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Julie, agricultrice, dodue et sexy partie 4
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JULIE AGRICULTRICE, DODUE ET SEXY
PARTIE 4
J'étais installé au bord d'une rivière. Un paysage bucolique, hyper-agréable. Sous les arbres, la fraîcheur d'un après-midi printanier, à laquelle s'ajoutait celle de la rivière qui passait le long. Bref, un moment parfait.
J'avais une longue robe, sans rien dessous, et dès que je m'étais sentie à l'aise, je n'avais eu qu'une envie: me masturber. Je crevais d'envie de sexe.
J'étais là, mes doigts tournant sur mes lèvres, quand j'avais senti la présence.
Une présence invisible.
Une entité?
Certes, mais une entité féminine.
Une présence qui n'avait rien d'hostile, chaude et enveloppante.
Et surtout, une présence susceptible de me donner du plaisir.
Il n'y avait pas eu de paroles prononcées, mais s'était imposée l'idée que cette présence pouvait et allait me donner du plaisir, pour aller plus loin que mes caresses masturbatoires.
Cette présence invisible vint se coller à moi, me remplissant de chaleur, m'enveloppant, m'envahissant, me remplissant d'une félicité que je n'avais connue avec aucun autre partenaire parce qu'elle était totalement en moi, et pas seulement dans une partie de moi.
Elle prenait tout son temps.
Une félicité absolue parce qu'elle impliquait tout mon être. Jusqu'à la moindre cellule. Un bien-être total, qu'aucun partenaire ne m'avait donné jusqu'à présent.
Cette chaleur infinie et caressante s'était attardée sur ma bouche, sur mes seins, mon ventre, avant de venir sur mon sexe. J'étais ouverte autant que je pouvais m'ouvrir pour accueillir la caresse. Elle utilisait sa langue, et je crois bien que j'avais rarement eu autant de plaisir. Sa langue était habile, elle ne négligeait aucune zone, et surtout, elle allait très loin au cœur de moi, rentrant sur des zones où personne encore ne s'était aventuré. Comme dans Star Trek, mais mieux que de regarder un épisode.
Un de ces rares moments de la vie, où les soucis sont loin et le bonheur absolu. Un bonheur absolu qui avait ici des nuances de plaisir.
Je voulais que ça dure, que ça dure...
Et le fil s'est rompu.Une cassure, et je suis revenue à la réalité.
La pénombre de la chambre, éclairée par une veilleuse mais aussi par la rue, parce que je n'avais pas baissé les volets.
Je me suis rappelée de ce qui s'était passé après ce merveilleux moment à trois.
Pour moi pas d'hôtel, je passais mes soirées, mes nuits et mes matins chez Emilie.
Je suis partie pour chez elle. Heureuse de la retrouver. Les moments qu'on passait ensemble étaient marqués par une grande complicité et un goût commun pour le sexe.
Je me garais quand elle m'avait laissé un message:
— Je serai en retard. Je te rejoins dès que possible. Tu as les clefs, installe-toi.
Je m'étais calée dans l'appartement vide, d'abord sur le divan. Puis le sommeil me gagnant, j'étais partie sur le grand lit que je connaissais bien, où nous nous ébattions souvent elle et moi. Je m'étais endormie, et j'étais partie sur ce rêve délicieux.
Et je la retrouvais, plongée sur le lit, sa langue parcourant mes parties intimes, me dévorant comme elle seule savait le faire. Le rêve était sans doute meilleur, plus intense, mais la réalité était très bonne aussi.
Avant de glisser sur le lit, j'avais fait glisser mon tailleur, et ôté mes sous-vêtements, gardant juste mes bas. Je m'étais dit que ce serait un bon réveil que de la retrouver près de moi.
Elle, elle était encore habillée. Un caleçon, une veste avec un T-shirt dessous.
Je me suis dégagée de sa caresse buccale, plongeant sur elle pour prendre sa bouche. Dans la joie des retrouvailles, nos langues se sont accrochées et pas lâchées pour un moment, pendant que mes mains partaient à l'assaut de son corps. Je voulais les mettre partout. Quand je la retrouvais, que je la touchais, je retrouvais un sentiment de plénitude que je n'avais qu'avec elle. Je reconnaissais le terrain, ses formes, avec une joie immense.
