ACCUEIL > Divers > Récit : Une fille amoureuse 1
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/09/2025
Histoire précèdente <<<
Une fille amoureuse 1
+2
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/09/2025
Découvrez les filles coquines près de chez vous :
Marc et laure, ont une fille, Ariane. Ils ont eu beaucoup de difficulté pour l'avoir. Dès sa naissance, elle avait beaucoup de problème de santé. Depuis, ils la couvent, la chouchoutent un peu trop selon leur entourage. Rien n'est trop beau pour leur petite princesse. Bien qu'elle ne soit pas trop exigeante, ils cèdent à tous ces désirs.
Comme un chien fidèle, elle attend que son papa rentre du travail, pour courir à sa rencontre, se jeter dans ses bras et le couvrir de baisers. Ce rituel fait sourire la maman, qui veille sur elle comme un chien de garde. Les années passent, Ariane se transforme, bien qu'elle fasse plus jeune que son âge, elle a atteint sa majorité.
Ariane est bonne étudiante, ses parents sont fiers d'elle, elle va maintenant à la fac. Les seules fois, qu'elle n'est pas dans sa chambre pour étudier, c'est ses jours de repos. Le soir, vêtue d'un short de nuit et d'un t-shirt trop large, elle se blottit contre ses parents en regardant la télévision. Ariane ronronne comme une chatte. Souvent pour prouver qu'elle les aime, à tour de rôle, elle leur donne un baiser rapide sur la joue. Cet instant magique les fait rayonner de bonheur. Ariane se transforme de jour en jour, ses formes évoluent. Toujours considérées comme une enfant par ses parents, est devenue sans qu'ils s'en aperçoivent une femme
Ce sont les vacances, il est tard, Laure étant fatiguée, par les nombreuses tâches ménagères, embrasse son mari et sa fille et rejoint sa chambre. Ariane est contre son papa comme à chaque fois, ronronne de bonheur. Une chose se passe, sans savoir pour quelle raison, Ariane pose sa main sur la cuisse de son papa et commence à la caresser. À chaque caresse, sa main touche l'aine et frôle la verge endormit. De temps en temps, elle cherche le regard de son papa, qui n'ose la regarder, mais elle l'entend déglutir bruyamment. La main audacieuse s'attarde sur l'aine avant de monter très lentement sur le bas-ventre, juste au-dessus du membre qui commence doucement à réagir.
Une érection commence à pointer son nez. Marc, très gêné, serre les cuisses, mais n'ose pas faire un mouvement, il est très mal, et serre les dents
La main glisse sans précipitation, vers la bosse qui commence à déformer le pantalon, du papa troublé qui est rouge de honte. Le pauvre homme transpire. Ariane saisit délicatement la verge, la presse plusieurs fois, et commence à l'agiter faiblement. Marc se cabre, serre les poings, mais n'ose pas repousser la main de sa petite princesse. La verge emprisonnée, dans son carcan de tissu, devient douloureuse. Marc serre les dents, en grimaçant.
Soudain, sans prévenir, Ariane retire sa main du membre palpitant de vie, et se blottit davantage contre son papa, qui, encore abasourdit, respire bruyamment. Elle redresse la tête vers lui et lui donne un baiser très appuyé, à la commissure de ses lèvres. Ariane se lève et sans demander son reste disparait. Marc est complétement déboussolé, il ne sait que penser. Il rejoint sa femme dans le lit, et se plaque contre elle en imaginant des choses immorales. Il caresse sa femme en poussant de nombreux soupirs. En bonne épouse, Laure, se donne à lui. Elle le trouve plus ardent et plus amoureux, que d'habitude, après l'avoir fait jouir de multiples fois, il déverse en elle sa semence.
La nuit de Marc est très agitée, il trouve le sommeil que tardivement. Lendemain. Il croise dans le couloir sa fille. Les deux, échangent des regards ardents, puis chacun par de son côté. Le soir, devant la télévision, Ariane réitère ses gestes. Elle caresse le bas-ventre de son papa. Presse le membre qui ne tarde pas à prendre du volume. Et sous les yeux tétanisés de sa maman, dégrafe la braguette. Habilement, mais avec douceur, sort de sa prison la verge tendue, l'engin droit comme un I se dresse. Laure ne quitte pas des yeux le membre de son mari, que sa fille avec douceur commence à agiter. La maman ne sait comment réagir, elle est complétement tétanisée. Ses yeux ne quittent pas la main qui agite avec de plus en plus de vigueur la queue de son mari.
