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Kariene et Cloé
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Karine et Cloé
De sa chambre, Cloé entend les gémissements de sa maman, qui, veuve depuis très longtemps, se masturbe pour combler le manque de sexe. Cette femme mère de famille n'a que ses doigts et un gode pour se faire plaisir. Karine élève seule sa fille Cloé qui a maintenant 21 ans et qui prépare un master. Elle ne sort que pour aller travailler, quelques fois des collègues tentent de la courtiser. Mais elle ne pense qu'à l'avenir de sa fille et esquive toutes approches.
Souvent son amie Louise lui dit :
— Tu es attirante et bien en chair, franchis le pas si tu veux, je te présente des hommes, de bons mâles, fais-moi confiance !
Il faut dire que Louise est une femme sensuelle, un peu trop portée sur le sexe. Son mari Lucien s'épuise à l'honorer. Les demandes pressantes de sa femme l'obligent à prendre des produits pour tenir la distance. Elle attend avec impatience son retour du travail, pour se faire défoncer comme une bête en rut. Lucien est de moins en moins performant, Karine, pour assouvir ses pulsions, prend un amant et ne s'en cache pas. Elle raconte tous ses délires à Karine qui salive abondamment.
Les récits de Karine font que le soir dans son lit, Karine se masturbe plusieurs fois avec de plus en plus de violence. Cloé l'entend gémir comme une bête, c'est si bruyant qu'elle se lève et ouvre doucement la porte de la chambre de sa maman. La lumière est allumée, elle la trouve nue sur le lit, jambes largement ouvertes avec un gode profondément planté dans la chatte. Karine se fait violence en grimaçant. Ses yeux sont fermés et de sa bouche entrouverte s'échappe un filet de bave. Cloé reste figée, ses yeux ne quittent pas le gode que sa maman fait voyager rageusement dans son ventre.
Elle s'approche encore plus, elle est si près qu'elle hume les effluves odorantes que sa vulve rejette. Cloé frémit, elle admire la bite factice qui entre et ressort de la chatte de sa maman en la dilatant fortement. Son abricot se met en ébullition et commence à suinter, elle a beau serrer les cuisses, le liquide s'échappe quand même de sa fente. Karine, en gémissant, fouille profondément les entrailles. Son visage déformé par une grimace affreuse prouve qu'elle est en souffrance. Elle se donne des coups de gode si violents qu'on a l'impression qu'elle se châtie d'une faute commise. Sans savoir pour quelle raison, Cloé empoigne le gode et lui fait faire des allers et des retours très profonds. Karine, surprise, ouvre les yeux et reste figée en voyant sa fille face à elle qui lui agite le gode dans le ventre. Elle est tétanisée, et ne trouve pas ses mots. Lorsqu'elle arrive enfin à ouvrir la bouche, Cloé lui pose son doigt sur les lèvres et lui dit tendrement :
— Joui, maman chérie, tu en as besoin, je sais que la solitude est très pesante, je vais t'aider !
Karine, sans voix, lâche le gode, et c'est Cloé seule qui le manœuvre. Elle le tourne dans le vagin, en faisant simultanément un va-et-vient profond. De sa main libre, elle lui saisit le clito qui est devenu monstrueux. Lorsqu'elle l'agite, Karine se cabre en gémissant encore plus fort. Elle regarde sa fille de manière honteuse, ses yeux semblent l'implorer de lui pardonner la masturbation qu'elle s'infligeait.