J'ai glissé mes mains sous le caleçon, trouvant ses fesses nues dessous. Mes paumes ont pris la mesure de leur volume, avant de parcourir le sillon, et de venir appuyer sur sa muqueuse anale. On se mordillait les lèvres. Elle frottait l'entrée de mon sexe, toute gonflée d'excitation. J'ai glissé sur ses hanches, venant appuyer sur se fente, que j'ai trouvée aussi humide qu'ouverte.
Elle m'a pénétré de deux doigts, j'en ai fait de même, et on s'est masturbées mutuellement, explorant de nos deux doigts le sexe de notre partenaire. On se connaissait par cœur, mais on se redécouvrait à chaque fois. Elle s'est mise à gémir de plaisir, et je l'ai accompagnée.
On avait une relation intense et forte. Souvent, quand j'étais seule, à la maison, je me masturbais en repensant à ces moments uniques. C'était la magie et le drame des relations humaines, qui pouvaient aussi bien être atroces que d'une rare complicité.
De tels moments de sexe, aussi forts, dans lesquels on se sentait tellement bien, permettaient de compenser les moments de la vie les plus durs. Comme un baume. Ceux qui n'aimaient pas le sexe et s'en passaient perdaient beaucoup de choses.
Je l'ai faite basculer sur le lit, descendant son caleçon, l'attrapant par la taille, et venant poser ma bouche sur son sexe. Elle était aussi ouverte qu'elle mouillait, et je l'ai caressée de la bouche. Elle a gémi de plaisir, ses liquides intimes coulant dans ma bouche comme un breuvage divin. On s'est calées pour un 69 parfait, qui n'étaient jamais aussi bons qu'avec elle. On s'est données mutuellement du plaisir, en gémissant de plaisir, et en ruisselant sur le visage et dans la bouche de l'autre.
Quand elle s'est dégagée, je savais exactement ce qu'elle allait faire.
Emilie avait une passion toute particulière pour les gadgets. Elle en achetait...Au moins une fois, sinon plusieurs fois par mois...Ainsi qu'elle me l'avait expliqué, elle aimait se procurer du plaisir seule, et chacun d'entre eux lui apportait quelque chose de différent.
J'avais pu le constater, puisque j'étais familière de l'appartement, elle en avait mis un peu partout, de telle sorte qu'elle n'était jamais en peine, en manque de godes.
Elle a glissé au bord du lit, et elle s'est penchée, tête la première, pou aller chercher quelque chose sous le lit, le bas du ventre encore accroché à la surface plane. L'occasion de profiter de ses formes, sa croupe très ronde et très rebondie, ouverte dans cette position sur la fente qui la coupait en deux, les plissements de son anus bien visibles, et sa vulve toute gonflée, à laquelle l'excitation et le plaisir donnaient un tout autre aspect que quand elle était au repos, lèvres gorgées de sang longues et étirées, chair luisante de ses liquides intimes qui coulaient ou qui suintaient, gros et long clitoris en pleine érection...Mais même au repos sa chatte était ultra désirable...
J'ai glissé jusqu'à elle, souple et rapide. Mais ce n'est pas sa grosse moule que j'ai attaquée, visant plutôt sa muqueuse anale...Elle a poussé un cri, interrompant son acte.
— Ah, sale garce, tu veux me rendre folle!
Elle me l'avait déjà souvent dit et confié, elle aimait tout particulièrement se faire baiser par le cul. Doigt, langue, gode, voire même des queues d'hommes, puisqu'elle était aussi bi que moi, y trouvant des plaisirs que ne lui donnait pas sa chatte.
Du coup, il lui a fallu plus de temps qu'elle ne l'avait prévu pour ramener la boite planquée sous le lit.
Elle s'est redressée, retournée, cassant mon analingus.
Une grosse boite plastique, plate, avec un couvercle qu'elle a soulevé. Certaines formes m'étaient familières, d'autres non. Elle y a plongé une main sûre, et elle a ramené un double gode, épais, plié en deux. Elle l'a lâché, il s'est déplié comme un diable qui sort de sa boite.
Je connaissais, bien sûr, même si on n'en avait jamais utilisé ensemble. Les double godes. Je voyais pleins de possibilités se dessiner. Même si je savais que j'allais lui laisser l'initiative. C'était un schéma que j'aimais bien. La laisser démarrer et puis ensuite prendre le dessus sur elle.
