ACCUEIL > Divers > Récit : Julie, agricultrice, dodue et sexy partie 3
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/08/2025
Histoire précèdente <<<
Julie, agricultrice, dodue et sexy partie 3
+4
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/08/2025
Découvrez les filles coquines près de chez vous :
JULIE AGRICULTRICE, DODUE ET SEXY
PARTIE 3
Un coup d' oeil à l'heure, alors que je démarrais m'a fait comprendre qu'Elise et moi, c'était reporté. J'avais pris bien trop de temps ici, mais sans regrets. Un moment fort, et une prise de contact avec cette femme qui me troublait énormément. Je sentais bien qu'on pouvait faire, elle et moi, pas mal de choses. Que l'imagination et la routine pouvaient se mettre en place.
Je me suis arrêté sur un parking un peu plus loin. Un SMS pour Elise, qui, je le savais, était encore au travail.
On se voit après la réunion, je suis trop en retard.
Le retour a été immédiat.
Pas de souci. J'ai trop envie de baiser avec toi.
Entre Elise et moi, c'était un parfait accord. On s'était tout de suite entendues et vraiment bien entendues. D'abord simple copines, et puis ça avait très vite basculé sur du sexe. On se ressemblait beaucoup elle et moi. Elle était grande et massive comme moi et on avait des personnalités très proches. Un lien fort entre elle et moi. A tel point qu'on essayait de ce voir entre ces réunions mensuelles, on habitait à une heure l'une de l'autre, je faisais un saut chez elle et vice-versa, quand je pouvais.
J'ai ralenti, passant la banlieue pour arriver en centre ville.
Il y avait d'autres personnes, je le savais, que j'allais retrouver aussi.
Ces réunions étaient importantes pour nos revendications, on formalisait les choses, mais c'était aussi l'occasion de pas mal de moments de plaisir.
Je m'auto-questionnais pas mal et je me demandais d'ailleurs si j'y allais pour défendre notre métier en péril ou pour le sexe...
J'ai viré sur la gauche et je suis parti vers un bloc de bâtiments bas et laids. Un grand parking, déjà bien rempli. Je me suis garée et je suis partie en direction de la salle de réunion, mes talons claquant sur le sol.
La salle était pleine. J'ai aperçu George au fond. Est-ce qu'il s'était mis là parce qu'il m'attendait ? Robert lui était un peu plus loin.
En me glissant à côté de George, il ne m'avait pas entendue arriver, j'ai posé ma main sur son pantalon et caressé sa queue qui a immédiatement réagi. Il s'est tourné vers moi et il m'a dit :
— J'avais très envie de te retrouver. C'est chose faite.
Face à nous, il y avait une équipe de choc. C'était ce qui faisait la force de notre syndicat. Dans de telles réunions, il y avait nos dirigeants régionaux mais aussi des légistes qui nous aidaient à préparer des propositions crédibles. Après cette entrée en matière, on allait passer deux jours à travailler en groupes sur divers sujets, avec une restitution. Qui partirait ensuite vers les parlementaires et le gouvernement.
Il y avait vraiment deux lignes directrices dans ces journées. D'un côté, simplement, les journées intenses, passées à réfléchir, pour arriver à quelque chose de concret. Et puis après il y avait le temps libre. Et je savais bien que mes collègues, hommes comme femmes, on était à peu près 50/50 profitaient de ce temps libre ensemble, ou avec d'autres, dans des plaisirs très divers. J'en avais été témoin à plusieurs reprises.
J'étais vraiment la dernière arrivée. Notre leader local commençait à parler.
Incapable de me retenir, bien qu'étant attentive, je me suis mise à défaire George, pour mettre sa queue à nu.
— Tu es insatiable, il m'a jeté, sans pour autant chercher à m'en empêcher.
Il a plutôt choisi de faire glisser son blouson, du dossier de sa chaise à ses genoux pour masquer mes gestes, même si tout le monde s'en serait fiché, si tout avait été visible. De toutes les personnes présentes, il n'y en avait aucune qui était bégueule, au vu de ce que j'avais pu constater autour des réunions précédentes.
J'ai récupéré sa queue dans son caleçon. M'attendre, m'avoir vue arriver, me sentir près de lui, sentir ma main sur moi, tout cela sans doute faisait qu'il était déjà dans une belle érection.
Le blouson était ramassé devant, et j'ai pu donc voir la queue, en plus d'avoir sa sensation au bout des doigts.
Il y a des plaisirs dont on ne se lasse jamais, même si ce sont des plaisirs simples, et ça m'a mise dans tous les états, que de retrouver cette queue telle que je la connaissais, une belle queue, ce n'était pas le cas de toutes les queues loin de là, et Dieu savait si j'en avais déjà vu. Elle présentait la caractéristique d'être à la fois bien longue, mais aussi bien charnue, les deux ensemble étant rares. Avec la cerise sur le gâteau, un énorme gland avec lequel j'aimais jouer, et qui représentait le point faible de George. Caressé du bout de la langue, frotté de la langue, il libérait des torrents de sperme.
Je me suis mise à le masturber doucement. C'était un peu comme un jouet. J'aimais avoir une queue dans la main, et la sentir se métamorphoser. Là, la métamorphose, ça a aussi été qu'il s'est mis à couler, un liquide abondant et visqueux qui a rendu ma main huileuse.
C'était un moment de présentation, et ceux qui étaient en face de nous ont présenté les enjeux, les ateliers, et ce qui serait déroulé dans les deux journées à venir.
Je me suis vite rendue compte que je n'étais pas la seule à profiter de ce moment pour avoir du sexe. Plus ou moins en toute visibilité, mais ce n'était apparemment pas l'enjeu ici. On ne voyait pas vraiment les autres, on ne portait pas de jugement, puisque tout le monde faisait pareil.
