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Julie, agricultrice, dodue et sexy partie 2
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JULIE, AGRICULTRICE, DODUE ET SEXY
PARTIE 2
A mi-chemin, je me suis arrêtée pour prendre de l'essence. J'étais partie avec un réservoir à moitié plein. Et j'avais aussi la vessie pleine. J'étais de toute façon largement dans les temps. J'ai comblé le manque de mon réservoir avant de me diriger vers le gros bloc blanc et laid de la station. J'ai pris un café à un distributeur, café que j'ai siroté avant de partir pour les toilettes. Au fond, à droite. Il fallait espérer qu'elles soient propres. Elles l'étaient. Mais je ne m'attendais pas à leur configuration. Elles étaient mixtes, et anonymes. Une série de cabines, qui faisaient face à des lavabos. Je m'y suis glissée, prise par le besoin de me soulager, vessie dilatée à en être douloureuse. Accomplissant les gestes qu'une femme fait dans de tels moments, retroussant ma jupe, la roulant à ma taille, descendant mon string au niveau de mes genoux et me laissant glisser sur la cuvette. J'étais tellement pleine que j'ai eu du mal d'abord à me débloquer. Et puis il y a eu le soulagement du premier jet, intense, copieux, suivi par d'autres.
C'est en me libérant ainsi que j'ai examiné mon environnement. Tout était parfaitement propre, mais les cloisons étaient spéciales. Elles étaient marquées, l'une comme l'autre, de cercles ovales, à des hauteurs diverses, cercles découpés dans le bois.
Je me suis naïvement, je l'ai bien compris dans les minutes qui ont suivi, demandée à quoi ces ouvertures ovales pouvaient correspondre. J'ai même pensé, très simplement, que les cloisons avaient été dégradées par des clients ce qui, à bien y réfléchir, était peu probable, vu que les trous n'avaient pas été découpés avec amateurisme, mais un outil...J'imaginais mal un client arrivant ici avec un outil électrique...
Je finissais de me vider quand la queue a fait son apparition par l'un des trous, le plus proche de moi.
J'avoue que j'ai été décontenancée.
C'était une belle queue. En pleine érection, elle était bien longue, mais aussi bien charnue, avec un gros gland qui suintait.
Je me suis posée plein de questions qui sont restées sans réponse. Il y avait quelqu'un à côté. Dans une cabine, dans l'autre, qui me surveillait. Des écrans, des caméras? Et qui me surveillait, attendant pour me proposer sa queue.
Certaines femmes se seraient peut-être enfuies, horrifiées. Pas moi, évidemment. Le sexe était toute ma vie. A la surprise, a succédé de la joie. Le sexe, je n'en aurais jamais assez. J'avais soif de queues, de jeux sexuels, de découvrir tout ce que je n'avais pas encore fait, d'autres possibles, une quête sans fin...Je me suis penchée vers la verge, et je l'ai parcourue de la langue. J'ai senti le corps, derrière la cloison, corps dont j'apercevais quand même un morceau, frémir. J'ai baladé ma langue dessus avant d'envelopper le gland, à présent dégoulinant et de le frotter de ma langue, me glissant en même temps dans le méat, le liquide amer, de plus en plus abondant, tapissant mon palais avant de couler dans mon gosier. J'ai été surprise, je devais être bonne pour caresser — quelle hypocrisie, oui, je savais bien que j'étais bonne, car il n'a pas tenu très longtemps, et je me suis enivrée du sperme qui m'a rempli la bouche.
Je l'ai bien nettoyé avec ma langue. La queue a disparu, remplacée par deux autres, une de chaque côté. Deux queues avec deux physionomies différentes, une vraiment très épaisse, l'autre longue et épaisse.