Marc, en serrant les dents, geint, il se tend comme un arc. Tout en branlant la verge paternelle, Ariane pousse de nombreux soupires. Ses yeux fixent le gland large qu'elle décalotte à chaque descente de son poignet. Soudain, elle sursaute. De la verge tendue, sont expulsés plusieurs jets de sperme, qui retombent lourdement sur le pantalon de son papa et sur ses doigts. La maman, en état de voyeuse, ravale sa salive, elle regarde le gland gluant rejeter encore quelques perles visqueuses. Ariane, en tenant fermement la verge de son papa, pose sa main libre sur la cuisse de sa maman, qui se cabre brusquement. Lentement, la main s'avance sous la jupe, en glissant sur la cuisse fébrile, de la maman déboussolée.
Laure n'a pas ma force de repoussée la main qui se hasarde sans complexe sous sa jupe. Avec douceur, elle se plaque contre la vulve qui, ne peut s'empêcher de suinter. Mécaniquement, sa maman ouvre progressivement les cuisses. Les intrus glissent, sans brusqueries sur la culotte humide, . Complètement troublée, et entre deux souffles, Laure demande :
— Mais Ariane, qu'est-ce qui tu prends, tu deviens folle ma chérie ?
En poussant un long soupir, la jeunette répond :
-Je vous aime tellement que je veux, que vous soyez mes premiers amants !
Laure et son mari se regardent longuement, ils ont le souffle coupé, par cette demande inhabituelle. Très étonnés, sa maman réplique :
— Mais ma chérie, c'est insensé, nous sommes tes parents, tu ne peux nous demander une chose pareille !
En prenant une voix douce, Ariane répond :
-Je veux que ce soit vous qui me fassiez connaitre les plaisirs du sexe, je ne connais que des plaisirs digitaux, je vous demande de faire de moi une vraie femme !
Puis comme une automate, elle caresse avec plus de dextérité, la vulve suintante de sa maman, qui grimace en grommelant nerveusement.
Laure défaille et dit en béguant :
— Cesse ma chérie, c'est immorale, prends pitié de nous, je t'en prie !
Ariane presse fortement la vulve de sa maman qui se cabre en gémissant. Elle dit :
-Non, non, mon Dieu Ariane, soit raisonnable, ma chérie !
Mais au contraire, la coquine maltraite la chatte de la maman réticente. Le papa reste sans voix un long moment, sa verge dressée parle pour lui. Il dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :
— C'est d'accord ma chérie, nous allons, ta maman et moi, faire de toi une femme, puisque c'est ton souhait. Mais, petite princesse d'amour, tu es consciente de ce que tu de nous demandes !
Ariane, en poussant un soupir bruyant répond :
-Oui, je sais que c'est incestueux, mais je veux que vous fassiez de moi une vraie femme, cela fait lontemps que j'y pense !
Un peu embarrassé, le papa ajoute
-Pour commencer, il faut que, nous, nous mettions nus, et que ta maman te fasse connaitre les plaisirs lesbiens, avant que je prenne ta petite fleur d'amour !
Ariane regarde sa maman et lui demande en fronçant les sourcils :
— Tu es bi, maman ?
La question se sa fille gêne Laure, mais elle répond sans se formaliser :
-Ma chérie, pour être franche avec toi, j'ai vaincu avec une femme de longues années de bonheur, puis, j'ai rencontré ton papa, mais, je suis disposée à t'enseigner mes connaissances lesbiennes !
Ariane semble excitée :
— Oui maman, apprends-moi les plaisirs lesbiens, fait de moi une femme complète, ne me cache rien, je veux être une bonne amante bi, comme toi !