Un peu plus loin, je pouvais apercevoir Giulia, une fille dans la cinquantaine, rousse, avec des formes pleines, penchée sur la queue d'un gars, et qui lui administrait une fellation sans se cacher. Sa bouche montait et descendait sur une queue en pleine érection, mais qui se dilatait encore. La queue était longue et épaisse, mais elle la travaillait avec habileté, en fille habituée à faire des fellations, alternant les va-et-vient sur une queue qu'elle avalait quasiment jusqu'à la racine, joues gonflées, mais aussi certainement en gorge profonde, mais dégageant aussi le membre, dilaté et couvertes de salive, pour venir l'agacer de la langue, titillant le gland ou les couilles. Giulia, c'était la spécialiste des fellations. Je me souvenais bien, quelques temps plus tôt, comme on le faisait souvent ces jours-là, on avait été manger à plusieurs. Il y avait eu un moment où elle avait disparu, et trois gars de la tablée aussi. Intriguée, je l'avais pistée, jusqu'à la retrouver aux chiottes en sous-sol. Il y avait bien les trois gars de la tablée, plus quelques autres, et accroupie au milieu d'eux, elle allait d'une queue à l'autre, bouffant leurs verges congestionnées, et ouvrant sa bouche quand le sperme allait gicler, pour accueillir leurs jaillissements.
Là, ce ne fut pas vraiment pareil. Quand elle sentit les frémissements de jouissance du gars, elle referma sa bouche sur sa verge. Tourneboulée, j'ai vu la queue agitée de spasmes, le gars se tendre en arrière. D'évidence il était entrain de jouir. Et elle, elle ne voulait pas en perdre une goutte. Un pari perdu, car il y eut un filet de semence, blanc, qui coula le long de sa joue. Elle s'accrochait à la queue, et elle ne la lâcha pas avant un long moment. Quand elle la laissa enfin, elle ne débandait même pas, mais surtout la queue, soigneusement léchée, était luisante de salive. Et le gosier de Giulia plein de semence.
C'était ça, ces séminaires...Ces sollicitations partout. Difficile de garder la tête froide. Je sentais que je me trempais la culotte...J'avais une folle envie de me masturber et de jouir.
45 minutes et on se séparait sur la promesse de se retrouver le lendemain matin sur le coup de 8 heures 30.
J'avais toujours la queue de George dans la main, dilatée et ruisselante.
— J'ai envie qu'on se retrouve toi, Robert et moi. Tu as un moment? On va dans une salle adjacente?
George, Robert et moi, on avait une relation particulière.
Je m'étais pour ainsi dire rajoutée à eux.
Parce que ce n'était pas moi qu'ils convoitaient. Ni l'un ni l'autre.
En fait, ils se convoitaient l'un l'autre.
Le local était immense et fait d'une mosaïque de petites salles. L'occasion de commencer tout de suite, tôt dans la soirée, à se rapprocher...Ce que certains faisaient déjà. Sur la gauche, la deuxième petite salle après la salle de réunion était prise, tout comme la fille qui était pliée en deux sur une table. Je ne l'ai pas reconnue, mais il y avait à chaque fois des personnes nouvelles, d'autres qui ne revenaient pas, ou qui venaient de manière irrégulière...Et elle je la voyais pour la première fois. De trois-quarts. Une longue chevelure qui lui descendait jusqu'au reins, auburn, soyeuse, un haut noir et une jupe roulée à la taille. Elle avait une culotte blanche accrochée en dessous des genoux, contre de classiques mais très troublantes bottes de cuir noir à talons aiguilles, toutes luisantes, neuves ou soigneusement entretenues. Difficile en la voyant ainsi de lui donner un âge, ou alors au risque de se tromper, et ce même en la voyant dans un trois-quarts mais qui effaçait une grande partie de son visage. Elle pouvait avoir aussi bien vingt ans que quarante.
La seule certitude, c'était sa nudité et le plaisir qu'elle prenait.
Elle avait une croupe bien charnue, qui partait loin en arrière, coupée en deux par un sillon profond. Le gars avait sa queue, enveloppée d'une capote enfoncée dans sa vulve, et il allait et venait en elle. La queue apparaissait et disparaissait.
Si je n'avais pas été avec George et Robert, j'aurais été les rejoindre. Certaine qu'ils m'auraient acceptée. Le gars aurait été enchanté de faire aller sa queue d'une vulve à l'autre.
C'était ce que j'appréciais ici. Sans vraiment se connaître on pouvait partir sur un moment de sexe très facilement.
Je me trompais en tout cas en pensant 'd'une vulve à l'autre'. Il a extirpé sa queue de son vagin. Il avait, lui aussi, une belle queue. Elle a appuyé ses mains sur ses fesses pour les ouvrir plus, et donner mieux accès à sa muqueuse anale, que j'ai aperçue, plissements imprimés dans sa chair. Il a remonté son gland de quelques centimètres et il est venu s'appuyer sur son ouverture anale. Elle a poussé un râle de plaisir. Ça l'a encouragé à rentrer en elle. Il a glissé dans la muqueuse avec une facilité qui disait que la fille se faisait sodomiser régulièrement.
J'avais très envie de venir me coller à eux et de lui bouffer les couilles pendant qu'il besognerait la jeune femme. Mais je devais aller plus loin.
Les deux garçons avaient déjà choisi une salle, où ils s'étaient calés. Et ils étaient déjà en pleine action.
Un long frisson, qui n'en finissait pas, m'a traversé. Il y a des plaisirs que rien n'épuise. Je ne me lassais pas, chaque fois qu'on se retrouvait, de voir les deux garçons ensemble. Un plaisir voyeuriste, mais qui se dissolvait dans l'action quand je les rejoignais.
Robert venait de récupérer la queue de George, George qui avait marché jusqu'à la salle en la gardant à l'air libre, et il la caressait de la langue avec une impression extatique. George s'est tendu et un jet de sperme, unique, est parti, qui lui a maculé le visage.
— Excuse, le plaisir...