Je m'étais fixé un horaire. Un coup d' oeil à mon portable...Je pouvais me dégager quelques minutes, vingt minutes...L'idée de partir tout de suite, et de laisser ces queues derrière moi m'était insupportable. Une main, une queue. Ça pouvait bien fonctionner comme ça. J'ai tendu les mains vers eux et je les ai masturbés l'un comme l'autre. Sentir leurs queues bien dures au creux de mes paumes, leurs liquides y ruisseler et me tremper, leur érection s'affirmer encore plus et leurs corps frémir de plaisir...Même une simple masturbation me comblait.
Le scénario s'est écrit très rapidement dans mon esprit. Et j'avais tout ce qu'il me fallait. J'ai lâché une queue pour plonger la main dans mon sac posé juste devant moi, et j'y ai attrapé deux préservatifs dans une boite dont je ne me séparais jamais et que je renouvelais quand elle était quasi vide. Je ne voulais manquer aucune possibilité, et comme elles venaient à moi...Pour moi, la prophylaxie, c'était important. Aurais-je préféré me passer d'une queue si je n'avais pas eu de latex à disposition? La question ne s'était jamais posée, j'achetais très régulièrement des boites copieusement remplies.
J'ai lâché les deux queues pour déchirer les emballages. J'avais peur qu'ils partent, mais ça n'a pas été le cas. J'ai repris une queue en main, tandis que j'enveloppais l'autre de latex avec une habileté due à l'habitude. Deux verges bien dures, au summum de leur érection. Et je savais exactement ce que j'allais en faire. Je me suis redressée, et, tendant mes fesses vers la paroi, j'ai attrapé la verge pour la faire glisser vers ma vulve...Une position peut-être pas commode, mais les positions commodes, je n'en vois pas forcément beaucoup. Je me suis cambrée un peu plus, et j'ai su que cette fois, c'était bon. Le gland dilaté frouait mes lèvres. Je me suis poussée en arrière, et la queue m'a envahie...J'ai gémi de plaisir. C'était très bon. Tellement bon...Je m'étais faite pénétrer une heure plus tôt, mais ça ne me suffisait pas. Rien ne me suffisait à vrai dire...
Le gars m'a fouillée. Il avait très envie. Il me caressait de sa queue frottant contre mes muqueuses...Ce qui me plaisait, c'était que, selon les positions, les sensations n'étaient jamais les mêmes.
J'avais prévu de me plier en deux, de me pencher en avant pour au moins masturber la queue en face, au mieux la sucer, je ne savais pas encore ce que j'allais faire...
Mais rien ne s'était passé comme prévu ou espéré. On envisage un schéma, il est cassé...
Je ne m'en étais pas rendue compte, mais je n'avais pas fermé la porte au verrou. Une femme a fait irruption, et dès la première seconde, j'ai eu la certitude qu'elle ne venait pas pour un petit pipi. Il y avait quelque chose sur son visage qui le disait clairement, de l'avidité et du soulagement d'avoir enfin un petit peu de sexe.
Une belle femme. Bien loin de mon âge, elle devait avoir 55 ans, mais sa beauté, mûre, avait une perfection troublante. Elle était très grande, longue, avec une robe qui la mettait en valeur, et des bottes à talon aiguille...Elle m'a souri, et a dit simplement :
— Tu veux bien me laisser l'autre queue?
Je lui ai souri. Le sexe rapproche, et on a été immédiatement complices. Elle s'est approchée de la queue et elle l'a masturbée...Elle n'avait pas débandé, mais c'était pour le plaisir d'avoir une queue dans la main, de la caresser, de la sentir vibrer.
Mes mains, ces mains qui allaient caresser la queue dilatée, je m'en suis servi pour faire ce qu'elle aurait sans doute fait dans les minutes qui suivaient. J'avais envie de la toucher. Ca n'irait sans doute pas très loin, mais, dans la faim perpétuelle qui était la mienne, elle me faisait autant envie que les queues qui étaient à ma disposition. Je savais qu'elle ne dirait pas non. Je sentais bien qu'elle était comme moi. Elle aimait le sexe à un point très élevé.
