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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/08/2025
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Julie, agricultrice, dodue et sexy partie 6 et fin
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JULIE AGRICULTRICE, DODUE ET SEXY
DERNIERE PARTIE
J'éprouvais toujours un plaisir particulier à mes retours. J'aurais du être triste, au contraire, j'étais pleine, à défaut de l'être de sperme, de souvenirs heureux, que je me repassais, et qui me faisaient chaud au cœur. Et puis la prochaine réunion était proche. On en avait minimum une par mois. Au minimum.
Des images, des positions, des sensations...Une richesse fabuleuse.
On avait fini plus tôt que prévu, et donc, j'arrivai chez moi en milieu d'après-midi.
Il était installé dans le canapé du living, face à l'écran géant de télévision et il se masturbait en me regardant.
Sa queue était énorme, toute congestionnée, gorgée de sang, avec un gland tout violacé, et du liquide suintait de son méat. Sa main allait et venait, régulière sur sa verge, et j'ai été aussi fascinée par sa queue et la taille de celle-ci, j'avais l'impression que sa queue était toujours plus épaisse quand il se branlait que quand il me baisait, un process différent, tout autant que par les photos qui défilaient, dans un diaporama de près de 400 photos.
La fille qui se mettait en scène sur ces photos, je la connaissais bien.
C'était moi.
Ça avait été l'année précédente. J'avais voulu lui faire un cadeau original pour son anniversaire.
J'y avais passé des mois.
J'avais pris des dizaines de photos de moi, j'en faisais quand j'avais un moment et que j'étais seule. Des photos qui allaient du plus soft au plus hard. Avec des tenues différentes, des positions différentes, des plans différents. Quand j'avais monté le diaporama, je m'étais rendue compte que j'avais fait une sorte de catalogue de ce qui pouvait se faire en photo érotique, voire pornographique.
J'avais même été surprise, et je l'étais encore, parce que je trouvais, avec du recul, que mes photos avaient un charme que je n'avais pas conçu au premier abord.
Il avait beaucoup apprécié le cadeau. Et la phrase qui allait avec.
— Quand je ne serai pas là, au lieu de te masturber en regardant du porno, tu le feras en me regardant.
Sur l'écran les photos se succédaient. Moi avec des bas et des cuissardes, le haut caché par un T-shirt, allongée, les cuisses ouvertes...Moi à quatre pattes, regardant la caméra, deux doigts enfoncés dans mon sexe pour l'ouvrir...Moi avec un sexe de plastique enfoncé dans le ventre, la main sur sa base et une expression de plaisir sur le visage...Moi remontant un de mes seins vers mon visage et en bouffant un téton.
— Bon, je vois que je te manques...Tu veux que je vienne m'empaler sur toi ou que je te finisse à la main?
— Je suis au bord de la jouissance. Fais comme tu veux.
J'avais fait le plein pendant ces deux jours et demi mais je n'étais pas blasée. J'ai défait ma jupe, je n'avais pas de slip dessous, juste des bas stay-up, et je suis venue m'empaler sur sa queue. Je me suis faite monter et descendre sur lui. Effectivement, il n'a pas tenu très longtemps, et j'ai du faire à peine une demi-douzaine d'aller et retours sur sa queue avant qu'il n'explose de jouissance, son sperme giclant en moi, bien chaud, comme j'aimais. Mais, même après la jouissance, il est resté tout dur et j'ai repris le mouvement, pour le faire encore jouir, et pour jouir moi.
Ça a été plus tard qu'il m'a dit:
— Alors ces réunions syndicales?
— Oh, tu sais, rien que de très banal, comme d'habitude.
Une chose était sûre:pour moi, les différents aspects de ma vie, mon rapport avec mon mari, très fort, et ces moments intenses et complexes avec d'autres partenaires, se complétaient, et j'aurais eu du mal à me passer de l'un comme de l'autre.
Je gagnais ma chambre pour me changer quand j'ai reçu un SMS.
Sandra, la tranny qui avait représenté l'un de mes derniers ébats.
Une petite vidéo qui m'a mise dans tous mes états. Elle était nue, allongée sur un lit, avec juste une paire de bas, et elle faisait aller et venir un gode dans son anus, sa queue dilatée à l'extrême. Elle gémissait, et finissait par jouir en s'auto-arrosant de sperme.
Il y avait un message écrit qui accompagnait la vidéo.
J'ai vraiment flashé sur toi. Le week-end prochain, je suis libre. Je suis prête à descendre près de chez toi.
Un coup de bol, mon cher et tendre partait tout le week-end en rando.
Mille scénarii se sont écrits dans ma tête. J'ai répondu:
Je serai libre. Je te tiens au courant. Je meurs d'envie de te revoir.