La queue de Robert était, elle encore, enveloppée par les tissus. J'avais trop envie de m'en emparer.
Je me souvenais bien quand je les avais surpris tous les deux...Celle salle ou une salle plus loin...Ils se masturbaient mutuellement en s'embrassant. Ca m'avait mis dans tous mes états. Il aurait fallu ériger un mur de parpaings pour m’empêcher de participer. Je m'étais accroupie entre eux, j'avais attrapée leurs deux queues et je les avais frottées l'une contre l'autre. Ils avaient été surpris par mon intervention, par la caresse aussi, même si je pensais bien qu'ils l'avaient déjà tentée auparavant, et ils avaient joui quasi immédiatement, s'arrosant mutuellement de sperme, et trempant mes mains et mon visage. J'avais léché consciencieusement leurs queues, pour boire tout leur sperme, les faisant durcir à nouveau, même s'ils n'avaient pas vraiment débandé. Ils avaient continué de s'embrasser pendant que je m'occupais de leurs triques. Qu'est-ce qui les avait fait jouir? L'habileté de ma caresse, la surprise qui cassait une situation pourtant bien établie? Difficile de savoir...Quoi qu'il en soit, une main sur une queue, la bouche sur une autre, je les avais fait gémir de plaisir, En inversant la caresse. La queue qui était dans ma bouche a commencé à cracher sa semence, la sperme, copieux glissant dans ma gorge. J'adorais le sperme, et le boire. Je me suis tourné vers l'autre queue, les derniers crachements de sperme à peine sortis, pour d'autres rasades bien copieuses. J'avais fait le plein de semence, sans aucun doute.
Ca avait été le début...A chaque fois qu'on s'était revus, ça faisait un an maintenant qu'on se voyait régulièrement, on en rajoutait dans le plaisir. Dans certaines relations, il y a quelque chose d'intense, mais de très classique. A trois, on allait bien plus loin. Sans doute parce qu'ils étaient hors normes, et moi aussi.
J'ai retrouvé sa queue avec plaisir. Il y a des queues qui marquent, des queues qu'on retrouve avec joie. Je l'ai caressée de la bouche, venant laper à la sortie du méat le liquide qui coulait abondamment.
Je savais ce dont j'avais envie.
J'ai tiré de mon sac à main l'énorme boite de préservatifs que j'y avais glissé, en prévision de ces deux jours.
On avait déjà construit, eux et moi, tellement d'imbrications qui satisfaisaient leur envie de sexe homosexuel, mais aussi un désir, tout aussi vivace, de corps de femmes.
Souvent, ça se faisait dans l'intuition, dans l'envie, et dans l'harmonie.
Comme ce jour-là.
J'ai poussé George dans un de ces fauteuils comme il en existait des dizaines ici, du plastique coloré, avec un creux marqué et de l'espace. Sa verge était dressée, tendue au maximum ou presque, collée contre son ventre et frémissante et ne redescendrait pas avant qu'il n'ait joui.
A partir de ce point de départ, il y avait plein de possibilités, mais c'est moi, comme toujours, qui ait fait le choix de basculer sur un schéma précis. J'ai tiré Robert vers son amant. Ils me laissaient faire, ça faisait partie de cet accord tacite entre nous. Il s'est positionné au dessus de son amant, descendant vers la verge énorme que je venais de munir, rapidement, d'un préservatif. C'est moi qui ait ajusté le gland contre sa muqueuse anale, frottant celle-ci avec la tête de la verge. Ils ont gémi tous les deux. Et puis Robert s'est laissé glisser sur le membre de son amant. Je regardais toujours fascinée les queues de l'un et de l'autre disparaître dans la muqueuse de l'autre, voire même apparaître et disparaître dans ces mouvements de va-et-vient qui étaient gage de plaisir. Le sexe fascine toujours, énormément, et ce sont des choses simples qui vont capter l'attention. On est tous égaux dans le sexe, figés, fixés, par des moments basiques.
Robert a poussé un gémissement de plaisir pendant que la queue glissait en lui, pas totalement avalée, mais presque. J'ai glissé ma main entre mes cuisses pour me masturber, tirant sur mon gland clitoridien tout décalotté. De tels moments, si intenses, me mettaient dans tous mes états. C'était bien cela, pour moi, avant tout, ce colloque, des moments exceptionnels de plaisir que je ne retrouvais pas dans ma vie de tous les jours, sur l'exploitation et autour. Même si j'avais quand même quelques ressources...
J'ai amené ma main sur eux. Je voulais toucher. Les grosses couilles de George, qui palpitaient, caresser la partie de la queue qui apparaissait et disparaissait, mais je me suis très vite attaquée à celle de Robert. C'était la première fois que j'avais une relation avec deux homosexuels, et je remarquais à chaque fois le même phénomène : après la pénétration, s'ils étaient tous les deux en pleine érection, la queue de celui qui était pénétré perdait nettement sa superbe. Ça s'expliquait d'ailleurs assez facilement: il y avait un surgissement de plaisir tellement fort dans la zone postérieure que tout se qui se passait par devant était gommé.
Il fallait rallumer la flamme.
Ce à quoi je me suis employée une fois de plus.
J'ai masturbé doucement la queue assoupie, qui avait diminué de moitié. Sans effet dans les premières secondes, et puis quelque chose a bougé. La magie s'est remise en place sur ses chairs, et sa verge s'est tendue en quelques secondes seulement. Bien droite, collée contre son ventre.
Je savais qu'elle resterait maintenant dans cette position jusqu'à ce qu'il jouisse.
J'ai gainé le membre d'une capote, et je suis venue me caler au-dessus d'eux.
Ce que j'aimais le plus au final, c'était ça: quand, de trois nous ne faisions plus qu'un. Nous harmonisant dans un moment particulier, ça venait tout seul. En traversant nos chairs. Sans aucun doute quelque chose de magique. Mais le sexe c'était ça. Du rapprochement et de la magie.