J'ai attrapé l'ourlet de sa robe, et j'ai remonté le tissu. Elle avait du nylon le long des jambes, dont l'électricité a accroché mes doigts, le nylon laissant, haut sur la jambe, la place à la chair nue, brûlante...Je suis arrivée, en remontant le tissu, sur ses fesses, si pleines, débordant de mes mains...J'ai aperçu son ventre nu jusqu'au nombril, à la hauteur duquel j'ai roulé le tissu, la vision d'une toison de la même couleur que ses cheveux, et la longue fente d'un sexe sortaient deux bouts de lèvre copieux, épais et longs...Elle s'est penchée en avant. Dans mon angle de vue, j'ai vu la queue apparaître tout près de son sexe, gorgée de sang, frémissante, agitée par des spasmes. Elle l'a attrapée, l'a posée contre ses lèvres, comme je l'avais fait, et elle l'a faite rentrer en elle d'un coup de ventre. Ça m'a autant, sinon plus troublée que de sentir la queue qui était en moi me fouiller. Autant en tout cas que le fait qu'elle vienne chercher ma bouche pour des baisers intenses, nos lèvres et nos langues s'accrochant et se frottant.
Les queues nous fouillaient, et nous fouillaient bien. Je trouvais la situation terriblement excitante, que d'avoir simplement ces deux queues séparées des corps, ca donnait un côté abstrait au rapport sexuel, même si la réalité des verges qui nous fouillaient était elle bien réelle.
Le gars qui était plongé dans ma vulve, enveloppé par elle, est assez assez rapidement arrivé au plaisir. Sa queue s'est figée en moi, et il a commencé à cracher son sperme, celui-ci, bien que retenu par le latex, venant cogner contre les parois de ma vulve avec suffisamment de force, pour me faire jouir comme une poupée désarticulée.
Ce qui m'a surpris, c'est que j'étais partie sur la logique erronée qu'il n'y avait qu'une seule queue. C'est quand il s'est retiré, et qu'une autre queue s'est glissée en moi, sans attendre, que j'ai pensé qu'il devait y avoir plusieurs hommes qui attendaient ou qui se succédaient derrière la cloison, attendant une main, une bouche, une chatte. Ce qui me plaisait, ce que je trouvais extraordinairement excitant, c'était l'idée qu'une verge puisse ainsi succéder à une autre, et qu'une autre vienne encore. Je rêvais qu'il y en ait des dizaines, et qu'ils jouissent tous, même si j'avais le regret, mais il vallait mieux être prudent, que leur semence ne me remplisse, que leurs spermes se mélangent et que je les sente ensuite couler de moi.
Ma copine d'un moment a procédé différemment. Elle a fait sortir d'elle la queue quand elle a senti les prémisses de la jouissance, s'est accroupie rompant notre baiser, alors que j'aurais aimé qu'elle le prolonge, et elle s'est accroupie, retirant le condom, pour frotter la langue contre la tige de chair dilatée. On a entendu une espèce de cri derrière la cloison, et le premier jet de sperme a jailli, propulsé violemment, il a atterri dans les cheveux de la belle MILF, qui a vite entouré une partie de la queue, pour que la semence coule dans sa bouche. La queue était agitée de spasmes violents, mais elle tenait bon. Quand les grands jaillissements ont été terminés, elle n'a pas lâché pour autant la verge, et je l'ai bien imaginée, léchant les coulures de semence.
La queue a disparu, aussitôt remplacée par une autre. Nous avions choisi deux chemins différents, elle partant pour des fellations, moi préférant sentir les queues en moi. Je le regrettais parce qu'elle était hors d'accès, alors que j'aurais aimé continuer de la toucher, et de l'embrasser, profiter aussi d'elle en un mot. Je voyais le bas de son dos, sa croupe, ouverte dans cette situation accroupie, et j'aurais voulu en profiter. Voir ses seins aussi.
