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Julie, agricultrice, dodue et sexy partie 5

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/08/2025

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JULIE AGRICULTRICE, DODUE ET SEXY

PARTIE 5
S'il y avait pas mal de retrouvailles, être ainsi dans une grande ville, pas une métropole, mais presque, c'était l'occasion de partir en quête de nouvelles découvertes. J'en faisais à chaque fois. Une rencontre, un flash, quelque chose qui se mettait en place, et c'était parti...Il y a pas mal de gens qui recherchent l'intensité d'une rencontre, de moments de sexe, qui sont heureuses quand ça matche, sans forcément chercher à aller plus loin. Avoir déjà le bonheur du plaisir, ce bonheur que certains ne connaissent et ne connaîtront jamais, c'est déjà immense...
C'est dans un grand espace qui se voulait un mélange entre bar et boite de nuit que j'ai fait connaissance de Sandra. D'une manière très classique. Je m'étais posée à une table, j'avais commandé un cocktail, elle était arrivée juste après, La première vision que j'avais eu d'elle, ça avait été de dos. Elle portait, comme pas mal de filles quand elles sortent, une robe de soirée, vert bouteille, qui lui arrivait au niveau des chevilles, avec des escarpins à longs talons aiguille. Elle aurait pu avoir quelque chose de plus court, mais j'aimais que la chair ne soit pas dévoilée, qu'on la devine sous un tissu, que l'imagination travaille. Elle avait une grosse croupe, et on voyait qu'elle était nue sous sa robe, dans la manière qu'elle avait de bouger librement. Il y avait beaucoup de filles qui sous robe ne portaient absolument rien. Une manière d'avoir des sensations? D'éprouver de la liberté?
Elle est partie se poser au comptoir. A commandé un cocktail, elle aussi. J'ai pu profiter d'elle de profil. La robe, simple mais hyper élégante tenait au niveau de sa poitrine, qui tendait le tissu, par une bande élastiquée. Elle était brune, une crinière qui lui arrivait aux fesses, avec une frange, et un profil sympathique.
Elle était plongée dans ses pensées, mais au bout d'un moment, elle a senti mon regard sur elle. Elle a tourné la tête. Elle m'a regardée, un visage sans expression. Et puis elle m'a souri.
Quelques secondes plus tard, elle descendait de son tabouret, et elle avançait vers moi. Comme ses fesses avaient dansé sous le tissu, cette fois c'étaient ses seins qui bougeaient, libres sous la robe. Des seins lourds. J'ai été saisie par une envie soudaine, celle de descendre le tissu, ça ne devait pas être très difficile, et de lui bouffer les seins. Lécher sa chair, venir avaler un téton, le faire durcir de la langue...J'ai senti que je me mettais à mouiller, et que mon sexe s'ouvrait. Heureusement que j'avais une petite culotte pour absorber mes liquides.
Elle s'est posée face à moi, en disant:
— Salut, moi c'est Sandra.
— Julie.
— Tu es de sortie ?
— Deux jours de réunion et l'envie de profiter un peu de la vie dans mes moments libres.
— Tu as raison, il faut savoir profiter de la vie.
Mon regard a glissé sur la salle. Un peu plus loin, il y avait une petite rousse, avec un gars. Ils avaient l'air de bien s'entendre. Tellement qu'elle l'a défait, mis sa queue à nu, et elle a entrepris de faire aller et venir sa bouche sur sa queue. Sans que personne autour ne semble dérangé par ça.
Quand j'ai ramené mon regard sur elle, elle avait disparu de sur la chaise. Je me suis demandé où elle était passée, avant de sentir deux mains, bien chaudes, sur mes chevilles. Il y a eu une voix qui est montée de sous la table.
— C'est super agréable des bas...Mmmm, j'adore cette sensation au bout des doigts...
Elle m'a caressé les jambes. Une caresse qui a fait monter de la chaleur et de l'électricité dans mon corps.
Heureusement que j'avais une petite culotte pour absorber ma mouille. Je coulais tellement que j'avais l'impression de me faire pipi dessus. Je me suis demandée comment ça allait se passer quand le tissu serait saturé.