Dans la boite, il y avait aussi un tube de gel. Elle en a enduit un tiers du gode de lubrifiant, avant de l'amener près de mes lèvres. J'étais totalement offerte, abandonnée. Rien que ces moments-là suffisaient à justifier que je puisse venir. Elle m'a souri, et ce sourire disait clairement qu'elle prenait autant de plaisir que moi, sans doute en partie parce qu'elle anticipait ce qui allait venir.
Elle a poussé le gode en moi, avec une lenteur calculée, mêlant ainsi de plaisir et la frustration. Une caresse intense, en même temps qu'une frustration. L'envie de se sentir vite remplie, de sentir la queue de plastique bouger, mais une caresse si lente était aussi un véritable plaisir.
Elle a glissé en moi en prenant tout son temps, et en frottant en même temps son gland clitoridien, qui, entre ses cuisses, se dressait, charnu et en pleine érection, comme aurait pu se dresser une queue d'homme, tellement il était gros, épais et long, et il s'allongeait encore pendant qu'elle le branlait.
Quand le bout du gode s'est immobilisé contre mon utérus, j'en avais avalé un peu plus d'un tiers.
Elle l'a fait bouger en moi très lentement. J'ai gémi. Les jeux lesbiens c'est toujours très bon. Avec elle, c'était encore meilleur. Et puis j'avais dans ma ligne de mire ce gland clitoridien qui ne cessait de grossir, qu'elle masturbait avec constance.
Elle n'a pas tenu très longtemps avant de caler le gode en elle. Elle s'est un peu déplacée en avant, vers moi, et, avec la même fascination avec laquelle je l'avais vue masturber un gland clitoridien qui dardait comme une mini-bite, dressé, donnant irrésistiblement l'envie de le toucher, de le frotter, de le caresser et de le sucer, j'ai vu la deuxième partie du double gode rentrer en elle. Ça m'a tellement excitée d'avoir ce tableau sous les yeux, le gland clitoridien dressé, totalement obscène, et la queue de plastique glissant entre elle très lentement, la remplissant, alors que mon sexe était toujours plein de l'autre extrémité, que j'ai cru que j'allais jouir.
La même démarche que pour moi.
Quand elle s'est figée, il y avait un tiers du double gode en elle, un tiers en moi, et le troisième tiers entre nous deux.
Elle m'a souri, avant d'engager son mouvement. Elle contrôlait le gode, muscles vaginaux serrés autour du plastique, et elle a commencé à me fouiller avec, comme elle l'avait déjà fait avec d'autres godes plus classiques, avec un harnachement, et une queue unique. Je ne sais pas ce qui me procurait le plus de plaisir...La caresse de la queue de plastique contre mes muqueuses échauffées...La voir, gland clitoridien dressé et sexe postiche dépassant de ses lèvres...Suivre l'impulsion de son corps...Lire sur elle le plaisir qu'elle avait à me pénétrer, mais aussi le plaisir qu'elle avait en retour, chaque impulsion pour me fouiller lui donnant du plaisir en retour.
J'aurais aimé que ça dure longtemps...Mais, les chiffres digitaux du radio-réveil me le disaient, il n'était que 22 heures 30. La nuit était à nous...Je ne dormais pas beaucoup quand je venais à ces réunions...Il y avait les moments de concertation et quasiment tout le temps libre consacré au sexe. Je n'étais d'ailleurs pas la même dans ce cas. Tout le monde fonctionnait sur le même ADN.
Elle s'est retournée, s'efforçant de garder le gode en elle, m'obligeant, parce qu'il n'y avait pas beaucoup de marge, à me caler sur elle, et elle a basculé à quatre pattes, m'offrant son cul. Dans une position qui nous motivait l'une comme l'autre. Moi, parce que la voir à quatre pattes me troublait, elle parce que, selon ses propres termes, elle aimait se faire prendre comme ça, que cette position lui donnait particulièrement du plaisir.
J'ai contracté mes muscles vaginaux, prenant possession du double gode et je me suis mise à bouger en elle. Elle a crié tout de suite sans retenue ses jus intimes jaillissant autour du plastique, le membre artificiel allant et venant en elle dans des bruits visqueux. Je l'ai fouillée, en lui donnant du plaisir. Si chaque éjaculation correspondait à un orgasme, alors elle a joui plusieurs fois.
On a enchaîné les positions. Un coup c'était elle qui prenait possession de la queue de plastique et qui me fouillait, un coup c'était l'inverse. On s'est faites jouir mutuellement jusqu'à l'épuisement. On s'est endormies dans les bras l'une de l'autre, couvertes de cyprine, heureuses de ces moments qu'on partageait, qui n'appartenaient qu'à nous.