Assez curieusement, il y a eu une symétrie entre nous. Cinq queues se sont succedées dans mon ventre, et y ont joui, gainées de préservatifs ou que j'ai moi-même gainées de préservatifs, et elle a eu cinq queues dans la bouche avant que ce ne soit le vide.
Elle s'est redressée et tournée vers moi. J'en ai profité pour relever sa robe. J'avais envie de voir ses seins.
Si elle n'avait pas de slip, elle n'avait pas de soutien-gorge non plus. Des seins haut perchés, lourds et ronds, avec de très larges aréoles, et des tétons très durs, que j'ai pris au bout de mes doigts pour les frotter.
Elle s'est penchée et je me suis dit qu'elle voulait juste m'embrasser mais ce n'était pas ça du tout. J'ai ouvert ma bouche pour le baiser, et elle a commencé à faire couler en moi le sperme qu'elle avait recueilli. Une queue, deux queues? En tout cas, il y en avait une bonne quantité, et cet acte m'a procuré un grand plaisir, j'ai trouvé ça excitant, et d'autant plus excitant qu'elle a glissé sa main jusqu'à mon sexe, et qu'elle a pris mon gland clitoridien entre ses doigts pour le masturber. Quand je suis très excitée, et c'était le cas, il est très gros. Hors normes, je dirai même. On ne peut pas vraiment comparer, mais je suis sûre que certains hommes ont une queue plus petite que mon gland clitoridien.
Elle faisait encore couler du sperme dans ma bouche quand j'ai joui. Quand mon gland était bien développé, et que j'étais très excitée, je jouissais très facilement.
On s'est retrouvées seules. Quand elle m'a eu passé toute sa cargaison de semence, elle m'a fait un baiser qui avait évidemment goût de sperme.
Il y a eu un moment de calme, dans la cabine vide.
— Oh, regarde!
Elle s'est accroupie pour ramasser un préservatif qu'un des gars avait balancé de ce côté, plein de sperme.
— Hmmm...Ça va être notre 4 heures.
Quand je l'ai vue étirer le latex, pour donner accès au sperme, je me suis dit qu'elle et moi, on était vraiment de la même trempe. On a lapé ensemble la semence qui s'était accumulée au fond du réservoir. Nos langues se touchaient, se heurtaient, s'accrochaient. Quand il n'y a plus eu la moindre trace de semence sur le latex, qu'il a été totalement translucide, on s'est retrouvées à se frotter, l'une et l'autre, la langue. Un ultime plaisir, pas moins fort que les autres, avant la séparation.
Je n'osais pas trop exprimer mon envie, mais elle m'a dit:
— Tu es du coin ?
— Je viens de A... et je vais à T...
— J'aimerais qu'on se revoie...On vient de faire une rencontre, c'est une belle rencontre pour moi.
Elle a attrapé son sac à main, qu'elle avait posé sur le sol, près du trou à présent vide et inutile. Elle a sorti une carte...Son nom, son adresse, son numéro de portable...
— Si tu as envie qu'on se revoie, quand tu passes par ici...Appelle-moi...Je ne travaille pas l'après-midi. Je crois qu'on a un point commun toi et moi...On aime le sexe et pas qu'un peu...On pourrait faire des choses sympa ensemble.
Il me suffisait que je la regarde pour en être convaincu.
On est parties ensemble. Une fois qu'elle a rabaissé sa robe.
J'allais monter dans ma voiture, quand j'ai entendu:
— Hé, regarde!
Une jambe sur l'asphalte, l'autre dans l'habitacle, elle était parfaitement calée pour s'exhiber. Ce qu'elle n'a pas manqué de faire. Elle a soulevé sa robe, et fiché deux doigts dans son sexe pour s'ouvrir, m'offrant ses muqueuses internes.
Avec une exhibition pareille, c'était sûr que j'allais revenir.