Elle est remontée de long de mes jambes, une caresse ample et précise à la fois. Je ne me sentais même plus empêtrée par les codes sociaux. J'étais en plein trip, mais, en même temps, je gardais un regard sur ce qui se passait dans la salle, et tout le monde se foutait bien de nous. La fille qui avait accordé une caresse buccale au gars avait à présent sous les yeux une queue au maximum de sa dilatation, qu'elle a masturbé vivement. Quelques aller et retour et des jets de sperme copieux ont jailli, la faisant rire. D'autres couples se laissaient aller aussi, un peu plus loin une fille aussi fine que sa compagne était blonde avait patiemment défait un bustier qui tenait par une série de boutons, et mis à nu une énorme paire de seins dont elle dévorait des tétons. Et que dire d'une fille qui venait de s'asseoir sur les genoux de son compagnon.
Une voix est montée de sous la table.
— Ta culotte est tellement trempée qu'elle est transparente....Tu mouilles beaucoup.
Elle a posé la pulpe de ses doigts au niveau de mon sexe, et elle s'est mise à caresser. La sensation de ses doigts, à laquelle s'ajoutait celle du tissu qui s'enfonçait dans ma fente...Le tissu, saturé, n'a pas suffi pour absorber mes liquides qui se sont mis à couler avec plus d'abondance sous l'effet de la caresse, franchissant les limites de la culotte, dans mes aines et le long de mes cuisses.
Je pensais qu'elle allait écarter le tissu, et passer ma langue sur moi. Au lieu de cela, elle a fait sa réapparition.
— Tu veux qu'on reste ici un peu plus longtemps ou qu'on aille chez moi? J'habite pas loin d'ici.
Ce n'était pas dit clairement bien sûr, mais l'idée c'était qu'on n'allait pas jouer aux dames ni même aux échecs. J'avais pris plusieurs queues dans la journée, autour de nos réunions, avec une copine on avait organisé une séance libre de fellations, on avait commencé avec deux gars, et on avait été rejointes par d'autres, on s'était remplies le gosier de sperme, Plus tard, j'avais rejoint George et Robert et ils m'avaient prise, me faisant bien jouir. Ces moments ensemble étaient malheureusement trop courts.
Ce soir, une soirée sans queue. Deux filles qui se boufferaient les seins et qui se lécheraient bien la chatte. En s'enfonçant mutuellement la langue jusqu'à l'utérus. Les queues seraient de retour le lendemain.
On s'est retrouvées dans ma voiture. On venait juste de s'y caler quand j'ai cédé à mon envie, descendant le tissu qui couvrait ses seins, pour découvrir ceux-ci. Ils étaient très volumineux, ronds, mais bien galbés, avec un rebondi sympathique, des aréoles larges et roses, et des tétons qui, déjà durs d'excitation, ont durci et se sont allongés encore plus quand ils ont été à l'air libre. Il était évident que ces seins là n'étaient pas naturels, mais l'origine importait peu. Ils avaient un charme fou.
Je n'ai pas pu résister, bien sûr. Je me suis penchée, j'ai englobé un téton de ma bouche, et je l'ai frotté. Elle a gémi de plaisir. Il s'est allongé, et m'a rempli la bouche. Je suis passé à l'autre qui a subi le même sort. Quand je l'ai lâchée, elle avait deux tétons surdimensionnés. Elle les a laissés à l'air libre, amorçant un geste qui m'a terriblement troublée, remontant un sein, puis l'autre, et bouffant un téton, comme si elle avait voulu les faire encore durcir. Sans doute qu'elle souhaitait simplement encore me troubler...Et elle y parvenait parfaitement.
Elle m'a indiqué où elle habitait. On a tourné une fois à gauche, une fois à droite, pour s'arrêter devant une ligne de maisons toutes identiques, blanches, à un étage.