Cloé lui enfonce le gode à fond et lui écrase le clito. Cela provoque une jouissance terrible à sa maman qui se tend comme un arc en grognant fortement. Cloé reprend rapidement le pilonnage de la chatte et le branlage du clito avec plus de vigueur. Sa maman se cambre en gémissant comme un animal malade. Une seconde jouissance la fait hurler. Elle retombe lourdement sur le lit en haletant, de ses yeux s'échappent quelques perles de rosée. Lentement, Cloé retire l'engin du ventre de sa maman, et le lui fait passer plusieurs fois sur ses lèvres charnues. Avec insistance, Cloé frotte la bite de silicone contre les lèvres de sa maman qui enfin comprend ce que sa fille désire, elle ouvre la bouche, progressivement l'engin très épais pénètre la cavité buccale. Karine, soumise, se met à sucer le gode. Elle tète et suce l'engin avec timidité. Cloé l'encourage :
— Suce maman, imagine que c'est une bonne bite bien épaisse, régale-toi maman chérie !
Karine peu à peu devient plus audacieuse. Elle s'active sur l'engin, qui lui fait mal aux mâchoires. De sa bouche s'échappe de la bave, le gode en est recouvert. Cloé semble ravie de voir sa maman sucer et téter le mandrin de silicone.
Enfin, elle lui retire l'engin de ma bouche, et la regarde en souriant. Karine lui dit en rougissant :
— Tu me fais faire des choses qui me font honte, Cloé !
En lui relevant le menton avec deux doigts et avant de déposer un baiser bruyant sur ses lèvres, réplique :
— Tu mérites mieux que cela, maman chérie, il faut oser se dévergonder pour avoir un maximum de plaisir. Sors, vois du monde, traine dans les boites, fais-toi sauter, prends ton pied, jouis le plus que tu peux, ne reste pas à te morfondre, je vais avoir mon master et un travail, profite des plaisirs de la vie !
Karine reste bouche bée devant les propos de sa fille, mais elle sait qu'elle a raison, elle répond :
— Tu ne veux tout de même pas que je devienne une pute ma chérie ?
Cloé, en souriant, répond :
— Pute, c'est un bien grand mot, mais pourquoi pas si c'est pour que tu t'épanouisses pleinement !
Karine reste un instant muette, puis réagit :
— Tu ne voudrais pas que je devienne comme Louise, une accro au sexe ?
Cloé répond :
— Au moins, elle profite de la vie et des plaisirs du sexe, pas comme toi !
Cloé commence à lui caresser les seins, à les embrasser. Elle gobe délicatement les mamelons, les suce, les tète, en faisant gémir doucement sa maman, qui, troublée par les paroles de sa fille, ne sait comment réagir. La chatte de Cloé est dégoulinante, la cyprine abondante s'échappe de la fente, ses cuisses en portent les traces. La bouche avide de Cloé dévore les mâts de chair avec voracité. Peu à peu, Karine se libère. Elle s'enfonce lentement le gode dans la vulve pendant que sa fille lui dévore les mamelons. Elle commence à geindre, la bouche de sa fille est magique, ses mamelons sont monstrueux et commencent à devenir douloureux.
Enfin Cloé les délaisse, sa bouche descend sur le corps de sa maman en la faisant gémir de plaisir. La langue fouille le nombril avant de descendre vers le temple de l'Amour. Pendant que Karine se gode, sa fille lui donne sur Instinctivement, Karine retire le gode et ouvre largement les cuisses. Sa fille en profite pour lui enfoncer sa langue dans le trou béant et le fouiller profondément. La pénétration habile fait rugir Karine qui se cambre, son corps tremble. Elle gémit terriblement, elle vient de découvrir que sa fille n'a pas froid aux yeux, et qu'elle est une amante merveilleuse. Lorsqu'elle lui aspire le clito, tout semble exploser autour d'elle, une jouissance inconnue jusqu'ici causée par la bouche vorace de sa fille la fait hurler. Karine halète en marronnant :
— Ma chérie, mais qu'est-ce qui nous prend de faire un acte incestueux aussi monstrueux ? Mon Dieu, j'ai honte, mais c'est si bon !
Cloé se redresse et dit tendrement :
— Fais-moi jouir aussi maman chérie, je suis en feu !
