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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 14/10/2025
Karine devient incestueuse fin
Lilian suce le clito de sa maman comme si c'était un bonbon acidulé. Il tète si fort qu'elle grogne comme une bête blessée. Comme lui a suggéré son papa, il mord la boule de chair de sa maman, qui se cabre en poussant :
-Oh, mon salaud, oui, c'est bon, encore, encore !
Lilian réitère plusieurs fois cet acte douloureux, mais excitant pour sa maman. Paul bande comme un cheval en rut, il se masturbe en regardant sa femme geindre sous la bouche vorace de son fils amant. Karine se cramponne au canapé comme elle peut, son corps est en fusion, elle défaille :
-Je vais jouir, je vais jouir, oui, oui, Lilian mon chéri, tu me fais mourir !
C'est comme une déflagration qui secoue le corps de Karine, sa jouissance est terrible, elle grimace, en giclant comme un geyser. Comme cela lui arrive rarement de gicler, elle pousse d'innombrables :
- Oh mon Dieu, oh mon Dieu !
Lilian ne s'attendait pas à ça, il reçoit en plein visage la giclée, il ferme les yeux en grimaçant, puis plaque sa bouche sur le flot de cyprine, il avale tout ce que la chatte de sa maman lui offre. C'est gavé et repu, qu'il se redresse. Il regarde la vulve en éruption, et sans crier gare, enfonce sa verge profondément dans le cratère de la jouisseuse. Il s'agrippe à ses hanches en râlant comme un animal et la défonce comme un forcené. La bite épaisse, en raclant les parois du vagin, fait gémir la maman, qui ne cesse de répéter :
-Mon chéri, oui, tu ouvres bien ta maman, oh comme ta bite lui fait du bien, vas-y mon chéri, montre à papa comment tu baises bien sa salope de femme, oui, oui, tape fort mon chéri, oh que c'est bon !
Paul, au bout du rouleau, gicle sur les seins de sa femme, en poussant un long râle. Il presse la hampe pour bien la vider du jus qu'elle contient encore. Lilian donne des coups de reins terribles, à chaque enfoncement de sa queue dans le vagin brûlant de sa maman, elle pousse un râle. Comme prise d'hystérie, elle agite son bassin en marmonnant :
-Va à fond, n'aie pas peur de me faire mal, oui, je sens bien ta queue, oui comme ça, comme ça !
Son fils la bourre tellement qu'il lui massacre le col de l'utérus, Paul écarquille les yeux, en voyant la verge de son fils pilonner la chatte baveuse de sa femme, qui ne cesse de geindre de plaisir. Ses couilles chargées de sperme, frappent avec violent la vulve gonflée de la soumise qui grommelle des phrases inaudibles, en délirant de bonheur.
Le fils amant se raidit, se bloque, et envoie un flot brûlant de semence dans le ventre de la maman soumise. Karine sent avec bonheur le sperme chaud, lui envahir la chatte, elle commence à donner des coups de reins terribles, puis en grinçant des dents, et en se cabrant, pousse un hurlement de jouissance. Pour bien vider sa verge, Lilian donne encore quelques estocades.
Paul, excité comme jamais, saisit la main de sa femme, l'aide à se lever. Il s'allonge sur le sol, et lui demande de s'empaler sur sa queue, en vacillant, Karine, enjambe son mari et descend lentement son corps, elle saisit la queue encore opérationnelle et la dirige vers son temple dégoulinant de sperme encore chaud. Elle s'empale jusqu'aux couilles en se laissant tomber de tout son poids. Le gémissement affreux, qu'elle pousse pendant l'empalement, fait sursauter Lilian. Il s'approche, caresse la croupe de sa maman, insère ses doigts dans le large sillon, taquine l'anus un instant, puis avec son majeur appuie sur le muscle souple. Karine soupire profondément, en sachant très bien ce qu'il va lui arriver. Bien qu'elle n'ait jamais subi de sodomie, et encore moins une double pénétration, là, elle est disposée avoir dans son corps deux bites en même temps.
Elle se trouve dans un état de fébrilité tel, que son corps se met à trembler.