Laure, en se raclant la gorge, ajoute :
--Mais ma chérie, pour être une femme comblée, il faut accepter des interdits. Des pénétrations douloureuses, des dilations extrêmes, et subir même des sodomies monstrueuses, voir des doubles pénétrations !
Ariane sursaute, et dit avec une certaine inquiétude :
-Toi maman, tu as subi tout ça ?
En se pinçant les lèvres, Laure répond :
-Oui, je l'avoue, qu'avant de connaitre ton papa, j'étais comme on peut le dire, une chaude, j'ai brulé la vie par les deux bouts , j'ai toutb tentée !
Ariane, stupéfaite, regarde sa maman comme si elle venait de la découvrir. Elle dit :
-Moi aussi maman chérie, je veux connaitre tous les plaisirs du sexe, apprends-moi à être une bonne amante !
Marc ne dit pas un mot, il écoute en regardant ses deux amours. Il est le premier, à ôter ses vêtements, sa fille est en admiration devant lui. Elle commence, elle aussi, à s'effeuiller comme une strip-teaseuse, un à un ses vêtements jonchent le sol. Marc salive en regardant avec envie, le corps magnifique de sa fille, qu'il va posséder dans peu de temps. Malgré le fait que cela soit immoral, le coquin bande comme un taureau en rut.
Il regarde avec intérêt, la fine toison soyeuse humide, qu'elle a entre les jambes, sans n'omettre d'observer les seins, bien que pas très gros, semblent bien fermes. Laure, plus impressionnée, tarde à se dévêtir. Ses seins lourds pendent sur son torse, sa toison épaisse fait écarquiller les yeux de sa fille. Son papa lui demande de s'étendre sur la petite table du salon, et de bien ouvrir les cuisses. Ariane obtempère et prend la pose. Sa maman, après un long moment d'hésitation, s'avance timidement. Elle s'agenouille devant sa fille et regarde, un instant, la vulve aux lèvres fines bien dessinées, avant d'avancer entre les cuisses écartées, sa main tremblante.
Elle sent le corps de sa fille frémir, mais lorsque ses doigts entrent en contacte avec sa vulve, Ariane, se cabre fortement. Les doigts agiles caressent ses grandes lèvres avant de s'insérer dans le sillon. Du bout des doigts, laure caresse la fente, qui ne peut retenir sa cyprine. Elle taquine un instant le clito avant, de le saisir entre ses longs doigts fins.
Ariane pousse un long gémissement, son corps tremble. Lorsque sa maman agite sa boule magique, sa poitrine se soulève en prenant du rythme, son souffle est saccadé.
Il faut dire que la maman est douée, elle fait gonfler le clito comme jamais, il ne l'a été. Pour le stimuler, elle le presse de temps en temps. À chaque pression, Ariane se cabre en poussant un petit grognement. Luc regarde, avec intérêt la vulve, qu'il va bientôt déflorer. Pour patienter, il n'a pas d'autre choix que de se caresser la verge. Du méat ouvert, s'échappent quelques gouttes d'un liquide visqueux. Sa main agite avec douceur la hampe large et épaisse, qui prend encore du volume.
Le clito devient douloureux, il faut dire que la maman ne le ménage pas, elle l'agite comme une petite bite qui doit cracher son sperme. Le travail de la maman attentionnée, porte ses fruits, Ariane, en se tendant comme un arc, explose. Un long cri rauque sort de sa gorge, un flot de cyprine, est expulsé de sa chatte.
Laure réagit promptement, elle plaque sa bouche sur la fente et aspire les fines lèvres, elle les suce et les tète en faisant gémir de plaisir, l'amour de sa vie. C'est la première fois qu'une bouche se pose sur sa chatte et la dévore avec gourmandise. Ariane défaille :
-Oh maman, maman, c'est merveilleux, oui continue, continue, c'est trop bon !
La maman amante, aspire le jus que la jeune chatte lui offre, sa langue monte dans le sillon à la recherche de la boule de chair, la trouve, la taquine longuement, en arrachant des gémissements terribles à Ariane, qui délire de bonheur.
-Maman, maman, je vais jouir, Oui, oui mon Dieu ça vient !