Cloé, fébrile, retire sa nuisette et offre à sa maman son corps brûlant. Maladroitement et en tremblant, Karine tente de rendre le même plaisir que sa fille lui a donné. Sa bouche inhabile parcourt le corps de sa fille en la faisant gémir. Cloé apprécie les attouchements buccaux de sa maman, bien qu'elle ne soit pas lesbienne, sa maman s'en sort bien. Cloé geint, couine de plaisir sous les coups de langues affutés de sa maman. Avec des mouvements rapides, elle lui titille le clito, l'aspire, le suce jusqu'à ce que sa fille jouisse. Pensant de longues heures, les deux femmes s'aiment en se faisant jouir de nombreuses fois. Fatiguées, elles restent allongées l'une contre l'autre en haletant. Karine dit avec beaucoup de tendresse :
— Ma chérie, tu viens de me redonner goût à la vie, je vais suivre ton conseil, je vais me faire déglinguer le plus possible. Avant de l'embrasser fougueusement, Cloé répond :
— Oui maman, prends de bonnes bites partout en toi, explose, prends du plaisir tant que tu le peux encore, maman chérie !
Karine, en soupirant, répond :
— J'ai peur de ne pas être à la hauteur !
En haussant les épaules, Chloé réplique :
— Ne te sous-estime pas maman, tu as un sacré potentiel, si tu veux, je peux me joindre à tes ébats, si cela te rassure !
En offrant ses lèvres à sa fille, Karine répond :
— Merci ma chérie, oui, je veux que tu sois à mes côtés pendant mes délires !
Un jour que son amie lui rend visite, Karine lui parle de ses projets et de ce qu'elle a fait avec sa fille. Louise sursaute et dit :
— Enfin, tu te décoinces, j'espère que tu deviendras une grosse salope comme moi. Vas-y, profite des plaisirs de la vie. Ta fille t'a donc initiée aux délires lesbiens, je vais vous embarquer dans une de mes orgies !
Karine hausse les épaules et dit en se pinçant les lèvres :
— Je ne suis pas prête pour l'instant, bien que cela soit tentant !
De sa chambre, Cloé entend les gémissements de sa maman, qui, veuve depuis très longtemps, se masturbe pour combler le manque de sexe. Cette femme mère de famille n'a que ses doigts et un gode pour se faire plaisir. Karine élève seule sa fille Cloé qui a maintenant 21 ans et qui prépare un master. Elle ne sort que pour aller travailler, quelques fois des collègues tentent de la courtiser. Mais elle ne pense qu'à l'avenir de sa fille et esquive toutes approches.
Souvent son amie Louise lui dit :
— Tu es attirante et bien en chair, franchis le pas si tu veux, je te présente des hommes, de bons mâles, fais-moi confiance !
Il faut dire que Louise est une femme sensuelle, un peu trop portée sur le sexe. Son mari Lucien s'épuise à l'honorer. Les demandes pressantes de sa femme l'obligent à prendre des produits pour tenir la distance. Elle attend avec impatience son retour du travail, pour se faire défoncer comme une bête en rut. Lucien est de moins en moins performant, Karine, pour assouvir ses pulsions, prend un amant et ne s'en cache pas. Elle raconte tous ses délires à Karine qui salive abondamment.
Les récits de Karine font que le soir dans son lit, Karine se masturbe plusieurs fois avec de plus en plus de violence. Cloé l'entend gémir comme une bête, c'est si bruyant qu'elle se lève et ouvre doucement la porte de la chambre de sa maman. La lumière est allumée, elle la trouve nue sur le lit, jambes largement ouvertes avec un gode profondément planté dans la chatte. Karine se fait violence en grimaçant. Ses yeux sont fermés et de sa bouche entrouverte s'échappe un filet de bave. Cloé reste figée, ses yeux ne quittent pas le gode que sa maman fait voyager rageusement dans son ventre.