J'ai pris la queue contre la paume de ma main, et je l'ai guidée vers ma vulve. La tête est venue appuyer contre mes lèvres, me donnant un avant-goût de plaisir, plaisir qui a pris sa pleine dimension quand la verge a glissé en moi, me remplissant et me prodiguant une caresse en même temps.
D'abord immobile, pris par le mouvement de la queue de George en lui, Robert a finalement basculé sur un autre rythme, prenant lui aussi du mouvement et de l'ampleur pour caresser ma vulve, en se calant sur le mouvement de son amant.
Une fois la mécanique mise en route, le plaisir, un plaisir intense s'installait vite, plaisir qui avait pour moi une dimension particulière. La queue de Robert me fouillait bien, me comblant, mais je me sentais aux prises avec quelque chose de plus...C'était comme si la queue de George m'avait AUSSI fouillée.
Jamais avant eux je n'avais fait l'amour avec deux partenaires, et j'avais cette sensation exquise que, cette fois comme d'autres fois, deux hommes me fouillaient. Même si l'un d'entre eux n'avait pas son sexe dans mon ventre.
Une situation qui a changé dans les minutes qui ont suivi.
J'ai fini par me dégager, en laissant la queue enveloppée de latex dégoulinante des sécrétions qui ruisselaient de moi.
Le temps d'un nouveau tableau. Et de la jouissance au bout du chemin.
On ne partait pas toujours sur ce chemin, mais, sans aucun doute, les deux garçons savaient, cet instinct qui se déployait quand on s'accouplait, ce que je voulais.
Une position que j'aimais, mais qu'ils aimaient aussi, parce qu'elle leur donnait du plaisir, mais aussi, plus simplement, parce qu'ils étaient viscéralement bisexuels, et qu'ils aimaient pénétrer une femme, rentrer dans ses chairs.
Je me demandais souvent, parce que nos contacts étaient limités à de tels moments, et les échanges tout aussi limités, comment ça se passait en dehors de ces colloques. Se voyaient-ils? Je savais qu'ils venaient du même département, sans plus. Avaient-ils une vie rangée, avec une femme, et se retrouvaient-ils dans certains moments, ce colloque, ou s'arrangeaient-ils pour se voir, et profiter de la queue de l'autre?
George m'a attrapé par les hanches pendant que je venais chercher sa queue, que le séjour dans le rectum de Patrick avait encore plus dilatée, si cela était possible.
De tels moments me mettaient dans tous mes états.
Le gland est venu appuyer contre ma muqueuse anale. Bien épais, mais elle était aussi aussi souple que mon autre muqueuse. Très doucement, il m'a fait descendre sur lui, pour me remplir.
Ca m'a donné tellement de bonheur que j'ai joui, et éjaculé, une rasade copieuse de mouille qui a éclaboussé Robert tout près, la queue agité de spasmes tellement il avait envie de nous rejoindre.
Quand Georges a été bien calé en moi, ça a été à Robert de me pénétrer. Il s'est rapproché un peu plus, et a glissé dans ma vulve.
Ils m'ont remplie et sont d'abord restés immobile. Le temps, sans doute, de ressentir les sensations. Qui étaient multiples. Je me sentais vraiment le ventre rempli, c'est normal avec deux queues dans le ventre au lieu d'une. Remplie et comblée. Le plaisir était démultiplié, et le serait quand ils commenceraient à bouger, caressant mes paries les plus sensibles, même s'il y avait d'autres parties du corps qui étaient AUSSI sensibles.
Ce qui m'avait excité le plus, la première fois où ils m'avaient pénétrée, ça avait, au-delà, de me rendre compte que leurs deux queues étaient en fait très proches, juste séparées, j'avais fait des recherches après, par une membrane, et que si elles me frottaient, elles frottaient AUSSI l'une contre l'autre, leur procurant du plaisir, et les excitant, je l'avais bien compris, plus sans doute, que s'ils les avaient frottées l'une contre l'autre. Parce qu'il y avait un plaisir double...Mes muqueuses, chaudes et douces, autour d'eux, et leurs queues qui se caressaient dans une modalité différente.
Dans cet exercice on était vite très haut dans l'excitation et le plaisir. L'enjeu ce n'était pas de jouir, mais plutôt de retarder la jouissance.
Difficile de faire bouger deux queues en même temps quand les muqueuses sont proches. Mais, dans l'harmonie qui nous caractérisait, il était facile de trouver le rythme. Une queue après l'autre, l'autre restant immobile, se contentant de me remplir, mais c'était déjà tellement bien de se sentir remplie.
La jouissance montait en nous...Difficile de la ralentir.
Ce qui avait tout déclenché et m'avait fait exploser, ça avait été quand au bout de son plaisir, Robert avait commencé à jouir. La semence avait cogné contre ma muqueuse vaginale, et j'avais explosé, un premier orgasme, en me tordant et en éjaculant. De grands jets liquides autour de sa queue qui avaient accompagné ces orgasmes qui m'avaient traversé. Ses dernières éjaculations avaient été accompagnées par les premières de George, qui avaient frappé contre ma muqueuse anale à travers le latex.
Sans doute que dan d'autres lieux, on aurait crié.
Le seul regret que j'avais, et il était immense, c'était que j'aurais aimé sentir le sperme VRAIMENT couler en moi. Qu'il me remplisse, et qu'après il coule de moi, prolongeant mon plaisir. Mais on avait le souci de ne prendre aucun risque.
Même si ce que je faisais après, paradoxalement, c'était AUSSI prendre un risque.
J'ai récupéré un préservatif après l'autre, je les ai étirés pour bouffer le sperme qui s'était accumulé au fond, jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus.
On s'est séparés ravis. Est-ce qu'on se reverrait durant ces réunions? On partait souvent, après un moment ensemble, sur d'autres relations. Avec l'envie frénétique d'avoir d'autres partenaires. Une fois suffisait pour nous remplir, dans tous les sens du terme.
