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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 14/10/2025
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Karine incestueuse 3
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Karine, devient incestueuse 3
Lilian s'acharne, sa queue entre et ressort avec violence dans le ventre de sa maman gémissante. Il tire fortement sur ses hanches à chaque coup de reins qu'il donne. Les grognements qu'il pousse ressemblent à ceux d'un animal.
Sa verge racle avec force les parois sensibles de la gaine brulante de la maman soumise. Paul est en admiration devant le spectacle, il dit avec émotion :
-Oui, ma chérie, donne-toi bien, prends bien son pieu dans le ventre, oh putain que c'est bon te voir subir sa grosse bite, baise-là plus fort Lilian, fais-la gueuler, oh ce qu'elle est bonne ma femme, vas-y, vas-y, lâche-toi ma chérie !
Il lui presse les mamelons pour la faire rugir, lui marque les seins de ses dents. Karine geint, agite son bassin, les paroles de son mari l'encouragent. Elle donne des coups de reins, elle aussi, elle cherche que l'empalement soit total. Elle est au bord de l'explosion, elle hurle :
-Oui, oui, mon chéri, encore, encore, ça vient, oh mon Dieu, je vais jouir !
Elle se cambre comme un pont un jour de tempête. Le fil amant la défonce en serrant les dents, son gland large et épais, bute à chaque enfoncement, contre le col de l'utérus de la maman, qui soudain, hurle en jouissant. Lilian lui remplit le ventre de sperme avant de basculer sur le sil en entrainant sa maman avec lui. Paul éclate de rire, en regardant les deux corps emboités l'un dans l'autre sur le sol. Après un instant sans bouger, péniblement les deux se relèvent. La maman regarde son fils, elle rougit fortement et dit :
-J'ai honte de ce que je viens de faire, c'est odieux, je ne mérite plus le nom de maman !
Karine ramasse ses affaires et se dirige vers la salle de bain. Son fils, soucieux, lui emboite le pas. Une fois dans la salle de bain avec sa maman, il lui dit :
-Maman, ne culpabilise pas, c'est moi le responsable, je t'ai forcé la main !
Karine se jette dans les bras de son fils, et éclate en sanglots. Lui, pour la consoler, lui couvre le visage de baisers. Il la serre très fort dans ses bras, sa maman, très émue, renifle plusieurs fois et en ravalant sa salive dit :
-Tu sais mon chéri, je suis responsable aussi, car j'ai pris beaucoup de plaisir, lorsque que nous, nous sommes accouplés !
Lilian relève le menton de sa maman avec deux doigts, et lui donne un baiser bruyant sur les lèvres. Il la sent tressaillir, il serre encore plus fort son corps nu contre le sien. Les yeux pleins de larmes, et en poussant de nombreux soupirs, elle dit :
-Laisse-moi maintenant mon chéri, il faut que je lave la honte qui souille mon corps !
Lilian quitte la salle de bain et rejoint son papa dans le salon. Ils se regardent un long moment, puis Paul dit :
-On peut dire que tu as fait grimper ta maman aux rideaux mon salaud vu comme elle a joui, c'est incontestable, si seulement je pouvais la faire jouir autant que toi, je serais le plus heureux des hommes. Avoue, qu'elle baise bien ta maman, c'est un volcan la cochonne lorsqu'elle le veut !
- Oui papa, maman est chaude comme l'Etna, je me suis régalé. avec elle. J'ai eu de la chance, il fallait qu'elle soit en condition, et là, elle l'était, tu n'as rien à te reprocher. !
-Tu sais Lilian, vous voir baiser m'a excité terriblement, mon fantasme, c'était de la voir prise par un autre homme, voila, c'est fait, mais cela a été trop court à mon gout, j'aurais aimé me mêler à vous !
Lilian sursaute et en fronçant les sourcils demande :
-Tu voulais que nous prenions maman à deux, mais pourquoi tu ne l'as proposé avant, je crois qu'elle aurait tout acceptée !
-J'en rêve depuis de longues années, avec deux bonnes bites dans son corps, hum comme elle doit jouir, je n'ai jamais osé lui, proposer, quoique si j'avais eu le culot de le faire, je crois qu'il n'y aurait pas eu de flottement dans notre couple !
Lilian secoue négativement la tête et ajoute :
-Eh bien pour la remettre en conditions, cela ne va pas être facile !