J'avais à peine coupé le contact qu'elle faisait aussi glisser les bretelles de ma robe, je n'avais pas de soutif non plus, pour venir attaquer mes tétons. Les miens étaient aussi volumineux que les siens, sans doute moins galbés, mais ils ont eu l'air de la séduire, peut-être était-elle fascinée par ce qu'elle n'avait pas, des seins naturels...Elle me les a tellement caressés que j'ai cru que j'allais jouir...Ça m'était déjà arrivé plusieurs fois de jouir par les seins...Mais elle s'est arrêtée au bon moment, qu'elle ait senti quelque chose ou non...
Le temps de descendre de la voiture, on est arrivés devant la petite maison.
C'est sur le seuil qu'elle m'a dit:
— Tu sais, je ne suis peut-être pas ce que tu attends...
— Ca a très bien commencé...
— On a des surprises parfois.
J'ai failli lui répondre : 'Tout ce que je demande, c'est pas de queues ce soir...Des queues, j'en ai bouffé toute la journée...'
Et j'ai bien fait, sinon je n'aurais pas connu les moments mémorables que j'ai pu connaître.
Elle m'a fait pénétrer à l'intérieur. Un grand living avec une cuisine attenante, meublé d'une manière très spartiate, mais en même temps, il y avait tout ce dont on pouvait avoir besoin. Elle m'a entraîné vers le canapé, m'a fait basculer dessus. Elle avait envie, apparemment, de prendre l'initiative, et moi j'avais envie de voir comment elle allait me faire l'amour. Je me suis offerte, lui donnant mon ventre. Elle est d'abord revenue sur moi de la bouche, mais elle ne s'est pas appesantie.
Elle a remis ses seins à nu, et a glissé à nouveau entre mes cuisses largement ouvertes. Je l'attendais, totalement offerte, et j'avais bien fait. J'ai gémi de plaisir quand elle est venu frotter son téton contre mes chairs intimes. Jamais aucune fille, même celles qui auraient physiquement le faire, ne m'avait encore fait ça. C'était d'ailleurs pour ça que j'aimais avoir des partenaires multiples, parce que chacun me donnait et m'amenait quelque chose dont l'autre n'aurait pas eu l'idée. Elle m'a caressé en tournant sur mes lèvres, en remontant sur mon gland clitoridien. Son téton était à la fois souple et dur...C'était différent d'une langue, d'un doigt...Intense et et ça m'a donné du plaisir...Je me suis sentie devenir de plus en plus béante...
C'est sans doute parce que je m'ouvrais de plus en plus, et que je me lubrifiais de plus en plus qu'elle m'a pénétrée avec l'extrémité de son sein et qu'elle s'est mise à me caresser à l'intérieur. Son téton, long et dur, est venu frotter contre l'extrême sensibilité de mes muqueuses internes, appuyée par le poids de son sein, et je me suis mise à jouir très vite, me tordant dans tous les sens, pendant qu'elle continuait sa caresse, crachant autour du sein qui me remplissait des jets de liquide qui ont trempé nos chairs et sa robe. Elle a continué de me fouiller jusqu'à ce que je crie:
— J'en peux plus!!!
Elle s'est dégagée. Laissant un vide. A peine était-elle partie de moi que j'ai eu envie de lui demander de revenir. Mais j'ai pensé que je me devais de lui donner AUSSI du plaisir.
Je me suis redressée et j'ai tiré la robe vers le haut.
Elle m'a laissé faire, en souriant.
Sous la robe, elle avait, contrairement à ce que j'avais pu penser, un string. Un string de dentelle noire.
Mais ce qu'il contenait n'était pas spécialement féminin.
Il en dépassait une verge en pleine érection, longue, bien charnue, avec un gros gland tout décalotté, collée contre son ventre.
— J'espère que ça ne va pas te faire fuir, elle a dit.
J'ai juste été un peu décontenancée. C'était la première fois que je me trouvais avoir comme amant ou maîtresse, je ne savais pas trop, un trans, et la fille que j'avais en face de moi n'avait absolument rien de masculin. Sauf cette grosse queue. Ça me perturbait un peu. C'était vraiment une sorte de troisième sexe, une fille avec une verge. Une pensée qui était sacrément troublante.