Laure aspire avec violence le clito en feu, et le suce comme un bonbon acidulé. Le résultat est terrible. Ariane accrochée à la table, explose pour la seconde fois, en geignant comme une bête malade. Pour faire retomber la pression, la maman experte, se redresse , et attend quelques instants.
Puis enfonce sa langue profondement dans le conduit détrempé. Excitée, la maman le fouille en poussant des gémissements étouffés. Le papa est ébahi par l'ardeur que met sa femme à l'ouvrage. Elle ne laisse aucun répit à la petite princesse, qui, grogne de plaisir sous ses coups de langue voraces. Laure se gave du nectar qui s'échappe de la vulve brûlante, elle n'en perd pas une goutte. De temps en temps, sa langue s'égare sur l'anus, en le lèchant goulument. Ariane se cabre comme un pont en pleine tempête. Cet attouchement nouveau, ne semble pas lui déplaire, elle grogne.
laure se redresse enfin , regarde longuement sa fille qui pâme de bonheur, elle pose ses mains moites sur sa poitrine et lui caresse les seins. Rapidement, ils deviennent fermes, ses doigts s'enfoncent dans les chairs tendre en faisant geindre la novice. Les pressions sur ses seins, font soupirer fortement Ariane.
Avec une dextérité remarquable, la maman fait doubler de volume les mamelons, qui se dressent fièrement au centre d'aréole brunes. Laure les roule entre ses doigts, les étire, les presse pour les stimuler davantage. Enfin elle pose sa bouche dessus et les tète férocement, comme un enfant qui s'allaite. Les grognements que pousse sa fille prouvent que la coquine y prend beaucoup de plaisir. Elle halète, en se cambrant au maximum pour offrir à la bouche de sa maman ses siens gonflés de le désir
Après un long travail mammaire, Laure se redresse et saisit sa fille par la nuque, et pose ses lèvres sur les siennes. Sa langue s'insère dans la bouche entrouverte d'Ariane, se noue et à la sienne, comme deux reptiles, qui cherchent à s'accoupler. Le baiser, dure un long moment, avant de cesser. Ariane regarde sa maman avec tendresse et lui dit :
-Maman chérie, laisse-moi t'aimer comme tu viens de m'aimer !
La maman, excitée, ne peut résister à l'appel des sens, et prend place sur la table basse du salon que sa fille vient de libérer.
à suivre.
-
Comme un chien fidèle, elle attend que son papa rentre du travail, pour courir à sa rencontre, se jeter dans ses bras et le couvrir de baisers. Ce rituel fait sourire la maman, qui veille sur elle comme un chien de garde. Les années passent, Ariane se transforme, bien qu'elle fasse plus jeune que son âge, elle a atteint sa majorité.
Ariane est bonne étudiante, ses parents sont fiers d'elle, elle va maintenant à la fac. Les seules fois, qu'elle n'est pas dans sa chambre pour étudier, c'est ses jours de repos. Le soir, vêtue d'un short de nuit et d'un t-shirt trop large, elle se blottit contre ses parents en regardant la télévision. Ariane ronronne comme une chatte. Souvent pour prouver qu'elle les aime, à tour de rôle, elle leur donne un baiser rapide sur la joue. Cet instant magique les fait rayonner de bonheur. Ariane se transforme de jour en jour, ses formes évoluent. Toujours considérées comme une enfant par ses parents, est devenue sans qu'ils s'en aperçoivent une femme
Ce sont les vacances, il est tard, Laure étant fatiguée, par les nombreuses tâches ménagères, embrasse son mari et sa fille et rejoint sa chambre. Ariane est contre son papa comme à chaque fois, ronronne de bonheur. Une chose se passe, sans savoir pour quelle raison, Ariane pose sa main sur la cuisse de son papa et commence à la caresser. À chaque caresse, sa main touche l'aine et frôle la verge endormit. De temps en temps, elle cherche le regard de son papa, qui n'ose la regarder, mais elle l'entend déglutir bruyamment. La main audacieuse s'attarde sur l'aine avant de monter très lentement sur le bas-ventre, juste au-dessus du membre qui commence doucement à réagir.