Paul se dirige vers la salle de bain, sa femme est sous la douche, il se met nu et la rejoint. Il enduit le gant de toilette de gel douche et commence à frotter le corps sublime de sa femme chérie. Le gant passe entre les lobes fessiers, glisse longuement sur le muscle rectal, avant de passer entre les cuisses, et s'attarder sur la fente aux lèvres épaisses. Le gant s'insère entre les lèvres, agace un long moment le clitoris, qui prend automatiquement beaucoup de volume.
Karine soupire profondément, et dit :
- Mon chéri, ce que tu me fais m'excite, si tu continues je ne réponds plus de moi, je ne sais pas ce que j'ai aujourd'hui, je suis une chaudasse !
Il lui murmure à l'oreille :
-C'est encourageant d'entendre ça ma chérie, est-ce que deux bites en même temps dans ton corps pourraient te tenter, moi, j'y pense depuis un bon moment, hum te voir jouir avec deux bonnes queues en toi, m'excite comme une puce ?
En souriant, Karine répond :
-Ne tente pas le diable, mon cochon garde tes fantasmes pour toi !
Ils échangent un baiser fougueux, et quelques caresses qui mettent en appétit, puis Karine repousse son mari. Il sort de la salle de bain, penaud, mais la queue raide. Il rejoint son fils au salon, qui lui dit :
-Alors papa, maman est disposée à un ébat pluriel ?
Paul fait une moue, en haussant les épaules et dit, déçu :
-Je l'ai un peu chauffé, elle m'a repoussée !
Karine enfin sort de la salle de bain avec enroulée sur le corps une serviette de bain nouée au-dessus des seins. Lilian dévore sa maman des yeux, Paul la suit du regard en poussant de gros soupirs. Karine s'arrête et regarde à tour de rôle ses deux hommes, elle s'approche de son mari, qui est vautré nu sur le canapé, la verge toujours tendue. Elle le regarde d'un air soupçonneux et dit :
-Vous êtes tout drôles, qu'est-ce qui se passe, avez comploté quelque chose, je le sens !
Paul reste muet, lui passe la main sur la cuisse dénudée et la monte doucement sous la serviette. Avec douceur, il la fait glisser entre les cuisses, ses doigts butent sur la fente. Karine se pince les lèvres, et dit en regardant la verge dressée de son mari :
-Paul, je t'en prie, calme-toi, il est malsain de nous donner en spectacle devant notre fils !
En lui arrachant la serviette, Paul dit :
-Mais ma chérie, il participera aussi, il te désire comme un fou, depuis qu'il t'a possédé, il ne pense qu'à ça, regarde, il dévore ton corps des yeux le cochon, d'ailleurs, reconnais qu'il t'a bien fait jouir, avoue que tu veux encore sa queue en toi !
Karine ne peut nier qu'elle a eu du plaisir avec son fils, elle le regarde, ses yeux s'embuent. Dans le fond de son âme, elle le désire encore, mais n'ose se l'avouer. Paul lui saisit la main et la fait tomber sur le canapé, et se rue dessus comme un animal sur sa proie. Il lui caresse les cuisses, monte jusqu'au temple, dans la foulée, il lui aspire un mamelon. Karine commence à geindre, elle regarde son fils, ses yeux lancent un appel. Il regarde avec envie ses parents enlacés sur le canapé. Une monstrueuse érection trahit son émotion. Karine geint de plus en plus fort, les doigts de son mari lui fouillent profondément le vagin. Elle mouille comme une fontaine, se cambre au maximum pour bien offrir son fruit aux doigts agiles qui la font geindre. Ses yeux embués cherchent son fils, elle ne résiste pas plus longtemps à l'appel des sens, elle dit faiblement, sans trop montrer son désir incestueux :
-Viens mon chéri, viens !
Lilian retire tous ses vêtement et avance vers le couple qui s'agite sur le canapé. Les doigts de Paul font gémir comme une bête malade Karine, qui en bafouillant peine à dire :
-Viens, viens, mon chéri !
Sans se faire prier, le fils amoureux offre aux lèvres pulpeuses de sa maman son gourdin de chair. Les mains tremblantes de Karine le saisissent, tout en geignant, elle le regarde intensément, fébrilement, elle le décalotte et donne de nombreux coups de langues sur le gland violacé. Paul redresse la tête et en souriant dit :
-Elle est grosse et bonne la bite de ton fils, hein ma chérie !