PARTIE 3
Un coup d' oeil à l'heure, alors que je démarrais m'a fait comprendre qu'Elise et moi, c'était reporté. J'avais pris bien trop de temps ici, mais sans regrets. Un moment fort, et une prise de contact avec cette femme qui me troublait énormément. Je sentais bien qu'on pouvait faire, elle et moi, pas mal de choses. Que l'imagination et la routine pouvaient se mettre en place.
Je me suis arrêté sur un parking un peu plus loin. Un SMS pour Elise, qui, je le savais, était encore au travail.
On se voit après la réunion, je suis trop en retard.
Le retour a été immédiat.
Pas de souci. J'ai trop envie de baiser avec toi.
Entre Elise et moi, c'était un parfait accord. On s'était tout de suite entendues et vraiment bien entendues. D'abord simple copines, et puis ça avait très vite basculé sur du sexe. On se ressemblait beaucoup elle et moi. Elle était grande et massive comme moi et on avait des personnalités très proches. Un lien fort entre elle et moi. A tel point qu'on essayait de ce voir entre ces réunions mensuelles, on habitait à une heure l'une de l'autre, je faisais un saut chez elle et vice-versa, quand je pouvais.
J'ai ralenti, passant la banlieue pour arriver en centre ville.
Il y avait d'autres personnes, je le savais, que j'allais retrouver aussi.
Ces réunions étaient importantes pour nos revendications, on formalisait les choses, mais c'était aussi l'occasion de pas mal de moments de plaisir.
Je m'auto-questionnais pas mal et je me demandais d'ailleurs si j'y allais pour défendre notre métier en péril ou pour le sexe...
J'ai viré sur la gauche et je suis parti vers un bloc de bâtiments bas et laids. Un grand parking, déjà bien rempli. Je me suis garée et je suis partie en direction de la salle de réunion, mes talons claquant sur le sol.
La salle était pleine. J'ai aperçu George au fond. Est-ce qu'il s'était mis là parce qu'il m'attendait ? Robert lui était un peu plus loin.
En me glissant à côté de George, il ne m'avait pas entendue arriver, j'ai posé ma main sur son pantalon et caressé sa queue qui a immédiatement réagi. Il s'est tourné vers moi et il m'a dit :
— J'avais très envie de te retrouver. C'est chose faite.
Face à nous, il y avait une équipe de choc. C'était ce qui faisait la force de notre syndicat. Dans de telles réunions, il y avait nos dirigeants régionaux mais aussi des légistes qui nous aidaient à préparer des propositions crédibles. Après cette entrée en matière, on allait passer deux jours à travailler en groupes sur divers sujets, avec une restitution. Qui partirait ensuite vers les parlementaires et le gouvernement.
Il y avait vraiment deux lignes directrices dans ces journées. D'un côté, simplement, les journées intenses, passées à réfléchir, pour arriver à quelque chose de concret. Et puis après il y avait le temps libre. Et je savais bien que mes collègues, hommes comme femmes, on était à peu près 50/50 profitaient de ce temps libre ensemble, ou avec d'autres, dans des plaisirs très divers. J'en avais été témoin à plusieurs reprises.
J'étais vraiment la dernière arrivée. Notre leader local commençait à parler.
Incapable de me retenir, bien qu'étant attentive, je me suis mise à défaire George, pour mettre sa queue à nu.
— Tu es insatiable, il m'a jeté, sans pour autant chercher à m'en empêcher.
Il a plutôt choisi de faire glisser son blouson, du dossier de sa chaise à ses genoux pour masquer mes gestes, même si tout le monde s'en serait fiché, si tout avait été visible. De toutes les personnes présentes, il n'y en avait aucune qui était bégueule, au vu de ce que j'avais pu constater autour des réunions précédentes.
J'ai récupéré sa queue dans son caleçon. M'attendre, m'avoir vue arriver, me sentir près de lui, sentir ma main sur moi, tout cela sans doute faisait qu'il était déjà dans une belle érection.
Le blouson était ramassé devant, et j'ai pu donc voir la queue, en plus d'avoir sa sensation au bout des doigts.
Il y a des plaisirs dont on ne se lasse jamais, même si ce sont des plaisirs simples, et ça m'a mise dans tous les états, que de retrouver cette queue telle que je la connaissais, une belle queue, ce n'était pas le cas de toutes les queues loin de là, et Dieu savait si j'en avais déjà vu. Elle présentait la caractéristique d'être à la fois bien longue, mais aussi bien charnue, les deux ensemble étant rares. Avec la cerise sur le gâteau, un énorme gland avec lequel j'aimais jouer, et qui représentait le point faible de George. Caressé du bout de la langue, frotté de la langue, il libérait des torrents de sperme.
Je me suis mise à le masturber doucement. C'était un peu comme un jouet. J'aimais avoir une queue dans la main, et la sentir se métamorphoser. Là, la métamorphose, ça a aussi été qu'il s'est mis à couler, un liquide abondant et visqueux qui a rendu ma main huileuse.
C'était un moment de présentation, et ceux qui étaient en face de nous ont présenté les enjeux, les ateliers, et ce qui serait déroulé dans les deux journées à venir.
Je me suis vite rendue compte que je n'étais pas la seule à profiter de ce moment pour avoir du sexe. Plus ou moins en toute visibilité, mais ce n'était apparemment pas l'enjeu ici. On ne voyait pas vraiment les autres, on ne portait pas de jugement, puisque tout le monde faisait pareil.