Une érection commence à pointer son nez. Marc, très gêné, serre les cuisses, mais n'ose pas faire un mouvement, il est très mal, et serre les dents
La main glisse sans précipitation, vers la bosse qui commence à déformer le pantalon, du papa troublé qui est rouge de honte. Le pauvre homme transpire. Ariane saisit délicatement la verge, la presse plusieurs fois, et commence à l'agiter faiblement. Marc se cabre, serre les poings, mais n'ose pas repousser la main de sa petite princesse. La verge emprisonnée, dans son carcan de tissu, devient douloureuse. Marc serre les dents, en grimaçant.
Soudain, sans prévenir, Ariane retire sa main du membre palpitant de vie, et se blottit davantage contre son papa, qui, encore abasourdit, respire bruyamment. Elle redresse la tête vers lui et lui donne un baiser très appuyé, à la commissure de ses lèvres. Ariane se lève et sans demander son reste disparait. Marc est complétement déboussolé, il ne sait que penser. Il rejoint sa femme dans le lit, et se plaque contre elle en imaginant des choses immorales. Il caresse sa femme en poussant de nombreux soupirs. En bonne épouse, Laure, se donne à lui. Elle le trouve plus ardent et plus amoureux, que d'habitude, après l'avoir fait jouir de multiples fois, il déverse en elle sa semence.
La nuit de Marc est très agitée, il trouve le sommeil que tardivement. Lendemain. Il croise dans le couloir sa fille. Les deux, échangent des regards ardents, puis chacun par de son côté. Le soir, devant la télévision, Ariane réitère ses gestes. Elle caresse le bas-ventre de son papa. Presse le membre qui ne tarde pas à prendre du volume. Et sous les yeux tétanisés de sa maman, dégrafe la braguette. Habilement, mais avec douceur, sort de sa prison la verge tendue, l'engin droit comme un I se dresse. Laure ne quitte pas des yeux le membre de son mari, que sa fille avec douceur commence à agiter. La maman ne sait comment réagir, elle est complétement tétanisée. Ses yeux ne quittent pas la main qui agite avec de plus en plus de vigueur la queue de son mari.
Marc, en serrant les dents, geint, il se tend comme un arc. Tout en branlant la verge paternelle, Ariane pousse de nombreux soupires. Ses yeux fixent le gland large qu'elle décalotte à chaque descente de son poignet. Soudain, elle sursaute. De la verge tendue, sont expulsés plusieurs jets de sperme, qui retombent lourdement sur le pantalon de son papa et sur ses doigts. La maman, en état de voyeuse, ravale sa salive, elle regarde le gland gluant rejeter encore quelques perles visqueuses. Ariane, en tenant fermement la verge de son papa, pose sa main libre sur la cuisse de sa maman, qui se cabre brusquement. Lentement, la main s'avance sous la jupe, en glissant sur la cuisse fébrile, de la maman déboussolée.
Laure n'a pas ma force de repoussée la main qui se hasarde sans complexe sous sa jupe. Avec douceur, elle se plaque contre la vulve qui, ne peut s'empêcher de suinter. Mécaniquement, sa maman ouvre progressivement les cuisses. Les intrus glissent, sans brusqueries sur la culotte humide, . Complètement troublée, et entre deux souffles, Laure demande :
— Mais Ariane, qu'est-ce qui tu prends, tu deviens folle ma chérie ?
En poussant un long soupir, la jeunette répond :
-Je vous aime tellement que je veux, que vous soyez mes premiers amants !
Laure et son mari se regardent longuement, ils ont le souffle coupé, par cette demande inhabituelle. Très étonnés, sa maman réplique :
— Mais ma chérie, c'est insensé, nous sommes tes parents, tu ne peux nous demander une chose pareille !
En prenant une voix douce, Ariane répond :
-Je veux que ce soit vous qui me fassiez connaitre les plaisirs du sexe, je ne connais que des plaisirs digitaux, je vous demande de faire de moi une vraie femme !
Puis comme une automate, elle caresse avec plus de dextérité, la vulve suintante de sa maman, qui grimace en grommelant nerveusement.