Lilian appuie sur l'anneau ridé, la première phalange s'enfonce aisément dans le rectum. Un petit, ah, sort de la bouche de Karine, qui se plaque contre le torse de son mari. Une seconde poussée, et le doigt disparait comme aspiré par l'anus. Un second son sort de la bouche de Karine. Le doigt commence s'agiter dans la gaine anale en arrachant à Karine de petites plaintes. Lilian, sans agressivité, fouille délicatement l'anus de sa maman. Son doigt tourne, fait de courts allers et retours dans le conduit étroit qui est sondé pour la première fois par un visiteur étranger. Rapidement, Karine s'habitue au visiteur. Elle commence à agiter doucement son bassin, sur la queue de son mari qui est plantée profondément dans son ventre. Le fils devient plus audacieux, il joint un au doigt au premier et fouille, avec plus de conviction le rectum pour l'assouplir au mieux. Karine geint faiblement, se cambre pour bien offrir sa croupe à son jeune amant.
Enfin, Lilian retire ses doigts, plaque sa bouche sur l'anus encore ouvert, et avec insistance, réussit à y faire pénétrer sa langue. Il fouille avec acharnement, le conduit le plus loin possible. Sa maman pousse des gémissements entre coupés de :
-Oh putain, oh putain, Lilian, tu me rends folle, mais qu'est-ce que tu me fais, oh putain !
Enfin, il se redresse, crache sur l'anus, le badigeonne de salive, et présente sa queue raide comme du bois contre la petite porte. Il s'accroche aux hanches de sa maman et pousse. Après une courte résistance, l'anus cède, et avale petit à petit le manche de chair. Karine grimace, son vocabulaire ne change pas :
-Oh putain, oh putain, salaud, tu m'éclates le cul, doucement, doucement, ta queue est trop grosse, arrête, ça fait trop mal, non, non pas ça !
Lilian ne l'écoute pas. Sa verge puissante s'avance lentement dans le conduit étroit, qu'elle dilate au fur et à mesure qu'elle s'enfonce. Karine grimace, serre les dents, la douleur est atroce. Elle a l'impression que les deux queues sont dans le même orifice tellement la paroi qui les sépare est fine. Elle se cramponne à son mari en geignant de douleur. Une fois que ses couilles frappent les fesses de la maman suppliciée, Lilian reste immobile. Le souffle de sa maman est bruyant, elle grogne :
-Oh la vache, Lilian, tu vas me déchirer, retire-toi !
Mais comme réponse, le bougre donne plusieurs coups de reins violents. Sa maman s'écroule sur le corps de son mari en geignant. Lilian comme un enculage féroce, ses coups de béliers sont féroces. Il décule presque entièrement, pour enfoncer à nouveau sa queue au plus profond des entrailles de sa maman qui geint comme une agonisante. Maintenant, ce sont les deux queues qui voyagent dans son corps, les deux amants trouvent rapidement la synchronisation parfaite, pour faire gémir leur soumise. La douleur semble s'estamper au fil des minutes. Les gémissements de Karine sont désormais, des gémissements de plaisir. La tension monte lentement, mais surement dans son corps fortement sollicité. Elle s'agite sur les deux queues, en grognant comme une bête en rut.
Une jouissance encore inconnue d'elle, la fait cabrer, elle ne peut retenir un hurlement pendant l'explosion. Elle reçoit un flot de sperme dans les entrailles, cela provoque une nouvelle jouissance aussi dévastatrice que la précédente, elle s'écroule sur le corps de son mari, en marmonnant :
-Oh mes chéris, je suis folle de bonheur, vos queues sont si bonnes qu'elles me font jouir atrocement, encore, prenez-moi encore, c'est si bon !
Pour ne pas décevoir la demandeuse, les deux amants infatigables, la font jouir encore plusieurs fois, en échangeant souvent les places. C'est épuisée, gavée de sperme que Karine demande grâce. C'est faiblement entre deux respirations qu'elle dit :
-Oh mes chéris, je suis folle de bonheur, vos queues sont si bonnes qu'elles me font jouir atrocement, encore, prenez-moi encore, c'est si bon !
Pour ne pas décevoir la demandeuse, les deux amants infatigables, la font jouir encore plusieurs fois, en échangeant fréquemment les places. C'est épuisée, gavée de sperme que Karine demande grâce. C'est faiblement entre deux respirations qu'elle dit :
-Oh mes salauds, c'est merveilleux, vous avez fait de moi une machine à jouir, je vous aime mes chéris d'amour !
Pendant des mois, Karine subit sans rechigner les assauts de plus en plus violents de ses deux amants, elle devient si gourmande, que Paul doit faire intervenir des amis pour assouvir la soif de sexe de sa femme insatiable. Elle subit même, durant les ébats, des relations lesbiennes. Elle devient aussi, une brouteuse de minou féroce.