Un peu plus loin, je pouvais apercevoir Giulia, une fille dans la cinquantaine, rousse, avec des formes pleines, penchée sur la queue d'un gars, et qui lui administrait une fellation sans se cacher. Sa bouche montait et descendait sur une queue en pleine érection, mais qui se dilatait encore. La queue était longue et épaisse, mais elle la travaillait avec habileté, en fille habituée à faire des fellations, alternant les va-et-vient sur une queue qu'elle avalait quasiment jusqu'à la racine, joues gonflées, mais aussi certainement en gorge profonde, mais dégageant aussi le membre, dilaté et couvertes de salive, pour venir l'agacer de la langue, titillant le gland ou les couilles. Giulia, c'était la spécialiste des fellations. Je me souvenais bien, quelques temps plus tôt, comme on le faisait souvent ces jours-là, on avait été manger à plusieurs. Il y avait eu un moment où elle avait disparu, et trois gars de la tablée aussi. Intriguée, je l'avais pistée, jusqu'à la retrouver aux chiottes en sous-sol. Il y avait bien les trois gars de la tablée, plus quelques autres, et accroupie au milieu d'eux, elle allait d'une queue à l'autre, bouffant leurs verges congestionnées, et ouvrant sa bouche quand le sperme allait gicler, pour accueillir leurs jaillissements.
Là, ce ne fut pas vraiment pareil. Quand elle sentit les frémissements de jouissance du gars, elle referma sa bouche sur sa verge. Tourneboulée, j'ai vu la queue agitée de spasmes, le gars se tendre en arrière. D'évidence il était entrain de jouir. Et elle, elle ne voulait pas en perdre une goutte. Un pari perdu, car il y eut un filet de semence, blanc, qui coula le long de sa joue. Elle s'accrochait à la queue, et elle ne la lâcha pas avant un long moment. Quand elle la laissa enfin, elle ne débandait même pas, mais surtout la queue, soigneusement léchée, était luisante de salive. Et le gosier de Giulia plein de semence.
C'était ça, ces séminaires...Ces sollicitations partout. Difficile de garder la tête froide. Je sentais que je me trempais la culotte...J'avais une folle envie de me masturber et de jouir.
45 minutes et on se séparait sur la promesse de se retrouver le lendemain matin sur le coup de 8 heures 30.
J'avais toujours la queue de George dans la main, dilatée et ruisselante.
— J'ai envie qu'on se retrouve toi, Robert et moi. Tu as un moment? On va dans une salle adjacente?
George, Robert et moi, on avait une relation particulière.
Je m'étais pour ainsi dire rajoutée à eux.
Parce que ce n'était pas moi qu'ils convoitaient. Ni l'un ni l'autre.
En fait, ils se convoitaient l'un l'autre.
Le local était immense et fait d'une mosaïque de petites salles. L'occasion de commencer tout de suite, tôt dans la soirée, à se rapprocher...Ce que certains faisaient déjà. Sur la gauche, la deuxième petite salle après la salle de réunion était prise, tout comme la fille qui était pliée en deux sur une table. Je ne l'ai pas reconnue, mais il y avait à chaque fois des personnes nouvelles, d'autres qui ne revenaient pas, ou qui venaient de manière irrégulière...Et elle je la voyais pour la première fois. De trois-quarts. Une longue chevelure qui lui descendait jusqu'au reins, auburn, soyeuse, un haut noir et une jupe roulée à la taille. Elle avait une culotte blanche accrochée en dessous des genoux, contre de classiques mais très troublantes bottes de cuir noir à talons aiguilles, toutes luisantes, neuves ou soigneusement entretenues. Difficile en la voyant ainsi de lui donner un âge, ou alors au risque de se tromper, et ce même en la voyant dans un trois-quarts mais qui effaçait une grande partie de son visage. Elle pouvait avoir aussi bien vingt ans que quarante.
La seule certitude, c'était sa nudité et le plaisir qu'elle prenait.
Elle avait une croupe bien charnue, qui partait loin en arrière, coupée en deux par un sillon profond. Le gars avait sa queue, enveloppée d'une capote enfoncée dans sa vulve, et il allait et venait en elle. La queue apparaissait et disparaissait.
Si je n'avais pas été avec George et Robert, j'aurais été les rejoindre. Certaine qu'ils m'auraient acceptée. Le gars aurait été enchanté de faire aller sa queue d'une vulve à l'autre.
C'était ce que j'appréciais ici. Sans vraiment se connaître on pouvait partir sur un moment de sexe très facilement.
Je me trompais en tout cas en pensant 'd'une vulve à l'autre'. Il a extirpé sa queue de son vagin. Il avait, lui aussi, une belle queue. Elle a appuyé ses mains sur ses fesses pour les ouvrir plus, et donner mieux accès à sa muqueuse anale, que j'ai aperçue, plissements imprimés dans sa chair. Il a remonté son gland de quelques centimètres et il est venu s'appuyer sur son ouverture anale. Elle a poussé un râle de plaisir. Ça l'a encouragé à rentrer en elle. Il a glissé dans la muqueuse avec une facilité qui disait que la fille se faisait sodomiser régulièrement.
J'avais très envie de venir me coller à eux et de lui bouffer les couilles pendant qu'il besognerait la jeune femme. Mais je devais aller plus loin.
Les deux garçons avaient déjà choisi une salle, où ils s'étaient calés. Et ils étaient déjà en pleine action.
Un long frisson, qui n'en finissait pas, m'a traversé. Il y a des plaisirs que rien n'épuise. Je ne me lassais pas, chaque fois qu'on se retrouvait, de voir les deux garçons ensemble. Un plaisir voyeuriste, mais qui se dissolvait dans l'action quand je les rejoignais.
Robert venait de récupérer la queue de George, George qui avait marché jusqu'à la salle en la gardant à l'air libre, et il la caressait de la langue avec une impression extatique. George s'est tendu et un jet de sperme, unique, est parti, qui lui a maculé le visage.
— Excuse, le plaisir...
La queue de Robert était, elle encore, enveloppée par les tissus. J'avais trop envie de m'en emparer.