Il n'y avait rien de plus vrai.
DERNIERE PARTIE
J'éprouvais toujours un plaisir particulier à mes retours. J'aurais du être triste, au contraire, j'étais pleine, à défaut de l'être de sperme, de souvenirs heureux, que je me repassais, et qui me faisaient chaud au cœur. Et puis la prochaine réunion était proche. On en avait minimum une par mois. Au minimum.
Des images, des positions, des sensations...Une richesse fabuleuse.
On avait fini plus tôt que prévu, et donc, j'arrivai chez moi en milieu d'après-midi.
Il était installé dans le canapé du living, face à l'écran géant de télévision et il se masturbait en me regardant.
Sa queue était énorme, toute congestionnée, gorgée de sang, avec un gland tout violacé, et du liquide suintait de son méat. Sa main allait et venait, régulière sur sa verge, et j'ai été aussi fascinée par sa queue et la taille de celle-ci, j'avais l'impression que sa queue était toujours plus épaisse quand il se branlait que quand il me baisait, un process différent, tout autant que par les photos qui défilaient, dans un diaporama de près de 400 photos.
La fille qui se mettait en scène sur ces photos, je la connaissais bien.
C'était moi.
Ça avait été l'année précédente. J'avais voulu lui faire un cadeau original pour son anniversaire.
J'y avais passé des mois.
J'avais pris des dizaines de photos de moi, j'en faisais quand j'avais un moment et que j'étais seule. Des photos qui allaient du plus soft au plus hard. Avec des tenues différentes, des positions différentes, des plans différents. Quand j'avais monté le diaporama, je m'étais rendue compte que j'avais fait une sorte de catalogue de ce qui pouvait se faire en photo érotique, voire pornographique.
J'avais même été surprise, et je l'étais encore, parce que je trouvais, avec du recul, que mes photos avaient un charme que je n'avais pas conçu au premier abord.
Il avait beaucoup apprécié le cadeau. Et la phrase qui allait avec.
— Quand je ne serai pas là, au lieu de te masturber en regardant du porno, tu le feras en me regardant.
Sur l'écran les photos se succédaient. Moi avec des bas et des cuissardes, le haut caché par un T-shirt, allongée, les cuisses ouvertes...Moi à quatre pattes, regardant la caméra, deux doigts enfoncés dans mon sexe pour l'ouvrir...Moi avec un sexe de plastique enfoncé dans le ventre, la main sur sa base et une expression de plaisir sur le visage...Moi remontant un de mes seins vers mon visage et en bouffant un téton.
— Bon, je vois que je te manques...Tu veux que je vienne m'empaler sur toi ou que je te finisse à la main?
— Je suis au bord de la jouissance. Fais comme tu veux.
J'avais fait le plein pendant ces deux jours et demi mais je n'étais pas blasée. J'ai défait ma jupe, je n'avais pas de slip dessous, juste des bas stay-up, et je suis venue m'empaler sur sa queue. Je me suis faite monter et descendre sur lui. Effectivement, il n'a pas tenu très longtemps, et j'ai du faire à peine une demi-douzaine d'aller et retours sur sa queue avant qu'il n'explose de jouissance, son sperme giclant en moi, bien chaud, comme j'aimais. Mais, même après la jouissance, il est resté tout dur et j'ai repris le mouvement, pour le faire encore jouir, et pour jouir moi.
Ça a été plus tard qu'il m'a dit:
— Alors ces réunions syndicales?
— Oh, tu sais, rien que de très banal, comme d'habitude.
Une chose était sûre:pour moi, les différents aspects de ma vie, mon rapport avec mon mari, très fort, et ces moments intenses et complexes avec d'autres partenaires, se complétaient, et j'aurais eu du mal à me passer de l'un comme de l'autre.
Je gagnais ma chambre pour me changer quand j'ai reçu un SMS.
Sandra, la tranny qui avait représenté l'un de mes derniers ébats.
Une petite vidéo qui m'a mise dans tous mes états. Elle était nue, allongée sur un lit, avec juste une paire de bas, et elle faisait aller et venir un gode dans son anus, sa queue dilatée à l'extrême. Elle gémissait, et finissait par jouir en s'auto-arrosant de sperme.
Il y avait un message écrit qui accompagnait la vidéo.
J'ai vraiment flashé sur toi. Le week-end prochain, je suis libre. Je suis prête à descendre près de chez toi.
Un coup de bol, mon cher et tendre partait tout le week-end en rando.
Mille scénarii se sont écrits dans ma tête. J'ai répondu:
Je serai libre. Je te tiens au courant. Je meurs d'envie de te revoir.
Il n'y avait rien de plus vrai.
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