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Karine devient incestueuse fin
Lilian suce le clito de sa maman comme si c'était un bonbon acidulé. Il tète si fort qu'elle grogne comme une bête blessée. Comme lui a suggéré son papa, il mord la boule de chair de sa maman, qui se cabre en poussant :
-Oh, mon salaud, oui, c'est bon, encore, encore !
Lilian réitère plusieurs fois cet acte douloureux, mais excitant pour sa maman. Paul bande comme un cheval en rut, il se masturbe en regardant sa femme geindre sous la bouche vorace de son fils amant. Karine se cramponne au canapé comme elle peut, son corps est en fusion, elle défaille :
-Je vais jouir, je vais jouir, oui, oui, Lilian mon chéri, tu me fais mourir !
C'est comme une déflagration qui secoue le corps de Karine, sa jouissance est terrible, elle grimace, en giclant comme un geyser. Comme cela lui arrive rarement de gicler, elle pousse d'innombrables :
- Oh mon Dieu, oh mon Dieu !
Lilian ne s'attendait pas à ça, il reçoit en plein visage la giclée, il ferme les yeux en grimaçant, puis plaque sa bouche sur le flot de cyprine, il avale tout ce que la chatte de sa maman lui offre. C'est gavé et repu, qu'il se redresse. Il regarde la vulve en éruption, et sans crier gare, enfonce sa verge profondément dans le cratère de la jouisseuse. Il s'agrippe à ses hanches en râlant comme un animal et la défonce comme un forcené. La bite épaisse, en raclant les parois du vagin, fait gémir la maman, qui ne cesse de répéter :
-Mon chéri, oui, tu ouvres bien ta maman, oh comme ta bite lui fait du bien, vas-y mon chéri, montre à papa comment tu baises bien sa salope de femme, oui, oui, tape fort mon chéri, oh que c'est bon !
Paul, au bout du rouleau, gicle sur les seins de sa femme, en poussant un long râle. Il presse la hampe pour bien la vider du jus qu'elle contient encore. Lilian donne des coups de reins terribles, à chaque enfoncement de sa queue dans le vagin brûlant de sa maman, elle pousse un râle. Comme prise d'hystérie, elle agite son bassin en marmonnant :
-Va à fond, n'aie pas peur de me faire mal, oui, je sens bien ta queue, oui comme ça, comme ça !
Son fils la bourre tellement qu'il lui massacre le col de l'utérus, Paul écarquille les yeux, en voyant la verge de son fils pilonner la chatte baveuse de sa femme, qui ne cesse de geindre de plaisir. Ses couilles chargées de sperme, frappent avec violent la vulve gonflée de la soumise qui grommelle des phrases inaudibles, en délirant de bonheur.
Le fils amant se raidit, se bloque, et envoie un flot brûlant de semence dans le ventre de la maman soumise. Karine sent avec bonheur le sperme chaud, lui envahir la chatte, elle commence à donner des coups de reins terribles, puis en grinçant des dents, et en se cabrant, pousse un hurlement de jouissance. Pour bien vider sa verge, Lilian donne encore quelques estocades.
Paul, excité comme jamais, saisit la main de sa femme, l'aide à se lever. Il s'allonge sur le sol, et lui demande de s'empaler sur sa queue, en vacillant, Karine, enjambe son mari et descend lentement son corps, elle saisit la queue encore opérationnelle et la dirige vers son temple dégoulinant de sperme encore chaud. Elle s'empale jusqu'aux couilles en se laissant tomber de tout son poids. Le gémissement affreux, qu'elle pousse pendant l'empalement, fait sursauter Lilian. Il s'approche, caresse la croupe de sa maman, insère ses doigts dans le large sillon, taquine l'anus un instant, puis avec son majeur appuie sur le muscle souple. Karine soupire profondément, en sachant très bien ce qu'il va lui arriver. Bien qu'elle n'ait jamais subi de sodomie, et encore moins une double pénétration, là, elle est disposée avoir dans son corps deux bites en même temps.
Elle se trouve dans un état de fébrilité tel, que son corps se met à trembler.