PARTIE 4
J'étais installé au bord d'une rivière. Un paysage bucolique, hyper-agréable. Sous les arbres, la fraîcheur d'un après-midi printanier, à laquelle s'ajoutait celle de la rivière qui passait le long. Bref, un moment parfait.
J'avais une longue robe, sans rien dessous, et dès que je m'étais sentie à l'aise, je n'avais eu qu'une envie: me masturber. Je crevais d'envie de sexe.
J'étais là, mes doigts tournant sur mes lèvres, quand j'avais senti la présence.
Une présence invisible.
Une entité?
Certes, mais une entité féminine.
Une présence qui n'avait rien d'hostile, chaude et enveloppante.
Et surtout, une présence susceptible de me donner du plaisir.
Il n'y avait pas eu de paroles prononcées, mais s'était imposée l'idée que cette présence pouvait et allait me donner du plaisir, pour aller plus loin que mes caresses masturbatoires.
Cette présence invisible vint se coller à moi, me remplissant de chaleur, m'enveloppant, m'envahissant, me remplissant d'une félicité que je n'avais connue avec aucun autre partenaire parce qu'elle était totalement en moi, et pas seulement dans une partie de moi.
Elle prenait tout son temps.
Une félicité absolue parce qu'elle impliquait tout mon être. Jusqu'à la moindre cellule. Un bien-être total, qu'aucun partenaire ne m'avait donné jusqu'à présent.
Cette chaleur infinie et caressante s'était attardée sur ma bouche, sur mes seins, mon ventre, avant de venir sur mon sexe. J'étais ouverte autant que je pouvais m'ouvrir pour accueillir la caresse. Elle utilisait sa langue, et je crois bien que j'avais rarement eu autant de plaisir. Sa langue était habile, elle ne négligeait aucune zone, et surtout, elle allait très loin au cœur de moi, rentrant sur des zones où personne encore ne s'était aventuré. Comme dans Star Trek, mais mieux que de regarder un épisode.
Un de ces rares moments de la vie, où les soucis sont loin et le bonheur absolu. Un bonheur absolu qui avait ici des nuances de plaisir.
Je voulais que ça dure, que ça dure...
Et le fil s'est rompu.Une cassure, et je suis revenue à la réalité.
La pénombre de la chambre, éclairée par une veilleuse mais aussi par la rue, parce que je n'avais pas baissé les volets.
Je me suis rappelée de ce qui s'était passé après ce merveilleux moment à trois.
Pour moi pas d'hôtel, je passais mes soirées, mes nuits et mes matins chez Emilie.
Je suis partie pour chez elle. Heureuse de la retrouver. Les moments qu'on passait ensemble étaient marqués par une grande complicité et un goût commun pour le sexe.
Je me garais quand elle m'avait laissé un message:
— Je serai en retard. Je te rejoins dès que possible. Tu as les clefs, installe-toi.
Je m'étais calée dans l'appartement vide, d'abord sur le divan. Puis le sommeil me gagnant, j'étais partie sur le grand lit que je connaissais bien, où nous nous ébattions souvent elle et moi. Je m'étais endormie, et j'étais partie sur ce rêve délicieux.
Et je la retrouvais, plongée sur le lit, sa langue parcourant mes parties intimes, me dévorant comme elle seule savait le faire. Le rêve était sans doute meilleur, plus intense, mais la réalité était très bonne aussi.
Avant de glisser sur le lit, j'avais fait glisser mon tailleur, et ôté mes sous-vêtements, gardant juste mes bas. Je m'étais dit que ce serait un bon réveil que de la retrouver près de moi.
Elle, elle était encore habillée. Un caleçon, une veste avec un T-shirt dessous.
Je me suis dégagée de sa caresse buccale, plongeant sur elle pour prendre sa bouche. Dans la joie des retrouvailles, nos langues se sont accrochées et pas lâchées pour un moment, pendant que mes mains partaient à l'assaut de son corps. Je voulais les mettre partout. Quand je la retrouvais, que je la touchais, je retrouvais un sentiment de plénitude que je n'avais qu'avec elle. Je reconnaissais le terrain, ses formes, avec une joie immense.
J'ai glissé mes mains sous le caleçon, trouvant ses fesses nues dessous. Mes paumes ont pris la mesure de leur volume, avant de parcourir le sillon, et de venir appuyer sur sa muqueuse anale. On se mordillait les lèvres. Elle frottait l'entrée de mon sexe, toute gonflée d'excitation. J'ai glissé sur ses hanches, venant appuyer sur se fente, que j'ai trouvée aussi humide qu'ouverte.