Karine, un peu hors sol, répond entre deux coups de langue :
- Je suis une femme damnée, Oh oui, oui, elle est bonne, je la veux en moi, Paul !
Paul sait, maintenant, que sa femme est tellement excitée, qu'elle ne refusera pas la double pénétration, dont il rêve depuis si longtemps. Il répond en arborant un large sourire :
-Oui ma chérie, régale-toi, tu vas avoir dans le corps la bite de ton fils, autant de fois que tu le désires !
Ces paroles libèrent, Karine. Sa bouche vorace s'empare du gland, et le tète avec férocité, les succions bruyantes, font sourires Paul qui reprend avec plus de détermination le sondage digitale de la vulve ajusteuse de sa femme. La bouche de Karine produit trop rapidement au gout de son fils son effet, il se raidit et en grognant envoie dans la bouche affamée de sa maman, son sperme visqueux. On entend Karine déglutir, ses yeux lancent des étincelles de bonheur. Elle recrache le gland marbré, et avale la semence si généreusement offerte par son fils. Paul attrape le clito devenu monstrueux et dit en le pressant entre ses doigts :
-Viens bouffer la chatte à ta maman, regarde son clito comme il est gonflé, il a besoin de ta bouche, viens, viens, Lilian, ne laisse pas ta maman dans cet état !
Rapidement, le fils, amant, s'agenouille entre les jambes de sa maman, et avance lentement sa tête entre ses cuisses largement ouvertes. Il hume avec force, les effluves odorantes que la vulve rejette. Puis plaque sa bouche sur le fruit trop mûr qui rejette son jus. Sa maman, au contact de la bouche sur sa chatte, se cabre en poussant un grognement. Lilian, aspire tout se qu'il peut, avant d'enfoncer profondément sa langue dans le puits débordant de cyprine suave.
Paul est en admiration devant le couple d'amants, sa queue tendue le prouve, pris d'un voyeurisme incontrôlable, il se penche pour mieux voir. Il voit la langue râpeuse de son fils agacer le clito gonflé de la maman demandeuse. Il jubile de bonheur et encourage même le bouffeur de minou :
-Oui, Lilian bouffe-lui bien la chatte, elle adore ça ta maman salope, mors lui le clito, pour stimuler encore plus cette bonne salope !
Lilian s'acharne, sa queue entre et ressort avec violence dans le ventre de sa maman gémissante. Il tire fortement sur ses hanches à chaque coup de reins qu'il donne. Les grognements qu'il pousse ressemblent à ceux d'un animal.
Sa verge racle avec force les parois sensibles de la gaine brulante de la maman soumise. Paul est en admiration devant le spectacle, il dit avec émotion :
-Oui, ma chérie, donne-toi bien, prends bien son pieu dans le ventre, oh putain que c'est bon te voir subir sa grosse bite, baise-là plus fort Lilian, fais-la gueuler, oh ce qu'elle est bonne ma femme, vas-y, vas-y, lâche-toi ma chérie !
Il lui presse les mamelons pour la faire rugir, lui marque les seins de ses dents. Karine geint, agite son bassin, les paroles de son mari l'encouragent. Elle donne des coups de reins, elle aussi, elle cherche que l'empalement soit total. Elle est au bord de l'explosion, elle hurle :
-Oui, oui, mon chéri, encore, encore, ça vient, oh mon Dieu, je vais jouir !
Elle se cambre comme un pont un jour de tempête. Le fil amant la défonce en serrant les dents, son gland large et épais, bute à chaque enfoncement, contre le col de l'utérus de la maman, qui soudain, hurle en jouissant. Lilian lui remplit le ventre de sperme avant de basculer sur le sil en entrainant sa maman avec lui. Paul éclate de rire, en regardant les deux corps emboités l'un dans l'autre sur le sol. Après un instant sans bouger, péniblement les deux se relèvent. La maman regarde son fils, elle rougit fortement et dit :
-J'ai honte de ce que je viens de faire, c'est odieux, je ne mérite plus le nom de maman !
Karine ramasse ses affaires et se dirige vers la salle de bain. Son fils, soucieux, lui emboite le pas. Une fois dans la salle de bain avec sa maman, il lui dit :
-Maman, ne culpabilise pas, c'est moi le responsable, je t'ai forcé la main !