Je me suis rappelée de mes pensées en début de soirée. Un moment sans queue, tellement j'en avais pris dans le ventre dans la journée...Une petite chatte avec laquelle jouer selon mes envies...Bon, c'était raté et bien raté...En même temps, j'avais très envie, fascinée par cet être qui n'était pas dans la norme, fille parfaite, mais pourvue d'une belle queue.
Parce que je sentais bien que, quelque part, il y avait une inquiétude en elle, celle d'être rejetée pour tromperie sur la marchandise, j'ai plongé sur la queue. Le gland était énorme, un peu en décalage avec la queue, pourtant bien épaisse. Je l'ai enveloppé de ma bouche, sans descendre plus bas, et je me suis mise à le frotter de la langue. Elle a gémi de plaisir, un plaisir dont la manifestation la plus évidente a été ces jaillissements de liquide pré-sementiel qui ont saturé mon palais.
Je l'ai torturée, la poussant aux bords de la jouissance. Elle me remplissait du goût amer de ses liquides de plus en plus abondants. Quand je l'ai lâchée sa verge avait gagné un tiers, tellement énorme que je n'avais plus qu'une envie, la sentir en moi...Finalement, ce serait une queue de plus pour la soirée...Et ce ne serait pas si mal...Baisée par la queue d'une fille...Ce serait vraiment la première fois...
J'ai baissé son string. Ses couilles palpitaient de plaisir. Je les ai enveloppées de ma bouche, et caressées de ma langue. Elle a poussé un cri et un jet de sperme est sorti, qui m'est arrivé dans les cheveux.
Je l'ai récupéré, et avalé, m'enivrant de son goût amer avant de tendre la main vers mon sac pour y récupérer l'accessoire indispensable pour ces jours de folie: une boite de préservatifs. J'en ai récupéré un, dont j'ai déchiré l'emballage.
Au fil du temps, j'avais appris deux ou trois trucs. J'ai collé le préservatif contre mes dents, et je suis venue reprendre la tête de son sexe, mais cette fois, je suis descendue le long de la verge. Faisant glisser la tête de sa queue dans ma gorge quand ma bouche a été remplie. Je suis arrivée quasiment à la racine de sa queue, et je suis repartie en sens inverse. Quand je suis remontée, bien que trempé de salive, il le serait bientôt de sécrétions, la latex était calé jusqu'à la racine de cette belle verge. Il me tardait de l'accueillir dans mon ventre.
— C'est qui d'habitude tes partenaires?, j'ai demandé, en venant lui bouffer les couilles.
— Des garçons, des filles...Les femmes aiment baiser avec une autre fille qui a une queue, les hommes avec une femme qui a une queue. Les filles aiment mélanger les deux sexes, les hommes c'est différent. Ça leur donne un alibi, parce qu'ils ont tous envie de se faire sodomiser, ou simplement de jouer avec la queue d'un autre homme, mais ils n'oseraient jamais l'avouer. Après ils peuvent dire qu'ils voulaient baiser une fille, mais qu'ils ont été surpris et qu'ils n'ont pas résisté.
— Tu contentes tout le monde au final...
Je l'ai poussée en arrière...Je n'avais qu'une envie : venir m'empaler. Je l'ai attrapée du bout des doigts, tout en descendant sur elle, et je l'ai guidée vers l'ouverture de mon sexe. Quand le gland a cogné contre mes lèvres, ça m'a mis de l'électricité dans le corps, et j'ai lâché un torrent de mouille qui a ruisselé le long du latex. J'étais bien calée...Je n'avais plus qu'à me laisser descendre sur la verge. Se sentir remplie par une queue d'homme...C'était divin...Mais se sentir rempli par une queue d'homme par une fille qui avait tout d'une fille et qui était diablement séduisante...C'était un plaisir intense...Avoir sous les yeux ce visage harmonieux, cette chevelure brune épaisse, cette bouche pulpeuse, ces seins énormes aux tétons ultra-dressés...Difficile de ne pas être hyper -excitée, et je l'étais...
Elle m'avait attrapé par le cul, et elle me faisait bouger sur sa queue, qui me donnait l'impression de forer dans mes chairs, et de s'enfoncer de plus en plus profondément en moi. Elle me caressait et me fouillait en même temps, et je me suis dit qu'un tel moment, je n'en revivrais pas de sitôt. Il fallait que j'en profite.