Elle s'approche encore plus, elle est si près qu'elle hume les effluves odorantes que sa vulve rejette. Cloé frémit, elle admire la bite factice qui entre et ressort de la chatte de sa maman en la dilatant fortement. Son abricot se met en ébullition et commence à suinter, elle a beau serrer les cuisses, le liquide s'échappe quand même de sa fente. Karine, en gémissant, fouille profondément les entrailles. Son visage déformé par une grimace affreuse prouve qu'elle est en souffrance. Elle se donne des coups de gode si violents qu'on a l'impression qu'elle se châtie d'une faute commise. Sans savoir pour quelle raison, Cloé empoigne le gode et lui fait faire des allers et des retours très profonds. Karine, surprise, ouvre les yeux et reste figée en voyant sa fille face à elle qui lui agite le gode dans le ventre. Elle est tétanisée, et ne trouve pas ses mots. Lorsqu'elle arrive enfin à ouvrir la bouche, Cloé lui pose son doigt sur les lèvres et lui dit tendrement :
— Joui, maman chérie, tu en as besoin, je sais que la solitude est très pesante, je vais t'aider !
Karine, sans voix, lâche le gode, et c'est Cloé seule qui le manœuvre. Elle le tourne dans le vagin, en faisant simultanément un va-et-vient profond. De sa main libre, elle lui saisit le clito qui est devenu monstrueux. Lorsqu'elle l'agite, Karine se cabre en gémissant encore plus fort. Elle regarde sa fille de manière honteuse, ses yeux semblent l'implorer de lui pardonner la masturbation qu'elle s'infligeait.
Cloé lui enfonce le gode à fond et lui écrase le clito. Cela provoque une jouissance terrible à sa maman qui se tend comme un arc en grognant fortement. Cloé reprend rapidement le pilonnage de la chatte et le branlage du clito avec plus de vigueur. Sa maman se cambre en gémissant comme un animal malade. Une seconde jouissance la fait hurler. Elle retombe lourdement sur le lit en haletant, de ses yeux s'échappent quelques perles de rosée. Lentement, Cloé retire l'engin du ventre de sa maman, et le lui fait passer plusieurs fois sur ses lèvres charnues. Avec insistance, Cloé frotte la bite de silicone contre les lèvres de sa maman qui enfin comprend ce que sa fille désire, elle ouvre la bouche, progressivement l'engin très épais pénètre la cavité buccale. Karine, soumise, se met à sucer le gode. Elle tète et suce l'engin avec timidité. Cloé l'encourage :
— Suce maman, imagine que c'est une bonne bite bien épaisse, régale-toi maman chérie !
Karine peu à peu devient plus audacieuse. Elle s'active sur l'engin, qui lui fait mal aux mâchoires. De sa bouche s'échappe de la bave, le gode en est recouvert. Cloé semble ravie de voir sa maman sucer et téter le mandrin de silicone.
Enfin, elle lui retire l'engin de ma bouche, et la regarde en souriant. Karine lui dit en rougissant :
— Tu me fais faire des choses qui me font honte, Cloé !
En lui relevant le menton avec deux doigts et avant de déposer un baiser bruyant sur ses lèvres, réplique :
— Tu mérites mieux que cela, maman chérie, il faut oser se dévergonder pour avoir un maximum de plaisir. Sors, vois du monde, traine dans les boites, fais-toi sauter, prends ton pied, jouis le plus que tu peux, ne reste pas à te morfondre, je vais avoir mon master et un travail, profite des plaisirs de la vie !
Karine reste bouche bée devant les propos de sa fille, mais elle sait qu'elle a raison, elle répond :
— Tu ne veux tout de même pas que je devienne une pute ma chérie ?
Cloé, en souriant, répond :
— Pute, c'est un bien grand mot, mais pourquoi pas si c'est pour que tu t'épanouisses pleinement !
Karine reste un instant muette, puis réagit :
— Tu ne voudrais pas que je devienne comme Louise, une accro au sexe ?
Cloé répond :
— Au moins, elle profite de la vie et des plaisirs du sexe, pas comme toi !