Laure défaille et dit en béguant :
— Cesse ma chérie, c'est immorale, prends pitié de nous, je t'en prie !
Ariane presse fortement la vulve de sa maman qui se cabre en gémissant. Elle dit :
-Non, non, mon Dieu Ariane, soit raisonnable, ma chérie !
Mais au contraire, la coquine maltraite la chatte de la maman réticente. Le papa reste sans voix un long moment, sa verge dressée parle pour lui. Il dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :
— C'est d'accord ma chérie, nous allons, ta maman et moi, faire de toi une femme, puisque c'est ton souhait. Mais, petite princesse d'amour, tu es consciente de ce que tu de nous demandes !
Ariane, en poussant un soupir bruyant répond :
-Oui, je sais que c'est incestueux, mais je veux que vous fassiez de moi une vraie femme, cela fait lontemps que j'y pense !
Un peu embarrassé, le papa ajoute
-Pour commencer, il faut que, nous, nous mettions nus, et que ta maman te fasse connaitre les plaisirs lesbiens, avant que je prenne ta petite fleur d'amour !
Ariane regarde sa maman et lui demande en fronçant les sourcils :
— Tu es bi, maman ?
La question se sa fille gêne Laure, mais elle répond sans se formaliser :
-Ma chérie, pour être franche avec toi, j'ai vaincu avec une femme de longues années de bonheur, puis, j'ai rencontré ton papa, mais, je suis disposée à t'enseigner mes connaissances lesbiennes !
Ariane semble excitée :
— Oui maman, apprends-moi les plaisirs lesbiens, fait de moi une femme complète, ne me cache rien, je veux être une bonne amante bi, comme toi !
Laure, en se raclant la gorge, ajoute :
--Mais ma chérie, pour être une femme comblée, il faut accepter des interdits. Des pénétrations douloureuses, des dilations extrêmes, et subir même des sodomies monstrueuses, voir des doubles pénétrations !
Ariane sursaute, et dit avec une certaine inquiétude :
-Toi maman, tu as subi tout ça ?
En se pinçant les lèvres, Laure répond :
-Oui, je l'avoue, qu'avant de connaitre ton papa, j'étais comme on peut le dire, une chaude, j'ai brulé la vie par les deux bouts , j'ai toutb tentée !
Ariane, stupéfaite, regarde sa maman comme si elle venait de la découvrir. Elle dit :
-Moi aussi maman chérie, je veux connaitre tous les plaisirs du sexe, apprends-moi à être une bonne amante !
Marc ne dit pas un mot, il écoute en regardant ses deux amours. Il est le premier, à ôter ses vêtements, sa fille est en admiration devant lui. Elle commence, elle aussi, à s'effeuiller comme une strip-teaseuse, un à un ses vêtements jonchent le sol. Marc salive en regardant avec envie, le corps magnifique de sa fille, qu'il va posséder dans peu de temps. Malgré le fait que cela soit immoral, le coquin bande comme un taureau en rut.
Il regarde avec intérêt, la fine toison soyeuse humide, qu'elle a entre les jambes, sans n'omettre d'observer les seins, bien que pas très gros, semblent bien fermes. Laure, plus impressionnée, tarde à se dévêtir. Ses seins lourds pendent sur son torse, sa toison épaisse fait écarquiller les yeux de sa fille. Son papa lui demande de s'étendre sur la petite table du salon, et de bien ouvrir les cuisses. Ariane obtempère et prend la pose. Sa maman, après un long moment d'hésitation, s'avance timidement. Elle s'agenouille devant sa fille et regarde, un instant, la vulve aux lèvres fines bien dessinées, avant d'avancer entre les cuisses écartées, sa main tremblante.
Elle sent le corps de sa fille frémir, mais lorsque ses doigts entrent en contacte avec sa vulve, Ariane, se cabre fortement. Les doigts agiles caressent ses grandes lèvres avant de s'insérer dans le sillon. Du bout des doigts, laure caresse la fente, qui ne peut retenir sa cyprine. Elle taquine un instant le clito avant, de le saisir entre ses longs doigts fins.
Ariane pousse un long gémissement, son corps tremble. Lorsque sa maman agite sa boule magique, sa poitrine se soulève en prenant du rythme, son souffle est saccadé.