Je ne sais pas comment c'est sorti. A travers moi, sans aucun doute. Etait-ce parce que j'en avais envie, parce que je pensais qu'elle en avait envie?
Je lui ai dit:
— Si on allait un peu plus loin ?
Je me suis soulevée pour faire sortir sa verge hors de moi. J'aurais pu la garder des heures encore. Mais ce que je m’apprêtais à faire était aussi bien.
Le latex dégoulinait de mes sécrétions. J'ai posé la queue contre ma muqueuse anale. Autant parce que j'avais l'habitude de me faire sodomiser que parce qu'il y avait lubrifiant naturel que représentait ma cyprine, la verge a glissé dans mon rectum jusqu'à me remplir quasi totalement. Des sensations et des plaisirs différents de quand j'étais prise par la chatte.
Pendant qu'elle me faisait sauter sur sa verge distendue, je masturbais mon clitoris qui lui aussi avait pris des proportions impressionnantes. J'ai passé, au bout d'un moment un point de non retour, et je me suis mise à jouir, d'orgasmes aussi forts que ce moment, tressautant sur la queue de ma partenaire, qui elle ne jouissait pas, éjaculant des jets blancs et crémeux qui nous ont poissés. C'était bon, et j'ai joui jusqu'à l'épuisement.
Je savais ce qu'il me restait à faire. Je lisais en tout cas en elle ce dont elle avait envie. Une envie à laquelle elle n'imaginait pas forcément que j'allais répondre.
Quand je venais ici, pour ces réunions, je fourrais dans mon grand sac à main des gadgets dans une grande poche parallèle, pas immédiatement visible. De la sorte, j'avais des biscuits pour mes nombreux rapports.
J'affectionnais tout particulièrement un de mes derniers jouets, peu encombrant. Il remplaçait, dans sa simplicité, les godes-ceinture. Une queue de plastique, d'un plastique ultra-souple, attachée à une grosse boule irrégulière. J'avais eu des doutes quand je l'avais acheté, pour être par la suite immédiatement convaincue. La boule s'ajustait parfaitement dans le vagin, et permettait à la fois de stabiliser parfaitement la queue de plastique, c'était vraiment comme si on en avait une, de bien baiser sa partenaire, et d'avoir du plaisir en retour, un plaisir immédiat et fort.
Légèrement penchée en arrière, elle s'offrait et il y avait quelque chose d'émouvant dans cette scène, parce qu'il s'agissait presque d'une demande. J'imaginais bien que, même si elle ne le disait pas, sa sexualité n'était pas simple, et elle avait du être rejetée.
Ce rien de tristesse dans son expression, son corps galbé, si féminin, et cette queue dressée, dont j'ai arraché le latex, aussi longue qu'épaisse, cette manière de s'abandonner, et les plissements de sa muqueuse anale, cible du gode planté en moi...C'était trop, et je n'avais plus qu'une envie, la pénétrer. Je me suis approché d'elle, et tout en prenant sa bouche, je suis rentré en elle. Le plastique n'était en rien un frein, au contraire, j'avais toutes les sensations. Je sentais bien la chair resserrée autour de la verge en plastique, devenue ma verge, qui bougeait en elle.
Ce qui me plaisait, c'était autant de la pénétrer, de bouger en elle, de lire le plaisir sur son visage que de voir sa queue frémir de plaisir, agitée de spasmes, et ruisselante de liquides qui coulaient le long de sa chair et annonçaient sa jouissance.
— Ah putain, je suis entrain de jouir, elle s'est écriée.
Sa queue était dilatée à l'extrême de la dilatation. Congestionnée, énorme, on aurait dit que ses chairs allaient exploser. Elle a commencé apparemment à jouir avant que des jets de sperme copieux ne jaillissent, et nous souillent tous les deux. Elle n'en finissait pas d'éjaculer, comme s'il s'était retenu de jouir pendant plusieurs mois...Et c'était peut-être le cas.
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