Je me souvenais bien quand je les avais surpris tous les deux...Celle salle ou une salle plus loin...Ils se masturbaient mutuellement en s'embrassant. Ca m'avait mis dans tous mes états. Il aurait fallu ériger un mur de parpaings pour m’empêcher de participer. Je m'étais accroupie entre eux, j'avais attrapée leurs deux queues et je les avais frottées l'une contre l'autre. Ils avaient été surpris par mon intervention, par la caresse aussi, même si je pensais bien qu'ils l'avaient déjà tentée auparavant, et ils avaient joui quasi immédiatement, s'arrosant mutuellement de sperme, et trempant mes mains et mon visage. J'avais léché consciencieusement leurs queues, pour boire tout leur sperme, les faisant durcir à nouveau, même s'ils n'avaient pas vraiment débandé. Ils avaient continué de s'embrasser pendant que je m'occupais de leurs triques. Qu'est-ce qui les avait fait jouir? L'habileté de ma caresse, la surprise qui cassait une situation pourtant bien établie? Difficile de savoir...Quoi qu'il en soit, une main sur une queue, la bouche sur une autre, je les avais fait gémir de plaisir, En inversant la caresse. La queue qui était dans ma bouche a commencé à cracher sa semence, la sperme, copieux glissant dans ma gorge. J'adorais le sperme, et le boire. Je me suis tourné vers l'autre queue, les derniers crachements de sperme à peine sortis, pour d'autres rasades bien copieuses. J'avais fait le plein de semence, sans aucun doute.
Ca avait été le début...A chaque fois qu'on s'était revus, ça faisait un an maintenant qu'on se voyait régulièrement, on en rajoutait dans le plaisir. Dans certaines relations, il y a quelque chose d'intense, mais de très classique. A trois, on allait bien plus loin. Sans doute parce qu'ils étaient hors normes, et moi aussi.
J'ai retrouvé sa queue avec plaisir. Il y a des queues qui marquent, des queues qu'on retrouve avec joie. Je l'ai caressée de la bouche, venant laper à la sortie du méat le liquide qui coulait abondamment.
Je savais ce dont j'avais envie.
J'ai tiré de mon sac à main l'énorme boite de préservatifs que j'y avais glissé, en prévision de ces deux jours.
On avait déjà construit, eux et moi, tellement d'imbrications qui satisfaisaient leur envie de sexe homosexuel, mais aussi un désir, tout aussi vivace, de corps de femmes.
Souvent, ça se faisait dans l'intuition, dans l'envie, et dans l'harmonie.
Comme ce jour-là.
J'ai poussé George dans un de ces fauteuils comme il en existait des dizaines ici, du plastique coloré, avec un creux marqué et de l'espace. Sa verge était dressée, tendue au maximum ou presque, collée contre son ventre et frémissante et ne redescendrait pas avant qu'il n'ait joui.
A partir de ce point de départ, il y avait plein de possibilités, mais c'est moi, comme toujours, qui ait fait le choix de basculer sur un schéma précis. J'ai tiré Robert vers son amant. Ils me laissaient faire, ça faisait partie de cet accord tacite entre nous. Il s'est positionné au dessus de son amant, descendant vers la verge énorme que je venais de munir, rapidement, d'un préservatif. C'est moi qui ait ajusté le gland contre sa muqueuse anale, frottant celle-ci avec la tête de la verge. Ils ont gémi tous les deux. Et puis Robert s'est laissé glisser sur le membre de son amant. Je regardais toujours fascinée les queues de l'un et de l'autre disparaître dans la muqueuse de l'autre, voire même apparaître et disparaître dans ces mouvements de va-et-vient qui étaient gage de plaisir. Le sexe fascine toujours, énormément, et ce sont des choses simples qui vont capter l'attention. On est tous égaux dans le sexe, figés, fixés, par des moments basiques.
Robert a poussé un gémissement de plaisir pendant que la queue glissait en lui, pas totalement avalée, mais presque. J'ai glissé ma main entre mes cuisses pour me masturber, tirant sur mon gland clitoridien tout décalotté. De tels moments, si intenses, me mettaient dans tous mes états. C'était bien cela, pour moi, avant tout, ce colloque, des moments exceptionnels de plaisir que je ne retrouvais pas dans ma vie de tous les jours, sur l'exploitation et autour. Même si j'avais quand même quelques ressources...
J'ai amené ma main sur eux. Je voulais toucher. Les grosses couilles de George, qui palpitaient, caresser la partie de la queue qui apparaissait et disparaissait, mais je me suis très vite attaquée à celle de Robert. C'était la première fois que j'avais une relation avec deux homosexuels, et je remarquais à chaque fois le même phénomène : après la pénétration, s'ils étaient tous les deux en pleine érection, la queue de celui qui était pénétré perdait nettement sa superbe. Ça s'expliquait d'ailleurs assez facilement: il y avait un surgissement de plaisir tellement fort dans la zone postérieure que tout se qui se passait par devant était gommé.
Il fallait rallumer la flamme.
Ce à quoi je me suis employée une fois de plus.
J'ai masturbé doucement la queue assoupie, qui avait diminué de moitié. Sans effet dans les premières secondes, et puis quelque chose a bougé. La magie s'est remise en place sur ses chairs, et sa verge s'est tendue en quelques secondes seulement. Bien droite, collée contre son ventre.
Je savais qu'elle resterait maintenant dans cette position jusqu'à ce qu'il jouisse.
J'ai gainé le membre d'une capote, et je suis venue me caler au-dessus d'eux.
Ce que j'aimais le plus au final, c'était ça: quand, de trois nous ne faisions plus qu'un. Nous harmonisant dans un moment particulier, ça venait tout seul. En traversant nos chairs. Sans aucun doute quelque chose de magique. Mais le sexe c'était ça. Du rapprochement et de la magie.
J'ai pris la queue contre la paume de ma main, et je l'ai guidée vers ma vulve. La tête est venue appuyer contre mes lèvres, me donnant un avant-goût de plaisir, plaisir qui a pris sa pleine dimension quand la verge a glissé en moi, me remplissant et me prodiguant une caresse en même temps.