PARTIE 2
A mi-chemin, je me suis arrêtée pour prendre de l'essence. J'étais partie avec un réservoir à moitié plein. Et j'avais aussi la vessie pleine. J'étais de toute façon largement dans les temps. J'ai comblé le manque de mon réservoir avant de me diriger vers le gros bloc blanc et laid de la station. J'ai pris un café à un distributeur, café que j'ai siroté avant de partir pour les toilettes. Au fond, à droite. Il fallait espérer qu'elles soient propres. Elles l'étaient. Mais je ne m'attendais pas à leur configuration. Elles étaient mixtes, et anonymes. Une série de cabines, qui faisaient face à des lavabos. Je m'y suis glissée, prise par le besoin de me soulager, vessie dilatée à en être douloureuse. Accomplissant les gestes qu'une femme fait dans de tels moments, retroussant ma jupe, la roulant à ma taille, descendant mon string au niveau de mes genoux et me laissant glisser sur la cuvette. J'étais tellement pleine que j'ai eu du mal d'abord à me débloquer. Et puis il y a eu le soulagement du premier jet, intense, copieux, suivi par d'autres.
C'est en me libérant ainsi que j'ai examiné mon environnement. Tout était parfaitement propre, mais les cloisons étaient spéciales. Elles étaient marquées, l'une comme l'autre, de cercles ovales, à des hauteurs diverses, cercles découpés dans le bois.
Je me suis naïvement, je l'ai bien compris dans les minutes qui ont suivi, demandée à quoi ces ouvertures ovales pouvaient correspondre. J'ai même pensé, très simplement, que les cloisons avaient été dégradées par des clients ce qui, à bien y réfléchir, était peu probable, vu que les trous n'avaient pas été découpés avec amateurisme, mais un outil...J'imaginais mal un client arrivant ici avec un outil électrique...
Je finissais de me vider quand la queue a fait son apparition par l'un des trous, le plus proche de moi.
J'avoue que j'ai été décontenancée.
C'était une belle queue. En pleine érection, elle était bien longue, mais aussi bien charnue, avec un gros gland qui suintait.
Je me suis posée plein de questions qui sont restées sans réponse. Il y avait quelqu'un à côté. Dans une cabine, dans l'autre, qui me surveillait. Des écrans, des caméras? Et qui me surveillait, attendant pour me proposer sa queue.
Certaines femmes se seraient peut-être enfuies, horrifiées. Pas moi, évidemment. Le sexe était toute ma vie. A la surprise, a succédé de la joie. Le sexe, je n'en aurais jamais assez. J'avais soif de queues, de jeux sexuels, de découvrir tout ce que je n'avais pas encore fait, d'autres possibles, une quête sans fin...Je me suis penchée vers la verge, et je l'ai parcourue de la langue. J'ai senti le corps, derrière la cloison, corps dont j'apercevais quand même un morceau, frémir. J'ai baladé ma langue dessus avant d'envelopper le gland, à présent dégoulinant et de le frotter de ma langue, me glissant en même temps dans le méat, le liquide amer, de plus en plus abondant, tapissant mon palais avant de couler dans mon gosier. J'ai été surprise, je devais être bonne pour caresser — quelle hypocrisie, oui, je savais bien que j'étais bonne, car il n'a pas tenu très longtemps, et je me suis enivrée du sperme qui m'a rempli la bouche.
Je l'ai bien nettoyé avec ma langue. La queue a disparu, remplacée par deux autres, une de chaque côté. Deux queues avec deux physionomies différentes, une vraiment très épaisse, l'autre longue et épaisse.
Je m'étais fixé un horaire. Un coup d' oeil à mon portable...Je pouvais me dégager quelques minutes, vingt minutes...L'idée de partir tout de suite, et de laisser ces queues derrière moi m'était insupportable. Une main, une queue. Ça pouvait bien fonctionner comme ça. J'ai tendu les mains vers eux et je les ai masturbés l'un comme l'autre. Sentir leurs queues bien dures au creux de mes paumes, leurs liquides y ruisseler et me tremper, leur érection s'affirmer encore plus et leurs corps frémir de plaisir...Même une simple masturbation me comblait.