Elle m'a pénétré de deux doigts, j'en ai fait de même, et on s'est masturbées mutuellement, explorant de nos deux doigts le sexe de notre partenaire. On se connaissait par cœur, mais on se redécouvrait à chaque fois. Elle s'est mise à gémir de plaisir, et je l'ai accompagnée.
On avait une relation intense et forte. Souvent, quand j'étais seule, à la maison, je me masturbais en repensant à ces moments uniques. C'était la magie et le drame des relations humaines, qui pouvaient aussi bien être atroces que d'une rare complicité.
De tels moments de sexe, aussi forts, dans lesquels on se sentait tellement bien, permettaient de compenser les moments de la vie les plus durs. Comme un baume. Ceux qui n'aimaient pas le sexe et s'en passaient perdaient beaucoup de choses.
Je l'ai faite basculer sur le lit, descendant son caleçon, l'attrapant par la taille, et venant poser ma bouche sur son sexe. Elle était aussi ouverte qu'elle mouillait, et je l'ai caressée de la bouche. Elle a gémi de plaisir, ses liquides intimes coulant dans ma bouche comme un breuvage divin. On s'est calées pour un 69 parfait, qui n'étaient jamais aussi bons qu'avec elle. On s'est données mutuellement du plaisir, en gémissant de plaisir, et en ruisselant sur le visage et dans la bouche de l'autre.
Quand elle s'est dégagée, je savais exactement ce qu'elle allait faire.
Emilie avait une passion toute particulière pour les gadgets. Elle en achetait...Au moins une fois, sinon plusieurs fois par mois...Ainsi qu'elle me l'avait expliqué, elle aimait se procurer du plaisir seule, et chacun d'entre eux lui apportait quelque chose de différent.
J'avais pu le constater, puisque j'étais familière de l'appartement, elle en avait mis un peu partout, de telle sorte qu'elle n'était jamais en peine, en manque de godes.
Elle a glissé au bord du lit, et elle s'est penchée, tête la première, pou aller chercher quelque chose sous le lit, le bas du ventre encore accroché à la surface plane. L'occasion de profiter de ses formes, sa croupe très ronde et très rebondie, ouverte dans cette position sur la fente qui la coupait en deux, les plissements de son anus bien visibles, et sa vulve toute gonflée, à laquelle l'excitation et le plaisir donnaient un tout autre aspect que quand elle était au repos, lèvres gorgées de sang longues et étirées, chair luisante de ses liquides intimes qui coulaient ou qui suintaient, gros et long clitoris en pleine érection...Mais même au repos sa chatte était ultra désirable...
J'ai glissé jusqu'à elle, souple et rapide. Mais ce n'est pas sa grosse moule que j'ai attaquée, visant plutôt sa muqueuse anale...Elle a poussé un cri, interrompant son acte.
— Ah, sale garce, tu veux me rendre folle!
Elle me l'avait déjà souvent dit et confié, elle aimait tout particulièrement se faire baiser par le cul. Doigt, langue, gode, voire même des queues d'hommes, puisqu'elle était aussi bi que moi, y trouvant des plaisirs que ne lui donnait pas sa chatte.
Du coup, il lui a fallu plus de temps qu'elle ne l'avait prévu pour ramener la boite planquée sous le lit.
Elle s'est redressée, retournée, cassant mon analingus.
Une grosse boite plastique, plate, avec un couvercle qu'elle a soulevé. Certaines formes m'étaient familières, d'autres non. Elle y a plongé une main sûre, et elle a ramené un double gode, épais, plié en deux. Elle l'a lâché, il s'est déplié comme un diable qui sort de sa boite.
Je connaissais, bien sûr, même si on n'en avait jamais utilisé ensemble. Les double godes. Je voyais pleins de possibilités se dessiner. Même si je savais que j'allais lui laisser l'initiative. C'était un schéma que j'aimais bien. La laisser démarrer et puis ensuite prendre le dessus sur elle.
Dans la boite, il y avait aussi un tube de gel. Elle en a enduit un tiers du gode de lubrifiant, avant de l'amener près de mes lèvres. J'étais totalement offerte, abandonnée. Rien que ces moments-là suffisaient à justifier que je puisse venir. Elle m'a souri, et ce sourire disait clairement qu'elle prenait autant de plaisir que moi, sans doute en partie parce qu'elle anticipait ce qui allait venir.