Cloé commence à lui caresser les seins, à les embrasser. Elle gobe délicatement les mamelons, les suce, les tète, en faisant gémir doucement sa maman, qui, troublée par les paroles de sa fille, ne sait comment réagir. La chatte de Cloé est dégoulinante, la cyprine abondante s'échappe de la fente, ses cuisses en portent les traces. La bouche avide de Cloé dévore les mâts de chair avec voracité. Peu à peu, Karine se libère. Elle s'enfonce lentement le gode dans la vulve pendant que sa fille lui dévore les mamelons. Elle commence à geindre, la bouche de sa fille est magique, ses mamelons sont monstrueux et commencent à devenir douloureux.
Enfin Cloé les délaisse, sa bouche descend sur le corps de sa maman en la faisant gémir de plaisir. La langue fouille le nombril avant de descendre vers le temple de l'Amour. Pendant que Karine se gode, sa fille lui donne sur Instinctivement, Karine retire le gode et ouvre largement les cuisses. Sa fille en profite pour lui enfoncer sa langue dans le trou béant et le fouiller profondément. La pénétration habile fait rugir Karine qui se cambre, son corps tremble. Elle gémit terriblement, elle vient de découvrir que sa fille n'a pas froid aux yeux, et qu'elle est une amante merveilleuse. Lorsqu'elle lui aspire le clito, tout semble exploser autour d'elle, une jouissance inconnue jusqu'ici causée par la bouche vorace de sa fille la fait hurler. Karine halète en marronnant :
— Ma chérie, mais qu'est-ce qui nous prend de faire un acte incestueux aussi monstrueux ? Mon Dieu, j'ai honte, mais c'est si bon !
Cloé se redresse et dit tendrement :
— Fais-moi jouir aussi maman chérie, je suis en feu !
Cloé, fébrile, retire sa nuisette et offre à sa maman son corps brûlant. Maladroitement et en tremblant, Karine tente de rendre le même plaisir que sa fille lui a donné. Sa bouche inhabile parcourt le corps de sa fille en la faisant gémir. Cloé apprécie les attouchements buccaux de sa maman, bien qu'elle ne soit pas lesbienne, sa maman s'en sort bien. Cloé geint, couine de plaisir sous les coups de langues affutés de sa maman. Avec des mouvements rapides, elle lui titille le clito, l'aspire, le suce jusqu'à ce que sa fille jouisse. Pensant de longues heures, les deux femmes s'aiment en se faisant jouir de nombreuses fois. Fatiguées, elles restent allongées l'une contre l'autre en haletant. Karine dit avec beaucoup de tendresse :
— Ma chérie, tu viens de me redonner goût à la vie, je vais suivre ton conseil, je vais me faire déglinguer le plus possible. Avant de l'embrasser fougueusement, Cloé répond :
— Oui maman, prends de bonnes bites partout en toi, explose, prends du plaisir tant que tu le peux encore, maman chérie !
Karine, en soupirant, répond :
— J'ai peur de ne pas être à la hauteur !
En haussant les épaules, Chloé réplique :
— Ne te sous-estime pas maman, tu as un sacré potentiel, si tu veux, je peux me joindre à tes ébats, si cela te rassure !
En offrant ses lèvres à sa fille, Karine répond :
— Merci ma chérie, oui, je veux que tu sois à mes côtés pendant mes délires !
Un jour que son amie lui rend visite, Karine lui parle de ses projets et de ce qu'elle a fait avec sa fille. Louise sursaute et dit :
— Enfin, tu te décoinces, j'espère que tu deviendras une grosse salope comme moi. Vas-y, profite des plaisirs de la vie. Ta fille t'a donc initiée aux délires lesbiens, je vais vous embarquer dans une de mes orgies !
Karine hausse les épaules et dit en se pinçant les lèvres :
— Je ne suis pas prête pour l'instant, bien que cela soit tentant !
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