Le scénario s'est écrit très rapidement dans mon esprit. Et j'avais tout ce qu'il me fallait. J'ai lâché une queue pour plonger la main dans mon sac posé juste devant moi, et j'y ai attrapé deux préservatifs dans une boite dont je ne me séparais jamais et que je renouvelais quand elle était quasi vide. Je ne voulais manquer aucune possibilité, et comme elles venaient à moi...Pour moi, la prophylaxie, c'était important. Aurais-je préféré me passer d'une queue si je n'avais pas eu de latex à disposition? La question ne s'était jamais posée, j'achetais très régulièrement des boites copieusement remplies.
J'ai lâché les deux queues pour déchirer les emballages. J'avais peur qu'ils partent, mais ça n'a pas été le cas. J'ai repris une queue en main, tandis que j'enveloppais l'autre de latex avec une habileté due à l'habitude. Deux verges bien dures, au summum de leur érection. Et je savais exactement ce que j'allais en faire. Je me suis redressée, et, tendant mes fesses vers la paroi, j'ai attrapé la verge pour la faire glisser vers ma vulve...Une position peut-être pas commode, mais les positions commodes, je n'en vois pas forcément beaucoup. Je me suis cambrée un peu plus, et j'ai su que cette fois, c'était bon. Le gland dilaté frouait mes lèvres. Je me suis poussée en arrière, et la queue m'a envahie...J'ai gémi de plaisir. C'était très bon. Tellement bon...Je m'étais faite pénétrer une heure plus tôt, mais ça ne me suffisait pas. Rien ne me suffisait à vrai dire...
Le gars m'a fouillée. Il avait très envie. Il me caressait de sa queue frottant contre mes muqueuses...Ce qui me plaisait, c'était que, selon les positions, les sensations n'étaient jamais les mêmes.
J'avais prévu de me plier en deux, de me pencher en avant pour au moins masturber la queue en face, au mieux la sucer, je ne savais pas encore ce que j'allais faire...
Mais rien ne s'était passé comme prévu ou espéré. On envisage un schéma, il est cassé...
Je ne m'en étais pas rendue compte, mais je n'avais pas fermé la porte au verrou. Une femme a fait irruption, et dès la première seconde, j'ai eu la certitude qu'elle ne venait pas pour un petit pipi. Il y avait quelque chose sur son visage qui le disait clairement, de l'avidité et du soulagement d'avoir enfin un petit peu de sexe.
Une belle femme. Bien loin de mon âge, elle devait avoir 55 ans, mais sa beauté, mûre, avait une perfection troublante. Elle était très grande, longue, avec une robe qui la mettait en valeur, et des bottes à talon aiguille...Elle m'a souri, et a dit simplement :
— Tu veux bien me laisser l'autre queue?
Je lui ai souri. Le sexe rapproche, et on a été immédiatement complices. Elle s'est approchée de la queue et elle l'a masturbée...Elle n'avait pas débandé, mais c'était pour le plaisir d'avoir une queue dans la main, de la caresser, de la sentir vibrer.
Mes mains, ces mains qui allaient caresser la queue dilatée, je m'en suis servi pour faire ce qu'elle aurait sans doute fait dans les minutes qui suivaient. J'avais envie de la toucher. Ca n'irait sans doute pas très loin, mais, dans la faim perpétuelle qui était la mienne, elle me faisait autant envie que les queues qui étaient à ma disposition. Je savais qu'elle ne dirait pas non. Je sentais bien qu'elle était comme moi. Elle aimait le sexe à un point très élevé.