Elle a poussé le gode en moi, avec une lenteur calculée, mêlant ainsi de plaisir et la frustration. Une caresse intense, en même temps qu'une frustration. L'envie de se sentir vite remplie, de sentir la queue de plastique bouger, mais une caresse si lente était aussi un véritable plaisir.
Elle a glissé en moi en prenant tout son temps, et en frottant en même temps son gland clitoridien, qui, entre ses cuisses, se dressait, charnu et en pleine érection, comme aurait pu se dresser une queue d'homme, tellement il était gros, épais et long, et il s'allongeait encore pendant qu'elle le branlait.
Quand le bout du gode s'est immobilisé contre mon utérus, j'en avais avalé un peu plus d'un tiers.
Elle l'a fait bouger en moi très lentement. J'ai gémi. Les jeux lesbiens c'est toujours très bon. Avec elle, c'était encore meilleur. Et puis j'avais dans ma ligne de mire ce gland clitoridien qui ne cessait de grossir, qu'elle masturbait avec constance.
Elle n'a pas tenu très longtemps avant de caler le gode en elle. Elle s'est un peu déplacée en avant, vers moi, et, avec la même fascination avec laquelle je l'avais vue masturber un gland clitoridien qui dardait comme une mini-bite, dressé, donnant irrésistiblement l'envie de le toucher, de le frotter, de le caresser et de le sucer, j'ai vu la deuxième partie du double gode rentrer en elle. Ça m'a tellement excitée d'avoir ce tableau sous les yeux, le gland clitoridien dressé, totalement obscène, et la queue de plastique glissant entre elle très lentement, la remplissant, alors que mon sexe était toujours plein de l'autre extrémité, que j'ai cru que j'allais jouir.
La même démarche que pour moi.
Quand elle s'est figée, il y avait un tiers du double gode en elle, un tiers en moi, et le troisième tiers entre nous deux.
Elle m'a souri, avant d'engager son mouvement. Elle contrôlait le gode, muscles vaginaux serrés autour du plastique, et elle a commencé à me fouiller avec, comme elle l'avait déjà fait avec d'autres godes plus classiques, avec un harnachement, et une queue unique. Je ne sais pas ce qui me procurait le plus de plaisir...La caresse de la queue de plastique contre mes muqueuses échauffées...La voir, gland clitoridien dressé et sexe postiche dépassant de ses lèvres...Suivre l'impulsion de son corps...Lire sur elle le plaisir qu'elle avait à me pénétrer, mais aussi le plaisir qu'elle avait en retour, chaque impulsion pour me fouiller lui donnant du plaisir en retour.
J'aurais aimé que ça dure longtemps...Mais, les chiffres digitaux du radio-réveil me le disaient, il n'était que 22 heures 30. La nuit était à nous...Je ne dormais pas beaucoup quand je venais à ces réunions...Il y avait les moments de concertation et quasiment tout le temps libre consacré au sexe. Je n'étais d'ailleurs pas la même dans ce cas. Tout le monde fonctionnait sur le même ADN.
Elle s'est retournée, s'efforçant de garder le gode en elle, m'obligeant, parce qu'il n'y avait pas beaucoup de marge, à me caler sur elle, et elle a basculé à quatre pattes, m'offrant son cul. Dans une position qui nous motivait l'une comme l'autre. Moi, parce que la voir à quatre pattes me troublait, elle parce que, selon ses propres termes, elle aimait se faire prendre comme ça, que cette position lui donnait particulièrement du plaisir.
J'ai contracté mes muscles vaginaux, prenant possession du double gode et je me suis mise à bouger en elle. Elle a crié tout de suite sans retenue ses jus intimes jaillissant autour du plastique, le membre artificiel allant et venant en elle dans des bruits visqueux. Je l'ai fouillée, en lui donnant du plaisir. Si chaque éjaculation correspondait à un orgasme, alors elle a joui plusieurs fois.
On a enchaîné les positions. Un coup c'était elle qui prenait possession de la queue de plastique et qui me fouillait, un coup c'était l'inverse. On s'est faites jouir mutuellement jusqu'à l'épuisement. On s'est endormies dans les bras l'une de l'autre, couvertes de cyprine, heureuses de ces moments qu'on partageait, qui n'appartenaient qu'à nous.
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Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
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