D'abord immobile, pris par le mouvement de la queue de George en lui, Robert a finalement basculé sur un autre rythme, prenant lui aussi du mouvement et de l'ampleur pour caresser ma vulve, en se calant sur le mouvement de son amant.
Une fois la mécanique mise en route, le plaisir, un plaisir intense s'installait vite, plaisir qui avait pour moi une dimension particulière. La queue de Robert me fouillait bien, me comblant, mais je me sentais aux prises avec quelque chose de plus...C'était comme si la queue de George m'avait AUSSI fouillée.
Jamais avant eux je n'avais fait l'amour avec deux partenaires, et j'avais cette sensation exquise que, cette fois comme d'autres fois, deux hommes me fouillaient. Même si l'un d'entre eux n'avait pas son sexe dans mon ventre.
Une situation qui a changé dans les minutes qui ont suivi.
J'ai fini par me dégager, en laissant la queue enveloppée de latex dégoulinante des sécrétions qui ruisselaient de moi.
Le temps d'un nouveau tableau. Et de la jouissance au bout du chemin.
On ne partait pas toujours sur ce chemin, mais, sans aucun doute, les deux garçons savaient, cet instinct qui se déployait quand on s'accouplait, ce que je voulais.
Une position que j'aimais, mais qu'ils aimaient aussi, parce qu'elle leur donnait du plaisir, mais aussi, plus simplement, parce qu'ils étaient viscéralement bisexuels, et qu'ils aimaient pénétrer une femme, rentrer dans ses chairs.
Je me demandais souvent, parce que nos contacts étaient limités à de tels moments, et les échanges tout aussi limités, comment ça se passait en dehors de ces colloques. Se voyaient-ils? Je savais qu'ils venaient du même département, sans plus. Avaient-ils une vie rangée, avec une femme, et se retrouvaient-ils dans certains moments, ce colloque, ou s'arrangeaient-ils pour se voir, et profiter de la queue de l'autre?
George m'a attrapé par les hanches pendant que je venais chercher sa queue, que le séjour dans le rectum de Patrick avait encore plus dilatée, si cela était possible.
De tels moments me mettaient dans tous mes états.
Le gland est venu appuyer contre ma muqueuse anale. Bien épais, mais elle était aussi aussi souple que mon autre muqueuse. Très doucement, il m'a fait descendre sur lui, pour me remplir.
Ca m'a donné tellement de bonheur que j'ai joui, et éjaculé, une rasade copieuse de mouille qui a éclaboussé Robert tout près, la queue agité de spasmes tellement il avait envie de nous rejoindre.
Quand Georges a été bien calé en moi, ça a été à Robert de me pénétrer. Il s'est rapproché un peu plus, et a glissé dans ma vulve.
Ils m'ont remplie et sont d'abord restés immobile. Le temps, sans doute, de ressentir les sensations. Qui étaient multiples. Je me sentais vraiment le ventre rempli, c'est normal avec deux queues dans le ventre au lieu d'une. Remplie et comblée. Le plaisir était démultiplié, et le serait quand ils commenceraient à bouger, caressant mes paries les plus sensibles, même s'il y avait d'autres parties du corps qui étaient AUSSI sensibles.
Ce qui m'avait excité le plus, la première fois où ils m'avaient pénétrée, ça avait, au-delà, de me rendre compte que leurs deux queues étaient en fait très proches, juste séparées, j'avais fait des recherches après, par une membrane, et que si elles me frottaient, elles frottaient AUSSI l'une contre l'autre, leur procurant du plaisir, et les excitant, je l'avais bien compris, plus sans doute, que s'ils les avaient frottées l'une contre l'autre. Parce qu'il y avait un plaisir double...Mes muqueuses, chaudes et douces, autour d'eux, et leurs queues qui se caressaient dans une modalité différente.
Dans cet exercice on était vite très haut dans l'excitation et le plaisir. L'enjeu ce n'était pas de jouir, mais plutôt de retarder la jouissance.
Difficile de faire bouger deux queues en même temps quand les muqueuses sont proches. Mais, dans l'harmonie qui nous caractérisait, il était facile de trouver le rythme. Une queue après l'autre, l'autre restant immobile, se contentant de me remplir, mais c'était déjà tellement bien de se sentir remplie.
La jouissance montait en nous...Difficile de la ralentir.
Ce qui avait tout déclenché et m'avait fait exploser, ça avait été quand au bout de son plaisir, Robert avait commencé à jouir. La semence avait cogné contre ma muqueuse vaginale, et j'avais explosé, un premier orgasme, en me tordant et en éjaculant. De grands jets liquides autour de sa queue qui avaient accompagné ces orgasmes qui m'avaient traversé. Ses dernières éjaculations avaient été accompagnées par les premières de George, qui avaient frappé contre ma muqueuse anale à travers le latex.
Sans doute que dan d'autres lieux, on aurait crié.
Le seul regret que j'avais, et il était immense, c'était que j'aurais aimé sentir le sperme VRAIMENT couler en moi. Qu'il me remplisse, et qu'après il coule de moi, prolongeant mon plaisir. Mais on avait le souci de ne prendre aucun risque.
Même si ce que je faisais après, paradoxalement, c'était AUSSI prendre un risque.
J'ai récupéré un préservatif après l'autre, je les ai étirés pour bouffer le sperme qui s'était accumulé au fond, jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus.
On s'est séparés ravis. Est-ce qu'on se reverrait durant ces réunions? On partait souvent, après un moment ensemble, sur d'autres relations. Avec l'envie frénétique d'avoir d'autres partenaires. Une fois suffisait pour nous remplir, dans tous les sens du terme.
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : Julie, agricultrice, dodue et sexy partie 3
Aucun commentaire pour le moment
Histoire précèdente <<<