J'ai attrapé l'ourlet de sa robe, et j'ai remonté le tissu. Elle avait du nylon le long des jambes, dont l'électricité a accroché mes doigts, le nylon laissant, haut sur la jambe, la place à la chair nue, brûlante...Je suis arrivée, en remontant le tissu, sur ses fesses, si pleines, débordant de mes mains...J'ai aperçu son ventre nu jusqu'au nombril, à la hauteur duquel j'ai roulé le tissu, la vision d'une toison de la même couleur que ses cheveux, et la longue fente d'un sexe sortaient deux bouts de lèvre copieux, épais et longs...Elle s'est penchée en avant. Dans mon angle de vue, j'ai vu la queue apparaître tout près de son sexe, gorgée de sang, frémissante, agitée par des spasmes. Elle l'a attrapée, l'a posée contre ses lèvres, comme je l'avais fait, et elle l'a faite rentrer en elle d'un coup de ventre. Ça m'a autant, sinon plus troublée que de sentir la queue qui était en moi me fouiller. Autant en tout cas que le fait qu'elle vienne chercher ma bouche pour des baisers intenses, nos lèvres et nos langues s'accrochant et se frottant.
Les queues nous fouillaient, et nous fouillaient bien. Je trouvais la situation terriblement excitante, que d'avoir simplement ces deux queues séparées des corps, ca donnait un côté abstrait au rapport sexuel, même si la réalité des verges qui nous fouillaient était elle bien réelle.
Le gars qui était plongé dans ma vulve, enveloppé par elle, est assez assez rapidement arrivé au plaisir. Sa queue s'est figée en moi, et il a commencé à cracher son sperme, celui-ci, bien que retenu par le latex, venant cogner contre les parois de ma vulve avec suffisamment de force, pour me faire jouir comme une poupée désarticulée.
Ce qui m'a surpris, c'est que j'étais partie sur la logique erronée qu'il n'y avait qu'une seule queue. C'est quand il s'est retiré, et qu'une autre queue s'est glissée en moi, sans attendre, que j'ai pensé qu'il devait y avoir plusieurs hommes qui attendaient ou qui se succédaient derrière la cloison, attendant une main, une bouche, une chatte. Ce qui me plaisait, ce que je trouvais extraordinairement excitant, c'était l'idée qu'une verge puisse ainsi succéder à une autre, et qu'une autre vienne encore. Je rêvais qu'il y en ait des dizaines, et qu'ils jouissent tous, même si j'avais le regret, mais il vallait mieux être prudent, que leur semence ne me remplisse, que leurs spermes se mélangent et que je les sente ensuite couler de moi.
Ma copine d'un moment a procédé différemment. Elle a fait sortir d'elle la queue quand elle a senti les prémisses de la jouissance, s'est accroupie rompant notre baiser, alors que j'aurais aimé qu'elle le prolonge, et elle s'est accroupie, retirant le condom, pour frotter la langue contre la tige de chair dilatée. On a entendu une espèce de cri derrière la cloison, et le premier jet de sperme a jailli, propulsé violemment, il a atterri dans les cheveux de la belle MILF, qui a vite entouré une partie de la queue, pour que la semence coule dans sa bouche. La queue était agitée de spasmes violents, mais elle tenait bon. Quand les grands jaillissements ont été terminés, elle n'a pas lâché pour autant la verge, et je l'ai bien imaginée, léchant les coulures de semence.
La queue a disparu, aussitôt remplacée par une autre. Nous avions choisi deux chemins différents, elle partant pour des fellations, moi préférant sentir les queues en moi. Je le regrettais parce qu'elle était hors d'accès, alors que j'aurais aimé continuer de la toucher, et de l'embrasser, profiter aussi d'elle en un mot. Je voyais le bas de son dos, sa croupe, ouverte dans cette situation accroupie, et j'aurais voulu en profiter. Voir ses seins aussi.
Assez curieusement, il y a eu une symétrie entre nous. Cinq queues se sont succedées dans mon ventre, et y ont joui, gainées de préservatifs ou que j'ai moi-même gainées de préservatifs, et elle a eu cinq queues dans la bouche avant que ce ne soit le vide.
