Zoé, ma fille chérie - 1

Bonjour, je m’appelle Pierre. Je suis masseur ayurvédique depuis quinze ans. Je reçois chez moi, à Bruxelles (Belgique), dans une grande maison, en bordure de la forêt, avec jardin, jacuzzi et serre. Ma fille, Zoé, vient tout juste d’avoir dix-huit ans, comme sa copine, Ruth, qui est chez nous pour tout l’été.
Ma femme a quitté le domicile conjugal depuis trois ans, ne supportant plus mes aventures extra.
Il faut dire que je ne masse que les femmes et que j’accompagne parfois certaines jusqu’à l’orgasme. Le petit plus, la touche finale, quoi ! J’ai une clientèle discrète et fidèle.
Je masse Zoé depuis qu’elle est toute petite, en tout bien tout honneur. Nous sommes assez « libérés » et nous promenons nus, l’une comme l’autre, très facilement. Zoé connaît mes pratiques extra et ne semble pas s’en offusquer. Je pressens qu’elle est fière de son papounet chéri et de son succès auprès de la gent féminine.
Ma Zoé chérie est magnifique, 160 cm, 50 kg, cheveux blonds comme les blés, yeux bleus, taille fine, poitrine normale. Zoé est souriante, extravertie, sociable.
Ruth est une fille sportive, mais secrète et timide. Ses longs cheveux bruns descendent sur un dos magnifique et elle a un regard qui vous déshabille... l’âme !
Bref, je lui propose un massage quand elle veut et Zoé insiste :
- Tu verras, c’est sensass !
Ruth refuse gentiment tout en me jetant un regard entendu. Bon, je ne me formalise pas.
Et puis les jours passent.
Ruth et Zoé dorment ensemble et leur chambre est contiguë à mon espace professionnel, mon temple, là où j’officie.
Ce matin, j’ai une cliente, Solange, qui vient assez tôt se faire lustrer le poil. Le massage se passe divinement, la femme s’étant endormie… à la fin, mes mains restent sur le ventre et l’une d’elle, la droite, descend doucement vers sa chatte, et reste là, attentive. L’autre, la gauche, est remontée vers la poitrine endormie ! Mes gestes restent harmonieux, doux et coordonnées, je masse professionnellement la chatte et les seins de mon endormie qui gémit doucement sous les caresses inédites. Et Solange, comme une sorte de permission, écarte instinctivement les cuisses, oh pas beaucoup, mais assez pour que ma main se sente accueillie… je change alors de main, dans un chassé-croisé harmonieux et doux. Les tétons de Solange sont durs et sa vulve tendre. Elle mouille abondamment.
Les gémissements se font plus forts, et Solange écarte les lèvres, se cambre légèrement, bouge, en fait commence à se tortiller. Sa respiration s’accélère légèrement. Enfin, elle jouit, sans prévenir en gémissant de façon aiguë.
Je suis sûr que Zoé et Ruth ont tout entendu, car la cloison qui sépare leur chambre de mon temple est mince.
Solange se réveille, se rhabille, paie, m’embrasse et s’en va. A la semaine prochaine.
Avant de sortir de mon atelier ayurvédique, je colle mon oreille contre la cloison et perçois les gémissement de ma fille et de son amie ! Elles se masturbent, ayant été échauffées par Solange et son abandon.
Le petit-déjeuner se passe divinement, dehors, sur la terrasse ensoleillée. Je propose derechef à Ruth un massage et cette fois elle me dit :
- Oui, Monsieur.
On convient du début d’après-midi… je suis impatient !
Le reste de la matinée, je jardine dans la serre à mes chères tomates, poivrons et autres légumes. Les filles se font dorer la pilule sur la pelouse, à moitié nues !
14 heures, l’heure du massage arrive. Nous entrons dans le temple.
Ruth hésite à enlever sa culotte, je l’encourage en lui disant :
- Tu seras plus à l’aise.
Ben voyons !
Bon, la voilà nue, couchée sur le ventre, sous mon drap de lin, mes mains expertes sont prêtes, une musique douce occupe l’espace sonore, mais très en fond… je commence à masser ce corps magnifique et musclé, si fin…
Ruth est attentive, trop même, comme méfiante, se tend légèrement quand mes mains passent à l’intérieur de ses cuisses que je masse naturellement. Elle se retourne enfin, sur le dos, et commence à se détendre. Ses yeux sont fermés. Son ventre est d’une douceur incroyable.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, lorsque je masse, je ne suis jamais excité, les mouvements millénaires que j’applique avec application et engagement sont tournés vers le bien-être de la personne massée. Ma satisfaction est dans le processus et la rencontre subtile…
Ruth est maintenant reposée, offerte, luisante d’huile de sésame et mes mains s’attardent sur ses tétons qui commencent à durcir. Je palpe doucement ses seins et je les fais bouger, je joue avec, en somme, elle sourit !
Nous ne disons mot. Ruth ne bouge pas, elle sait que le massage est techniquement terminé, mais elles reste là, décontractée, mais attentive. Ma main droite, vous savez comme elle est coquine, descend entre ses cuisses et frôle sa vulve que je sais humide… je lui caresse l’intérieur des cuisses qui d’elle-mêmes s’écartent légèrement… du droit chemin !
Je commence alors à avoir une petite érection, une émotion, un désir, je sais que je vais faire jouir cette jeune personne et j’en suis heureux et fier.
Ruth gémit légèrement, comme Solange ce matin.
Je prends délicatement sa main gauche et la dépose sur sa chatte… aussitôt ses doigts agiles fouillent ses petites lèvres, comme s’ils avaient perdu quelque chose !
Je me penche et suce ses tétons, tout en caressant ses seins.
Mes doigts viennent aider les siens à masturber cette chatte divine. Nous mélangeons nos doigts et Ruth se cambre et écarte ses cuisses comme pour nous faciliter la tâche et nous la masturbons avec entrain. Je vais dans son vagin avec un doigt puis deux et j’en ressors tout étourdi et gluant de cyprine et je reviens à la charge et ses doigts à elle y vont aussi jeter un coup d’œil… nous sommes unis dans cette masturbation et ses gémissements sont de plus en plus sonores… j’espère que Zoé est attentive, derrière la cloison…
Ruth sourit sans arrêt, heureuse et puis… elle jouit soudainement, sans prévenir ! Son orgasme est énorme, elle se cambre et serre ses cuisses sur nos doigts prisonnier de ces muscles si lisses et mouillés et son ventre ondule et ses reins se cabrent et elle crie sa joie de vivre, elle jouit comme une folle de joie !
Je bande maintenant comme un taureau.
Et puis nous entendons ma fille, de l’autre côté du miroir, qui se fait plaisir et se masturbe et jouit en criant le plus fort possible. Ruth se sent accompagnée et rigole de bonheur !
Je reste là à masturber Ruth, à faire durer son plaisir, à la caresser, et elle me sourit enfin, apaisée… je luis dis de rester un instant, sans bouger, tranquille, cool, et d’écouter la musique dont j’augmente le volume, je sors.
Je me dirige vers la chambre de Zoé et entre…