des heures.
Mais les filles étaient ailleurs. Lisa se redressa, et écarta les feuillets enfin validés de la surface de la surface du bureau. La surface vierge s'offrait.
Avaient-elles calculé où s'agissait-il d'improvisation? Difficile de le savoir. Elles montèrent sur la table, et elles se disposèrent devant lui, à quatre pattes, lui offrant ce qu'elles avaient de plus intime. Dans une position où elles s'offraient totalement, par leur corps, mais aussi le regard qu'elles lui jetaient, l'une et l'autre, accompagné d'un sourire. Différentes, et pourtant semblables. Croupes charnues ouvertes sur les plissements anaux, un peu plus bas leurs vulves gonflées d'excitation, huilées par les liquides intimes qui sortaient d'elles.
— Tu vas lécher nos chattes...Quand on te le dira, et pas avant, tu pourras venir en nous. Avec capote, on est bien d'accord.
Tous les moments avec Lisa étaient enivrants. Celui-là, avec Lisa et sa meilleure copine l'était sans doute plus que d'autres.
David vint poser la pointe de sa langue tout en haut de la raie d'Adriana, là où elle s'amorçait. Comme Lisa l'avait fait sur elle, il appuya sur ses fesses, ce qui lui permit de bien planter sa langue au fond du sillon et de descendre sur cette zone ultra-sensible. Avant même que David n'ait atteint son anus, elle gémissait déjà de plaisir. Il glissa et traversa la muqueuse, allant jusqu'au bout du sillon, revint sur son point de départ, et exerça la même caresse plusieurs fois, ignorant toujours son anus. Elle sentait bien que la jeune femme se liquéfiait.
Un léger recul lui permit de recalculer la situation. Les deux femmes se masturbaient mutuellement, chacune avec la main contre ou dans le sexe de l'autre, démultipliant leur plaisir et permettant aussi à l'autre d'attendre, parce que, malheureusement, il ne pouvait s'occuper que de l'une d'entre elles. Il se dit qu'il fallait mieux fractionner ce qu'il faisait. Elles étaient deux, c'était une évidence. Il glissa directement sur la muqueuse anale de Lisa, la caressant et la rendant élastique de la pointe de sa langue. Lisa gémit de tout son plaisir. Il revint sur Adriana, caressa la sienne, prenant suffisamment de temps pour leur donner du plaisir, mais sans s'attarder. Il les fouilla bien, les travailla bien, avant de glisser jusqu'à leurs sexes, béants. Il y mit toute son énergie, avec une autre approche pour ces chairs déjà béantes, même si leurs muqueuses anales s'étaient entrouvertes sous la caresse, laissant déjà penser à une éventuelle pénétration.
Sa queue frémissait de désir. Il avait envie de se glisser dans leurs chairs, de les sentir autour de lui.
David était au bout de son envie, les deux femmes s'en étaient-elles rendues compte, quand Lisa lui dit :
— Viens en nous, et fouille nous bien.
Il alla chercher dans un tiroir une de ces boites de préservatifs dont il était devenu un grand consommateur, depuis que sa relation avec Lisa avait débuté. Il s'en gaina, la queue dilatée à éclater. Il n'avait plus qu'une envie, les pénétrer. Il remarqua qu'elles s'étaient déplacées sur la table, et glissa sur la surface de celle-ci pour les rejoindre.
A ce moment, il en eut bien conscience, ils n'étaient tous les trois qu'une envie, quelque chose d'animal, pour ne pas dire bestial, mais c'était bien ainsi. C'était beau de se laisser aller à ses envies.
Calé sur la table, comme elles (un instant, il se dit qu'il fallait espérer qu'elle ne s'effondre pas...) il s'approcha d'Adriana, qui attendait comme sa bonne copine, les deux femmes s'embrassant avec ardeur. Quand Lisa comprit qu'il pénétrerait Adriana la première, elle recula et glissa près de lui.
— Je vais t'aider, des fois que tu ne parviendrais pas à bien rentrer elle, proposa-t-elle avec hypocrisie. Tu crois qu'elle est assez dure?
Sa queue était tendue à craquer, jamais elle n'avait été aussi grosse, mais c'était juste un prétexte. Elle le frotta de la langue et de la bouche. La présence du condom rajoutait un plaisir supplémentaire. Un instant, David se relâcha, et balança un trait de sperme, qui vint souiller de blanc le réservoir du préservatif.
— Ce n'est pas le moment de jouir...Tu jouiras quand tu nous auras bien fouillées et que nous, on aura joui.