Elle s'est redressée et tournée vers moi. J'en ai profité pour relever sa robe. J'avais envie de voir ses seins.
Si elle n'avait pas de slip, elle n'avait pas de soutien-gorge non plus. Des seins haut perchés, lourds et ronds, avec de très larges aréoles, et des tétons très durs, que j'ai pris au bout de mes doigts pour les frotter.
Elle s'est penchée et je me suis dit qu'elle voulait juste m'embrasser mais ce n'était pas ça du tout. J'ai ouvert ma bouche pour le baiser, et elle a commencé à faire couler en moi le sperme qu'elle avait recueilli. Une queue, deux queues? En tout cas, il y en avait une bonne quantité, et cet acte m'a procuré un grand plaisir, j'ai trouvé ça excitant, et d'autant plus excitant qu'elle a glissé sa main jusqu'à mon sexe, et qu'elle a pris mon gland clitoridien entre ses doigts pour le masturber. Quand je suis très excitée, et c'était le cas, il est très gros. Hors normes, je dirai même. On ne peut pas vraiment comparer, mais je suis sûre que certains hommes ont une queue plus petite que mon gland clitoridien.
Elle faisait encore couler du sperme dans ma bouche quand j'ai joui. Quand mon gland était bien développé, et que j'étais très excitée, je jouissais très facilement.
On s'est retrouvées seules. Quand elle m'a eu passé toute sa cargaison de semence, elle m'a fait un baiser qui avait évidemment goût de sperme.
Il y a eu un moment de calme, dans la cabine vide.
— Oh, regarde!
Elle s'est accroupie pour ramasser un préservatif qu'un des gars avait balancé de ce côté, plein de sperme.
— Hmmm...Ça va être notre 4 heures.
Quand je l'ai vue étirer le latex, pour donner accès au sperme, je me suis dit qu'elle et moi, on était vraiment de la même trempe. On a lapé ensemble la semence qui s'était accumulée au fond du réservoir. Nos langues se touchaient, se heurtaient, s'accrochaient. Quand il n'y a plus eu la moindre trace de semence sur le latex, qu'il a été totalement translucide, on s'est retrouvées à se frotter, l'une et l'autre, la langue. Un ultime plaisir, pas moins fort que les autres, avant la séparation.
Je n'osais pas trop exprimer mon envie, mais elle m'a dit:
— Tu es du coin ?
— Je viens de A... et je vais à T...
— J'aimerais qu'on se revoie...On vient de faire une rencontre, c'est une belle rencontre pour moi.
Elle a attrapé son sac à main, qu'elle avait posé sur le sol, près du trou à présent vide et inutile. Elle a sorti une carte...Son nom, son adresse, son numéro de portable...
— Si tu as envie qu'on se revoie, quand tu passes par ici...Appelle-moi...Je ne travaille pas l'après-midi. Je crois qu'on a un point commun toi et moi...On aime le sexe et pas qu'un peu...On pourrait faire des choses sympa ensemble.
Il me suffisait que je la regarde pour en être convaincu.
On est parties ensemble. Une fois qu'elle a rabaissé sa robe.
J'allais monter dans ma voiture, quand j'ai entendu:
— Hé, regarde!
Une jambe sur l'asphalte, l'autre dans l'habitacle, elle était parfaitement calée pour s'exhiber. Ce qu'elle n'a pas manqué de faire. Elle a soulevé sa robe, et fiché deux doigts dans son sexe pour s'ouvrir, m'offrant ses muqueuses internes.
Avec une exhibition pareille, c'était sûr que j'allais revenir.
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : Julie, agricultrice, dodue et sexy partie 2
Le 12/08/2025 - 13:28 par Emma_blonde
Très excitante aventure de deux femmes bi folles de sexe. Ça me plaît
Très excitante aventure de deux femmes bi folles de sexe. Ça me plaît
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