Karine se jette dans les bras de son fils, et éclate en sanglots. Lui, pour la consoler, lui couvre le visage de baisers. Il la serre très fort dans ses bras, sa maman, très émue, renifle plusieurs fois et en ravalant sa salive dit :
-Tu sais mon chéri, je suis responsable aussi, car j'ai pris beaucoup de plaisir, lorsque que nous, nous sommes accouplés !
Lilian relève le menton de sa maman avec deux doigts, et lui donne un baiser bruyant sur les lèvres. Il la sent tressaillir, il serre encore plus fort son corps nu contre le sien. Les yeux pleins de larmes, et en poussant de nombreux soupirs, elle dit :
-Laisse-moi maintenant mon chéri, il faut que je lave la honte qui souille mon corps !
Lilian quitte la salle de bain et rejoint son papa dans le salon. Ils se regardent un long moment, puis Paul dit :
-On peut dire que tu as fait grimper ta maman aux rideaux mon salaud vu comme elle a joui, c'est incontestable, si seulement je pouvais la faire jouir autant que toi, je serais le plus heureux des hommes. Avoue, qu'elle baise bien ta maman, c'est un volcan la cochonne lorsqu'elle le veut !
- Oui papa, maman est chaude comme l'Etna, je me suis régalé. avec elle. J'ai eu de la chance, il fallait qu'elle soit en condition, et là, elle l'était, tu n'as rien à te reprocher. !
-Tu sais Lilian, vous voir baiser m'a excité terriblement, mon fantasme, c'était de la voir prise par un autre homme, voila, c'est fait, mais cela a été trop court à mon gout, j'aurais aimé me mêler à vous !
Lilian sursaute et en fronçant les sourcils demande :
-Tu voulais que nous prenions maman à deux, mais pourquoi tu ne l'as proposé avant, je crois qu'elle aurait tout acceptée !
-J'en rêve depuis de longues années, avec deux bonnes bites dans son corps, hum comme elle doit jouir, je n'ai jamais osé lui, proposer, quoique si j'avais eu le culot de le faire, je crois qu'il n'y aurait pas eu de flottement dans notre couple !
Lilian secoue négativement la tête et ajoute :
-Eh bien pour la remettre en conditions, cela ne va pas être facile !
Paul se dirige vers la salle de bain, sa femme est sous la douche, il se met nu et la rejoint. Il enduit le gant de toilette de gel douche et commence à frotter le corps sublime de sa femme chérie. Le gant passe entre les lobes fessiers, glisse longuement sur le muscle rectal, avant de passer entre les cuisses, et s'attarder sur la fente aux lèvres épaisses. Le gant s'insère entre les lèvres, agace un long moment le clitoris, qui prend automatiquement beaucoup de volume.
Karine soupire profondément, et dit :
- Mon chéri, ce que tu me fais m'excite, si tu continues je ne réponds plus de moi, je ne sais pas ce que j'ai aujourd'hui, je suis une chaudasse !
Il lui murmure à l'oreille :
-C'est encourageant d'entendre ça ma chérie, est-ce que deux bites en même temps dans ton corps pourraient te tenter, moi, j'y pense depuis un bon moment, hum te voir jouir avec deux bonnes queues en toi, m'excite comme une puce ?
En souriant, Karine répond :
-Ne tente pas le diable, mon cochon garde tes fantasmes pour toi !
Ils échangent un baiser fougueux, et quelques caresses qui mettent en appétit, puis Karine repousse son mari. Il sort de la salle de bain, penaud, mais la queue raide. Il rejoint son fils au salon, qui lui dit :
-Alors papa, maman est disposée à un ébat pluriel ?
Paul fait une moue, en haussant les épaules et dit, déçu :
-Je l'ai un peu chauffé, elle m'a repoussée !
Karine enfin sort de la salle de bain avec enroulée sur le corps une serviette de bain nouée au-dessus des seins. Lilian dévore sa maman des yeux, Paul la suit du regard en poussant de gros soupirs. Karine s'arrête et regarde à tour de rôle ses deux hommes, elle s'approche de son mari, qui est vautré nu sur le canapé, la verge toujours tendue. Elle le regarde d'un air soupçonneux et dit :
-Vous êtes tout drôles, qu'est-ce qui se passe, avez comploté quelque chose, je le sens !
Paul reste muet, lui passe la main sur la cuisse dénudée et la monte doucement sous la serviette. Avec douceur, il la fait glisser entre les cuisses, ses doigts butent sur la fente. Karine se pince les lèvres, et dit en regardant la verge dressée de son mari :
-Paul, je t'en prie, calme-toi, il est malsain de nous donner en spectacle devant notre fils !