Lilian appuie sur l'anneau ridé, la première phalange s'enfonce aisément dans le rectum. Un petit, ah, sort de la bouche de Karine, qui se plaque contre le torse de son mari. Une seconde poussée, et le doigt disparait comme aspiré par l'anus. Un second son sort de la bouche de Karine. Le doigt commence s'agiter dans la gaine anale en arrachant à Karine de petites plaintes. Lilian, sans agressivité, fouille délicatement l'anus de sa maman. Son doigt tourne, fait de courts allers et retours dans le conduit étroit qui est sondé pour la première fois par un visiteur étranger. Rapidement, Karine s'habitue au visiteur. Elle commence à agiter doucement son bassin, sur la queue de son mari qui est plantée profondément dans son ventre. Le fils devient plus audacieux, il joint un au doigt au premier et fouille, avec plus de conviction le rectum pour l'assouplir au mieux. Karine geint faiblement, se cambre pour bien offrir sa croupe à son jeune amant.
Enfin, Lilian retire ses doigts, plaque sa bouche sur l'anus encore ouvert, et avec insistance, réussit à y faire pénétrer sa langue. Il fouille avec acharnement, le conduit le plus loin possible. Sa maman pousse des gémissements entre coupés de :
-Oh putain, oh putain, Lilian, tu me rends folle, mais qu'est-ce que tu me fais, oh putain !
Enfin, il se redresse, crache sur l'anus, le badigeonne de salive, et présente sa queue raide comme du bois contre la petite porte. Il s'accroche aux hanches de sa maman et pousse. Après une courte résistance, l'anus cède, et avale petit à petit le manche de chair. Karine grimace, son vocabulaire ne change pas :
-Oh putain, oh putain, salaud, tu m'éclates le cul, doucement, doucement, ta queue est trop grosse, arrête, ça fait trop mal, non, non pas ça !
Lilian ne l'écoute pas. Sa verge puissante s'avance lentement dans le conduit étroit, qu'elle dilate au fur et à mesure qu'elle s'enfonce. Karine grimace, serre les dents, la douleur est atroce. Elle a l'impression que les deux queues sont dans le même orifice tellement la paroi qui les sépare est fine. Elle se cramponne à son mari en geignant de douleur. Une fois que ses couilles frappent les fesses de la maman suppliciée, Lilian reste immobile. Le souffle de sa maman est bruyant, elle grogne :
-Oh la vache, Lilian, tu vas me déchirer, retire-toi !
Mais comme réponse, le bougre donne plusieurs coups de reins violents. Sa maman s'écroule sur le corps de son mari en geignant. Lilian comme un enculage féroce, ses coups de béliers sont féroces. Il décule presque entièrement, pour enfoncer à nouveau sa queue au plus profond des entrailles de sa maman qui geint comme une agonisante. Maintenant, ce sont les deux queues qui voyagent dans son corps, les deux amants trouvent rapidement la synchronisation parfaite, pour faire gémir leur soumise. La douleur semble s'estamper au fil des minutes. Les gémissements de Karine sont désormais, des gémissements de plaisir. La tension monte lentement, mais surement dans son corps fortement sollicité. Elle s'agite sur les deux queues, en grognant comme une bête en rut.
Une jouissance encore inconnue d'elle, la fait cabrer, elle ne peut retenir un hurlement pendant l'explosion. Elle reçoit un flot de sperme dans les entrailles, cela provoque une nouvelle jouissance aussi dévastatrice que la précédente, elle s'écroule sur le corps de son mari, en marmonnant :
-Oh mes chéris, je suis folle de bonheur, vos queues sont si bonnes qu'elles me font jouir atrocement, encore, prenez-moi encore, c'est si bon !
Pour ne pas décevoir la demandeuse, les deux amants infatigables, la font jouir encore plusieurs fois, en échangeant souvent les places. C'est épuisée, gavée de sperme que Karine demande grâce. C'est faiblement entre deux respirations qu'elle dit :
-Oh mes chéris, je suis folle de bonheur, vos queues sont si bonnes qu'elles me font jouir atrocement, encore, prenez-moi encore, c'est si bon !
Pour ne pas décevoir la demandeuse, les deux amants infatigables, la font jouir encore plusieurs fois, en échangeant fréquemment les places. C'est épuisée, gavée de sperme que Karine demande grâce. C'est faiblement entre deux respirations qu'elle dit :
-Oh mes salauds, c'est merveilleux, vous avez fait de moi une machine à jouir, je vous aime mes chéris d'amour !
Pendant des mois, Karine subit sans rechigner les assauts de plus en plus violents de ses deux amants, elle devient si gourmande, que Paul doit faire intervenir des amis pour assouvir la soif de sexe de sa femme insatiable. Elle subit même, durant les ébats, des relations lesbiennes. Elle devient aussi, une brouteuse de minou féroce.
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