Il faut dire que la maman est douée, elle fait gonfler le clito comme jamais, il ne l'a été. Pour le stimuler, elle le presse de temps en temps. À chaque pression, Ariane se cabre en poussant un petit grognement. Luc regarde, avec intérêt la vulve, qu'il va bientôt déflorer. Pour patienter, il n'a pas d'autre choix que de se caresser la verge. Du méat ouvert, s'échappent quelques gouttes d'un liquide visqueux. Sa main agite avec douceur la hampe large et épaisse, qui prend encore du volume.
Le clito devient douloureux, il faut dire que la maman ne le ménage pas, elle l'agite comme une petite bite qui doit cracher son sperme. Le travail de la maman attentionnée, porte ses fruits, Ariane, en se tendant comme un arc, explose. Un long cri rauque sort de sa gorge, un flot de cyprine, est expulsé de sa chatte.
Laure réagit promptement, elle plaque sa bouche sur la fente et aspire les fines lèvres, elle les suce et les tète en faisant gémir de plaisir, l'amour de sa vie. C'est la première fois qu'une bouche se pose sur sa chatte et la dévore avec gourmandise. Ariane défaille :
-Oh maman, maman, c'est merveilleux, oui continue, continue, c'est trop bon !
La maman amante, aspire le jus que la jeune chatte lui offre, sa langue monte dans le sillon à la recherche de la boule de chair, la trouve, la taquine longuement, en arrachant des gémissements terribles à Ariane, qui délire de bonheur.
-Maman, maman, je vais jouir, Oui, oui mon Dieu ça vient !
Laure aspire avec violence le clito en feu, et le suce comme un bonbon acidulé. Le résultat est terrible. Ariane accrochée à la table, explose pour la seconde fois, en geignant comme une bête malade. Pour faire retomber la pression, la maman experte, se redresse , et attend quelques instants.
Puis enfonce sa langue profondement dans le conduit détrempé. Excitée, la maman le fouille en poussant des gémissements étouffés. Le papa est ébahi par l'ardeur que met sa femme à l'ouvrage. Elle ne laisse aucun répit à la petite princesse, qui, grogne de plaisir sous ses coups de langue voraces. Laure se gave du nectar qui s'échappe de la vulve brûlante, elle n'en perd pas une goutte. De temps en temps, sa langue s'égare sur l'anus, en le lèchant goulument. Ariane se cabre comme un pont en pleine tempête. Cet attouchement nouveau, ne semble pas lui déplaire, elle grogne.
laure se redresse enfin , regarde longuement sa fille qui pâme de bonheur, elle pose ses mains moites sur sa poitrine et lui caresse les seins. Rapidement, ils deviennent fermes, ses doigts s'enfoncent dans les chairs tendre en faisant geindre la novice. Les pressions sur ses seins, font soupirer fortement Ariane.
Avec une dextérité remarquable, la maman fait doubler de volume les mamelons, qui se dressent fièrement au centre d'aréole brunes. Laure les roule entre ses doigts, les étire, les presse pour les stimuler davantage. Enfin elle pose sa bouche dessus et les tète férocement, comme un enfant qui s'allaite. Les grognements que pousse sa fille prouvent que la coquine y prend beaucoup de plaisir. Elle halète, en se cambrant au maximum pour offrir à la bouche de sa maman ses siens gonflés de le désir
Après un long travail mammaire, Laure se redresse et saisit sa fille par la nuque, et pose ses lèvres sur les siennes. Sa langue s'insère dans la bouche entrouverte d'Ariane, se noue et à la sienne, comme deux reptiles, qui cherchent à s'accoupler. Le baiser, dure un long moment, avant de cesser. Ariane regarde sa maman avec tendresse et lui dit :
-Maman chérie, laisse-moi t'aimer comme tu viens de m'aimer !
La maman, excitée, ne peut résister à l'appel des sens, et prend place sur la table basse du salon que sa fille vient de libérer.
à suivre.
-
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : Une fille amoureuse 1
Aucun commentaire pour le moment
Histoire précèdente <<<