En lui arrachant la serviette, Paul dit :
-Mais ma chérie, il participera aussi, il te désire comme un fou, depuis qu'il t'a possédé, il ne pense qu'à ça, regarde, il dévore ton corps des yeux le cochon, d'ailleurs, reconnais qu'il t'a bien fait jouir, avoue que tu veux encore sa queue en toi !
Karine ne peut nier qu'elle a eu du plaisir avec son fils, elle le regarde, ses yeux s'embuent. Dans le fond de son âme, elle le désire encore, mais n'ose se l'avouer. Paul lui saisit la main et la fait tomber sur le canapé, et se rue dessus comme un animal sur sa proie. Il lui caresse les cuisses, monte jusqu'au temple, dans la foulée, il lui aspire un mamelon. Karine commence à geindre, elle regarde son fils, ses yeux lancent un appel. Il regarde avec envie ses parents enlacés sur le canapé. Une monstrueuse érection trahit son émotion. Karine geint de plus en plus fort, les doigts de son mari lui fouillent profondément le vagin. Elle mouille comme une fontaine, se cambre au maximum pour bien offrir son fruit aux doigts agiles qui la font geindre. Ses yeux embués cherchent son fils, elle ne résiste pas plus longtemps à l'appel des sens, elle dit faiblement, sans trop montrer son désir incestueux :
-Viens mon chéri, viens !
Lilian retire tous ses vêtement et avance vers le couple qui s'agite sur le canapé. Les doigts de Paul font gémir comme une bête malade Karine, qui en bafouillant peine à dire :
-Viens, viens, mon chéri !
Sans se faire prier, le fils amoureux offre aux lèvres pulpeuses de sa maman son gourdin de chair. Les mains tremblantes de Karine le saisissent, tout en geignant, elle le regarde intensément, fébrilement, elle le décalotte et donne de nombreux coups de langues sur le gland violacé. Paul redresse la tête et en souriant dit :
-Elle est grosse et bonne la bite de ton fils, hein ma chérie !
Karine, un peu hors sol, répond entre deux coups de langue :
- Je suis une femme damnée, Oh oui, oui, elle est bonne, je la veux en moi, Paul !
Paul sait, maintenant, que sa femme est tellement excitée, qu'elle ne refusera pas la double pénétration, dont il rêve depuis si longtemps. Il répond en arborant un large sourire :
-Oui ma chérie, régale-toi, tu vas avoir dans le corps la bite de ton fils, autant de fois que tu le désires !
Ces paroles libèrent, Karine. Sa bouche vorace s'empare du gland, et le tète avec férocité, les succions bruyantes, font sourires Paul qui reprend avec plus de détermination le sondage digitale de la vulve ajusteuse de sa femme. La bouche de Karine produit trop rapidement au gout de son fils son effet, il se raidit et en grognant envoie dans la bouche affamée de sa maman, son sperme visqueux. On entend Karine déglutir, ses yeux lancent des étincelles de bonheur. Elle recrache le gland marbré, et avale la semence si généreusement offerte par son fils. Paul attrape le clito devenu monstrueux et dit en le pressant entre ses doigts :
-Viens bouffer la chatte à ta maman, regarde son clito comme il est gonflé, il a besoin de ta bouche, viens, viens, Lilian, ne laisse pas ta maman dans cet état !
Rapidement, le fils, amant, s'agenouille entre les jambes de sa maman, et avance lentement sa tête entre ses cuisses largement ouvertes. Il hume avec force, les effluves odorantes que la vulve rejette. Puis plaque sa bouche sur le fruit trop mûr qui rejette son jus. Sa maman, au contact de la bouche sur sa chatte, se cabre en poussant un grognement. Lilian, aspire tout se qu'il peut, avant d'enfoncer profondément sa langue dans le puits débordant de cyprine suave.
Paul est en admiration devant le couple d'amants, sa queue tendue le prouve, pris d'un voyeurisme incontrôlable, il se penche pour mieux voir. Il voit la langue râpeuse de son fils agacer le clito gonflé de la maman demandeuse. Il jubile de bonheur et encourage même le bouffeur de minou :
-Oui, Lilian bouffe-lui bien la chatte, elle adore ça ta maman salope, mors lui le clito, pour stimuler encore plus cette bonne salope !
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