La queue de David était toute proche de la vulve d'Adriana. Lisa frotta le gland contre les lèvres gorgées de sang. Adriana se mit à crier. David pria en son for intérieur qu'il n'y ait personne dans le bâtiment. Certains administrés, en effet, sachant qu'il travaillait tard, passaient parfois pour parler avec lui.
La main de Lisa sur sa hanche fut comme un signe. Il commença à pousser pour rentrer dans le sexe d'Adriana. Tous les deux, ils regardèrent avec une fascination commune, la fascination que l'on pouvait avoir pour tout ce qui concernait le sexe, la queue dilatée à l'extrême de David glisser dans la vulve tout aussi dilatée, jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un ou deux centimètres à l'extérieur. Adriana s'était cambrée. Yeux clos, elle lâcha un profond soupir.
--Comment on peut vivre sans une queue dans le ventre?
Sous l' oeil attentif de Lisa, qui n'en perdait pas une miette, David se mit à aller et venir dans le sexe de la jeune femme. La verge s'enfonçait, disparaissait, puis réapparaissait.
Lisa ne tenait pas à rester passive, et première d'une série, lorsque la verge énorme revint vers l'arrière, elle la dégagea. Le latex était trempé par les liquides intimes d'Adriana, qui dégoulinaient autour du plastique. Elle prit la queue dans sa bouche, la glissa dans sa bouche d'un tiers, faisant aller et venir celle-ci dessus, avant de la rentrer à nouveau dans sa vulve. Le même schéma, répété plusieurs fois, avant qu'elle ne vienne se caler contre Adriana.
Le schéma inverse ne se mit pas en place. Adriana resta collée contre Lisa, et David fouilla un moment la MILF, allant et venant dans la vulve chaude et caressante, avant de sortir d'elle, et de pénétrer à nouveau Adriana. Il la travailla de sa queue distendue, puis revint dans le ventre de Lisa.
Le temps dissous, les trois partenaires étaient uniquement dans le plaisir, un plaisir intense qui dériva quand Lisa dit :
— Encule-nous. C'est ce qu'on veut. Maintenant.
Cela faisait des années que David n'avait pas sodomisé de fille avant que Lisa ne le guide vers cette pratique qu'elle adorait beaucoup, selon son propre aveu. Ca s'était fait naturellement, empalée sur lui, elle avait attrapé sa queue dure, et l'avait posée contre sa muqueuse anale. L'espace un instant il avait eu peur de lui faire mal, mais il était rentré dans son rectum aussi facilement que, quelques minutes plus tôt, il avait glissé dans son vagin. Elle s'était faite bouger sur lui, une fois la queue fichée en elle, avec un plaisir qui semblait réservé aux moments de sodomie. Un plaisir fort.
David se demanda si Adriana aimait elle aussi se faire sodomiser, et s'il pouvait la pénétrer sans problème. Raison qui le poussa à se déporter vers elle. Il posa son gland énorme contre la muqueuse anale resserrée, en se demandant comment il allait pouvoir rentrer en elle. Puis il se dit, que, pas plus pour Lisa que pour elle, la question ne méritait sans doute d'être posée, et il appuya.
Ca passa comme une lettre à la poste, et il se retrouva engagé quasiment jusqu'à la garde dans le rectum de la jeune femme. Il la fouilla, la main de Lisa était venue, comme au début, la masturber, avant de se retirer et d'aller dans ce canal anal qu'il connaissait déjà, celui de la MILF dont il était plus épris qu'il ne se le serait avoué.
Il y eut un moment, au bout de ce long chemin, où il devint évident qu'ils allaient jouir. La fin d'un processus, d'un long moment de plaisir, mais aussi la promesse de quelque chose d'encore plus fort, plus intense, et l'évidence pour les trois qu'à moment exceptionnel, correspondait un orgasme exceptionnel. Les deux filles jouirent quasiment au même moment, le corps secoué de spasmes, éjaculant des quantités de liquide impressionnantes, David se dit, une fois de plus qu'il faudrait passer un bon coup de serpillière, lui-même, pour effacer les traces, il ne tenait pas à ce que la femme de ménage trouve des flaques de cyprine partout le lendemain matin, avant de commencer à jouir dans l'intimité d'Adriana.
Au moment de se séparer, quelques instants plus tard, Lisa lui souffla :
— Elle est en congé, elle est là pour quinze jours!
Ca promettait de bons moments.
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Commentaires du récit : Secrétaires de mairie partie 5
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